Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.22 V
Précédent:
verbal, préverbal
Suivant:
verbe, verbalisation
Index:
Index
Verbatim
*
Le
langage,
avant
de
signifier
quelque
chose,
signifie
pour quelqu'un. [
Lac66a
, p. 82]
*
Tout
jugement
est
essentiellement
un
acte.
[
Lac66a
, p. 208]
*
La
folie
est
vécue
toute
dans le
registre
du
sens.
[
Lac66a
, p. 166]
*
Le
mot
n'est pas
signe,
mais
nœud
de
signification.
[
Lac66a
, p. 166]
*
Rien
ne
sépare
le
moi
de ses
formes
idéales,
Ich-Ideal
.
[
Lac66a
, p. 179]
*
Seul
un
sujet
peut
comprendre
un
sens.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Tout
phénomène
de
sens
implique
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Le
moi
de
l'homme
n'est pas
réductible
à son
identité
vécue.
[
Lac66a
, p. 114]
*
Je
est un
autre.
[
Lac66a
, p. 118]
*
La
satisfaction
du
désir
humain
n'est
possible
que
médiatisée
par le
désir
et le
travail
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 121]
*
Les
structures
de la
société
sont
symboliques;
l'individu
en tant que
normal
s'en
sert
pour des
conduites
réelles;
en tant qu'il est
psychopathe,
il les
exprime
par des
conduites
symboliques.
[
Lac66a
, p. 132]
*
La
psychanalyse
est une
expérience
dialectique.
[
Lac66a
, p. 216]
*
Le
transfert
n'est
rien
de
réel
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 225]
*
Le
concept
a son
ordre
de
réalité
originale.
*
L'inconscient
est cette
partie
du
discours
concret
en tant que
transindividuel,
qui
fait
défaut
à la disposition du
sujet
pour
rétablir
la
continuité
de son
discours
conscient.
[
Lac66a
, p. 258]
*
Tout
acte
manqué
est un
discours
réussi.
[
Lac66a
, p. 268]
*
Le
symptôme
se
résout
tout
entier
dans une
analyse
de
langage,
parce qu'il est lui-même
structuré
comme un
langage.
[
Lac66a
, p. 269]
*
La
loi
de
l'homme
est la
loi
du
langage.
[
Lac66a
, p. 272]
*
Need
et
demand
pour le
sujet
ont un
sens
diamétralement
opposé.
[
Lac66a
, p. 296]
*
Dans un
langage
les
signes
prennent
leur
valeur
de leur
relation
les uns aux
autres.
[
Lac66a
, p. 297]
*
La
fonction
du
langage
n'y est pas
d'informer,
mais
d'évoquer.
[
Lac66a
, p. 299]
*
Le
langage
n'est pas
immatériel.
[
Lac66a
, p. 301]
*
Le
moment
où le
désir
s'humanise
est aussi celui où
l'enfant
naît
au
langage.
[
Lac66a
, p. 319]
*
Le
réel
à quoi
l'analyste
s'affronte est un
homme
qu'il faut laisser
parler.
*
La
relation
entre
signifiant
et
signifié
est
toute
entière
incluse
dans
l'ordre
du
langage
lui-même qui en
conditionne
intégralement
les deux
termes.
*
C'est dans un
rapport
à
trois
et
non
pas dans une
relation
à
deux,
que
peut
se
formuler
pleinement, dans sa
complétude,
l'expérience
analytique.
*
C'est la reconstitution
complète
de
l'histoire
du
sujet
qui est
l'élément
essentiel,
constitutif,
structural,
du
progrès
analytique.
*
L'histoire
c'est le
passé
dans le
sens
où il est
historisé
dans le
présent.
*
Le
moi
est
structuré
exactement
comme un
symptôme.
*
La
résistance
se
présente
toujours
par le bout
transférentiel.
*
Ce qui n'est pas
reconnu,
fait
irruption
dans la
conscience
sous
forme
du
vu.
*
Le
mot
introjection
s'accompagne
toujours
d'une
dénomination
symbolique.
*
L'introjection
est
toujours
introjection
de la
parole
de
l'autre.
*
Le
surmoi
est un
impératif.
*
Chaque
fois
qu'un
homme
parle
à un
autre
d'une
façon
authentique
et
pleine,
c'est un
transfert
de
sens
où il se
passe
quelque
chose
qui
change
littéralement
la
nature
des
deux
êtres
en
présence.
*
Il se
passe
quelque
chose
dans la
schizophrénie
qui
perturbe
complètement
les
relations
du
sujet
au
réel.
*
Dans le
monde
animal,
l'imaginaire
domine
tout.
*
Chez
l'homme
les
manifestations
de la
fonction
sexuelle
se
caractérisent
par un
désordre
éminent.
*
C'est la
relation
symbolique
qui
définit
la
position
du
sujet
comme
voyant.
*
Les
objets
réels
sont à la
même
place
que
l'objet
imaginaire.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
*
La
Verdrängung
est
toujours
une
Nachdrängung
.
*
Méconnaissance
n'est pas la
même
chose
qu'ignorance.
*
La
méconnaissance
représente
un
certain
nombre
d'affirmations
et de
négations,
une certaine
structure,
une certaine
organisation.
*
Le
moment
où le
désir
s'humanise
est aussi celui où
l'enfant
naît
au
langage.
5
.
555
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
*
Le
refoulement
et le
retour
du
refoulé,
c'est la
même
chose.
*
L'ego
est une
fonction
imaginaire.
*
Là où le
ça
était,
l'ego
doit
être.
5
.
556
*
Si la
censure
s'exerce, c'est bien justement dans la
fin
absolument
essentielle
de
mentir,
par mission de
tromper.
*
L'inconscient
est une
scission,
limitation,
aliénation
par le
système
symbolique
pour le
sujet.
*
Le
désir
propre
du
sujet
n'est
jamais
que le
désir
de
l'autre.
*
L'homme
n'a
jamais
peur
que d'une
peur
imaginaire.
*
Dans le
fondement
du
transfert,
il y a la
projection
de quelque
chose
qui n'est pas dans la
réalité.
*
L'élément
est une
dimension
essentielle,
mais
primordiale,
de
tout
ce qui est
d'ordre
de la
parole.
*
La
parole
est le
milieu
même
dans lequel se
déplace
l'analyse.
*
C'est par
rapport
à la
fonction
de la
parole
que les
différents
ressorts de
l'analyse
prennent
leur
sens,
leur
place
exacte.
*
Le
mensonge,
pour être
soutenu
et poursuivi
impose
littéralement
la
constitution
de la
vérité.
*
Les
voies
de la
vérité
sont des
voies
d'erreur
par
essence.
*
C'est la
contradiction
dans le
discours
qui est le
départ
entre
la
vérité
et
l'erreur.
*
Par son
corps
même,
le
sujet
émet
une
parole
qui, comme telle, est
parole
de
vérité.
*
Le
sujet
en
dit
toujours
plus
qu'il ne
veut
en
dire,
toujours
plus
qu'il ne
sait
en
dire.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
*
L'inconscient
ne
connaît
pas la
contradiction.
*
La
réalité
tombe
sous la
contradiction.
*
La
réalité
humaine
est une
réalité
de
parole.
*
L'amour
au
sens
du
désir
d'être
aimé
est
essentiellement
tentative
de
capture
de
l'autre
dans
soi-même
objet,
pris
en tant
qu'objet.
*
La
psychanalyse
est une
dialectique.
*
Le
concept
c'est le
temps.
*
Le
transfert
c'est le
concept
même
de
l'analyse.
*
L'obsédé
n'assume
pas son
être
pour la
mort.
*
Je
est un
autre.
*
Le
sujet
est
ailleurs.
*
Je
est un
autre.
*
Le
sujet,
dans
l'amour,
cherche
son
propre
bien.
*
Il n'y a
aucune
espèce
de
sentiment
naturel
d'horreur
concernant
l'inceste.
*
L'ordre
humain
se
caractérise
par ceci, que la
fonction
symbolique
intervient
à
tous
les
moments
et à
tous
les degrés de son
existence.
*
Tout
se
classe,
s'ordonne
par
rapport
aux
symboles
surgis, aux
symboles
une
fois
qu'ils sont
apparus.
*
Le
complexe
d'Œdipe
est à la
fois
universel
et
contingent,
parce qu'il est
uniquement
et
purement
symbolique.
*
Dès que se
forme
un
système
symbolique
quelconque, il est déjà de
droit
universel
comme tel.
*
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
*
Le
moi
qui est une
fonction
imaginaire,
n'intervient,
dans la
vie
psychique
que comme
symbole.
*
Il n'y a dans
l'analyse
d'autre
résistance
que celle de
l'analyste.
[
Lac66a
, p. 377]
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 379]
*
Le
refoulement
ne
peut
être
distingué
du
retour
du
refoulé.
[
Lac66a
, p. 386]
*
Ce qui n'est pas
venu
au jour du
symbolique,
apparaît
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 388]
*
Dans
l'ordre
symbolique,
les
vides
sont aussi
signifiants
que les
pleins.
[
Lac66a
, p. 392]
*
La
maîtrise
est
tout
entière
du
côté
de
l'esclave,
parce que lui
élabore
sa
maîtrise
contre le
maître.
*
Dans la
machine
est incarnée
l'activité
symbolique.
*
Les
êtres
vivants
s'entretiennent
tout
seuls.
*
L'inconscient
est le
discours
de
l'autre.
5
.
557
*
Le
discours
de
l'autre
5
.
558
est le
super-ego.
*
Le
réel
est
sans
fissure.
*
L'être
et
l'objet
ce n'est
absolument
pas la
même
chose.
*
Le
principe
de
l'appareil
psi
est
toujours
l'hallucination.
*
Les
hommes
ne
pensent
que très
rarement.
*
L'importance
du
rêve
est qu'il
permet
de
saisir
la
fonction
symbolique
comme telle.
*
Le
rêve
est une
partie
de
l'activité
du
sujet.
*
Une
censure
est une
intention.
*
Le
doute
fait
partie
du
message.
*
La
censure
ne se
situe
pas au
même
niveau
que la
résistance.
*
La
résistance
est
liée
au
registre
du
moi.
*
Il y a une
résistance
de
transfert.
*
Rien
de ce qui est
fécond
pour
l'homme
ne se
passe
sinon par
l'intermédiaire
d'une
perte
de
l'objet.
*
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'autre.
*
Perception
et
conscience
s'excluent
quant à leur
localisation
systématique.
*
Ce qui
s'opère
dans
l'appareil
nerveux,
peut
et
doit
aller dans certains
cas
en
sens
contraire,
c'est une
régression
topique.
*
Le
rêve
est
toujours
la
réalisation
d'un
désir,
d'un
souhait.
*
Le
rêve
est dans
tous
les
cas
la
satisfaction
d'un
désir.
*
Le
rêve
n'est pas dans le
temps.
*
La
parole
est
toujours
un
médiateur
entre
deux
sujets.
*
Le
rêve
est une
sorte
d'acte
qui est
l'acte
de la
parole.
*
Le
moi
est
fait
de la
série
des
identifications
qui, au
cours
de la
vie
du
sujet
ont
représentées.
*
En lui-même le
jeu
du
symbole
organise
ce quelque
chose
qui
s'appelle
un
sujet.
*
Le
sujet
se
réalise
toujours
ailleurs.
*
La
résistance
a pour
propriété
de
n'avoir
en elle-même
aucune
espèce
de
résistance.
*
La
résistance
à laquelle nous
avons
affaire dans
l'analyse
c'est une
inertie.
*
C'est celui qui applique la
force
qui
provoque
la
résistance.
*
La
conscience
n'est pas
universelle.
*
Il n'y a qu'une
seule
résistance,
c'est celle de
l'analyste.
*
Le
masochisme
n'est pas
seulement
un
sadisme
inversé.
*
L'abîme
perpétuellement
côtoyé dans la
cure
psychanalytique
de la
névrose
obsessionnelle,
c'est
l'apparition
de la
psychose.
*
Le
moi
est une
construction
imaginaire.
*
Le
langage
est aussi bien
fait
pour nous
fonder
dans
l'autre
que pour nous
empêcher
radicalement
de le
comprendre.
*
Ce qui est du
moi
est
toujours
perçu
essentiellement
et
toujours
approprié par
l'intermédiaire
d'un
autre
spéculaire.
*
L'analyse
se
joue
à la
frontière
du
symbolique
et du
réel.
*
Le
sujet
n'a pas un
rapport
duel
avec un
objet
en
face
de lui.
*
Les
rapports
de
maître
à
esclave
sont
essentiellement
réversibles.
*
La
nature
même
du
moi,
son
rapport
fondamental
au
monde,
est de
trouver
toujours
en
face
de lui son
reflet.
*
Un
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
*
Les
sémantèmes
sont
toujours
des
polysémantèmes
.
*
Les
signifiants
sont
toujours
à plusieurs
significations.
*
La
question
du
sens
vient
avec la
parole.
*
La
parole
s'intercale
comme
élément
de
révélation
entre
le
discours
universel
et le
langage.
*
Dès que le
langage
existe,
il est
universel.
*
La
parole
s'introduit
à partir du
moment
où le
sujet
fait.
*
La
syntaxe
existe
avant
la
sémantique.
*
La
cybernétique
est une
science
de la
syntaxe.
*
Il n'y a pas
d'absence
dans le
réel.
*
Il y a
derrière
tout
discours
une
vraie
parole.
*
Je
ne
veux
5
.
559
rien
savoir.
*
Tout
ce qui est
intuition
est beaucoup
plus
près de
l'imaginaire
que du
symbolique.
*
Le
symptôme
est
l'envers
du
discours.
*
L'ego
est
toujours
un
alter-ego
.
*
Le
discours
universel
est
symbolique.
*
Le
moi
n'est pas
identique
au
sujet.
*
Toute
résistance
vient
de
l'organisation
du
moi.
*
La
seule
véritable
résistance
dans
l'analyse,
c'est la
résistance
de
l'analyste.
*
C'est
toujours
le
moi
qui
parle.
*
Libido
et
moi
sont du
même
côté.
*
Le
narcissisme
est
libidinal.
*
La
signification
renvoie
toujours
à la
signification.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre,
sous une
forme
inversée.
*
L'objet
d'intérêt
humain,
c'est
l'objet
du
désir
de
l'Autre.
*
Le
moi
humain,
comme tel, c'est
l'autre.
*
La
parole
est
toujours
pacte.
*
Celui qui a
conquis
la
jouissance
devient
complètement
idiot.
*
La
réalité
qui est
sacrifiée
dans la
névrose
est une
partie
de la
réalité
psychique.
*
Ce qui a été
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
*
Agir
avec le
refoulé
par le
mécanisme
du
refoulement,
c'est en
savoir
quelque
chose.
*
Le
refoulement
et le
retour
du
refoulé
sont une
seule
et
même
chose.
*
La
Verdrängung
est une
symbolisation,
c'est le
retour
du
refoulé.
*
Ce qui est
pris
dans la
Verwerfung
,
est ce qui a été mis
hors
de la
symbolisation
générale
structurant
le
sujet.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre
sous une
forme
inversée.
*
Dans le
cas
du
sujet
et de la
parole
délirants,
l'Autre
est
exclu
véritablement.
*
Les
langues
artificielles
sont
toujours
faites
en
essayant
de se
relier
sur la
signification.
*
Il n'y a pas de
discours
sans
un
certain
ordre
temporel.
*
Il y a une
altérité
qui est de la
nature
du
symbolique.
*
Le
symptôme
névrotique,
dans sa
construction,
joue
le
rôle
de la
langue
qui
permet
d'exprimer
le
refoulement.
*
Le
refoulement
et le
retour
du
refoulé,
sont une
seule
et
même
chose.
*
Le
moi
se
forme
des
mêmes
moments
qu'un
symptôme.
[
Lac66a
, p. 336]
*
La
personnalité
du
sujet
est
structurée
comme le
symptôme
qu'elle
ressent
comme
étranger.
[
Lac66a
, p. 341]
*
Le
désir
de
l'homme
s'aliène
dans le
désir
de
l'autre
5
.
560
. [
Lac66a
, p. 343]
*
La
signification
renvoie
toujours
à la
signification.
[
Lac66a
, p. 352]
*
L'homme,
dans la
subordination
de son
être
à la
loi
de la
reconnaissance,
est traversé par les avenues de la
parole.
[
Lac66a
, p. 352]
*
Le
discours
de la
tromperie
et de
l'erreur
n'est pas
sans
témoigner
de
l'existence
de la
parole
où se
fonde
la
vérité.
[
Lac66a
, p. 353]
*
Le
symptôme
est le
retour
du
refoulé
dans le
compromis.
[
Lac66a
, p. 358]
*
L'analyste
doit
aspirer à telle
maîtrise
de sa
parole
qu'elle soit
identique
à son
être.
[
Lac66a
, p. 359]
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
[
Lac66a
, p. 409]
*
Il y a du
véritable.
[
Lac66a
, p. 406]
*
Il n'est
parole
que de
langage.
[
Lac66a
, p. 412]
*
Le
langage
est un
ordre
que des
lois
constituent.
[
Lac66a
, p. 413]
*
La
signification
ne se
réalise
qu'à partir d'une
prise
des
Choses
qui est
d'ensemble.
[
Lac66a
, p. 414]
*
Wo Es war, soll
Ich
werden
. [
Lac66a
, p. 416]
*
La
première
résistance
à quoi
l'analyse
a à faire, c'est celle du
discours
lui-même. [
Lac66a
, p. 418]
*
L'analyste
intervient
concrètement
dans la
dialectique
de
l'analyse
en
faisant
le
mort.
[
Lac66a
, p. 430]
*
La
dialectique
de la
névrose
est
toute
entière
liée
à ceci que le
refoulement
et le
retour
du
refoulé
sont une
seule
et
même
chose.
*
Toute
la
névrose
est une
parole
qui
s'articule.
*
Le
sujet
est à la
recherche
de
l'objet
de son
désir.
*
C'est par la
voie
de la
relation
narcissique
que se
fait
toute
identification
érotique.
*
Le
moi
s'instaure
dans une
dualité
interne
au
sujet.
*
Le
moi
est cette
sorte
de
maître
que le
sujet
trouve
dans un
autre.
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
*
La
signification
c'est le
discours
humain,
en tant qu'il
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
*
Tout
ce qui est
mondialisant
comporte
une
contradiction
en
soi.
*
Il
peut
y
avoir
un
signifiant
inconscient.
*
Si la
psychanalyse
habite
le
langage,
elle ne
saurait
sans
s'altérer
le
méconnaître
en son
discours.
*
Le
moi
n'est
jamais
au
moins
que la
moitié
du
sujet.
*
Le
mécanisme
imaginaire
est ce qui
donne
sa
forme
à
l'aliénation
psychotique,
mais
non
sa
dynamique.
*
La
réalité
est
marquée
d'emblée de la
néantisation
symbolique.
*
Les
désirs
dans
l'inconscient
ne
s'éteignent
jamais.
*
Le
phénomène
de
conscience
et le
phénomène
de
mémoire
s'excluent.
*
C'est
toujours
par
l'intermédiaire
de
l'Autre
que se
réalise
toute
parole
pleine.
*
Le
fondement
même
du
discours
humain
est le
malentendu.
*
Tout
ce qui est de la
communication
analytique
a
structure
de
langage.
*
Le
langage
commence
à
l'opposition.
*
Le
symbolisme
c'est ce qui nous livre
tout
le
système
du
monde.
*
Le
symbolique
est là pour
affirmer
que la
créature
n'engendre
pas la
créature.
*
La
créature
est
impensable
sans
une
fondamentale
création.
*
Dans le
symbolique
rien
n'explique
la
création.
*
La
naissance
du
signifiant
c'est la
simultanéité.
*
L'existence
du
signifiant
est une
coexistence
synchronique.
*
La
structure
est une
chose
qui se
présente
d'abord
comme un groupe
d'éléments
formant
un
ensemble
covariant.
*
La
notion
de
structure
est une
notion
analytique.
*
Dégager une
loi
naturelle,
c'est dégager une
formule
signifiante.
5
.
561
*
Tout
vrai
signifiant
est, en tant que tel, un
signifiant
qui ne
signifie
rien.
*
Le
signifiant
est autre
chose
que la
signification.
*
Le
délire
commence
à partir du
moment
où
l'initiative
vient
d'un
Autre.
*
Le
signifiant
a ses
lois
propres
indépendamment
du
signifié.
*
Le
complexe
d'Œdipe
est
absolument
essentiel
pour
l'être
humain
pour
accéder
à une
structure
humanisée
du
réel.
*
L'hallucination
c'est un
mode
de
défense
comme les
autres.
*
Normalement,
c'est par la
voie
d'un
conflit
imaginaire
que se
fait
l'intégration
symbolique.
*
C'est
erroné
de
dire
que les
primitifs
ne savent pas le
côté
réel
de la
génération
par le
père.
*
Il est
tout
à fait
exclu
qu'un
animal
fasse
une
métaphore.
*
La
métaphore
est
impensable
dans la
psychologie
purement
animale
de
l'attraction,
de
l'appétit
et du
désir.
*
Tout
langage
implique
un
métalangage.
*
La
métonymie
est au
départ.
*
La
métaphore
est quelque
chose
qui est à un
autre
degré
que la
métonymie.
*
L'opposition
de la
métaphore
et de la
métonymie
correspond
strictement
aux
deux
fonctions
possibles
de
l'autre.
*
Le
névrosé
habite
le
langage.
*
Le
psychotique
est
habité,
possédé
par le
langage.
*
La
notion
même
de
structure
est
empruntée
au
langage.
*
Il y a
toujours
un
Autre
au-delà
de
tout
dialogue
concret.
*
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
celui qui
parle
avec celui qui
écoute.
*
Le
je
est le
je
de celui qui
prononce
le
discours.
*
Tout
ce qui se
dit
a sous
soi
un
je
qui le
prononce.
*
Il n'y a pas de
troisième
personne.
5
.
