arrêt

$0401003_{1956}$
Son propre message que le sujet reçoit est interdit, déformé, arrêté, capté, méconnu par l'interposition de la relation imaginaire entre $a$ et $a '$ dans la figure 2.20.1 du schéma L.
$0409018_{1957}$
Le souvenir-écran est une interruption de l'histoire, un moment où elle se fige et où elle s'arrête.
$0409025_{1957}$
L'objet fétiche est un point dans la chaîne de l'histoire, là où l'histoire s'arrête.
$0505016_{1957}$
L'ingratitude met un terme aux demandes qui ne sauraient s'arrêter.
$0725023_{1960}$
* Il est impossible au psychanalyste, si son  désir est averti, qu'il consente à s'arrêter au leurre.
$0030015_{1960}$
Le point de capiton est ce par quoi le signifiant arrête le glissement autrement indéfini de la signification. [Lac66a, p. 805]
$0812008_{1961}$
Dans le fantasme fondamental, \ensuremath{ (\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace \; \lozenge \; a)}, le sujet lui-même se reconnaît comme arrêté.
$1001001_{1962}$
Dans l'inhibition il s'agit de l'arrêt du mouvement.
$1803016_{1971}$
Il est impossible d'arrêter le glissement du plus-de-jouir, en aucun point de la phrase.
$2706001_{1972}$
C'est dans la mesure où le signifiant ne nous arrête pas que nous comprenons.
$2101007_{1973}$
* L'imaginaire c'est ce qui arrête le déchiffrage, c'est le sens.
$2202022_{1974}$
L'inhibition c'est ce qui s'arrête de s'immiscer dans une figure de trou du symbolique.
$2303006_{1975}$
Le réel n'a d'ex-sistence qu'à rencontrer du symbolique et de l'imaginaire à l'arrêt.

Jacques B. Siboni 2024-11-08