Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.1 A
Précédent:
autre
Suivant:
autrui
Index:
Index
Autre
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 379]
L'Autre
et
l'autre
sont
distincts.
C'est de
l'Autre
qu'il s'agit quand il s'agit de la
fonction
de la
parole.
Parler
à
l'autre,
c'est
faire
parler
l'Autre
comme tel.
*
L'objet
d'intérêt
humain,
c'est
l'objet
du
désir
de
l'Autre.
L'Autre,
en tant que tel, n'est pas
connu.
Dans la
psychose,
le
sujet
parlant
ne
parle
pas à
l'autre,
ni de
l'autre,
mais
parle
avec
l'Autre.
*
Dans le
cas
du
sujet
et de la
parole
délirants,
l'Autre
est
exclu
véritablement.
Quand
l'Autre
est
exclu
véritablement,
ce qui
concerne
le
sujet
est
dit
par
l'autre
réellement.
L'Autre
5
.
34
est
capable,
comme le
sujet,
de
feindre
5
.
35
et de
mentir.
Dans
l'Autre,
5
.
36
il y a, quelque part, quelque
chose
qui ne
trompe
pas.
L'analyste
fait
le
mort
par son
silence,
là où il est
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 430]
Quand
l'analyste
est
l'Autre,
il est sous
l'incidence
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 430]
L'analyste
doit
s'adresser
à
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 430]
L'Autre
parle
à
l'analyste,
dans le
discours
que
l'autre
tient
devant lui. [
Lac66a
, p. 430]
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
le
je
qui
parle
avec le
je
qui
entend.
[
Lac66a
, p. 431]
Le
lieu
de
l'Autre
s'étend bien
au-delà
du
discours
qui
prend
du
moi
ses
mots
d'ordre.
[
Lac66a
, p. 431]
L'Autre
est
l'Autre
de
l'inter-subjectivité.
Dans la
psychose
le
sujet
ne
peut
rétablir
le
pacte
du
sujet
à
l'Autre,
ne
peut
faire
une
médiation
entre
ce qui est
nouveau,
ce qui
apparaît
et lui-même.
Derrière
le petit
autre
de
l'imaginaire,
existe
un
autre
Autre.
L'Autre
est
corrélatif
nécessaire
de la
parole.
Le
notion
de
mot,
comme
solution
d'une
énigme,
comme
solution
d'un
problème,
se
situe
dans
l'Autre.
*
C'est
toujours
par
l'intermédiaire
de
l'Autre
que se
réalise
toute
parole
pleine.
Dans la
psychose
il y a
exclusion
de
l'Autre.
Dans
l'Autre,
l'être
se
réalise
par un
aveu
de la
parole.
Le
sujet
avoue,
se
reconnaît,
et se
fait
reconnaître
dans
l'Autre
en tant que
fondamental
de la
parole.
*
Le
délire
commence
à partir du
moment
où
l'initiative
vient
d'un
Autre.
Dans la
psychose,
l'Autre
est
exclu
en tant que
porteur
de
signifiant.
Dans la
psychose,
une certaine
problématique
s'insère
entre
l'image
du
moi
et une
image
du
grand
Autre
qu'est
l'image
paternelle.
La
non-acquisition
ou la
perte
de
l'Autre
entraîne,
pour le
sujet,
la
rencontre
d'un
autre
purement
imaginaire
à sa
place.
L'Autre
est
l'absolu
auquel nous nous
adressons
toujours
au-delà
du
semblable.
Le
tu
dans sa
forme
verbalisée,
dans sa
forme
signifiante,
ne se
confond
ni ne
recouvre
le
grand
Autre.
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
le
je
qui
parle
avec celui qui
entend.
*
Il y a
toujours
un
Autre
au-delà
de
tout
dialogue
concret.
*
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
celui qui
parle
avec celui qui
écoute.
L'Autre
doit
être
d'abord
comme un
lieu
où la
parole
se
constitue.
C'est le
message
que nous
recevons
de
l'Autre,
qui nous
fonde
au
niveau
du
tu.
Le
tu
est
appelé
du
champ
de
l'Autre.
Toute
entrée
dans les
psychoses,
c'est le
moment
où, du
champ
de
l'Autre,
vient
l'appel
d'un
signifiant
essentiel
qui ne
peut
pas
être
reçu.
Le
sujet
reçoit
de
l'Autre
son
propre
message
sous la
forme
d'une
parole
inconsciente.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
Le
grand
Autre
est un
autre
sujet
en tant qu'il est un
sujet
capable
de
tromper.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
est
au-delà
même
de
l'autre
appréhendé
imaginairement.
L'Autre
supposé
est le
sujet
dans lequel la
parole
se
constitue.
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 16]
*
Le
don
vient
de
l'Autre.
5
.
37
Derrière
l'Autre
il y a
toute
la
chaîne
en
raison
de quoi
vient
le
don.
Au
départ
de la
dialectique
de la
frustration
il n'y a que
confrontation
avec
l'Autre.
5
.
38
Le
grand
Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
parole
inconsciente.
Le
grand
Autre
c'est le
en tant qu'il est
parole,
histoire,
mémoire,
structure
articulée.
De par sa
nature
de
parole,
un
message
est
reçu
de
l'Autre
sous
forme
inversée.
Les
artifices
du
transfert
rendent
passable,
formulable,
ce qui
doit
se
communiquer
de
l'Autre
au
sujet,
en tant que le
je
du
sujet
vient
à
être.