562
*
Le
verbe
est une
fonction
dans la
phrase,
et
rien
d'autre.
*
Le
et le
sont
toujours
réciproques.
*
Il n'y a
aucun
tu
électif.
*
Avant
qu'il y
ait
le
nom
du
père,
il n'y avait pas de
père.
*
L'automatisme
c'est ce qui
pense
vraiment
par
soi-même.
*
La
théorie
analytique
et la
pratique
ne
peuvent
pas se
séparer,
se
dissocier
l'une de
l'autre.
*
Ce qui est
recherché
n'est pas
recherché
au
même
titre que ce qui sera
trouvé.
*
Le
principe
de
réalité
n'est
constitué
que par ce qui est
imposé
pour sa
satisfaction
au
principe
du
plaisir.
*
Le
principe
de
réalité
implique
dans sa
dynamique
et dans sa
recherche
fondamentale
la
tension
fondamentale
du
principe
du
plaisir.
*
Le
principe
du
plaisir
tend à se
réaliser
en
formation
profondément
irréaliste.
*
Le
principe
de
réalité
implique
l'existence
d'une
organisation,
d'une
structuration
autonome.
*
La
tendance
du
sujet
comme tel est de se
satisfaire
dans une
réalisation
irréelle,
dans une
réalisation
hallucinatoire.
*
En
aucun
cas
la
relation
sujet
objet
n'est
centrale.
*
Ce n'est pas dans la
voie
de la
conscience
que le
sujet
se
reconnaît.
*
L'identification
à
l'objet
est au
fond
de
toute
relation
à
l'objet.
*
Le
phallicisme
imaginaire
ne
peut
se
réduire
à quelque
donnée
réelle.
*
Le
réel
a
plus
d'un
sens.
*
La
Wirklichkeit
c'est ce qui
implique
en
soi
toute
possibilité
des
faits.
*
La
frustration
est par
essence
le
domaine
de la
revendication.
*
La
castration
est un
manque
imaginaire
de
l'objet.
*
L'objet
de la
castration
est un
objet
imaginaire.
*
L'absence
de quelque
chose
dans le
réel
est une
Chose
purement
symbolique.
*
La
libido
est ce quelque
chose
qui va
lier
entre
eux le
comportement
des
êtres.
*
Il faut une
activité
pour adopter la
position
passive.
*
Ce qui se
passe
au
niveau
du
système
primaire
est
gouverné
par le
principe
du
plaisir.
*
L'envie
vient
du
signifié.
*
Dans la
castration
il y a
fondamentalement
un
manque
qui se
situe
dans la
chaîne
symbolique.
*
La
privation
n'est pas
l'équivalent
de la
frustration.
*
L'objet
n'est
jamais
qu'un
objet
retrouvé
à partir d'une
Findung
primitive.
*
Un
objet
peut
commencer
à
exercer
son
influence
dans les
relations
du
sujet
bien
avant
d'avoir
été
perçu
comme
objet.
*
Il y a
virtuellement
l'origine,
la
naissance,
la
possibilité,
la
condition
fondamentale
d'un
ordre
symbolique.
*
L'enfant
attend
quelque
chose
de la
mère.
*
L'enfant
en tant que
réel
symbolise
l'image.
*
L'analyste
est là
conçu
comme
réel.
*
Une
verbalisation
n'a
d'importance
qu'autant qu'elle est
impulsive,
qu'autant qu'elle est
manifestement
motrice.
*
C'est
l'ordre
symbolique
qui est, pour le
sujet,
constituant.
[
Lac66a
, p. 12]
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 16]
*
Le
signifiant
est
unité
d'être
unique.
[
Lac66a
, p. 24]
*
Le
signifiant
n'est pas
fonctionnel.
[
Lac66a
, p. 26]
*
Le
sujet
suit
la filière du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 30]
*
Le
déplacement
du
signifiant
détermine
les
sujets
dans leurs
actes.
[
Lac66a
, p. 30]
*
L'ordre
symbolique
exige
trois
termes
au
moins.
[
Lac66a
, p. 464]
*
L'homme
est, dès
avant
sa
naissance
et au-delà de sa
mort,
pris
dans la
chaîne
symbolique.
[
Lac66a
, p. 468]
*
L'extériorité
du
symbolique
par
rapport
à
l'homme
est la
notion
même
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 469]
*
L'ordre
symbolique
n'est
abordable
que par son
propre
appareil.
[
Lac66a
, p. 470]
*
Le
rêve
est un
rébus.
[
Lac66a
, p. 470]
*
Les
lois
de
l'intersubjectivité
sont
mathématiques.
[
Lac66a
, p. 472]
*
L'idée
de
privation
n'est
concevable
que pour un
être
qui
articule
quelque
chose
sur le
plan
symbolique.
*
Frustration
n'est pas
privation.
*
L'objet
de la
frustration
c'est
moins
l'objet
que le
don.
*
Le
don
vient
de
l'Autre.
5
.
563
*
Il y a
frustration
si le
sujet
entre
dans la
revendication
que ce
terme
implique.
*
Le
moment
de la
frustration
est un
moment
évanouissant.
*
C'est
l'institution
du
manque
dans la
relation
à
l'objet
comme
étant
l'ordre
même
dans lequel un
amour
idéal
peut
s'épanouir.
*
La
perversion
est le
négatif
de la
névrose.
*
La
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale
sont
deux
choses
différentes.
*
Ce n'est pas la
frustration
de la
jouissance
qui
engendre
la
réalité.
*
Un
rêve
qui se
produit
au
cours
de
l'analyse
a
toujours
une certaine
direction
vers
l'analyste.
*
Il y a dans le
transfert
un
élément
imaginaire
et un
élément
symbolique.
*
Il y a
insistance
propre
à la
chaîne
symbolique.
*
Le
transfert
se
passe
au
niveau
de
l'articulation
symbolique.
*
La
perversion
est le
négatif
de la
névrose.
*
L'hystérique
est quelqu'un qui
aime
par
procuration.
*
L'hystérique
est quelqu'un dont
l'objet
est
homosexuel.
*
La
dimension
du
don
n'existe
qu'avec
l'introduction
de la
loi.
*
Le
désir
vise
le
phallus
en tant qu'il
doit
être
reçu
comme
don.
*
La
fonction
de la
perversion
du
sujet
est une
fonction
métonymique.
*
Ce qui est
aimé
dans
l'objet,
c'est ce dont il
manque.
*
On
ne
donne
que ce
qu'on
n'a pas.
*
Ce que
l'autre
donne
à
voir
en se
montrant,
c'est aussi autre
chose
que ce qu'il
montre.
*
La
métaphore
sous-jacente
à
l'introjection
est une
métaphore
orale.
*
Chaque
fois
qu'il y a
frustration
d'amour,
la
frustration
se
compense
par la
satisfaction
du
besoin.
*
La
pulsion
s'adresse
à
l'objet
réel
en tant que
partie
de
l'objet
symbolique.
*
La
réaction
orale
à
l'objet
primitif
de
dévoration
vient
en
compensation
de
frustration
d'amour.
*
C'est à partir de
l'idéal-du-moi
que le
moi
se
détache.
*
Le
désir,
dans
l'inconscient
refoulé,
est
indestructible.
*
Le
sujet
en tant que
sujet
n'est pas
identifiable
à
l'individu.
*
Le
don
en lui-même
implique
tout
le
cycle
de
l'échange.
*
C'est sur un
fond
de
révocation
que le
don
surgit
et est
donné.
*
Toute
satisfaction
mise en
cause
dans la
frustration
y
vient
sur ce
fond
du
caractère
fondamentalement
décevant
de
l'ordre
symbolique.
*
L'objet
réel,
dès qu'il
entre
dans la
dialectique
de la
frustration,
n'est pas en lui-même
indifférent.
*
La
mère
est
primordialement
toute
puissante.
*
C'est du
champ
virtuel,
néantisation
symbolique,
que la
mère
constitue,
que
tous
les
objets
à
venir
tireront
chacun à leur
tour
leur
valeur
symbolique.
*
L'existence
d'un
phallus
imaginaire
est le
pivot
de
toute
une
série
de
faits
qui exigent son
postulat.
*
La
mère
manque
de
phallus.
*
C'est
seulement
en tant que quelque
chose
donne
à la
mère
le
phallus
qu'elle
peut
être
satisfaite.
*
Le
signifiant
existe.
*
L'œdipe
a la
fonction
normativante
de la
théorie
analytique.
*
L'œdipe
est
essentiellement
androcentrique
ou
patrocentrique
.
*
Il convient de bien
séparer
l'angoisse
de la
phobie.
*
L'objet
phobique
vient
remplir
une
fonction
sur le
fond
de
l'angoisse.
*
C'est dans la
nature
du
complexe
d'Œdipe
de se
résoudre.
*
L'assomption
du
signe
même
de la
position
virile
de
l'hétérosexualité
masculine
implique
la
castration
à son
départ.
*
Toute
femme
qui n'est pas
permise,
est
interdite
par la
loi.
*
L'
aphanisis
c'est la
disparition.
*
Rien
n'est
privé
de
rien.
*
Tout
ce qui est
réel
se
suffit
à lui-même.
*
Le
réel,
par
définition,
est
plein.
*
C'est pour autant qu'elle
joue
dans le
sujet
sous la
forme
d'une
action
portant
sur un
objet
imaginaire,
que la
castration
entre
en
jeu.
*
C'est dans la
relation
à la
mère
que
l'enfant
éprouve
le
phallus
comme
étant
le
centre
du
désir
de la
mère.
*
L'enfant
se
présente
à la
mère
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
offre
le
phallus
en lui-même.
*
Le
complexe
de
castration
reprend sur le
plan
imaginaire
tout
ce qui est en
jeu
avec le
phallus.
*
La
castration
c'est le
phallus
imaginaire.
*
Le
sentiment
d'angoisse
se
distingue
de la
phobie.
*
La
phobie
c'est quelque
chose
qui est
construit
en
avant
du
point
d'angoisse.
*
La
perversion
est
structurée
en
relation
avec
tout
ce qui
s'ordonne
autour de la
notion
absence
et
présence
du
phallus.
*
Tout
le
monde
n'a pas le
phallus.
5
.
564
*
Le
signifiant
symptomatique
est
essentiellement
constitué
de telle
sorte
qu'il est de
nature
à
recouvrir
au
cours
du
développement
et de
l'évolution,
les
signifiés
les
plus
multiples.
*
Un
mythe
est
toujours
une
tentative
d'articulation
de
solution
d'un
problème.
*
Le
rêve
est un
rébus.
*
Le
trait
d'esprit
comporte
toujours
la
notion
d'une
troisième
personne.
*
Le
comique
se contente d'un
rapport
duel.
*
Le
signifiant
est un
pont
dans un
domaine
de
significations.
*
Les
significations
ne sont pas
reproduites,
mais
transformées,
recréées.
*
Le
rapport
d'amour
avec la
mère,
c'est ce qui
introduit
l'enfant
à la
dynamique
imaginaire.
*
L'angoisse
n'est pas la
peur
d'un
objet.
*
L'angoisse,
c'est la
confrontation
du
sujet
à cette
absence
d'objet
où il est
happé.
*
Un
objet
est
toujours
une
reconquête.
*
Le
père
symbolique
c'est le
père
mort.
*
La
névrose
est une
question
posée
par le
sujet
au
niveau
de son
existence
même.
*
La
névrose
est une
sorte
de
question
formée
pour le
sujet
lui-même, mais
organisée,
structurée,
comme
question.
*
Le
père
symbolique
c'est le
nom-du-père.
*
Il n'y a pas de
trait
d'esprit
dans
l'espace
abstrait.
*
Il est
impossible
de
représenter
dans le
même
plan
le
signifiant,
le
signifié
et le
sujet.
*
La
dimension
métaphorique
est celle qui
correspond
à la
condensation.
*
Le
trait
d'esprit
exerce au
niveau
du
je
du
signifiant.
*
La
demande,
par
nature,
exige
qu'on
s'y
oppose.
*
C'est à travers
l'image
de
l'Autre
que
l'homme
trouve
l'unification
même
de ses
mouvements
les
plus
élémentaires.
*
C'est d'un
refus
que le
réel
prend
existence.
[
Lac66a
, p. 439]
*
Si le
symptôme
peut
être
lu,
c'est parce qu'il est déjà lui-même
inscrit
dans un
procès
d'écriture.
[
Lac66a
, pp. 444–445]
*
Le
langage
avec sa
structure
préexiste à
l'entrée
qu'y
fait
chaque
sujet
à chaque
moment
de son
développement
mental.
[
Lac66a
, p. 495]
*
Il n'est
aucune
signification
qui se
soutienne
sinon du
renvoi
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 498]
*
Les
images
du
rêve
ne sont à retenir que pour leur
valeur
de
signifiant.
[
Lac66a
, p. 510]
*
Je
pense
où
je
ne
suis
pas, donc
je
suis
où
je
ne
pense
pas. [
Lac66a
, p. 517]
*
L'inconscient
n'est pas le
primordial,
ni
l'instinctuel.
[
Lac66a
, p. 522]
*
Le
symptôme
est une
métaphore.
[
Lac66a
, p. 528]
*
Le
désir
est une
métonymie.
[
Lac66a
, p. 528]
*
L'espace
du
signifiant,
l'espace
de
l'inconscient
est un
espace
typographique.
*
Un
nom
n'est
jamais
qu'un
signifiant
comme les
autres.
*
C'est en tant que le
père
se
substitue
à la
mère
comme
signifiant
que va se
produire
ce
résultat
ordinaire de la
métaphore.
*
La
position
du
signifiant
du
père
est
fondatrice
de la
position
du
phallus
dans le
plan
imaginaire.
*
En tant qu'il est
viril,
un
homme
est
toujours
plus
ou
moins
sa
métaphore.
*
C'est
différent
de
désirer
quelque
chose
ou de
désirer
le
désir
du
sujet.
*
À partir du
moment
où le
signifiant
est
introduit,
sa
valeur
est
fondamentalement
double.
*
Le
fantasme
inconscient
est
dominé,
structuré
par les
conditions
du
signifiant.
*
Le
terme
enfant
désiré
est celui qui
répond
à la
constitution
de la
mère
en tant que
siège
du
désir.
*
C'est dans le
rapport
à sa
propre
image
que le
sujet
retrouve
la
duplicité
du
désir
maternel
à lui comme
enfant
désiré,
qui n'est que
symbolique.
*
La
fille,
comme le
garçon
d'abord
désire
la
mère.
*
La
fille
se
croit
d'abord
pourvue d'un
phallus.
*
La
mère,
c'est
l'objet
primitif,
l'objet
par excellence.
*
Il y a un
rapport
étroit,
intime
entre
le
désir
et la
marque.
*
La
phobie,
c'est un
symptôme
où
vient
au
premier
plan
et d'une
façon
isolée et promue comme telle, le
signifiant.
*
Avant
toute
parole,
l'enfant
rit.
*
Faute de la
satisfaction,
c'est au
sujet
qui
peut
accéder
à la
demande,
que le
sujet
s'identifie.
*
Le
signifiant,
comme tel, c'est quelque
chose
qui
peut
être
effacé,
qui ne laisse plus que sa
place.
*
Une des
dimensions
fondamentales
du
signifiant,
c'est de
pouvoir
s'annuler
lui-même.
*
Toute
espèce
de
signifiant
est, de sa
nature,
quelque
chose
qui
peut
être
barré.
*
La
relation
narcissique
est
parfaitement
ouverte
à une
sorte
de transitivisme
permanent.
*
Le
désir
du
sujet
est
aliéné
dans la
demande.
*
Installé dans la
dialectique
première,
prégénitale
de la
demande,
le
sujet
a affaire à
l'autre
désir.
*
La
demande,
par ses
nécessités
articulatoires
dévie,
change,
transpose
le
besoin.
*
La
façon
dont
doit
se
présenter
le
désir
chez le
sujet,
dépend
de ce qui est
déterminé
par la
dialectique
de la
demande.
*
Un
sujet
humain
complet
n'est
jamais
un
pur
et
simple
sujet.
*
Il n'y a pas de
sujet
humain
qui soit
pur
sujet
de la
connaissance.
*
C'est en cette
place
où le
sujet
a
cherché
à
articuler
son
désir
qu'il
rencontrera
le
désir
de
l'autre
comme tel.
*
Le
désir
dans sa
fonction
inconsciente,
est le
désir
de
l'autre.
*
L'hystérique
prend
son
point
d'appui
dans un
désir
qui est le
désir
de
l'autre.
*
L'hystérique
a
toutes
sortes de
difficultés
avec son
imaginaire.
*
La
demande
demande
toujours
quelque
chose
qui est
plus,
et
au-delà
de la
satisfaction.
*
La
demande,
du
fait
d'être
articulée
en
termes
symboliques
est une
demande
qui va
au-delà
de
toutes
les
satisfactions.
*
Toute
demande
de
satisfaction
d'un
besoin
doit
passer
par les
défilés
de
l'articulation
tels que le
langage
les rend
obligatoires.
*
Hors de
l'existence
du
signifiant,
il n'y a
aucune
ouverture
possible
de la
dimension
d'amour
comme telle.
*
La
violence
est quelque
chose
dans son
essence,
qui se
distingue
de la
parole.
*
Ne
saurait
être
refoulé
que ce qui se
révèle
balisé à la
structure
de la
parole,
c'est-à-dire à une
articulation
signifiante.
*
Un
symptôme
c'est une
signification.
*
Un
symptôme
c'est un
signifié.
*
Le
symptôme
n'est
jamais
simple.
*
Le
symptôme
est
toujours
surdéterminé.
*
Il n'y a pas de
symptôme
qui ne soit
apporté
d'une
expérience
antérieure.
*
Il s'agit pour
l'hystérique,
de
faire
tenir,
de
faire
subsister
l'objet
du
désir,
en tant que
distinct
et
indépendant
de
l'objet
de
tout
besoin.
*
L'obsessionnel
ne se
maintient
dans un
rapport
possible
avec son
désir
qu'à
distance.
*
Ce qui
doit
être
maintenu
pour
l'obsessionnel,
c'est la
distance
à son
désir.
*
L'obsessionnel
s'emploie
à
détruire
le
désir
de
l'Autre.
*
L'obsession
est
toujours
quelque
chose
de
verbalisé.
*
Pour le
psychotique,
la
parole
de
l'Autre
ne
passe
nullement
dans son
inconscient.
*
Ce qui est
Verwerfung
,
ou
rejeté
du
symbolique
réapparaît
dans le
réel.
*
Le
ça
parle
qui est dans
l'inconscient
pour le
sujet
névrotique,
est au
dehors
pour le
sujet
psychotique.
*
L'angoisse
est un
signal.
*
Le
désir
est la
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
*
Le
phallus
est la
métonymie
du
sujet
dans
l'être.
*
Le
je
désigne
celui qui est le
support
du
message,
c'est à
dire
quelqu'un qui varie à chaque
instant.
*
Tout
discours
est le
discours
de
l'Autre.
*
Une
conduite
hallucinatoire
se
distingue
de la
façon
la
plus
radicale
d'une
conduite
d'autoguidage de
l'investissement
régressif.
*
La
réalité
humaine
se
construit
sur un
fond
d'hallucination
préalable.
*
Lorsque le
refoulement
s'introduit,
il est
absolument
nécessaire
que le
sujet
s'efface
et
disparaisse
au
niveau
du
procès
de
l'énonciation.
*
Le
sujet
est le
sujet
qui
parle.
*
Il n'y a pas
d'autre
signe
du
sujet,
que le
signe
de son
abolition
de
sujet.
*
Aucune
formation
imaginaire
n'est
spécifique,
aucune
n'est
déterminante
ni dans la
structure,
ni dans la
dynamique
d'un
processus.
[
Lac66a
, p. 546]
*
Il se
pose,
pour le
sujet,
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
*
Pour que la
psychose
se
déclenche,
il faut que le
nom-du-père,
verworfen
,
forclos,
c'est-à-dire
jamais
venu
à la
place
de
l'Autre,
y soit
appelé
en
opposition
symbolique
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 577]
*
L'inconscient
est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 549]
*
Il n'y a pas
d'autre
résistance
à
l'analyse
que celle de
l'analyste
lui-même. [
Lac66a
, p. 595]
*
La
régression
ne
montre
rien
d'autre
que le
retour
au
présent,
de
signifiants
usités dans des
demandes
pour lesquelles il y a prescription. [
Lac66a
, p. 618]
*
C'est dans la
plus
ancienne
demande
que se
produit
l'identification
primaire.
[
Lac66a
, p. 618]
*
Le
langage
structure
tout
de la
relation
inter-humaine.
[
Lac66a
, pp. 618–619]
*
Les
besoins
se
subordonnent
aux
mêmes
conditions
conventionnelles
qui sont celles du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 618]
*
Le
désir
ne
fait
qu'assujettir
ce que
l'analyse
subjective.
[
Lac66a
, p. 623]
*
L'élaboration
du
rêve
est nourrie par le
désir.
[
Lac66a
, p. 623]
*
Le
désir
est ce qui se
manifeste
dans
l'intervalle
que creuse la
demande
en-deçà d'elle-même. [
Lac66a
, p. 627]
*
L'être
du
langage
est le
non-être
des
objets.
[
Lac66a
, p. 627]
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 628]
*
Le
désir
du
rêve
n'est pas
assumé
par le
sujet
qui
dit
je
dans sa
parole.
[
Lac66a
, p. 629]
*
Le
désir
se
produit
dans
l'au-delà
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 629]
*
Le
désir
inconscient
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 632]
*
C'est
d'abord
pour le
sujet
que sa
parole
est un
message,
parce qu'elle se
produit
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 634]
*
La
résistance
du
sujet
quand elle
s'oppose
à la
suggestion,
n'est que
désir
de
maintenir
son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
*
C'est le
désir
qui
maintient
la
direction
de
l'analyse,
hors
des
effets
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 636]
*
Les
symptômes
sont
surdéterminés.
[
Lac66a
, p. 636]
*
Le
désir
est la
métonymie
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, pp. 623,640]
*
Le
sujet
s'éclipse
dans le
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 656]
*
C'est
seulement
l'action
qui dans le
sujet
engendre
la
certitude.
[
Lac66a
, p. 659]
*
Le
complexe
de
castration
inconscient
a une
fonction
de
nœud.
[
Lac66a
, p. 685]
*
Dans
l'homme
et par
l'homme,
ça
parle.
[
Lac66a
, p. 688]
*
Ça
parle
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 689]
*
Le
phallus
est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 690]
*
Le
sujet
ne
désigne
son
être
qu'à
barrer
tout
ce qu'il
signifie.
[
Lac66a
, p. 693]
*
Si le
désir
de la
mère
est le
phallus,
l'enfant
veut
être
le
phallus
pour le
satisfaire.
[
Lac66a
, p. 693]
*
Un
dévoilement
de
l'Autre
intéressé
dans le
transfert
peut
modifier
une
défense
commandée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 732]
*
Ce qui
ressurgit
dans
l'inconscient
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre,
soit le
phallus
désiré
par la
mère.
[
Lac66a
, p. 733]
*
Il n'est pas de
virilité
que la
castration
ne consacre. [
Lac66a
, p. 733]
*
La
duplicité
du
sujet
est
masquée
chez la
femme.
[
Lac66a
, p. 734]
*
L'énonciation
est
assomption
du
rêve
par le
sujet.
*
L'inconscient
n'est point
ailleurs
que dans les
latences.
*
Pour que quelque
chose
s'engendre
dans
l'ordre
du
signifié,
il faut qu'il y
ait
substitution
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
Le
moi
se
constitue
dans un
certain
rapport
imaginaire
à
l'autre.
*
L'omnipotence
est
toujours
du coté de
l'Autre,
du coté du
monde
de la
parole
en tant que tel.
*
Il y a un
rapport
entre
le
phallus
et le
grand
Autre.
*
L'homme,
son
pénis
lui est
restitué
par un
certain
acte
dont à la
limite
ou
pourrait
dire
qu'il l'en
prive.
*
L'enfant
s'identifie
à une certaine
position
de son
être
dans les
pouvoirs
de la
mère,
qu'il se
réalise.
*
Le
sujet
refuse
la
castration
de
l'Autre.
*
L'inconscient
se
présentifie
sous la
forme
du
discours
de
l'Autre.
*
Le
problème
de
l'obsessionnel
c'est de se
supporter
sur un
désir
impossible.
*
,
le
grand
Autre,
est,
non
pas un
être,
mais le
lieu
de la
parole.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Je
suis
en tant que
je
pense
que
je
suis.
*
Je
pense
au
lieu
de
l'Autre.
*
Je
suis
un
autre
que celui qui
pense
que
je
suis.
*
L'objet
du
fantasme
est cette
altérité,
image
et
pathos,
par où un
autre
prend
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement.
*
L'hystérie
se
caractérise
par la
fondation
d'un
désir
en tant
qu'insatisfait.
*
Il n'y a pas dans le
signifiant
lui-même, de
garant
de la
dimension
de
vérité
instaurée par le
signifiant.
*
Au
niveau
de la
castration,
le
sujet
apparaît
dans une
syncope
du
signifiant.
*
L'histoire
du
désir
s'organise
en un
discours
qui se
développe
dans
l'insensé
*
L'objet
se
définit
d'abord
comme le
support
que le
sujet
se
donne
pour autant qu'il
défaille.
*
C'est pour autant que
l'Autre
est un
sujet
comme tel, que le
sujet,
à ce
moment,
s'instaure
et
peut
s'instituer
lui-même comme
sujet.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Aucun
signifiant
n'existe
qui
garantisse
la
suite
concrète
d'aucune
manifestation
de
signifiants.
*
Il ne
peut
y
avoir
d'autre
sujet
qu'un
sujet
pour un
sujet.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Aucun
signifiant
possible
ne
garantit
l'authenticité
de la
suite
des
signifiants.
*
Le
réel
du
sujet
n'est pas à
concevoir
comme le
corrélatif
d'une
connaissance.
*
La
demande
institue
l'Autre
à qui elle
s'adresse
comme celui qui
peut
être
présent
ou
absent.
*
Il n'y a
rien
dans
l'Autre.
*
Il n'y a
rien
dans la
signifiance
qui soit la
garantie
de la
vérité.
*
L'image
de
l'autre
spéculaire,
joue
par
rapport
au
moi.
*
Tout
sujet
est
Un.
*
L'être
humain
a à
s'articuler
dans le
signifiant.
*
L'objet
a cette
fonction
précisément de
signifier
ce
point
où le
sujet
ne
peut
se
nommer.
*
Le
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
névrosé
accède
au
fantasme.
*
L'amour
et le
désir
sont
deux
choses
différentes.
*
Dans le
fantasme,
le
sujet
est
présent
comme
sujet
du
discours
inconscient.
*
Le
fantasme
pervers
n'est pas la
perversion.
*
Il n'y a
jamais
qu'un
seul
phallus.
*
Le
névrosé
ne
peut
être
le
phallus
qu'au
nom
de
l'Autre.
*
La
perversion
se
présente
comme un
sorte
de simulation
naturelle
de la
coupure.
*
Le
pervers
est
identifié
à la
forme
imaginaire
du
phallus.
*
Le
désir
n'a pas d'autre
objet
que le
signifiant
de sa
reconnaissance.
*
Le
désir
n'a pas d'autre
objet
que le
signifiant
de sa
reconnaissance.
*
La
coupure
est la
scansion
essentielle
où s'édifie la
parole.
*
Le
,
l'objet
du
désir,
dans sa
nature
est un
résidu,
est un
reste.
*
L'objet
du
désir
est l'inexorable comme tel.
*
Il y a une
éthique
de
l'analyse.
*
Toute
vérité
a une
structure
de
fiction.
*
Le
fictif
n'est pas par
essence
ce qui est
trompeur.
*
Les
sentiments,
en tant que guides vers le
réel
sont
trompeurs.
*
Toute
pensée,
de par sa
nature,
s'exerce par des
voies
inconscientes.
*
Ce qui est
connu
ne
peut
être
connu
qu'en
paroles.
*
Ce qui est
inconnu
se
présente
comme une
structure
de
langage.
*
C'est autour d'une
relation
du
sujet
au
signifiant
que
s'organise
la
position
fondamentale
de la
Verdrängung
.
*
Les
Choses
du
monde
humain
sont des
Choses
d'un
univers
structuré
en
paroles.
*
Les
processus
symboliques
dominent
tout.
*
Le
processus
symbolique
est
inopérant
dans le
monde
animal.
*
Le
ressort
de la
paranoïa
est
essentiellement
rejet
d'un
certain
appui
dans
l'ordre
symbolique.
*
Il y a du
bon
et du
mauvais.
*
Le
souverain
bien,
qui est
das
Ding
,
qui est la
mère,
qui est
l'objet
de
l'inceste,
est un
bien
interdit,
et il n'y a pas
d'autre
bien.
*
Le
représenté
et la
représentation
sont
deux
choses
différentes.
*
Le
moi
se
défend
en se
mutilant.
*
Le
sujet,
au
niveau
de
l'inconscient
ment.
*
Sans la
loi,
la
Chose
est
morte.
*
Le
rapport
du
réel
au
pensé
n'est pas celui du
signifié
au
signifiant.
[
Lac66a
, p. 705]
*
C'est
l'incidence
concrète
du
signifiant
dans la
soumission
du
besoin
à la
demande,
qui en
refoulant
le
désir
en
position
de
méconnu,
donne
à
l'inconscient
son
ordre.
[
Lac66a
, p. 709]
*
Le
phallus
a la
fonction
de
signifiant
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
*
Le
signe
c'est ce qui est à la
place
de quelque
chose
pour quelqu'un.
*
La
pulsion
peut
trouver
son
but
ailleurs
que dans ce qui est son
but.
*
L'objet
est de sa
nature
un
objet
retrouvé.
*
Autre
chose
est
essentiellement
la
Chose.
*
La
fonction
du
principe
du
plaisir
est de
porter
le
sujet
de
signifiant
en
signifiant,
en mettant autant de
signifiants
qu'il est
nécessaire
à
maintenir
au
plus
bas le
niveau
de
tension
qui
règle
tout
le
fonctionnement
de
l'appareil
psychique.
*
le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Dans
l'art
il y a une
forme
d'une
Verdrängung
,
un
refoulement
de la
Chose.
*
Ce qui est
rejeté
dans le
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
*
Le
principe
du
plaisir
tend au
réinvestissement
de la
représentation
et
donne
aux
Vorstellungen
une
forme
satisfaisante.
*
Le
fait
d'introduire
comme
primordiale
la
fonction
du
père
représente
comme telle une
sublimation.
*
Ce qui
peut
être
atteint
dans la
Chose,
c'est justement la
Chose
et
non
pas un
objet.
*
La
transgression
dans le
sens
de la
jouissance
ne
s'accomplit
qu'à s'appuyer sur le
principe
contraire,
sur les
formes
de la
loi.
*
S'il n'y a plus de
manque,
l'Autre
défaille,
le
signifiant
est celui de la
mort
de
l'Autre.
*
Les
images
sont
trompeuses.
*
La
pulsion
de
mort
se
présente
dans le
champ
de la
pensée
analytique
comme une
sublimation.
*
Ça
parle.
*
Sans le
signifiant,
au
commencement,
il est
impossible
d'articuler
la
pulsion
comme
historique.
*
La
question
du
bien
est à cheval sur le
principe
du
plaisir
et le
principe
de la
réalité.
*
Nous
faisons
de la
réalité
avec du
plaisir.
*
Les
besoins
d'homme
se
logent
dans la
partie
symbolique.
*
Disposer de ses
biens,
c'est
avoir
le
droit
d'en
priver
les
autres.
*
Le
discours
issu des
mathématiques
est un
discours
qui, par
structure,
par
définition
n'oublie
rien.
*
Le
langage
scande
et
coupe
tout
ce qui se
passe
dans le
mouvement
de la
vie.
*
L'analyste
doit
payer
quelque
chose
pour
tenir
sa
fonction.
*
L'analyse
est un
jugement.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
hors
de la
satisfaction
de
tous.
*
Le
bonheur
est
devenu
un
facteur
de la
politique.
5
.
565
*
Il n'est pas
possible
que
d'aucun
isole
son
bonheur
de la
satisfaction
de
tous.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
sans
la
satisfaction
de
tous.
*
La
forme
du
corps
se
présente
comme
l'enveloppe
de
tous
les
fantasmes
du
désir
humain.
*
Il est
impossible
au
psychanalyste,
si son
désir
est averti, qu'il
consente
à
s'arrêter
au
leurre.
*
La
frustration
est l'affaire de la
mère
symbolique.
*
Œdipe
n'a pas de
complexe
d'Œdipe.
*
Le
père
c'est celui qui nous a
reconnu.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
surmoi
n'a
rien
à
faire
avec la
conscience
morale.
*
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
*
L'amour
est un
sentiment
comique.
*
L'amour
est un
sentiment
comique.
*
L'amour
c'est de
donner
ce
qu'on
n'a pas.
*
Les
dieux,
c'est un
mode
de
révélation
du
réel.
*
Les
dieux,
c'est une
manifestation
du
réel.
*
La
première
imagination,
invention
de la
vérité,
c'est
l'amour.
*
Il n'y a point de généalogie de
l'amour.
*
Tout
mythe
se
rapporte
à
l'inexplicable
du
réel.
*
Il est
toujours
inexplicable
que quoi que ce soit
réponde
au
désir.
*
Il n'y aura
jamais
d'univers
que de
discours.
*
le
discours
engendre
la
dimension
de la
vérité.
*
Une
structure
est
constituante
de la
praxis
qu'on
appelle
la
psychanalyse.
[
Lac66a
, p. 793]
*
Le
signifiant
ne se
constitue
que d'un
rassemblement
synchronique
et
dénombrable,
où
aucun
ne se
soutient
que du
principe
de son
opposition
à chacun des
autres.
[
Lac66a
, p. 806]
*
La
parole
ne
commence
qu'avec le
passage
de la
feinte
à
l'ordre
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 807]
*
Il n'y a de
demande
qui ne
passe
à quelque titre par les
défilés
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 811]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 813]
*
Le
désir
s'ébauche dans la
marge
où la
demande
se
déchire
du
besoin.
[
Lac66a
, p. 814]
*
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 819]
*
L'image
spéculaire
est le
canal
que
prend
la transfusion de la
libido
du
corps,
vers
l'objet.
[
Lac66a
, p. 822]
*
Le
pervers
s'imagine
être
l'Autre
pour
assurer
sa
jouissance.
[
Lac66a
, pp. 824–825]
*
Chez le
névrosé,
le
se
glisse
sous le
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 826]
*
La
castration
veut
dire
qu'il faut que la
jouissance
soit
refusée,
pour qu'elle
puisse
être
atteinte
sur l'échelle
renversée
de la
loi
du
désir.
[
Lac66a
, p. 827]
*
Tout
discours
prend
ses
effets
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 827]
*
Là où
c'était,
ce qu'est
je
dois
5
.
566
venir.
[
Lac84a
, p. 9]
*
Il
existe
quelqu'un dont
je
n'est plus à
venir.
[
Lac84a
, p. 10]
*
Toute
vérité
a une
structure
de
fiction.
[
Lac84a
, p. 12]
*
La
loi
morale
est ce par quoi
l'acte
que la
symbolique
structure,
trouve
l'appui
du
pur
réel.
[
Lac84a
, p. 12]
*
Le
savoir
est un
fantasme
qui n'est
fait
que pour la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
*
La
caractéristique
de
l'inconscient
est de se
révéler
comme le
lieu
d'une
pensée
foisonnante. [
Lac84a
, p. 17]
*
Le
désir
n'est pas une
fonction
vitale.
*
L'amour
s'articule
dans le
désir.
*
L'amour
c'est
donner
ce
qu'on
n'a pas.
*
Dans le
sujet,
il y a une
part
où
ça
parle
tout
seul.
*
Le
sujet
subit
la
marque
de la
chaîne
signifiante.
*
Ce dont il s'agit dans le
désir
c'est d'un
objet
et
non
d'un
sujet.
*
Le
stade
anal
se
caractérise
en ceci que le
sujet
satisfait
un
besoin
uniquement
pour la
satisfaction
d'un
autre.
*
L'objet
phallique
comme
objet
imaginaire
ne
saurait
en
aucun
cas
prêter à
révéler
d'une
façon
complète
le
fantasme
fondamental.
*
La
phase
orale
de la
libido
sexuelle
exige
cette
place
creusée
par la
demande.
*
Un
signe
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
L'amour
c'est
donner
ce
qu'on
n'a pas.
*
Le
c'est le
grand
moins
phi,
.
*
Quelque
chose
est
plus
précieux que le
désir
lui-même, d'en garder le
symbole
qui est le
phallus.
*
Le
sujet
n'affirme
la
dimension
de la
vérité
comme
originale
qu'au
moment
où il se
sert
du
signifiant
pour
mentir.
*
C'est en
proportion
d'un
certain
renoncement
au
phallus
que le
sujet
entre
en
possession
de la pluralité des
objets
qui
caractérise
le
monde
humain.
*
La
femme
est
sans
l'avoir.
*
Être
sujet
c'est
avoir
sa
place
dans
grand
,
au
lieu
de la
parole.
*
La
mère
est d'autant
plus
castratrice
qu'elle ne s'est pas
occupée
à
castrer
le
père.
*
Le
désir
est
manque.
*
L'analyste
intervient
par quelque
chose
qui est de
l'ordre
de son
être.
*
L'analyste
est
intéressé
dans le
transfert
comme
sujet.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Au
niveau
de la
parole,
il n'y a pas de
métalangage.
*
Il n'y a pas de
métadiscours.
*
Le
moi-idéal
est la
source
d'une
projection
imaginaire.
*
Il n'y a
d'amour
que pour un
être
qui
peut
parler.
*
La
métaphore
du
désirant
dans
l'amour
implique
ce à quoi elle est
substituée
comme
métaphore.
*
Ce qui est
désiré,
c'est le
désirant
dans
l'autre.
*
On
ne
peut
aimer
qu'à se
faire
comme n'ayant pas,
même
si
l'on
a.
*
L'amour
comme
réponse
implique
le
domaine
du
non-avoir.
*
La richesse a une
tendance
à
rendre
impuissant.
*
Le
signal
d'angoisse
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
du
moi.
*
Le
stade
du
miroir
n'est pas
sans
rapport
avec
l'angoisse.
*
Il n'y a de
signal
d'angoisse
qu'en tant qu'il se
rapporte
à un
objet
de
désir
en tant qu'il
perturbe
le
moi-idéal
.
*
L'angoisse
est le
mode
radical
sous lequel est
maintenu
le
rapport
au
désir.
*
Le
désir
vient
à
émerger
pour
combler
le
manque
de
certitude,
le
manque
de
garantie
auxquels le
sujet
se
trouve
confronté.
*
Le
désir
est un remède à
l'angoisse.
*
Le
moi-idéal
ne se
confond
pas avec
l'idéal-du-moi.
*
La
fonction
est la
fonction
centrale
de
l'investissement
narcissique.
*
Le
désir
a la
même
structure
que le
rêve.
*
Je
pense
n'est pas une
pensée.
*
La
pensée
commence
à
l'inconscient.
*
Le
savoir
est
intersubjectif.
*
L'Autre
n'est pas un
sujet,
c'est un
lieu.
*
C'est de
cesser
de
penser
que
je
peux
entrevoir
que
je
sois.
*
Le
premier
temps
de la méditation
cartésienne
a le
trait
d'un
passage
à
l'acte.
*
le
sujet
est
signifiant.
*
Ce qui
distingue
le
signifiant,
c'est
seulement
d'être
ce que
tous
les
autres
ne sont pas.
*
C'est en tant que
pure
différence
que
l'unité,
dans sa
fonction
signifiante,
se
structure,
se
constitue.
*
L'Un
comme tel est
l'Autre.
*
L'identification
n'a
rien
à
faire
avec
l'unification.
*
C'est de
l'effet
du
signifiant
que
surgit
comme tel le
sujet.
*
Le
signifiant
ne
peut
se
définir,
sinon que comme
n'étant
pas ce que sont les
autres
signifiants.
*
il n'y a pas de
tautologie.
*
Le
signifiant
comme tel
sert
à connoter la
différence
à
l'état
pur.
*
Les
signifiants
ne
manifestent
d'abord
que la
présence
de la
différence
comme telle et
rien
d'autre.
*
L'énonciation
ne se réduira
jamais
à
l'énoncé
d'aucun
discours.
[
Lac66a
, p. 892]
*
Quelque
chose,
à
l'insu
du
sujet,
est
profondément
remanié
par les
effets
de
rétroaction
du
signifiant
impliqué
dans la
parole.
*
Le
sujet
parle.
*
Le
moi
est
avant
tout
une entité
corporelle.
*
Le
signe
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Un
signifiant
c'est une
marque,
une
trace,
une
écriture.
*
La
fonction
de la
répétition
dans
l'inconscient
se
distingue
absolument
de
tout
cycle
naturel.
*
Ce qui est
recherché
par le
sujet
c'est son
unicité
signifiante.
*
Le
sujet
se
constitue
d'abord
comme
.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
signifie
auprès de
l'autre
signifiant
cette
Chose
privilégiée
qu'est le
sujet
en tant que
rien.
*
Le
désir
se
constitue
comme la
partie
de la
demande
qui est
cachée
à
l'Autre.
*
L'hystérique
se
pose
comme
signe
de quelque
chose
à quoi
l'Autre
pourrait
croire.
*
L'Autre
est
marqué
du
signifiant.
*
Là où
c'était
la
Chose
5
.
567
, là
je
dois
advenir.
*
Le
sujet
introduit
le
rien
comme tel.
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
*
Le
désir
se
construit
sur le
chemin
d'une
question
qui le
menace.
*
L'Autre
c'est la
loi.
*
L'Autre
est à
être,
il n'est donc pas.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
existe.
*
L'angoisse
c'est la
sensation
du
désir
de
l'Autre.
*
Le
phallus
est cet
élément
de
médiation
qui
donne
au
désir
son
support.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
demande
le
désir
et le
phallus
désire.
*
L'angoisse
est au
principe
des
défenses.
*
Un
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Le
pervers
est celui qui se
fait
objet
pour la
jouissance
d'un
phallus
dont il ne soupçonne pas
l'appartenance.
*
La
naissance
du
sujet
tient
en ceci qu'il ne
peut
se
penser
que comme
exclu
du
signifiant
qui le
détermine.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
La
fonction
du
signifiant
exclut
que le
signifiant
puisse
se
signifier
lui-même.
*
Le
phallus,
dans sa
fonction
radicale,
est ce
seul
signifiant
qui
peut
se
signifier
lui-même.
*
C'est comme
distinct
de ce qu'il
répète
que le
signifiant
réapparaît.
*
Ce qui se
répète
comme
signifiant
n'est
différent
que de
pouvoir
être
inscrit.
*
Une
surface
de
Mœbius
est l'illustration la
plus
simple
du
cross-cap
.
*
le
signifiant
détermine
le
sujet.
*
Le
signifiant
est
coupure.
*
Le
réel
est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
*
La
coupure
est un
trait
qui se
recoupe.
*
Le
signifiant
se
répète.
*
Pour que la
demande
soit
demande,
à
savoir
qu'elle se
répète
comme
signifiant,
il faut qu'elle soit
déçue.
*
Le
désir
de
l'homme
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
*
Tu
deviens
ce que
tu
méconnais.
*
Le
pervers
est
normal
dans sa
perversion,
parce qu'il a affaire dans sa
variété
au
phallus.
*
C'est à la lumière de la
castration
que
peut
se
comprendre
la
fécondité
du thème
privatif.
*
Le
signifiant,
d'essence,
est
différent
de lui-même.
*
Le
signifiant
n'est pas le
signe.
*
c'est
l'être
en tant qu'il est
essentiellement
manquant.
*
L'angoisse
est un
affect.
*
Le
trait
unaire
est
avant
le
sujet.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre.
*
Le
phallus
apparaît
en
moins.
*
Les
névrosés
ont des
fantasmes
pervers.
*
Le
vrai
objet
que
cherche
le
névrosé,
est une
demande
qu'il
veut
qu'on
lui
demande.
*
L'angoisse
n'apparaît
pas dans
l'hystérie
dans la
mesure
où ses
manques
sont
méconnus.
*
Le
sujet
apparaît
avec la
naissance
du
signifiant,
mais comme
barré
,
comme
non
su
comme tel.
*
L'angoisse
c'est la
cause
du
doute.
*
Toute
activité
humaine
s'épanouit
dans la
certitude.
*
Agir,
c'est
arracher
à
l'angoisse
sa
certitude.
*
Agir
c'est
opérer
un
transfert
d'angoisse.
*
L'angoisse
est encadrée.
*
Les
signifiants
font, du
monde,
un
réseau
de
traces
dans lequel le
passage
d'un
cycle
à l'autre est dès lors
possible.
*
Les
signifiants
c'est la
trace
du
sujet
dans le
cours
du
monde.
*
La
bipolarité
dont
s'instaure
la
loi
morale
n'est
rien
d'autre que cette
refente
du
sujet
qui
s'opère
de
toute
intervention
du
signifiant,
nommément du
sujet
de
l'énonciation
au
sujet
de
l'énoncé.
[
Lac66a
, p. 770]
*
Désir
n'est pas
sujet.
[
Lac66a
, p. 774]
*
Une
structure
quadripartite
est depuis
l'inconscient
toujours
exigible
dans la
construction
d'une
ordonnance
subjective.
[
Lac66a
, p. 774]
*
Le
sadisme
rejette
dans
l'Autre
la
douleur
d'exister.
[
Lac66a
, p. 778]
*
La
loi
et le
désir
refoulé
sont une
seule
et
même
chose. [
Lac66a
, p. 782]
*
L'objet
est
derrière
le
désir.
*
Pour le
fétichiste
il faut que le
fétiche
soit là, qu'il est la
condition
dont se
soutient
son
désir.
*
Ce n'est pas tellement la
souffrance
de
l'autre
qui est
cherchée
dans
l'intention
sadique,
que son
angoisse.
*
L'objet
est la
cause
du
désir.
*
Le
rapport
de la
loi
au
désir
est si
étroit
que
seule
la
fonction
de la
loi
trace
le
chemin
du
désir.
*
Le
désir
du
père
c'est cela qui a
fait
la
loi.
*
Se
reconnaître
comme
l'objet
de son
désir
c'est
toujours
masochisme.
*
Se
reconnaître
comme
objet
de son
désir
c'est
toujours
masochisme.
*
Le
transfert
n'est pas simplement ce qui
reproduit
une
situation,
une
action,
un
traumatisme
ancien
ni ce qui le
répète.
*
Pour
avoir
le
phallus,
pour s'en
servir,
il faut justement ne pas
l'être.
*
L'angoisse
est
signal
dans le
moi.
*
L'
acting-out
c'est quelque
chose
dans la
conduite
du
sujet,
essentiellement
qui se
montre.
*
L'
acting-out
c'est un
symptôme.
*
L'
acting-out
appelle
l'interprétation.
*
Le
symptôme,
dans sa
nature,
est
jouissance.
*
Le
transfert
sans
analyse
c'est
l'
acting-out
.
*
L'
acting-out
sans
analyse
c'est le
transfert.
*
Le
manque
n'est
saisissable
que par
l'intermédiaire
du
symbolique.
*
Rien
ne
manque
qui ne soit de
l'ordre
symbolique.
*
La
privation
est quelque
chose
de
réel.
*
La
privation
c'est quelque
chose
de
réel.
*
Une
femme
n'a pas de
pénis.
*
L'angoisse
est la
défense
majeure
la
plus
radicale.
*
L'angoisse
est la
réponse
au
danger
le
plus
originel.
*
Il y a du
signifiant.
*
Ce que nous
donnons
dans
l'amour,
c'est
essentiellement
ce que nous
n'avons
pas.
*
Est
contre-transfert
tout
ce que, de ce qu'il
reçoit
dans
l'analyse
comme
signifiant,
le
psychanalyste
refoule.
*
La
loi
morale
est
hétéronome.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
désir
ne
concerne
pas
l'objet
aimé.
*
Les
traces
ne
s'effacent
pas.
*
Il n'y a de
sujet
que par le
signifiant.
*
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
*
L'angoisse,
de
tous
les
signaux,
est celui qui ne
trompe
pas.
*
Dieu
n'a pas
d'âme.
*
L'angoisse
apparaît
dans la
séparation.
*
L'objet
partiel,
c'est une
invention
du
névrosé,
c'est un
fantasme.
*
La
peur
n'a pas
d'objet.
*
La
jouissance
ne
connaîtra
pas
l'Autre
sinon par ce
reste
.
*
symbolise
ce qui, dans la
sphère
du
signifiant,
est
toujours
ce qui se
présente
toujours
comme
perdu.
*
L'objet
choit
du
sujet,
essentiellement
dans sa
relation
au
désir.
*
Les manœuvres se
situent
à un
niveau
qui n'est pas
sans
rapport
avec
l'Autre.
*
Le
masochiste
vise
la
jouissance
de
l'Autre.
*
Le
sadisme
n'est pas
l'envers
du
masochisme.
*
L'angoisse
fait
le
médium
du
désir
à la
jouissance.
*
Seul
l'amour
permet
à la
jouissance
de condescendre au
désir.
*
L'amour
est la
sublimation
du
désir.
*
L'amour
est un
fait
culturel.
*
Laisser
voir
son
désir
pour
l'homme,
c'est
essentiellement
laisser
voir
ce qu'il n'y a pas.
*
Ce qui est
cherché
dans la
quête
sadique
c'est, chez
l'objet,
ce
petit
morceau
qui
manque.
*
La
norme
du
désir
et la
loi
sont une
seule
et
même
chose.
*
C'est dans la
dépendance
de la
demande
que se
constitue
cet
objet
pour la
femme.
*
Le
rapport
du
sujet
au
signifiant
nécessite
la
structuration
du
désir
dans le
fantasme.
*
Il y a déjà
connaissance
dans le
fantasme.
*
Le
désir
est
illusion.
*
Avant
l'espace
il y a un
Un
qui
contient
la
multiplicité.
*
Il y a, au
stade
oral,
un
certain
rapport
de la
demande
au
désir
voilé
de la
mère.
*
Il y a, au
stade
anal,
l'entrée
en
jeu,
pour le
désir,
de la
demande
de la
mère.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
*
Le
désir
est
illusion.
*
Le
désir
n'est
qu'illusion.
*
Il y a
analogie
entre
le
sevrage
oral
et le
sevrage
de la
naissance.
*
L'œuf,
dans sa
position
intra-utérine,
se
présente
dans une
relation
semi-parasitaire
à
l'organisme
de la
mère.
*
Le
est un
objet
séparé
de
l'organisme
de
l'enfant.
*
Au
niveau
de la
pulsion
orale,
le
point
d'angoisse
est au
niveau
de
l'Autre.
*
La
vérité
de la
psychanalyse
n'est, tout au moins en
partie,
accessible
qu'à
l'expérience
du
psychanalyste.
*
La
fonction
du
désir,
le
fantasme,
est
toujours
marqué
d'une
parenté
avec les
modèles
visuels.
*
L'espace
c'est quelque
chose
qui a un
certain
rapport,
non
pas avec
l'esprit,
mais avec
l'œil.
*
La
forme
,
mon
image,
ma
présence
dans
l'Autre
est
sans
reste.
*
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
*
La
jouissance
de la
femme
et de
l'homme
ne se
conjoignent
pas
organiquement.
*
C'est parce que le
phallus
ne
réalise
pas, si ce n'est dans son
évanescence,
la
rencontre
des
désirs,
qu'il
devient
le
lieu
commun
de
l'angoisse.
*
C'est
l'Autre
qui
menace
de
castration.
*
L'angoisse
est la
vérité
de la
sexualité.
*
Il n'y a pas de
castration
parce que, au
lieu
où elle a à se
produire,
il n'y a pas
d'objet
à
castrer.
*
Le
phallus,
là où il est
attendu
comme
sexuel,
n'apparaît
jamais
que comme
manque.
*
Le
langage
existe
dans le
réel.
*
Le
langage
n'est pas
vocalisation.
*
La
voix
répond
à ce qui se
dit,
mais elle ne
peut
pas en
répondre.
*
La
vérité
entre
dans le
monde
avec le
signifiant
et
avant
tout
contrôle.
*
L'espace
fait
partie
du
réel.
*
L'espace
est
réel.
*
L'effet
de la
parole,
l'effet
du
signifiant
est de
faire
surgir
dans le
sujet,
la
dimension
du
signifié
essentiellement.
*
L'inconscient
est
essentiellement
effet
du
signifiant.
*
La
mamelle
fait
partie
du
monde
intérieur
du
sujet
et
non
pas du
corps
de la
mère.
*
L'évitement
de
l'obsessionnel
c'est la
couverture
du
désir
dans
l'Autre
par la
demande
dans
l'Autre.
*
est
lié
à la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
et le
représente.
*
L'angoisse
est ce qui ne
trompe
pas.
*
La
jouissance
de la
femme
est en elle-même, elle ne la
conjoint
pas à
l'Autre.
*
Le
symbole
du
don
est
essentiel
à la
relation
à
l'Autre.
*
La
métaphore
du
don
est
empruntée
à la
sphère
anale.
*
L'obsessionnel
soutient
son
désir
comme
impossible.
*
L'angoisse
paraît
avant
toute
articulation
comme telle de la
demande
de
l'Autre.
*
Il n'y a de
surmontement
de
l'angoisse
que quand
l'Autre
s'est
nommé.
*
Il n'y a
d'amour
que d'un
nom.
*
Dans
l'angoisse,
le
sujet
est
affecté
par le
désir
de
l'Autre.
*
L'objet
est ce qui a
chu
du
sujet
dans
l'angoisse.
*
Le
,
l'objet
choit.
*
Le
sujet
est
captif
de la
fonction
du
désir.
*
La
voix
est le
produit
et
l'objet
chu
de
l'organe
de la
parole.
*
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
*
Le
père
primordial
est le
père
d'avant
l'interdit
de
l'inceste.
*
L'analyse
doit
s'avancer vers une conquête du
vrai
par la
voie
de la
tromperie.
*
Ce qui
spécifie
une
science
c'est
d'avoir
un
objet.
*
La
praxis
délimite
un
champ.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il n'y a de
cause
que de ce qui cloche.
*
L'inconscient
se
manifeste
toujours
comme ce qui
vacille
dans une
coupure
du
sujet.
*
Le
concept
de
répétition
n'a
rien
à
faire
avec celui de
transfert.
*
Le
nom-du-père
soutient
la
structure
du
désir
avec celle de la
loi.
*
Le
désir
de
l'hystérique,
c'est de
soutenir
le
désir
du
père.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
5
.
568
*
La
remémoration
n'est pas la
réminiscence
platonicienne.
*
Il n'y a
d'acte
que
d'homme.
*
Initialement
c'est le
sujet
qui est
appelé.
*
La
véritable
formule
de l'athéisme c'est que
Dieu
est
inconscient.
*
Le
réel
peut
se
représenter
par l'accident, le
petit
bruit, le
peu
de
réalité,
qui témoigne que nous ne
rêvons
pas.
*
La
répétition
demande
du
nouveau.
*
L'homme
pense
avec son
âme
5
.
569
.
*
Le
signifiant
est la
première
marque
du
sujet.
*
Il est un
réel
qui
commande
plus
que
tout
autre
nos activités.
*
Dans le
champ
du
rêve,
ce qui
caractérise
les
images
oniriques,
c'est que
ça
montre.
*
Ce qui échappe au
sujet,
c'est que sa
syntaxe
se
constitue
en
rapport
avec certaines réserves
5
.
570
inconscientes.
*
Au
niveau
du
point
lumineux c'est là qu'est
tout
ce qui me
regarde.
*
Ce que le
sujet
imite foncièrement dans l'imitation, c'est une certaine
fonction
qu'il tend à
donner
de lui-même.
*
Jamais
tu
ne me
regardes,
là d'où
je
te
vois.
*
Ce que
je
regarde
n'est
jamais
ce que
je
veux
voir.
*
Dans
l'anorexie
mentale,
ce que
l'enfant
mange,
c'est le
rien.
*
Le
niveau
anal
et le
lieu
de la
métaphore.
*
La
pulsion
anale
est le
domaine
de
l'oblativité,
du
don,
et du cadeau.
*
Tout
désir
humain
est
centré
sur la
castration.
*
Le
désir
de
l'homme
est
désir
de
l'Autre.
*
L'objet
dans le
champ
du visible, c'est le
regard.
*
Le
regard
est
l'instrument
par où la lumière
s'incarne.
*
La
présence
de
l'analyste
est elle-même une
manifestation
de
l'inconscient.
*
Le
transfert
est
essentiellement
résistance.
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
*
Ce qui ne
peut
être
remémoré
se
répète
dans la
conduite.
5
.
571
*
L'inconscient,
c'est ce qui se
referme
dès que
ça
s'est
ouvert.
*
Là d'où le
sujet
se
voit,
ce n'est pas là d'où il se
regarde.
*
Le
transfert
est la mise en
acte
de la
réalité
de
l'inconscient.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient,
ce sont les
effets
sur le
sujet
de la
parole.
*
L'inconscient,
c'est la
dimension
où le
sujet
se
détermine
du
fait
et dans le
développement
des
effets
de la
parole.
*
Le
désir
se
situe
dans la
dépendance
de la
demande.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
transfert
est la mise en
acte
de la
réalité
de
l'inconscient.
*
Le
lien
du
sexe
à la
mort
de
l'individu
est
fondamental,
essentiel.
*
La
sexualité
c'est la
réalité
de
l'inconscient.
*
L'envie
est autre
chose
que la
pulsion
scopique.
*
Le
passage
de la
pulsion
orale
à la
pulsion
anale
ne se
produit
pas par un
procès
de
maturation.
*
Le
regard
est cet
objet
perdu
et soudain
retrouvé,
dans la conflagration de la
honte,
par
l'introduction
de
l'autre.
*
Le
sadisme
n'est que la
dénégation
du
masochisme.
*
Le
réel
neutre est le
réel
désexualisé.
*
Il n'y a
aucune
métamorphose
naturelle
de la
pulsion
orale
en
pulsion
anale.
*
Le
sujet,
in-initio
,
commence
au
lieu
de
l'Autre
en tant que là
surgit
le
premier
signifiant.
*
Le
sujet
naît,
en tant qu'au
champ
de
l'Autre,
surgit
le
signifiant.
*
La
libido
c'est la
lamelle,
c'est un
organe.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Dans le
psychisme,
rien
n'est
suffisant
par quoi le
sujet
puisse
se
situer
comme
être
de
mâle
ou
être
de
femelle.
*
La
libido
est
l'organe
essentiel
à
comprendre
la
nature
de la
pulsion.
*
Le
signifiant
se
produisant
au
champ
de
l'Autre,
fait
surgir
le
sujet
de sa
signification.
*
C'est un
manque
engendré
du
temps
précédent,
qui
sert
à
répondre
au
manque
suscité par le
temps
suivant.
*
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre
en tant que le
premier
signifiant,
le
signifiant
unaire,
surgit
au
champ
de
l'Autre,
et qu'il
représente,
comme tel, le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Ce dont le
sujet
a à se
libérer,
c'est de
l'effet
aphanisique
du
signifiant
binaire.
*
À
toute
représentation,
il faut un
sujet.
*
Il n'y a de
surgissement
du
sujet
au
niveau
du
sens,
que de
l'
aphanisis
du
sujet
en
l'autre
lieu
qui est celui de
l'inconscient.
*
Le
transfert
est un
phénomène
où sont
inclus
ensemble,
le
sujet
et le
psychanalyste.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Ce n'est qu'au
niveau
du
désir
de
l'Autre,
que
l'homme
peut
reconnaître
son
désir.
*
L'objet
du
désir,
c'est la
cause
du
désir.
*
Le
signifiant
primordial
est
pur
non-sens.
*
Le
sujet
est
supposé
savoir
de
seulement
être
sujet
du
désir.
*
L'hallucination
verbale
n'est pas un
faux
perceptum
,
c'est un
percipiens
dévié.
*
Le
sujet
est
immanent
à son
hallucination
verbale.
*
La
science
élide,
élude,
sectionne,
un
champ
déterminé
dans la
dialectique
du
sujet.
*
Le
transfert
est ce qui écarte la
demande
de la
pulsion.
*
Le
transfert
est ce qui s'exerce dans le
sens
de ramener la
demande
à
l'identification.
cf:
11.20.3
*
Le
désir
de
l'analyste
n'est pas un
désir
pur.
*
Le
syntagme,
c'est la
chaîne
signifiante
considérée dans ce qui
regarde
la
jonction
de ses
éléments.
*
Le
signe,
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
rapport
du
signifiant
au
sujet,
en tant qu'il
intéresse
la
fonction
de la
signification,
passe
par un
référent.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
La
structure
grammaticale
est
absolument
corrélative
des
toutes
premières
apparitions
du
langage.
*
Le
signe
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Le
matérialisme,
c'est ce qui ne
pose
pour
existant
que ce dont nous
avons
des
signes
matériels.
*
Le
langage
entre
dans le
réel
et il y
crée
la
structure.
*
L'inconscient
est un
concept
forgé sur la
trace
de ce qui
opère
pour
constituer
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 830]
*
L'effet
du
langage,
c'est la
cause
introduite
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 835]
*
Le
sujet
cartésien
est le
présupposé
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 839]
*
L'Autre
est la
dimension
exigée
de ce que la
parole
s'affirme
en
vérité.
[
Lac66a
, p. 839]
*
L'aliénation
est le
fait
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Dans un
champ
d'objets,
aucune
relation
n'est
concevable
qui
engendre
l'aliénation
sinon celle du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Aucun
sujet
n'a de
raison
d'apparaître
dans le
réel,
sauf à ce qu'il y
existe
des
êtres
parlants.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Nul
sujet
ne
peut
être
cause
de
soi.
[
Lac66a
, p. 841]
*
Ce n'est pas
l'effet
de
sens
qui
opère
dans
l'interprétation.
[
Lac66a
, p. 842]
*
C'est
entre
le
sein
et la
mère
que
passe
le
plan
de
séparation
qui
fait
du
sein
l'objet
perdu
en
cause
dans le
désir.
[
Lac66a
, p. 848]
*
La
libido
est cette
lamelle
que
glisse
l'être
de
l'organisme
à sa
véritable
limite,
qui va plus loin que celle du
corps.
[
Lac66a
, p. 848]
*
Toute
pulsion
est
virtuellement
pulsion
de
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
*
La
pulsion
en tant qu'elle
représente
la
sexualité
dans
l'inconscient
n'est
jamais
que
pulsion
partielle.
[
Lac66a
, p. 849]
*
C'est grâce au
nom-du-père,
que
l'homme
ne
reste
pas
attaché
au
service
sexuel
de la
mère.
[
Lac66a
, p. 852]
*
L'agression
contre le
père
est au
principe
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 852]
*
La
loi
est au
service
du
désir
qu'elle
institue
par
l'interdiction
de
l'inceste.
[
Lac66a
, p. 852]
*
L'inconscient
montre
que le
désir
est
accroché
à
l'interdit.
[
Lac66a
, p. 852]
*
Le
désir
est
désir
de
désir.
[
Lac66a
, p. 852]
*
La
pulsion
divise
le
sujet
et le
désir.
[
Lac66a
, p. 853]
*
C'est le
désir
de
l'analyste
qui, au
dernier
terme,
opère
dans la
psychanalyse.
[
Lac66a
, p. 854]
*
L'enseignement
de la
psychanalyse
ne
peut
se
transmettre
d'un
sujet
à un
autre
que par les
voies
d'un
transfert
de
travail.
[
Lac82a
, p. 76]
*
Le
sujet,
d'où il se
voit,
ce n'est pas là d'où il se
regarde.
*
Le
nom
propre
c'est un
nom
qui est
donné.
*
Le
nom
propre
est une
fonction
volante.
*
L'instant
de
voir,
c'est
toujours
un
tableau.
*
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
*
La
demande
est
définie
comme le
discours
qui
vient
expressément
s'inscrire
au
lieu
de
l'Autre.
*
La
parole
est ce qui
introduit
dans le
monde
la
vérité.
*
le
désir
est la
coupure
par quoi se
révèle
une
surface
comme
acosmique
.
*
L'Autre
n'est pas
désiré.
*
L'Autre
est
désirant.
*
Le
cercle
des
pulsions
est un
cercle
continu.
*
La
demande
orale
se
fait
par le
même
orifice
que la
demande
invocante.
*
La
névrose
de
transfert
est une
névrose
de
l'analyste.
*
L'image
du
corps,
le
s'origine
dans le
sujet,
dans
l'expérience
spéculaire.
*
Le
n'a pas
d'image
spéculaire,
il n'est pas
spécularisable.
*
La
psychanalyse
est une
logique.
*
L'autre
5
.
572
est
conjoint
non
point au pareil mais au
même.
*
La
présence
du
silence
n'implique
nullement
qu'il n'y en
ait
pas un qui
parle.
*
L'amour
c'est
donner
ce
qu'on
n'a pas à quelqu'un qui n'en
veut
pas.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Le
signifiant,
à la
différence
du
signe,
c'est quelque
chose
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
désir,
c'est
toujours
le
désir
de
l'Autre.
*
C'est du
réel
du
désir
et de son
statut
qu'il s'agit dans
l'opération
analytique.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
s'institue
d'un
signifiant
rejeté,
verworfen
,
d'un
signifiant
dont
on
ne
veut
rien
savoir.
*
Le
sujet
en
sait
plus
qu'il ne
croit,
en
dit
plus
qu'il ne
veut.
*
Le
réel
se
définit
comme
l'impossible.
*
L'inconscient
est un
savoir
qui
reste
indéterminé
dans
l'inconscient.
*
Le
jeu
est un
fantasme
rendu inoffensif et
conservé
dans sa
structure.
*
L'analyse
est un
jeu
parce qu'elle se
poursuit
à
l'intérieur
d'une
règle.
*
La
psychanalyse
n'est pas un
dialogue.
*
C'est du
côté
du
savoir
que le
sujet
se
trouve
recevoir
cette
marque
de
division
qui
s'inscrit
dans le
symptôme.
*
Là où
je
pense,
je
ne
sais
pas ce que
je
sais.
*
Les
moyens
de la
psychanalyse
sont des
moyens
de
vérité.
*
Je
suis
celui qui
pense:
“donc
je
suis
”.
*
Le
sujet
est ce qui
fait
défaut
au
savoir.
*
Le
réel
c'est
l'impossible.
*
Le
contingent
c'est, du
réel,
ce qui
peut
ne pas
être.
*
Le
nécessaire
c'est ce qui ne
peut
pas ne pas
être.
*
C'est en tant que
je
suis
que
mon
désir
est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
L'hystérique
charge un
tiers
de
répondre
à la
demande
de
l'Autre.
*
Je
suis
celui qui
pense:
“donc
je
suis
”.
*
L'erreur
de bonne
foi
est de
toutes
la
plus
impardonnable.
*
Il n'y a pas de
science
de
l'homme,
parce que
l'homme
de la
science
n'existe
pas, mais
seulement
son
sujet.
*
Là où
c'était,
là comme
sujet
dois
je
advenir.
*
L'inconscient
est
langage.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
*
La
vérité
se
fonde
de ce qu'elle
parle.
*
La
vérité
de la
souffrance
névrotique,
c'est
d'avoir
la
vérité
comme
cause.
5
.
573
*
La magie, c'est la
vérité
comme
cause
sous son aspect de
cause
efficiente.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
agissant
d'abord
comme
séparé
de la
signification.
*
Je
pense
donc
je
cesse
d'être.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Une
logique
est
constitutive
de la
science.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
symbole
est
identique
à ce qu'il
cause,
c'est-à-dire le
manque
du
sujet.
*
C'est
l'écrit
qui
détermine
le
champ
du
langage.
*
Le
réel
c'est
toujours
l'impossible.
*
Il n'y a pas de
vrai
sur le
vrai.
*
Il n'y a pas de
science
de
l'homme,
parce que
l'homme
de la
science
n'existe
pas, mais
seulement
son
sujet.
[
Lac66a
, p. 859]
*
Là où
c'était,
là comme
sujet
doit
je
advenir.
[
Lac66a
, p. 864]
*
La
pensée
ne
fonde
l'être
qu'à se
nouer
dans la
parole.
[
Lac66a
, p. 865]
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 867]
*
La
vérité
se
fonde
de ce qu'elle
parle.
[
Lac66a
, p. 868]
*
Le
signifiant
se
définit
comme
agissant
d'abord
comme
séparé
de sa
signification.
[
Lac66a
, p. 875]
*
La
vision
se
scinde
entre
l'image
et le
regard.
[
Lac75c
, p. 134]
*
Le
premier
modèle
du
regard
est la
tache.
[
Lac75c
, p. 134]
*
Le
moi
est
l'appareil
de la
perception
conscience.
*
Au-delà
de
tout
ce qui
s'articule,
quelque
chose
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Un
désir
suppose
toujours
au
moins
deux
demandes
et une
demande
suppose
toujours
au
moins
deux
désirs.
*
est de
l'ordre
du
réel.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Le
n'est pas
spéculaire.
*
Tout
dialogue
repose
sur un
malentendu.
*
Le
désir
c'est son
interprétation.
*
Toute
demande
ne
peut
qu’être
déçue.
*
Toute
demande
ne
peut
qu’être
déçue.
*
La
pulsion
épistémologique,
c'est la
vérité
qui
s'offre
comme
jouissance.
*
Féminin
est
radicalement
trompeur,
sous
toutes
les
formes
où il se
présente.
*
La
sexualité
entre
en
jeu
d'abord
par le
biais
du
désir
de
savoir.
*
Le
désir,
c'est
d'abord
le
désir
de
l'Autre.
*
L'analyse
est une
opération
qui se
poursuit
en
référence
à la
science.
*
Le
n'a pas
d'image
spéculaire.
*
L'inconscient
a
structure
de
langage.
*
Une
préconscience
n'est pas
l'inconscient.
*
Je
suis
pensant,
donc
je
suis.
*
Le
sujet
est ce qui
répond
à la
marque
par ce dont elle
manque.
*
Le
signifiant
s'origine
de
l'effacement
de la
trace.
*
Ce ne sont pas les
leurres
qui
trompent,
ce sont les
mots.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
L'être
est
dissocié
entre
l'être
antérieur
à la
pensée
et
l'être
que la
pensée
fait
surgir.
*
L'orgasme
est
l'instant
où est
réalisé
un
sommet
privilégié,
unique
de
bonheur.
*
En lui-même le
symptôme
est
jouissance.
*
il ne
saurait
y
avoir
d'
aphanisis
du
désir.
*
L'homme
persévère dans
l'être
comme
désir.
*
Le
père
est
interdit.
*
Il y a du
savoir,
donc il y a un
savant.
*
C'est, en tant que
sujet
divisé,
que
l'analyste
est
appelé
à
répondre
à la
demande.
*
Le
tableau
est un
piège
à
regard.
*
Les
relations
du
sujet
à
l'Autre
ne sont pas
réciproques.
*
Tu
ne me
vois
pas d'où
je
te
regarde.
*
Le
fantasme
inconscient
repose
sur un
bâti.
*
Le
fantasme
est le
statut
de
l'être
du
sujet.
*
Tu
ne me
vois
pas d’où
je
te
regarde.
*
Le
n'est pas
spéculaire.
*
La
voix
n'est pas
seulement
l'objet
causal
mais
l'instrument
où se
manifeste
le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
n'est pas
immanent
mais
latent,
évanouissant
au
réseau
du
langage.
*
C'est du
côté
de
l'esclave
que
reste
la
jouissance.
*
Dans la
jouissance
féminine
peut
entrer
comme
objet
le
désir
de
l'homme,
comme tel.
*
Le
fantasme
et le
désir
sont précisément des
barrières
à la
jouissance.
*
La
perversion
c'est
normal.
*
Le
concept
de
castration
joue
en tant qu'il
porte
aussi sur quelqu'un qui ne l'est pas de
nature,
castré.
*
La
demande
à
l'Autre
demande
du
sein.
*
Ça
parle.
*
Ça
écoute.
*
L'Autre
n'est en
aucun
cas
un
lieu
de félicité.
*
Le
sujet
est, pour une
part,
barré
de ce qui le
constitue.
*
C'est de
l'imaginaire
de la
mère
que va
dépendre
la
structure
subjective
de
l'enfant.
*
Le
sujet
commence
avec la
coupure.
*
Toute
la
réalité
humaine
n'est
rien
d'autre que
montage
du
symbolique
et de
l'imaginaire.
*
Le
désir
est
l'essence
de la
réalité.
*
Il n'y a de
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il est de la
nature
de
tout
et
d'aucun
signifiant
de ne
pouvoir
en
aucun
cas
se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Il n'y a pas
d'univers
du
discours.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Aucun
signifiant
n'appartient
en
propre
à
aucune
signification.
*
Le
signifiant
n'est point
fondé
à se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même,
reste
partie
de
l'univers
du
discours.
*
En
aucun
cas
le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Aucun
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Il est de la
caractéristique
du
faux
de
rendre
tout
vrai.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
L'objet
partiel
doit
pouvoir
être
tranché.
*
Le
problème
de la
négation
est à poser au
niveau
de
l'écriture,
en tant qu'elle la
règle
comme
fonctionnement
logique.
*
La
logique
du
prédicat
marque
le
champ
où une
classe
se
caractérise
par un
prédicat
donné.
5
.
574
*
Il y a
quatre
échelles
différentes
de
négation.
*
L'inconscient
ne
connaît
pas la
contradiction.
*
Le
narcissisme
primaire
peut
intervenir
dans la
séance
analytique.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Nul
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
L'univers
du
discours
ne se
ferme
pas.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
La
subjectivité
à
l'origine
n'est
d'aucun
rapport
au
réel,
mais d'une
syntaxe
qu'y
engendre
la
marque
signifiante.
[
Lac66a
, p. 50]
*
Le
processus
primaire
ne
rencontre
rien
de
réel
que
l'impossible.
[
Lac66a
, p. 68]
*
Le
symptôme
ne
s'interprète
que dans
l'ordre
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
*
Le
signifiant
n'a de
sens
que de sa
relation
à un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
*
La
vérité,
c'est ce qui
s'instaure
de la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 235]
*
L'approche
du
refoulé
s'accompagne de
résistances
qui
donnent
la
mesure
du
refoulement.
[
Lac66a
, p. 365]
*
Un
symbole
vient
à la
place
du
manque
constitué
par le
manque
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 722]
*
Il n'y a pas de
sujet
de
désir.
[
Lac66c
, p. 9]
*
Le
signifiant,
c'est la
matière
qui se
transcende
en
langage.
[
Lac66c
, p. 10]
*
Le
sujet
de
l'inconscient
est un
être
parlé.
[
Lac66c
, p. 12]
*
L'objet
de la
psychanalyse
n'est pas
l'homme.
[
Lac66c
, p. 12]
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Tout
ce qui a simplement
forme
grammaticale,
fait
sens.
*
Ce n'est pas
je
qui
pense.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Au
niveau
de la
sexualité,
le
désir
se
représente
par la
marque
d'un
manque.
*
L'Autre
est
marqué.
*
L'aliénation
n'a
absolument
rien
à
faire
avec ce qui
résulte
de
déformation
de
perte,
dans
tout
ce qui est
communication.
*
Le
désir
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
je
et le
tu
sont
réciproques.
*
La
psychanalyse
n'est
pensable
qu'à mettre dans ses
précédents
le
discours
de la
science.
*
La
trace
a
toujours
causé
la
pensée.
*
Il y a quelque
chose
de
perdu
par le
fait
de la
répétition.
*
Le
problème
de la
demande
se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
*
Le
désir
du
névrosé
tourne
autour de la
demande
de
l'Autre.
*
Le
passage
à
l'acte
est ce qui est
permis
dans
l'opération
de
l'aliénation.
*
Un réflexe n'est pas un
acte.
*
L'acte
est
fondateur
du
sujet.
*
Il y a
répétition
intrinsèque
à
tout
acte.
*
La
Verleugnung
est
toujours
ce qui a affaire à
l'ambiguïté
qui
résulte
des
effets
de
l'acte
comme tel.
*
Le
sujet
est, dans
l'acte,
représenté
comme
division
pure.
*
Il n'y a pas
d'univers
du
discours.
*
Il ne m'est pas
donné,
ni
donnable,
d'autre
jouissance
que celle de
mon
corps.
*
La
sublimation
est
zielgehemmt
.
*
L'acte
est
signifiant.
*
La
satisfaction
subjective
est à
chercher
dans
l'acte
sexuel
qui est précisément le
point
où elle s'avère la
plus
déchirée.
*
Le
rejet
de la
castration
marque
le
délire
de la
pensée.
*
L'acte
psychanalytique
n'est pas un
acte
sexuel.
*
Dans
l'analyse,
c'est un
champ
désexualisé.
*
Dans
l'acte
sexuel
on
ne
s'aperçoit
pas de ce qui
manque.
*
Il est
essentiel
au
statut
médical
qu'il soit
dominé
par une doctrine.
*
C'est quand la
demande
se
tait
que la
pulsion
commence.
*
L'acte
de se
taire
ne
libère
pas le
sujet
du
langage.
*
L'inconscient
parle
sexe.
*
L'inconscient
ne
parle
pas la
sexualité.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
le
sujet
a à se
mesurer
avec la
difficulté
d'être
un
sujet
sexué.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
articulé
dans le
discours
de
l'inconscient.
*
L'inconscient
parle
du
sexe.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
La
valeur
de
jouissance
prend
origine
dans le
manque,
marqué
par le
complexe
de
castration.
*
C'est pour autant que
l'homme
a
l'organe
phallique
qu'il ne l'est pas.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
L'univers
de
discours
n'existe
pas.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
La clef de la
position
névrotique
tient
à ce
rapport
étroit
à la
demande
de
l'Autre
en tant qu'il
essaie
de la
faire
surgir.
*
L'oblativité
c'est un
mythe
de
névrosé.
*
Le
sujet
ne
vient
au jour que par le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
L'acte
sexuel
implique
un
élément
tiers
à
tous
les
niveaux.
*
La
perception
c'est le
modèle
de
l'idéologie,
puisque c'est un crible par
rapport
à la
réalité.
*
La
vérité
sexuelle
est
exigeante.
*
Le
signifiant
n'existe
que comme
répétition.
*
L'Autre,
c'est le
réservoir
de
matériel
pour
l'acte.
*
L'impossible
c'est le
réel.
*
L'intérêt
de la blessure c'est la cicatrice.
*
Le
corps
est
fait
pour
être
marqué.
*
Le
sujet
ne
sait
rien
de lui, sinon qu'il
doute.
*
Il n'y a
d'autre
support
du
corps
que le
tranchant
qui préside à son
découpage.
*
Un
sujet
n'est en
aucun
cas
une entité
autonome.
*
Ce n'est pas la
fonction
qui
fait
l'organe,
mais
l'organe
qui
fait
la
fonction.
*
Ce n'est pas la
même
chose
que de
copuler
et de se
branler.
*
La
rencontre
sexuelle
des
corps
ne
passe
pas, dans son
essence,
par le
principe
du
plaisir.
*
Il y a de la
femme
quelque part.
*
Un
renversement
c'est un
sens.
*
À partir d'un
renversement,
il y a orientation.
*
est cette
sorte
de
fragment
de
l'appartenance
du
grand
.
*
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
*
Le
signe
de la
possession,
c'est de
pouvoir
s'en démettre.
*
Le
masochiste
sait
qu'il est dans la
jouissance.
*
La
jouissance
est ce quelque
chose
dans quoi
marque
ses
traits
et ses
limites
le
principe
du
plaisir.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps
5
.
575
.
*
Le
maître
est un
sujet.
*
Rien
ne
peut
retirer à
l'esclave
la
fonction,
ni de son
regard,
ni de sa
voix.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Je
suis
où
je
ne
pense
pas.
*
Je
pense
où
je
ne
suis
pas.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
La
perversion
ne
prend
sa
valeur
qu'à
s'articuler
à
l'acte
sexuel.
*
L'homme
est
effectivement
le
premier
à
supporter
la
réalité
de ce
trou
introduit
dans la
jouissance.
*
Le
sadisme
n'est
nullement
à
voir
comme un
retournement
du
masochisme.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il n'est pas
question
de
contradiction
dans le
réel.
*
Il n'y a pas
d'objet
dont le
désir
se
satisfasse.
*
L'érection
est un
phénomène
qu'il faut
situer
sur le
chemin
de la
jouissance.
*
Le
désir
n'a
rien
à
faire
avec la
demande.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il y a quelque
chose
de
déplacé
qui rend
l'objet
de la
demande
impropre
à
satisfaire
le
désir.
*
Le
désir
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
c'est son
interprétation.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il n'y a pas
d'opération
intéressant
comme telle les
signifiants
qui
n'implique
la
présence
du
sujet.
*
La
vraie
dimension
de la
connerie
est indispensable à
saisir
comme
étant
à quoi a affaire
l'acte
analytique.
*
Ça
parle.
*
Ça
parle.
*
Ça
parle.
*
Le
sujet,
comme tel, est déjà
déterminé
et
inscrit
dans le
monde
comme
causé
par un
certain
effet
de
signifiant.
*
Le
transfert
s'installe
en
fonction
du
sujet
supposé
savoir.
*
Un
enseignement
n'est pas un
acte.
*
Il n'y a
rien
de si
réussi
que le
ratage
quant à
l'acte.
*
Le
psychanalyste
ne
prend
pas en charge la
vérité.
*
La
vérité
c'est, au
lieu
de
l'Autre,
l'inscription
du
signifiant.
*
Le
premier
objet
c'est le
Lust-ich
.
*
Le
psychanalyste
ne
s'autorise
que de lui-même. [
Lac68e
, p. 14]
*
Au
commencement
de la
psychanalyse
est le
transfert.
[
Lac68e
, p. 18]
*
Aucun
sujet
n'est
supposable
par un
autre
sujet.
[
Lac68e
, p. 18]
*
La
psychanalyse
consiste
dans le
maintien
d'une
situation
convenue
entre
deux
partenaires,
qui s'y posent comme le
psychanalysant
et le
psychanalyste.
[
Lac68e
, p. 20]
*
Le
sujet
supposé
savoir
n'est pas
réel.
[
Lac68e
, p. 20]
*
Le
désir
du
psychanalyste,
c'est son
énonciation.
[
Lac68e
, p. 23]
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
[
Lac68d
, p. 35]
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac68d
, p. 35]
*
Tout
ce qui est de
l'inconscient
ne
joue
que sur des
effets
de
langage.
[
Lac68d
, p. 36]
*
Le
désir
de
l'homme
est
excentrique.
[
Lac68b
, p. 43]
*
Le
psychanalyste
ne
peut
pas
répondre
à la
demande.
[
Lac68b
, p. 44]
*
Le
primaire,
de sa
structure,
ne
fonctionne
que d'un
tout
ou
rien
de
trace.
[
Lac68a
, p. 55]
*
Le
désir
n'est
présent
que sous la
demande.
[
Lac68a
, p. 56]
*
Le
plaisir
défend
l'accès
à la
jouissance.
[
Lac68a
, p. 57]
*
Le
corps
fait
le lit de
l'Autre
par
l'opération
du
signifiant.
[
Lac68a
, p. 58]
*
Tout
acte
n'est que
figure
plus
ou
moins
complète
de
l'acte
analytique.
[
Lac70b
, p. 13]
*
L'analyste
dépend
de son
acte.
[
Lac70b
, p. 20]
*
L'attribut
du
non-psychanalyste
est le
garant
de la
psychanalyse.
[
Lac70b
, p. 20]
*
Le
désir
de
l'analyste
occupe
l'objet
. [
Lac70b
, p. 24]
*
La
passe
est ce
point
où,
d'être
venu
à bout de sa
psychanalyse,
la
place
que le
psychanalyste
a
tenue
dans son
parcours,
quelqu'un
fait
ce pas de la
prendre.
[
Lac70b
, p. 25]
*
La
division
du
sujet
se
symbolise
du
.
[
Lac70b
, p. 26]
*
La
réalité
est ce sur quoi
on
se
repose
pour
continuer
à rêver. [
Lac70b
, p. 28]
*
La
croyance,
c'est
toujours
le
semblant
en
acte.
[
Lac70b
, p. 29]
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Un
langage
n'est pas
fait
de
signes.
*
Un
langage
n'a pas de
rapport
direct
aux
choses.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Le
langage
n'est pas
fait
pour la
communication.
*
La
combinaison
des
signifiants
constitue
un
ordre,
un
registre.
*
Le
signifiant
est
antérieur
au
sujet.
*
Il y a du
sujet
seulement
et
uniquement
après qu'il y
ait
eu du
signifiant.
*
Il n'y a de
dimension
de la
vérité
qu'à partir du
moment
où il y a du
signifiant.
*
Il n'y a ni
vérité,
ni
mensonge,
dans la
feinte.
*
L'Autre
en
aucun
cas
n'est
garant
de la
vérité.
*
Le
fou
c'est
l'homme
libre.
*
Le
fou
est
véritablement
l'être
libre.
*
Il n'y a point
d'action
qui ne se
présente
avec une
pointe
signifiante.
*
L'inconscient
est
structure
de
langage.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Le
terme
de
l'analyse
consiste
dans la
chute
du
sujet
supposé
savoir.
*
Il y a du
psychanalyste.
*
L'acte
dit
quelque
chose.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
susceptible
de
retour.
*
C'est pour ne pas
renoncer
à la
jouissance
que
l'esclave
devient
esclave.
*
C'est au
terme
d'une
psychanalyse
supposée
achevée
que le
psychanalysant
peut
devenir
psychanalyste.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Le
seul
fait
que quelque
chose
se soit
passé
subsiste
dans
l'inconscient.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
La
distinction
de
l'universel
et du
particulier
est le
lien
de
l'universel
au
terme
du
sujet.
5
.
576
*
Il n'y a pas de
psychanalyste
sans
psychanalysant.
*
S'il n'y avait pas de
psychanalysant,
il n'y aurait pas de
psychanalyste.
*
Dans le
champ
de
l'acte
psychanalytique,
ce que
produit
le
psychanalysant
c'est le
psychanalyste.
*
Dans la
psychanalyse,
l'hystérique
guérit de
tout
sauf de son
hystérie.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
L'inconscient
ne
connaît
pas la
contradiction.
5
.
577
*
Il ne
saurait
y
avoir
d'univers
du
discours.
*
L'inconscient
ne
connaît
pas la
contradiction.
*
Jamais
deux
sans
trois.
5
.
578
*
L'inconscient
ne
connaît
pas la
contradiction.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il y a
tout
un
niveau
où le
savoir
est de
langage.
*
En
tout
acte,
il y a quelque
chose
qui, comme
sujet,
lui échappe.
*
C'est
l'objet
qui est au
principe
du
mirage
du
tout.
*
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Tout
savoir
n'est pas
conscient.
5
.
579
*
Pas-tout
savoir
n'est
conscient.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il y a un
sujet
supposé
savoir.
*
Le
langage
n'est pas du
tout
acte
du
sujet.
*
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
L'homme
et la
femme
finalement
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
Souvent c'est au titre de
merde
que
l'analyste
est
rejeté.
*
On
n'a
jamais
le
savoir
de
l'autre
sexe.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
Tout
savoir
nous
vient
de
l'Autre.
*
Il y a
toujours
un
Autre
où est la tradition,
l'accumulation,
le
réservoir.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
5
.
580
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Tout
ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
*
Le
symptôme,
c'est ce
nœud
réel
où est la
vérité
du
sujet.
*
Ce n'est qu'au
niveau
de
l'Autre
que, ce qui
détermine
le
sujet
s'articule
en
savoir.
*
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
demande.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
L'être
de la
pensée
est la
cause
d'une
pensée
en tant que
hors
de
sens.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
Il n'y a pas
d'univers
du
discours.
*
Le
discours
détient les
moyens
de
jouir
en tant qu'ils
impliquent
le
sujet.
*
Le
plus-de-jouir
tient
à
l'énonciation.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
C'est dans le
discours
sur la
fonction
de la
renonciation
à la
jouissance
que
s'introduit
le
terme
de
l'objet
.
*
Le
plus-de-jouir
est ce qui
permet
l'isolement
de la
fonction
de
l'objet
.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Un
signifiant
ne
saurait
se
représenter
lui-même.
*
Un
sujet
c'est ce qui
peut
être
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
*
À
sainte
femme,
fils
pervers.
*
Au
champ
de
l'Autre,
il n'y a pas de
possibilité
d'entière
consistance
du
discours.
*
Nulle
part
dans
l'Autre
ne
peut
être
assurée,
d'aucune
façon
la
consistance
de ce qui
s'appelle
vérité.
*
Tout
discours
se
présente
comme gros de
conséquences.
*
Tout
discours
scientifique
sur la
langue
se
présente
par
réduction
de son
matériel.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
savoir
ce n'est pas le
travail.
*
Le
savoir
ça n'a
rien
à
faire
avec le
travail.
*
Il n'y a pas de
propriété
intellectuelle.
*
Nul
discours
ne
peut
dire
la
vérité.
*
L'objet
est
effet
du
discours
analytique.
*
Il n'y a de
mot
d'esprit
qu'au
regard
de la
présence
d'un
tiers.
*
Le
mot
d'esprit
ne
tient
pas comme tel d'un
interlocuteur
à
l'autre.
*
Le
signifiant
ne
représente
le
sujet
que pour un
autre
signifiant.
*
Tout
élément
signifiant
s'extrait de
toute
totalité
concevable.
*
L'Autre
n'enferme
nul
savoir
qui soit ni déjà là ni à
venir
dans un
statut
d'absolu.
*
L'Autre
ne
donne
que
l'étoffe
du
sujet,
soit sa
topologie.
*
Il n'y a de
sujet
que d'un
dire.
*
Le
réel
c'est
l'impossible.
*
La
souffrance
est un
fait.
*
Il y a de la
souffrance
qui est
fait,
c'est-à-dire qui
recèle
un
dire.
*
La
souffrance
peut
être
symptôme,
ce qui
veut
dire
vérité.
*
La
vérité
parle
je.
*
C'est de son
désir
à
l'Autre,
que
je
suis.
*
Le
grand
ne
contient
que des
,
,
, qui
tous
sont
distincts
de ce que
grand
représente
comme
signifiant.
*
Le
désir
ne
peut
se
dire.
*
Je
suis
ce que
je
est.
*
La
vérité
parle
je.
*
Je
suis
ce qu'est le
je.
*
Dès
qu'on
tient
un
discours
ce qui
surgit,
ce sont les
lois
de la
logique.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
L'événement
consiste
en un
dit.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
L'inconscient
ne se
traduit
qu'en
nœuds
de
langage.
[
Lac84b
, p. 9]
*
Le
cogito
ne
fonde
pas la
conscience.
[
Lac84b
, p. 9]
*
Le
sujet
se
refend
d'être
à la
fois
effet
de la
marque
et
support
de son
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
sujet
est ce qui
répond
à la
marque
par ce dont elle
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
signifiant
s'origine
de
l'effacement
de la
trace.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Ou
je
ne
pense
pas ou
je
ne
suis
pas
5
.
581
. [
Lac84b
, p. 13]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac84b
, p. 15]
*
Il n'y a pas de
transfert
du
transfert.
[
Lac84b
, p. 15]
*
Ce qui fut,
répété,
diffère.
[
Lac84b
, p. 15]
*
Tout
passage
à
l'acte
ne
s'opère
qu'à
contresens.
[
Lac84b
, p. 15]
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
[
Lac84b
, pp. 15–16]
*
Il n'y a pas
d'autre
mode
d'entrée
pour le
sujet
dans le
réel
que le
fantasme.
[
Lac84b
, p. 16]
*
Un
fantasme
est une
phrase.
[
Lac84b
, p. 16]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac84b
, p. 19]
*
Il n'y a pas de
métalangage.
[
Lac84b
, p. 19]
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 20]
*
C'est
vraiment
du
matériel
phonématique
lui-même qu'il s'agit dans les
jeux
de
l'inconscient.
*
Le
recours
à
l'image
pour
expliquer
la
métaphore
est
toujours
faux.
*
La
vérité
parle
je.
*
Le
sujet
fait
la
structure
de la
jouissance.
*
La
jouissance
est
visée
dans un
effort
de
retrouvailles.
*
Le
sujet
du
savoir
est
posé
comme se
sachant
lui-même.
*
Le
jouir
de la
mère
est
interdit.
*
Ce qui est
interdit
c'est le
jouir
de la
mère.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Il y a un
trou
dans le
discours.
*
Le
est ce qui
anime
tout
ce qui est en
jeu
dans le
rapport
de
l'homme
à la
parole.
*
Rien
d'autre
ne
fonde
la
fonction
du
signifiant
que
d'être
différence
absolue.
*
Ce n'est que ce par quoi les
autres
diffèrent
de lui que le
signifiant
se
soutient.
*
Le
rêve
est déjà en lui-même
interprétation.
*
Il y a quelque part une
vérité
qui ne
sait
pas.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
la
psychanalyse
se
trouve
intéresser
la mise en
question
du
savoir.
*
Une
dupe
c'est quelqu'un que quelqu'un
d'autre
exploite.
*
L'homme
naît
dans un
bain
de
signifiants.
*
Toute
la
normativité
s'organise
pour
l'homme
comme pour la
femme
autour de la
passation
d'un
manque.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
sublimation
conserve la
femme
dans le
rapport
de
l'amour
au
prix
de la
constituer
au
niveau
de la
Chose.
*
La
sublimation
c'est cet
effort
pour
permettre
que
l'amour
se
réalise
avec la
femme.
*
L'objet
a ce quelque
chose
qui
peut
fonctionner
comme
équivalent
de la
jouissance.
*
Le
discours
existe.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
pervers
est celui qui se consacre à
boucher
ce
trou
dans
l'Autre.
*
C'est à la
jouissance
de
l'Autre
que
l'exhibitionniste
veille.
*
Le
névrosé
se
veut
être
l'Un
dans le
champ
de
l'Autre.
*
Ce n'est que dans le
champ
de
l'utopie
que
peut
s'exercer
la
liberté
de
pensée.
*
Il n'y a
rien
de
structurable
qui soit proprement
l'acte
sexuel.
*
Le
sujet
supposé
savoir
c'est
Dieu.
*
La
femme
est
distinguée
de ceci qu'elle n'a pas le
phallus.
*
C'est au
niveau
de
l'énoncé
que le
texte
du
symptôme
névrotique
s'articule.
*
Pour le
pervers
il faut qu'il y
ait
une
femme
non
châtrée.
*
Pour que quelque
chose
manque
il faut qu'il y
ait
du
compté.
*
Pour qu'il y
ait
du
symbolique
il faut qu'il se
compte
au
moins
Un.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
ne
peut
en
aucun
cas
être
tenu
pour
pouvoir
se
désigner
lui-même.
*
Le
signifiant
naît
de ses
traces
effacées.
*
La
pudeur
est une
dimension
seulement
propre
au
sujet
comme tel.
*
L'écriture
s'affirme
rapport
de
l'écriture
au
regard
comme
objet
.
*
Au
niveau
du
sujet,
il n'y a point de
reconnaissance
comme telle du
mâle
par la
femelle
ni de la
femelle
par le
mâle.
*
Le
phallus
est le
signifiant
manquant.
*
Il n'y a pas de
sujet
de la
jouissance
sexuelle.
*
Tout
ce qui est
refoulé
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
*
Par un
lien
à quelque
chose
qui n'est
rien
d'autre
que ce qui
permet
l'émergence
du
savoir,
la
jouissance
est
exclue.
*
Il y a quelque part où
ça
se
sait.
*
L'obsessionnel
est celui qui
refuse
de se
prendre
pour un
maître.
*
L'hystérique
se
caractérise
de ne pas se
prendre
pour la
femme.
*
L'acte
psychanalytique
se
présente
comme incitation au
savoir.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
au
sens
où cet
acte
serait celui d'un
juste
rapport.
*
Il n'y a que
l'acte
sexuel
au
sens
où il n'y a que
l'acte,
pour
faire
rapport.
*
Le
propre
de la
castration,
c'est que
rien
ne
peut
à proprement
parler
l'énoncer
parce que sa
cause
est
absente.
*
Rien
n'indique
que
l'Autre
soit
Un.
*
La
vérité
a
structure
de
fiction.
*
Tout
ce qui est du
champ
de la
structure
est
impensable
sans
cause
finale.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
*
N'est
interprétable
dans
l'analyse
que la
répétition.
*
Dans
l'analyse,
l'ininterprétable
c'est la
présence
de
l'analyste.
*
S'il y a bien
acte,
il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Pour le
névrosé,
le
savoir
est la
jouissance
du
sujet
supposé
savoir.
*
Le
névrosé
est
incapable
de
sublimation.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
C'est
l'esclave
qui est
l'idéal
du
maître.
*
L'intervention
du
premier
Un
du
comme
représentation
du
sujet,
n'implique
l'apparition
du
sujet
comme tel qu'au
niveau
de
du
second
Un.
*
L'hystérique
s'introduit
de ne pas se
prendre
pour la
femme.
*
La
mort
est en
jeu
dans ce que
l'hystérique
aborde
de ce qu'il en est de la
femme.
*
L'hystérique
fait
l'homme
qui
supposerait
la
femme
savoir.
*
Ce que
l'hystérique
suppose,
c'est que la
femme
sait
ce qu'elle
veut.
*
Le
savoir
sert
le
maître.
*
Le
savoir
sert
la
femme,
parce qu'il la
fait
cause
du
désir.
*
L'esclave
c'est
l'idéal
du
maître.
*
La
psychanalyse
c'est un
discours
sans
parole.
*
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
*
Il n'est pas sûr qu'un
savoir
se
sache.
*
Il semble que ce soit le
discours
philosophique
qui
ait
animé
le
maître
du
désir
de
savoir.
*
L'hystérique
veut
que
l'homme
sache.
*
Le
désir
du
maître
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
*
Il y a du
psychanalyste.
*
La
répétition
est
fondée
sur un
retour
de la
jouissance.
*
Dans la
répétition
même,
il y a
déperdition
de
jouissance.
*
Le
signifiant
s'introduit
comme
appareil
de la
jouissance.
*
L'apathie
c'est
l'hédonisme.
*
L'amour
c'est
bien
donner
ce
qu'on
n'a pas.
*
L'analyse
c'est ce
qu'on
attend
d'un
psychanalyste.
*
Là où
c'était
le
plus-de-jouir,
le
jouir
de
l'Autre,
c'est là que
moi,
en tant que
je
profère
l'acte
psychanalytique,
je
dois
venir.
*
Le
signifiant
ne
concerne
pas
l'objet
mais le
sens.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
message
du
sujet,
il le
reçoit
de
l'Autre
sous sa
forme
inversée.
*
La
vérité
parle
je.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Le
savoir
est
moyen
de la
jouissance.
*
Nul
travail
n'a
jamais
engendré
un
savoir.
*
À
fixer
l'enfant
à la
mère,
la connivence
sociale
la
fait
le
siège
élu des
interdits.
*
La
mathématique
représente
le
savoir
du
maître
en tant que
constitué
sur
d'autres
lois
que le
savoir
mythique.
*
La
mathématique
n'est
constructible
qu'à partir de ceci, que le
signifiant
peut
se
signifier
lui-même.
*
L'hystérique
n'est pas
esclave.
*
Le
sujet
n'est pas
univoque.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
Ou
je
ne
pense
pas, ou
je
ne
suis
pas.
*
La
vérité
ne se
figure
qu'à
s'énoncer
dans un
mi-dire.
*
La
vérité
ne se
figure
que d'un
mi-dire.
*
La
plus-value
c'est le
plus-de-jouir.
*
Le
discours
du
maître,
en son
départ
fondamental,
exclut
le
fantasme.
*
La
vérité
ne se
supporte
que d'un
mi-dire.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
réel
c'est
l'impossible.
*
Pour quelque
chose
de
réel,
rien
ne
saurait
manquer.
*
La
castration
c'est
l'opération
réelle
introduite
de par
l'incidence
du
signifiant.
*
Le
fantasme
domine
toute
la
réalité
du
désir,
c'est-à-dire la
loi.
*
Ce n'est de
nul
étant
qu'il s'agit dans
l'effet
du
langage.
*
C'est du
discours
que
dépend
toute
détermination
du
sujet,
donc de
pensée.
*
L'identification
majeure,
c'est le
trait
unaire,
c'est
l'être
marqué
Un.
*
L'impossible
c'est le
réel.
*
C'est
l'esclave
par son
travail
qui
donne
la
vérité
du
maître.
*
C'est du
discours
de
l'analyste
que
peut
surgir
un
autre
style de
signifiant
maître.
*
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
signe
suppose
le quelqu'un à qui il
fait
signe
de quelque
chose.
[
Lac70d
, p. 56]
*
L'inconscient
est la
condition
de la
linguistique.
[
Lac70d
, p. 58]
*
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
[
Lac70d
, p. 58]
*
Suivre
la
structure,
c'est
s'assurer
de
l'effet
du
langage.
[
Lac70d
, p. 60]
*
Le
réel
se
distingue
de la
réalité.
[
Lac70d
, p. 60]
*
La
science,
de
faire
le
sujet
maître,
le
dérobe.
[
Lac70d
, p. 63]
*
Il n'y a pas de
métalangage.
[
Lac70d
, p. 64]
*
Au
phallus
se résume le
point
de
mythe
où le
sexuel
se
fait
passion
du
signifiant.
[
Lac70d
, p. 64]
*
Pour le
sujet,
l'inconscient,
c'est ce qui
réunit
en lui les
conditions,
ou il n'est pas, ou il ne
pense
pas. [
Lac70d
, p. 69]
*
Le
désir
d'être
le
maître
contredit
le
fait
même
du
psychanalyste.
[
Lac70d
, p. 71]
*
La
cause
du
désir
se
distingue
de son
objet.
[
Lac70d
, p. 71]
*
L'impossible,
c'est le
réel.
[
Lac70d
, p. 83]
*
L'inconscient
est. [
Lac70d
, p. 84]
*
Il n'y a pas de
connaissance
qui ne soit
d'illusion
ou de
mythe.
[
Lac70d
, p. 84]
*
Il y a des
savoirs
dont les
suites
peuvent
rester en
souffrance,
ou bien
tomber
en désuétude. [
Lac70d
, p. 85]
*
L'hystérique,
c'est le
sujet
divisé.
[
Lac70d
, p. 89]
*
La
science
est une
idéologie
de la
suppression
du
sujet.
[
Lac70d
, p. 89]
*
L'effet
de
vérité
tient
à ce qui
choit
du
savoir.
[
Lac70d
, p. 95]
*
Le
discours
du
maître
s'éclaire par
régression
du
discours
de
l'hystérique.
cf:
18.2.1
[
Lac70d
, p. 99]
*
Le
discours
de
l'université
s'éclaire de son
progrès
dans le
discours
de
l'analyste.
cf:
18.2.1
[
Lac70d
, p. 99]
*
Le
discours
du
maître
n'est pas
l'envers
de la
psychanalyse.
*
Il n'y a de
fait
que de
fait
du
discours.
*
Le
fait
énoncé
est
tout
ensemble
le
fait
du
discours.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
La
répétition
va contre le
principe
du
plaisir.
*
La
vérité
n'est pas le
contraire
du
semblant.
*
Le
discours,
c'est
l'artefact.
*
Le
semblant,
c'est le
contraire
de
l'artefact.
*
Le
discours
est là, en tant qu'il
permet
l'enjeu de ce qu'il en est du
plus-de-jouir.
*
La
femme
est en
position,
au regard de la
jouissance
sexuelle,
de ponctuer
l'équivalence
de la
jouissance
et du
semblant.
*
La
jouissance
est
semblant.
*
La
femme
a une très grande
liberté
à
l'endroit
du
semblant.
*
Du
champ
scientifique,
le
statut
est
universitaire.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il n'y a de
langage
que
métaphorique.
*
Toute
désignation
est
métaphorique.
*
Le
propre
de la
métaphore,
c'est de ne pas
être
toute
seule.
*
Ce que véhicule l'extension du
capitalisme,
c'est le sous-développement.
*
Il n'y a de
question
logique
qu'à partir de
l'écrit.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
C'est de
l'écrit
que
s'interroge
le
langage.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
l'être
parlant.
*
Il n'y a pas
d'universel
de la
femme.
*
La
vérité
parle
je.
*
La
femme
n'existe
pas.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
rapport
sexuel,
c'est la
parole
elle-même.
*
L'écriture
c'est une
représentation
des
mots.
*
Il n'y a de
lapsus
que
calami
.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
On
ne
parle
jamais
du
langage
qu'à partir de
l'écriture.
*
La
jouissance
sexuelle
se
trouve
ne pas
pouvoir
être
écrite.
*
C'est parce que le
discours
commence
que la
béance
se
produit.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
La
parole
s'efforce
de
réduire
la
femme
à la
sujétion.
*
Une
lettre
toujours
en
vient
à sa
destination.
*
L'écriture
n'est pas
l'impression.
*
C'est de
l'effacement
du
trait,
que se
désigne
le
sujet.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a un
littoral.
*
L'écriture
peut
être
dite
dans le
réel,
le
ravinement
du
signifié.
*
L'écriture,
la
lettre,
c'est dans le
réel.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Toute
logique
est
faussée
de
prendre
départ
du
langage-objet.
*
Le
sujet
est
divisé
par le
langage.
*
Rien
n'est
plus
distinct
du
vide
creusé
par
l'écriture
que le
semblant.
*
L'écrit
c'est la
jouissance.
*
Tout
ce qui est du
langage,
a affaire avec le
sexe,
est dans un
certain
rapport
avec le
sexe.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
être
écrit.
*
L'homme
est
fonction
phallique
en tant qu'il est
tout
homme.
*
La
femme
ne
peut
remplir
sa
place
dans le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
toute
femme.
*
Rien
ne
peut
être
fondé
du
statut
de
l'homme.
*
L'homme,
la
femme
n'ont
aucun
besoin
de
parler
pour
être
pris
dans un
discours.
*
Il n'est
discours
que de
semblant.
*
Le
semblant
ne
s'énonce
qu'à partir de la
vérité.
*
Qui
parle,
parle.
*
C'est par
rapport
à
toute
femme
qu'une
femme
se
situe.
*
Il n'y a pas, dans le
langage,
d'autre
Bedeutung
que le
phallus.
*
C'est de ce que le
langage
n'est
constitué
que d'une seule
Bedeutung
,
qu'il tire sa
structure.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
La
condition
de
l'inconscient,
c'est le
langage.
*
Parler
veut
dire
la
division
sans
remède de la
jouissance
et du
semblant.
*
Le “toute femme” est
l'énonciation
dont se décide
l'hystérique
comme
sujet.
*
Le
savoir
dont il s'agit dans
l'inconscient
s'avère
savoir
de la
vérité.
*
Qu'il y a du
langagièrement
articulé,
qui n'est pas pour cela
articulable
en
paroles.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
À
l'hystérique
il faut le
partenaire
châtré.
*
La
fécondité
est forgerie
phallique,
et c'est bien par là que
tout
enfant
est
reproduction
du
phallus.
*
Ce que
dit
le
surmoi
c'est
jouis
!
*
Le
vide
c'est la
seule
façon
d'attraper
quelque
chose
avec le
langage.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Tout
organe
n'est
instrument
que par le truchement de ceci dont
tout
instrument
se
fonde,
c'est que c'est un
signifiant.
*
La
femme
ne
sait
jouir
que dans une
absence.
*
Le
nombre
fait
partie
du
réel.
*
Il n'est de
forclusion
que du
dire.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
*
Il n'est pas
possible
d'écrire
le
rapport
sexuel.
*
Le
rapport
sexuel,
il n'y en a pas.
*
La
connerie
fait
preuve pour ce qui est de
l'authenticité.
*
Le
réel
c'est ce qui
commande
toute
la
fonction
de la
signifiance.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
jouissance
sexuelle
ouvre
pour
l'être
parlant
la porte à la
jouissance.
*
ça
veut
dire
la
fonction
qui
s'appelle
la
castration.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a
littoral.
[
Lac71a
, p. 7]
*
Il n'y a pas de
métalangage.
[
Lac71a
, p. 8]
*
L'écrit
qui se
fabrique
du
langage
est
matériel.
[
Lac71a
, p. 8]
*
L'ignorance
est
liée
au
savoir.
*
Si la
vérité,
c'est pas le
savoir,
c'est le
non-savoir.
*
Le
dictionnaire
a affaire avec la
diction.
*
L'inconscient
a à
faire
d'abord
avec la
grammaire.
*
Il y a dans la
psychanalyse,
fondamental
et
premier
le
savoir.
*
La
parole
définit
la
place
de ce
qu'on
appelle
la
vérité.
*
Pour
jouir
il faut un
corps.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
signification
fait
signe.
*
Un
signe
n'a
rien
à
faire
avec un
signifiant.
*
Le
savoir
est
présupposé
à la
fonction
de
l'analyste.
*
Le
symptôme
est
valeur
de
vérité.
*
La
valeur
de
vérité
n'est pas
symptôme.
*
Le
symptôme
est
valeur
de
vérité.
*
Des
hommes
et des
femmes
c'est du
réel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
pour les
êtres
qui
parlent.
*
Le
discours
universitaire
se
constitue
de
faire
du
savoir
un
semblant.
*
Le
discours
hystérique,
c'est le
discours
scientifique
lui-même.
*
Le
discours
de la
connaissance
est une
métaphore
sexuelle.
*
L'objet
n'est un
objet
qu'en ce
sens
qu'il est là pour
affirmer
que
rien
de
l'ordre
du
savoir
n'est
sans
le
produire.
*
Le
rêve
c'est un
rébus.
*
Le
rêve
est un
rébus.
*
Sous les
figures
du
rêve
il y a des
mots.
*
Dans
tout
savoir,
il y a du
savoir-faire.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
Le
grand
Autre
ça
n'existe
pas.
*
La
feinte,
c'est
l'action
même.
*
Feindre,
ce n'est pas
mentir.
*
Il n'y a, dans la
feinte,
pas
trace
de
mensonge.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
C'est quelque
chose
de
différent,
d'écrire
ou
d'articuler
avec la
voix.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
L'analyste
est
impliqué
dans
toute
analyse.
*
Il n'y a pas de
tout
des
femmes.
*
La
jouissance
sexuelle
est le
pivot
de
toute
jouissance.
*
C'est en ce que
s'oppose
à
qu'est le
ressort
du
possible.
*
C'est du
réel
que la
femme
prend
son
rapport
à la
castration.
*
Il n'est pas
impossible
que la
femme
connaisse
la
fonction
phallique.
*
Une
logique
peut
parfaitement
se
passer
du
principe
de
contradiction.
*
L'inexistence
n'est pas le
néant.
*
Je
te
demande
de me
refuser
ce que
je
t'offre.
*
La
grammaire
fait
partie
du
code.
*
Je
te
demande
de
refuser
ce que
je
t'offre.
*
On
ne
jouit
que de
l'Autre.
*
L'effet
de
reprise,
nachträglich
,
c'est ce qui
fonde
la
psychanalyse.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
C'est
Un.
*
C'est de
l'Un.
*
C'est de
l'Un.
*
Y-a-d-l-Un
.
*
Y-a-d-l-Un
.
*
Jamais
l'esclave
n'est
esclave
que de
l'essence
du
maître.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Y-a-d-l-Un
.
*
Y-a-d-l-Un
.
*
Y-a-d-l-Un
.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Y-a-d-l-Un
5
.
582
.
*
Le
Un
qu'il y a de
l'ensemble
est
distinct
de
l'Un
de
l'élément.
*
Il y a
ensemble
même
avec un
seul
élément.
*
L'Un
commence
au
niveau
où il y en a
Un
qui
manque.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Le
trait
unaire
est ce dont se
marque
la
répétition
comme telle.
*
La
répétition
ne
fonde
aucun
tous.
*
L'identification
imaginaire
s'opère
par une
marque
symbolique.
*
Le
semblant
ne
prend
effet
que
d'être
manifeste.
*
La
jouissance
constitutive
de
l'être
parlant
se démarque de la
jouissance
sexuelle.
*
La
femme
n'est
pas-toute.
*
Il ne
peut
y
avoir
aucune
histoire
de la
pensée.
*
La
pensée
est une fuite en elle-même.
*
Y-a-d-l-Un.
*
La
logique
c'est de
repérer
dans la
grammaire
ce qui
prend
forme
de la
position
de
vérité.
*
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Il n'y a pas
d'autre
existence
de
l'Un
que
l'existence
mathématique.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Tout
ce que nous touchons du
réel,
c'est la
Spaltung
,
c'est la
fente.
*
L'existence
c'est
l'insistance.
*
Qu'on
dise
comme
fait
reste
oublié
derrière
ce qui est
dit,
dans ce qui
s'entend.
*
Y-a-d-l-Un.
*
Ce qui
commande
c'est
l'Un.
*
L'Un
fait
l'être.
*
L'hystérique
fait
l'homme.
*
Le
discours
comme tel, est
toujours
discours
du
semblant.
*
Les bons
sentiments,
c'est la
jurisprudence,
et
rien
d'autre
qui les
fonde
5
.
583
.
*
Tout
ce qui est
dit
est
semblant.
*
Tout
ce qui est
dit
est
vrai.
*
Tout
ce qui est
dit
fait
jouir.
*
Il n'y a de
discours
sur
l'origine
qu'à
traiter
de
l'origine
d'un
discours.
*
L'interprétant
c'est
l'analysant.
*
Le
est la
cause
de la
Spaltung
du
sujet.
*
Le
langage
ça n'est pas
l'être
parlant.
*
La
jouissance
ça ne
sert
à
rien.
*
Les
sentiments
c'est
toujours
réciproques.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
L'amour
c'est une
passion.
*
Encore,
c'est le
nom
propre
de cette
faille
d'où, dans
l'Autre,
part
la
demande
d'amour.
*
L'être
du
corps
est
sexué.
*
Y-a-d-l-Un
.
*
L'Un
ne
tient
que de
l'essence
du
signifiant.
*
Ce qui
fait
tenir
l'image
c'est un
reste.
*
L'amour,
dans son
essence,
est
narcissique.
*
L'être
c'est la
jouissance
du
corps.
*
Il n'y a pas la
femme.
*
La
femme
n'est pas
toute.
*
Le
sexe
de la
femme
ne
dit
rien
à
l'homme
si ce n'est par
l'intermédiaire
de la
jouissance
du
corps.
*
Le
phallus
c'est
l'objection
de
conscience
faite
par un des
deux
êtres
sexués
au
service
à
rendre
à
l'Autre.
*
Il y a un
lieu
de
l'Autre.
*
La
jouissance
en tant que
sexuelle
est
phallique.
*
L'être
sexué
est
intéressé
dans la
jouissance.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
L'amour
est un
signe.
*
Le
mot
n'a
d'autre
point
où se
faire
collection que le
dictionnaire
où il
peut
être
rangé.
*
Le
signifiant,
c'est
bête.
*
Le
sujet
n'est pas celui qui
pense.
*
On
ne
peut
pas
tout
dire.
*
Un
corps,
ça se
jouit.
*
On
ne
peut
jouir
que d'une
partie
du
corps
de
l'autre.
*
Le
signifiant
se
situe
au
niveau
de la
substance
jouissante.
*
Le
signifiant,
c'est la
cause
de la
jouissance.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
fait
halte à la
jouissance.
*
Pour qui
parle
japonais, c'est performance usuelle que de
dire
la
vérité
par le
mensonge,
c'est-à-dire
sans
être
un
menteur.
[
Lac81a
, p. 3]
*
Le
discours
de
l'analyste
n'est pas le
scientifique.
[
Lac81a
, p. 3]
*
Le
sens
d'un
discours
ne se
produit
jamais
que d'un
autre.
[
Lac81a
, p. 3]
*
Qu'on
dise
reste
oublié
derrière
ce qui se
dit
dans ce qui
s'entend.
[
Lac73a
, p. 5]
*
Le
dire
reste
oublié
derrière
le
dit.
[
Lac73a
, p. 6]
*
Il n'y a pas de
métalangage.
[
Lac73a
, p. 6]
*
Il n'y a pas
d'universelle
qui ne doive se
contenir
d'une
existence
qui la
nie.
[
Lac73a
, p. 7]
*
Le
dit
ne va pas
sans
dire.
[
Lac73a
, p. 8]
*
Le
dit
se
pose
toujours
en
vérité.
[
Lac73a
, p. 8]
*
De
vérité,
il n'y a que
mi-dit.
[
Lac73a
, p. 10]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 11]
*
Le
corps
des
parlants
est
sujet
à se
diviser
de ses
organes.
[
Lac73a
, p. 12]
*
Du
discours
psychanalytique,
un
organe
se
fait
le
signifiant.
[
Lac73a
, p. 12]
*
L'être
n'a par lui-même
aucune
espèce
de
sens.
[
Lac73a
, p. 29]
*
Il est
impossible
que les
psychanalystes
forment un groupe. [
Lac73a
, p. 31]
*
Le
rapport
d'organe
du
langage
à
l'être
parlant
est
métaphore.
[
Lac73a
, p. 33]
*
L'analyse
se
fonde
du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac73a
, p. 33]
*
L'inconscient
est un
fait
en tant qu'il se
supporte
du
discours
même
qui
l'établit.
[
Lac73a
, p. ]
*
L'interprétation
est du
sens,
et va contre la
signification.
[
Lac73a
, p. 37]
*
Un
tore
n'a de
trou,
central
ou
circulaire,
que pour qui le
regarde
en
objet,
non
pour qui en est le
sujet.
[
Lac73a
, p. 42]
*
Le
dire
de
l'analyse,
en tant qu'il est
efficace,
réalise
l'apophantique.
[
Lac73a
, p. 46]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac75f
, p. 7]
*
Le
signifiant
Un
n'est pas un
signifiant
entre
autres.
[
Lac75f
, p. 8]
*
Le
savoir
affecte
le
corps
de
l'être
qui ne se
fait
être
que de
paroles.
[
Lac75f
, p. 8]
*
La
nade
,
c'est le
rapport
vide
insistant.
[
Lac75f
, p. 8]
*
Il y a du
sens,
mais il n'y en a pas de
commun.
*
Les
lettres
viennent
toujours
à
destination.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Ça
parle.
*
Il y a quelque
chose
de
distinct
entre
parler
et
dire.
*
La
parole
fonctionne
même
quand elle ne
fonde
aucun
fait.
*
La
parole
c'est comme là où
ça
bande.
*
On
ne
dénote
pas des
choses,
on
dénote
des
faits.
*
Chez
l'homme,
la
castration,
c'est le
moyen
d'adaptation à la
survie.
*
Il n'y a pas de
deuxième
sexe
à partir du
moment
où
entre
en
fonction
le
langage.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
femme,
au
regard
de la
fonction
phallique
ne se
situe
que du pas
toute
à y
être
sujette.
*
C'est en tant que la
fonction
phallique
ne
fonctionne
pas qu'il y a une chance de
rapport
sexuel.
*
Si la
femme
n'est pas
toute,
c'est que sa
jouissance,
elle, est
duelle.
*
La
femme
n'est pas
toute.
*
L'universel
masculin
peut
prendre
son assiette dans
l'assurance
qu'il
n'existe
pas de
femme
qui
ait
été
châtrée.
*
C'est dans la
mesure
où elle converge vers un
signifiant,
qui en
émerge,
que la
névrose
va
s'ordonner
selon le
discours
dont les
effets
ont
produit
le
sujet.
*
Tout
parent
traumatique
est en
somme
dans la
même
position
que le
psychanalyste.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
*
Il n'a pas de
rapport
sexuel.
*
L'Un
est
l'Un
qui se
répète.
*
Il
n'existe
que de
l'Un.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'universalité
des
hommes
est
sujette
à la
castration.
*
La
femme
n'est pas le
lieu
de
l'Autre.
*
Tous les
hommes
sont en
puissance
de
castration.
*
La
bêtise
ne va pas loin.
*
Quand
on
parle
ça
signifie,
ça
comporte
le
signifié.
*
Le
signifié,
c'est
l'effet
du
signifiant.
*
Ce
qu'on
entend,
c'est le
signifiant.
*
L'écrit
ça n'est pas à
comprendre.
*
Y'a du
signifiant.
*
Il y a du
signifiant
qui s'injecte dans le
signifié.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
s'écrire.
*
Il y a un
certain
effet
de
discours
et qui
s'appelle
l'écriture.
*
Il y a du
signifiant.
*
Ce qui
s'écrit
c'est la
lettre.
*
La
lettre
désigne
un
assemblage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
La
culture
en tant que
distincte
de la
société,
ça
n'existe
pas.
*
La
réalité
est abordée avec les
appareils
de la
jouissance.
*
Chez
l'être
parlant
la
jouissance
est
appareillée.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
La
lettre
d'amour
ce n'est pas le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
pensée
est
jouissance.
*
Il y a
jouissance
de
l'être.
*
L'acte
d'amour,
c'est la
perversion
polymorphe
du
mâle
parlant.
*
est le
signifiant
dont le
propre
est qu'il est le
seul
qui ne
peut
rien
signifier.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Parler
d'amour
est en
soi
une
jouissance.
*
Les
névrosés
n'ont
aucun
des
caractères
du
pervers.
*
Le
rapport
sexuel
s'abîme
dans le
non-sens.
*
Dans
l'Autre,
ça
sait
parce que
ça
se
supporte
des
signifiants
dont se
constitue
le
sujet.
*
Toute
la
vérité,
c'est ce qui ne
peut
pas se
dire.
*
La
jouissance
est une
limite.
*
Le
réel
ne
saurait
s'inscrire
que d'une
impasse
de la
formalisation.
*
Le
savoir
vaut
juste
autant qu'il
coûte.
*
Il n'y a du
dit
que de
l'être.
*
Il n'y a de
l'inconscient
que du
dit.
*
L'éthique
c'est de
l'ordre
du
geste.
*
Le
propre
du
dit,
c'est
l'être.
*
L'inconscient,
ce n'est pas que
l'être
pense.
*
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
*
L'homme
sait
déjà
tout
ce qu'il y a
savoir.
*
La
structure
de la
pensée
repose
sur le
langage.
*
L'homme
pense
avec son
âme.
*
Je
te
demande
de
refuser
ce que
je
t'offre,
parce que
ça
n'est pas
ça.
*
Il n'y a pas de
métalangage.
*
L'être
est.
*
Le
non-être
n'est pas.
*
La
formalisation
mathématique,
c'est de
l'écrit.
*
Je
parle
sans
le
savoir.
*
Je
parle
avec son
corps.
*
Je
dis
toujours
plus
que
je
n'en
sais.
*
Le
je
n'est pas un
être.
*
Le
partenaire
de
l'autre
sexe
reste
l'Autre.
*
L'écriture
est une
trace
où se
lit
un
effet
de
langage.
*
L'objet
n'est
aucun
être.
*
L'objet
est ce que
suppose
de
vide
une
demande.
*
L'Autre
ne se
présente,
pour le
sujet,
que sous une
forme
a-sexuée
.
*
L'Un
engendre
la
science.
*
Pour
l'être
parlant,
le
savoir,
c'est ce qui
s'articule.
*
La
communication
implique
la
référence.
*
Le
langage,
d'abord,
ça
n'existe
pas.
*
Lalangue
nous
affecte
d'abord,
par
tout
ce qu'elle
comporte
comme
effets,
qui sont
affects.
*
Le
sujet
n'est
jamais
que
ponctuel
et
évanouissant.
*
Le
savoir
de
l'Un
vient
du
signifiant
Un,
.
*
Le
transfert,
c'est le
sujet
supposé
savoir
qui le
motive.
*
Les
non-dupes
errent.
*
L'inconscient
c'est un
savoir
dont le
sujet
peut
se
déchiffrer.
*
L'énigme
c'est le
comble
du
sens.
*
L'imaginaire
c'est une
dit-mansion.
*
La
science
mathématique
concerne
le
réel
que véhicule le
symbolique.
*
L'imaginaire
c'est ce qui
arrête
le
déchiffrage,
c'est le
sens.
*
L'image,
c'est
toujours
une
intuition
de ce qui est à
symboliser.
*
Il y a un
nœud
lévogyre et une
nœud
dextrogyre.
*
Les
sentiments
sont
toujours
réciproques.
*
Les
non-dupes
sont ceux
5
.
584
ou celles qui se
refusent
à la
capture
de
l'espace
de
l'être
parlant.
*
Il n'y a
rien
de
commun
entre
l'inconscient
et
l'occulte.
*
Il y a de
l'inconscient.
*
Le
signifiant
c'est un
signe
qui ne
s'adresse
qu'à un
autre
signe.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
fait
un
signe
à un
signe.
*
C'est dans le
chiffrage
qu'est la
jouissance.
*
L'interprétation
est
incalculable
dans ses
effets.
*
La
structure
est ponctuée pas le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
naît
inclus
dans le
langage.
*
Le
nœud
borroméen
n'a
aucune
espèce
d'être.
*
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
*
Il n'y a de
vérité
que
mathématisée,
écrite.
*
Il n'y a de
vérité
que de ce qui n'a
aucun
sens.
*
Toute
parole
n'est pas un
dire
5
.
585
.
*
Un
dire
est de
l'ordre
de
l'événement.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
L'amour
est le
rapport
du
réel
au
savoir.
*
L'amour
est
l'imaginaire
spécifique
de chacun.
*
L'amour
devient
réellement
le
moyen
par quoi la
mort
s'unit
à la
jouissance.
*
Il n'y a
d'inconscient
que chez
l'être
parlant.
[
Lac74b
, p. 15]
*
L'inconscient,
ça
parle.
[
Lac74b
, p. 16]
*
Le
sujet
de
l'inconscient
ne touche à
l'âme
que par le
corps.
[
Lac74b
, p. 16]
*
La
guérison,
c'est une
demande
qui
part
de la
voix
du
souffrant.
[
Lac74b
, p. 17]
*
Articulé,
veut
dire
verbalisé.
[
Lac74b
, p. 20]
*
La batterie
signifiante
de
lalangue
ne fournit que le
chiffre
du
sens.
[
Lac74b
, p. 21]
*
Il y a de
l'Un.
[
Lac74b
, p. 22]
*
Le
saint
est le
rebut
de la
jouissance.
[
Lac74b
, p. 29]
*
L'énergie
n'est que le
chiffre
d'une
constance.
[
Lac74b
, p. 35]
*
Le
discours
scientifique
et le
discours
hystérique
ont presque la
même
structure.
[
Lac74b
, p. 36]
*
L'analyste
ne
s'autorise
que de lui-même. [
Lac74b
, p. 50]
*
La
femme
n'
ex-siste
pas. [
Lac74b
, p. 60]
*
Une
femme
ne
rencontre
L
'homme
que dans la
psychose.
[
Lac74b
, p. 63]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac74b
, p. 63]
*
Le
suicide
est le
seul
acte
qui
puisse
réussir
sans
ratage.
[
Lac74b
, pp. 66–67]
*
Ce n'est pas le
mal,
mais le
bien,
qui
engendre
la
culpabilité.
[
Lac74b
, p. 71]
*
Le
signe
n'a de
portée
que de
devoir
être
déchiffré.
[
Lac75d
, p. 11]
*
Un
message
déchiffré
peut
rester une
énigme.
[
Lac75d
, p. 11]
*
Le
chiffre
fonde
l'ordre
du
signe.
[
Lac75d
, p. 12]
*
Ce n'est que de
lettres
que se
fonde
le
nécessaire.
*
L'amour
c'est
l'amour
courtois.
*
Il n'y a pas
d'initiation.
*
L'articulation
c'est le
nœud.
*
La
consistance
est d'un
autre
ordre
que
l'évidence.
*
Il n'y a
d'être
que de
parler.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Yadlun
.
*
Le
particulier
est une
fonction
logique.
*
Triple
est le
réel.
*
L'événement
ne se
produit
que dans
l'ordre
du
symbolique.
*
Il n'y a
d'événement
que de
dire.
*
Le
vrai
c'est ce qui
contredit
le
faux.
*
L'imaginaire
c'est le
faux,
deuxième
par
rapport
au
réel.
*
La
vérité
a une
limite
d'un
côté
et c'est pour cela qu'elle est
mi-dite.
*
Le
savoir
inconscient,
c'est un
ensemble
ouvert.
*
L'amour
c'est
deux
mi-dires
qui ne se
recouvrent
pas.
*
La
femme,
ça
n'existe
pas.
*
La
femme
n'existe
pas.
*
L'hystérique
fait
l'homme.
*
Il y a de
l'impossible.
*
La
logique
ne
peut
se
définir
que
d'être
la
science
du
réel.
*
La
femme
n'existe
pas.
*
La
femme
n'est pas
toute.
*
Dans ce qu'il en est de
l'amour,
les
sentiments
sont
toujours
réciproques.
*
Le
réel
c'est ce qui se
détermine
de ce que ne
puisse
pas
d'aucune
façon
s'y
écrire
le
rapport
sexuel.
*
La
vérité
du
maître,
ça n'est
rien
d'autre
que le
sujet.
*
Le
signifiant
existe.
*
Il y a du
signifiant.
*
Le
c'est un
savoir.
*
Le
trois
est
toujours
voilé
par quelque
côté.
*
Le
trois
se
dérobe.
*
Le
trois
c'est le
support.
*
Le
sujet
c'est ce dont
est la
cause.
*
Il n'y a de
mort
que là où il y a
reproduction
de
type
sexuel.
*
Le
masochisme
c'est du chiqué, c'est un
savoir.
*
Pour
tout
savoir,
il faut qu'il y
ait
invention.
*
L'amour
c'est
passionnant.
*
Le
sexe
est très
spécifiquement
lié
à la
mort
du
corps.
*
Il n'y a que chez les
êtres
sexués
que le
corps
meurt.
*
Le
corps
jouit
de lui-même.
*
La
jouissance
du
réel
ne va pas
sans
le
réel
de la
jouissance.
*
L'imaginaire
est la
prévalence
donnée
à un
besoin
du
corps,
qui est de
dormir.
*
Il n'y a qu'un
transfert,
c'est celui de
l'analyste.
*
Le
savoir
s'invente.
*
Le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
*
L'objet
n'a pas
d'être.
*
Le
dire
ce n'est pas
l'écrit.
*
L'analyse
a découvert la
vérité,
c'est
l'amour
du
savoir.
*
La
question
c'est
l'essence.
*
Il n'y a pas
d'autre
essence
que de
question.
*
Il n'y a pas de
question
sans
réponse.
*
Le
savoir
c'est pas pareil que la
jouissance.
*
Le
sens
se
sait.
*
La
logique
c'est la
science
du
réel.
*
Le
réel
c'est
l'écriture.
*
Il y a du
savoir
dans le
réel.
*
Dieu
ne
croit
pas en
Dieu.
*
Y-a de
l'inconscient.
*
L'inconscient
c'est quelque
chose
dans le
réel.
*
Le
symbolique
est de
l'ordre
du
Un.
*
Tout
ce qui
fait
sens
dans
lalangue
s'avère
lié
à
l'ex-sistence
de cette
langue.
*
Lalangue
ex-siste
.
*
L'inconscient
n'est pas une
connaissance
c'est un
savoir
dysharmonique.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
c'est le
lieu
de la
jouissance
de la
femme.
*
L'inconscient
comme
savoir
dysharmonique
est
plus
étranger
à une
femme
qu'à
l'homme.
*
Le
savoir
ça n'a pas de
sujet.
*
Le
sujet
est
su.
*
Le
savoir
c'est ce qui est
su.
*
Qui n'est pas
amoureux
de son
inconscient
erre.
*
La
connerie
n'est pas l'imbécilité.
*
Réel,
symbolique
et
imaginaire
ont un
sens.
*
Le
réel
c'est ce qui est
strictement
impensable.
*
L'équivoque,
ça n'est pas le
sens.
*
Le
sens
c'est ce par quoi
répond
quelque
chose
qui est
autre
que le
symbolique.
*
Quelque
chose
commence
à
trois
qui
inclut
tous
les
nombres
aussi loin qu'ils soient
dénombrables.
*
L'imaginaire
toujours
tend à se
réduire
d'une mise à
plat.
*
Le
symptôme
est de
l'effet
du
symbolique
dans le
réel.
*
L'inconscient
est pour
tout
dire
ce qui
répond
du
symptôme.
*
L'inconscient
peut
être
responsable
de la
réduction
du
symptôme.
*
Le
réel
peut
se
supporter
d'une
écriture.
*
Il n'y a pas
d'imaginaire
qui ne
suppose
une
substance.
*
Au
regard
du
réel,
c'est d'autre
chose
que de
sens
qu'il s'agit dans la
jouissance.
*
Pour que quelque
chose
existe
il faut qu'il y
ait
quelque part un
trou.
*
Il n'y a
d'Autre
qu'à le
dire.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
L'analyste
ne
s'autorise
que de lui-même. [
Lac82d
]
*
S'autoriser
n'est pas
s'auto-ri(tuali)ser
. [
Lac82d
]
*
C'est du
pas-tout
que relève
l'analyste.
[
Lac82d
]
*
Pas-tout
être
à
parler
ne
saurait
s'autoriser
à
faire
un
analyste.
[
Lac82d
]
*
Il y a du
savoir
dans le
réel.
[
Lac82d
]
*
Il n'y a pas de
vérité
qu'on
puisse
dire
toute.
[
Lac82d
]
*
Le
sens
du
sens
est qu'il se
lie
à la
jouissance
du
garçon
comme
interdite.
[
Lac74a
, p. 10]
*
Tout
abord
du
réel
est
tissé
par le
nombre.
*
Le
facteur
commun
du
,
c'est
d'être
lié
aux
orifices
du
corps.
*
L'inconscient
est
discordant.
*
L'inconscient
est ce qui de
parler
détermine
le
sujet
en tant
qu'être.
*
Le
est ce qui
cause
le
désir.
*
Le
sujet
est
causé
d'un
objet
qui n'est
notable
que d'une
écriture.
*
femme
ça
n'existe
pas.
*
Ce qu'il en est de
l'inconscient
se
localise
au
lieu
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec le
rapport
sexuel.
*
La
mort
n'est
abordable
que par un
acte.
*
Le
propre
du
sens
c'est
qu'on
y
nomme
quelque
chose.
*
Le
phallus
c'est ce qui
donne
corps
à
l'imaginaire.
*
Le
phallus
ce n'est pas
l'
ex-sistence
du
réel.
*
Le
réel
c'est ce qui
ex-siste
au
sens.
*
Le
trou
du
symbolique
est inviolable.
*
Il
n'existe
pas
femme.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Pour ce qui est du
rapport
sexuel,
il est
strictement
impossible
d'écrire
.
*
Il n'y a pas
d'élaboration
logicisable
et du
même
coup
mathématisable
du
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
dire
ce n'est pas la
voix.
*
le
dire
est un
acte.
*
On
est dans
l'imaginaire.
*
Le
réel
se
démontre
de
n'avoir
pas de
sens.
*
L'imaginaire
c'est la
place
où
toute
vérité
s'énonce.
*
Une
vérité
niée
à autant de poids
imaginaire
qu'une
vérité
avouée.
*
Le
réel
ne
commence
qu'au
chiffre
trois.
*
Dire
est un
acte.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
La
paranoïa
c'est un engluement
imaginaire.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
plus-de-jouir
provient
de la
père-version
.
*
Il n'y a qu'un
seul
nœud
borroméen
orienté.
*
L'amour
est
haineamoration.
*
Il n'y a pas de
consistance
qui ne se
supporte
du
nœud.
*
Le
réel
se
caractérise
de se
nouer.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
signifiant
fait
trou.
*
Il n'y a pas
d'affinité
du
corps
avec le
nœud.
*
Le
nœud
n'est pas le
modèle,
il est le
support.
*
Le
réel
c'est pas
tout.
*
Il n'y a que
l'inconscient
à
donner
corps
à
l'instinct.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Ce qui
fait
consistance
est de
l'ordre
imaginaire.
*
La
notion
de
référent
vise
le
réel.
*
C'est
uniquement
par
l'équivoque
que
l'interprétation
opère.
*
Les
pulsions
c'est l'écho dans le
corps
du
fait
qu'il y a un
dire.
*
Le
signifié
ne
veut
rien
dire.
*
Ce n'est pas que soient rompus le
symbolique,
l'imaginaire,
et le
réel
qui
définit
la
perversion.
*
Le
nom-du-père
est aussi le
père
du
nom.
*
Le
sujet
c'est ce qu'un
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
nœud,
en tant qu'il est
borroméen,
substantifie.
*
Le
langage
n'est pas en lui-même un
message.
*
Le
sentimental
est débile parce que
toujours,
par quelque
biais,
réductible
à
l'imaginaire.
*
L'imagination
de
consistance
va
tout
droit
à
l'impossible
de la
cassure.
*
C'est en tant qu'il est
accroché
au
langage
que le
symptôme
subsiste.
*
On
use du
langage
d'une
façon
qui va
plus
loin que ce qui est
effectivement
dit.
*
L'inquiétante
étrangeté
relève de
l'imaginaire.
*
Le
sujet
n'est
jamais
que
supposé.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas de
jouissance
de
l'Autre
en ceci qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
L'inconscient,
c'est un
savoir
en tant que
parlé
comme
constituant
de
LOM
. [
Lac75e
, p. 13]
*
La
psychose
est un
essai
de
rigueur.
*
Personne
ne
pense.
*
Nous
imaginons
que nous
pensons.
*
Nous
imaginons
que nous
croyons
ce que nous
disons.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Ce qui
crée
la
structure,
est la manière dont le
langage
émerge
au
départ
chez un
être
humain.
*
La
psychose
est une
sorte
de faillite, en ce qui
concerne
l'accomplissement
de ce qui est
appelé
amour.
*
Un
acte
manqué
a
toujours
affaire avec le
sexe.
*
L'acte
manqué
par excellence est précisément
l'acte
sexuel.
*
La
psychose
est
pleine
de
sens.
*
L'esclave
se
définit
de ce que quelqu'un a
pouvoir
sur son
corps.
*
Le
réel
n'est pas le
monde
extérieur.
*
Le
ça
de
F
REUD
,
c'est le
réel.
*
La
jouissance
phallique
est au
joint
du
symbolique
et du
réel.
*
Ce que
l'analyste
a à
dire,
est de
l'ordre
de la
vérité.
*
La
phrase,
c'est un
dire.
*
Le
mode
d'existence
du
père
tient
au
réel.
*
Le
symptôme,
ça
résiste.
*
La
psychanalyse
n'est pas une
science,
c'est une
pratique.
*
La
logique
n'a
d'autre
support
que le
logos.
*
Le
réel,
c'est
l'impossible
à
pénétrer.
*
Le
signifiant
c'est la
lettre.
*
Il n'y a que la
lettre
qui
fasse
trou.
*
L'analyste
est
incarné
par un
semblant
de
.
*
On
n'est
responsable
que dans la
mesure
de son
savoir-faire.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
le
mot
même
d'acte
implique
la
polarité
active
passive.
*
Il n'y a de
responsabilité
que
sexuelle.
*
Dans une corde le
nœud
est
tout
ce qui
ex-siste
.
*
Il n'y a de
fait
que du
fait
que le
parl-être
le
dise.
*
Il n'y a pas
d'autres
faits
que ceux que le
parl-être
reconnaît
comme tels en les
disant.
*
Il n'y a de
faits
que
d'artifices.
*
L'écriture
des
petites
lettres
c'est ça qui
supporte
le
réel.
*
Le
sens
résulte
d'un
champ
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
C'est de
suture
et d'épissure qu'il s'agit dans
l'analyse.
*
La
jouissance
c'est du
réel.
*
Quand
on
écrit
on
peut
bien toucher au
réel,
mais pas au
vrai.
*
Le
phallus
ça se
transmet
de
père
en
fils.
*
Le
nœud
borroméen
n'est pas un
nœud
c'est une
chaîne.
*
Tout
ce que nous
pensons,
nous en sommes réduits à
l'imaginer.
*
Nous ne
pensons
pas
sans
mots.
*
C'est du
sinthome
qu'est
supporté
l'autre
sexe.
*
Le
sinthome
c'est très précisément le
sexe
auquel
je
n'appartiens
pas.
*
C'est la
façon
de les
présenter
dans leur
nœud
de
chaîne
qui, à elle
toute
entière,
fait
le
réel
du
nœud.
*
N'est
vrai
que ce qui a un
sens.
*
Tout
objet
tient
à une
relation.
*
La
pulsion
de
mort,
c'est le
réel
en tant qu'il ne
peut
être
pensé
que comme
impossible.
*
Dire,
vise
à
être
entendu.
*
La
réminiscence
consiste
à
imaginer
à propos de quelque
chose
qui
fait
fonction
d'idée
et qui n'en est pas une.
*
La
réminiscence
est
distincte
de la
remémoration.
*
Il n'y a pas
d'inconscient
collectif.
*
Le
réel
est un
sinthome.
*
Le
réel
a et n'a pas un
sens
en ce que son
champ
en est
distinct.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
À la
place
de
l'Autre
de
l'Autre,
il y a
aucun
ordre
d'existence.
*
La
psychanalyse
est une
pratique.
*
L'inconscient
ne va pas
sans
référence
au
corps.
*
Le
psychanalyste
ne
peut
pas se
concevoir
autrement que comme un
sinthome.
*
Ce n'est pas la
psychanalyse
qui est un
sinthome,
c'est le
psychanalyste.
*
Yadlun.
*
Le
vrai
réel
implique
l'absence
de
loi.
*
Le
réel
n'a pas
d'ordre.
*
Le
dit
n'est pas du tout forcément
vrai.
*
La droite
infinie
a pour vertu
d'avoir
le
trou
tout
autour.
*
La
psychanalyse
passe
par un
certain
nombre
d'énoncés.
*
Une
faute
ne se
produit
jamais
par
hasard.
*
Le
corps
a des
trous.
*
On
sait
des
choses
qui relèvent du
signifiant.
*
Son
corps,
on
l'a,
on
ne l'est à
aucun
degré.
*
Si
l'ego
est
dit
narcissique,
c'est bien parce qu'il y a quelque
chose
à un
certain
niveau
qui
supporte
le
corps
comme
image.
*
La
loi
n'a
absolument
rien
à
faire
avec les
lois
du
monde
réel.
*
Le
lapsus
calami
n'est pas
premier
par
rapport
au
lapsus
linguae
.
*
Le
nœud
est ce par quoi
s'introduit
le
réel
comme tel.
*
Toute
sexualité
humaine
est
perverse.
*
L'énonciation
c'est
l'énigme.
*
Un
sujet
est un
signifiant
en tant qu'il est
représenté
auprès d'un
autre
signifiant.
*
On
pense
contre un
signifiant.
*
On
s'appuie
contre un
signifiant
pour
penser.
*
L'inconscient
ça n'a
rien
à
faire
avec
l'inconscience.
*
On
se
reconnaît
dans le
trait
d'esprit.
*
Dans
l'utérus
de la
femme
l'enfant
est
parasite.
*
Il y a un
corps
de
l'imaginaire.
*
Aucun
résultat
de la
science
n'est un
progrès.
*
La
science
tourne
en
rond.
*
L'une-bévue
c'est un
tout
faux.
*
la
notion
de
matière
est
fondamentale
en ceci qu'elle
fonde
le
même.
*
Le
matériel
se
présente
à nous comme
corps-sistance
.
*
Le
signe
du
tout
c'est le
signifié.
*
Il n'y a pas de
connaissance.
*
Il n'y a pas de
progrès,
parcequ'il ne
peut
pas y en
avoir.
*
La
structure
de
l'homme
est
torique.
*
Une
bande
de
Mœbius
n'est
rien
d'autre
qu'une
coupure.
*
Il y a une
dissymétrie
du
signifiant
et du
signifié.
*
Le
savoir
et la
vérité
n'ont
aucune
relation
entre
eux.
*
Ce qui se
dit
à partir de
l'inconscient
participe
de
l'équivoque.
*
Il n'y a pas de
progrès.
*
Une
lettre
arrive
toujours
à
destination.
*
Il n'y pas de
métalangage.
*
La
différence
qu'il y a
entre
la
métaphore
et la
structure,
c'est que la
métaphore
est justifiée par la
structure.
*
La
langue
est
ratée.
*
Il n'y a pas de
conséquence
réelle.
*
Le
réel
n'est
lié
que par une
structure.
*
L'impossible
c'est le
réel.
*
La
duplicité
de
sens
est
commune
à
tout
signifiant.
*
La
poésie
est
imaginairement
symbolique.
*
L'imaginairement
symbolique
s'appelle
la
vérité.
*
Il n'y a de
vrai
que la
castration.
*
Il n'y a pas de
vérité
sur le
réel.
*
La
parole
pleine
c'est la
parole
pleine
de
sens.
*
La
volonté
de
sens
consiste
à
éliminer
le
double
sens.
*
La
signification
c'est un
mot
vide.
*
L'amour
n'est
rien
qu'une
signification,
c'est à
dire
qu'il est
vide.
*
Le
désir
a un
sens.
*
Pour
l'espèce
humaine,
la
sexualité
est
obsédante.
*
Tout
discours
a un
effet
de
suggestion,
il est
hypnotique.
*
Le
sens
c'est ce qui
résonne
5
.
586
à l'aide du
signifiant.
*
C'est pour autant qu'une
interprétation
juste
éteint le
symptôme
que la
vérité
se
spécifie
d'être
poétique.
*
Ce qui se
compte
c'est
l'arithmétique.
*
C'est
l'arithmétique
qui
développe
le
comptable.
*
Le
mental
est
tissé
de
mots.
*
De
réel
il n'y a que
l'impossible.
*
La
négation
suppose
une
Bejahung
.
*
C'est à partir de quelque
chose
qui
s'énonce
comme
positif
qu'on
écrit
la
négation.
*
La
notion
de
réel
exclue
5
.
587
le
sens.
*
Le
principe
du
dire
vrai
c'est la
négation.
*
Celui qui
sait,
dans
l'analyse,
c'est
l'analysant.
*
L'Un
dialogue
tout
seul,
puisqu'il
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
*
Il n'y a pas de
tous.
*
les
femmes
sont
plus
homme
5
.
588
que
l'homme.
*
Y-a-d-l-Un.
*
La
conscience
n'a pas
d'autre
support
que de
permettre
une
bévue.
*
La
psychanalyse
c'est ce qui
fait
vrai.
*
L'homme
penche vers son
plaisir.
*
L'écriture,
ça ne
donne
quelque
chose
qu'en
mathématiques.
*
la
névrose
ça
tient
aux
relations
sociales.
*
Dire
a quelque
chose
à
faire
avec le
temps.
[
Lac78
]
*
L'inconscient,
c'est très
exactement
l'hypothèse
qu'on
ne
rêve
pas
seulement
quand
on
dort.
[
Lac78
]
*
Le
raisonnable
est un
fantasme.
[
Lac78
]
*
Un
fantasme
n'est pas un
rêve,
c'est une aspiration. [
Lac78
]
*
Une
idée
ça a un
corps,
c'est le
mot
qui la
représente.
[
Lac78
]
*
Le
sexe
ne
définit
pas un
rapport.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Le
psychanalyste
est un
rhéteur.
[
Lac78
]
*
Il y a de grands
obstacles
à ce
qu'on
dise
la
vérité.
[
Lac78
]
*
La
vérité
a à
faire
avec le
réel.
[
Lac78
]
*
On
ne
parle
jamais
d'une
langue
que dans une
autre
langue.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
métalangage.
[
Lac78
]
*
Le
langage
ça
n'existe
pas. [
Lac78
]
*
Ce qui
définit
la
demande,
c'est
qu'on
ne
demande
jamais
que par ce
qu'on
désire.
[
Lac78
]
*
L'adéquation du
symbolique
ne
fait
les
choses
que
fantasmatiquement.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Le
rhéteur
n'opère
que par
suggestion.
[
Lac78
]
*
Toute
pulsion
est
sexuelle.
[
Lac78
]
*
Dire
est autre
chose
que
parler.
[
Lac78
]
*
L'analysant
parle.
[
Lac78
]
*
Ni dans ce que
dit
l'analysant,
ni dans ce que
dit
l'analyste,
il y a autre
chose
qu'écriture.
[
Lac78
]
*
On
ne
sait
pas ce
qu'on
dit
quand
on
parle.
[
Lac78
]
*
L'analysant
en
dit
plus
qu'il n'en
veut
dire.
[
Lac78
]
*
Le
nœud
borroméen,
c'est ce qui, dans la
pensée,
fait
matière.
[
Lac78
]
*
La
matière,
c'est ce
qu'on
casse. [
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
La
géométrie
est
tissée
de
fantasmes.
[
Lac78
]
*
La
science
n'est
rien
d'autre
qu'un
fantasme.
[
Lac78
]
*
Le
fantasme
de la
coupure
suffit
à
tenir
le
nœud
borroméen.
[
Lac78
]
*
Pour qu'il y
ait
fantasme,
il faut qu'il y
ait
tore.
[
Lac78
]
*
La
réalité
n'est
constituée
que par le
fantasme.
[
Lac78
]
*
L'histoire,
c'est
l'hystérie.
[
Lac78
]
*
Le
matérialisme
historique,
c'est ce qui
s'incarne
dans
l'histoire.
[
Lac78
]
*
Il n'est pas de
savoir
sans
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
*
La
vérité
ne se
dit
jamais
qu'à
moitié.
[
Lac77b
, p. 6]
*
Aucun
discours
n'est
émis
de quelque part qu'à y
être
retour
du
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac77b
, p. 10]
*
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
[
Lac77b
, p. 14]
*
La
parole
n'est pas le
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
*
Le
langage
n'est pas
réductible
à la
communication.
[
Lac77a
, p. 13]
*
Ou
je
ne
suis
pas, ou
je
ne
pense
pas. [
Lac77a
, p. 14]
*
Le
réel,
c'est
l'impossible.
[
Lac77a
, p. 15]
*
La
vérité
s'origine
dans sa
structure
de
fiction.
[
Lac77a
, p. 15]
*
À
l'être
succède
la
lettre.
[
Lac77a
, p. 15]
*
Traiter
le
symptôme
comme un
palimpseste,
c'est dans la
psychanalyse
une
condition
d'efficacité.
[
Lac77a
, p. 15]
*
L'interprétation
n'a pas
plus
à
être
vraie
que
fausse;
elle a à
être
juste.
[
Lac77a
, p. 16]
*
L'analyse
ne
consiste
pas à ce
qu'on
soit
libéré
de ses
sinthomes.
[
Lac78
]
*
Le
symbolique,
c'est le
langage.
[
Lac78
]
*
L'analyse
consiste
à se
rendre
compte
de
pourquoi
on
a des
sinthomes.
[
Lac78
]
*
L'analyse
est
liée
au
savoir.
[
Lac78
]
*
La
mathématique
fait
référence
à
l'écrit.
[
Lac78
]
*
La
pensée
mathématique,
c'est le
fait
qu'on
peut
se
représenter
un
écrit.
[
Lac78
]
*
Le
réel
ne
cesse
pas de
s'écrire.
[
Lac78
]
*
L'écriture
est un
artifice.
[
Lac78
]
*
La
vérité,
on
ne
peut
pas la
dire.
[
Lac78
]
*
Un
sujet
est
toujours
supposé.
[
Lac78
]
*
Dans
l'analyse,
c'est
l'équivoque
qui
domine.
[
Lac78
]
*
Le
langage
est imparfait. [
Lac78
]
*
Le
langage
est un
mauvais
outil. [
Lac78
]
*
Nous
n'avons
aucune
idée
du
réel.
[
Lac78
]
*
Ce qu'il y a de
plus
réel,
c'est
l'écrit.
[
Lac78
]
*
L'écrit
est
confusionnel.
[
Lac78
]
*
Un
tore
fait
trou.
[
Lac78
]
*
L'homme
tient
beaucoup à
être
mortel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
les trumains.
[
Lac78
]
*
Rien
n'est que
rêve.
[
Lac75g
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La stabilité de la
religion
vient
de ce que le
sens
est
toujours
religieux.
[
Lac82e
, p. 81]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac82b
, p. 83]
*
L'Autre
manque.
[
Lac82b
, p. 83]
*
Le
psychanalyste
a
horreur
de son
acte.
[
Lac82c
, p. 84]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08