Le
schéma
de Dora,
figure
4.8.4
, met en
relation
Mme K. qui
pose
sa
question,
Mr. K. à qui Dora
s'identifie,
Dora et le
père
qui
reste
l'Autre
par excellence.
La
structure
de la
parole
implique
dans
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
Pour la
mère
symbolique,
il
devient
la
notion,
qu'au
niveau
du
grand
Autre,
il y a quelqu'un qui a le
phallus
en tant que
pénis
réel.
Le
schéma
de la
figure
4.12.1
indique
les
relations
entre
la
mère,
le
phallus
et
l'Autre.
L'Autre
absolu
est le
siège
de la
parole.
Tout
discours
comporte
virtuellement
et au
départ
cet
Autre
qui est le
témoin,
le
garant,
le
lieu
idéal
de sa bonne
foi.
L'Autre
radical
est la
place,
le
lieu
de
l'inconscient.
Dans la
psychose
il y a
réduction
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre.
L'Autre
est le
siège
de la
parole
et
garant
de la
vérité.
La
disparition
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre
donne
au
psychosé
la
difficulté
toute
difficulté
à se
maintenir
dans le
réel
humain,
symbolique.
L'Autre
est le
lieu
du
code,
le
lieu
des
emplois
du
signifiant.
L'Autre
est le le
lieu
où parvient le
message
constitué
par le
mot
d'esprit.
Le
plaisir
du
trait
d'esprit
s'achève
dans
l'Autre
et par
l'Autre.
L'Autre
est en quelque
sorte
le
corrélatif
du
sujet.
*
C'est à travers
l'image
de
l'Autre
que
l'homme
trouve
l'unification
même
de ses
mouvements
les
plus
élémentaires.
L'Autre
est
essentiellement
un
lieu
symbolique
qui est un
trésor.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
Dans le sous-graphe
5.7.1
du
graphe
5.2.1
, le
vecteur
va du
Je
à
l'objet,
le
vecteur
va du
Je
à
l'Autre.
Dans le sous-graphe
5.7.2
du
graphe
5.2.1
, le
vecteur
part
du
message
vers
l'Autre,
le
vecteur
part
du
message
vers
l'objet.
Le sous-graphe
5.7.6
du
graphe
5.2.1
,
montre
la
conjonction
centripète
entre
l'Autre,
trésor
des
métonymies,
et
l'objet
métonymique.
Le
siège
de la
loi
est dans
l'Autre.
La
Verdrängung
évoque
le
signifiant
refoulé
dans
l'Autre.
Le
désir
s'exprime
et
passe
par le
signifiant
au
niveau
du
croisement
du
désir
avec la
ligne
signifiante,
là où il
rencontre
l'Autre.
L'Autre
comme
trésor
du
signifiant
est le
siège
du
code.
Il n'y a pas
moyen
qu'un
message
ne parte, sinon de
l'Autre
car il est
fait
avec une
langue
qui est la
langue
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
de
repos
5
.
39
, le
trésor
du
signifiant.
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
Toute
identification
idéale
du
moi
est une mise en
rapport
du
sujet
à certains
signifiants
dans
l'Autre.
Dans la
formule
5.17.2
le
c'est le
grand
Autre.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est le
lieu
de la
parole
articulée
comme telle.
Le
phallus
est le
signifiant
qui
introduit
quelque
chose
de
nouveau
dans
l'Autre.
Le
grand
Autre
est
lieu
de la
parole.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Le
signifiant
paternel
est le
signifiant
qui, dans le
lieu
de
l'Autre,
autorise
le
jeu
des
signifiants.
Le
grand
Autre
est le
lieu
d'un
système
unitaire
et
signifiant.
Pour que quoi que ce soit s'établisse
d'inter-subjectif,
il faut que
l'Autre
parle.
Il est de la
nature
de la
parole
d'être
la
parole
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Entre
l'enfant
et
l'Autre,
il n'y a au
départ
qu'une
faible
lisière; mais elle est
marquée
par ce qui se
passe
au
niveau
narcissique.
L'enfant
dans son
impuissance,
dépend
entièrement
de la
parole
de
l'Autre
qui
modifie,
restructure,
aliène
profondément
la
nature
de son
désir.
Le
désir
est
désir
de
l'Autre.
L'hystérique
est le
sujet
pour lequel la
constitution
de
l'autre
en tant que
grand
Autre
est ce avec quoi il est
difficile
d'établir
la
relation
qui lui
permet
à lui,
hystérique
de garder sa
place
de
sujet.
Dans la
figure
5.22.1
le
de
l'Autre
où se
trouve
le
code,
là où s'accueille la
demande.
Dans la
figure
5.22.1
c'est dans le
passage
du
au
point
où est le
message,
que se
produit
le
signifié
de
l'Autre.
Dans le
grand
Autre
de
l'obsessionnel
quand il s'agit de son
désir,
il n'y en a pas.
Le
désir
de
l'obsessionnel
est
évanescent
en
raison
d'une
difficulté
fondamentale
de son
rapport
avec
l'Autre.
Le
grand
Autre
est le
lieu
où le
signifiant
ordonne
le
désir.
L'obsessionnel
se met dans la
plus
grande
dépendance
par
rapport
à
l'Autre
en tant qu'il
parle.
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en la
faisant
supporter
par
l'interdiction
de
l'Autre.
L'obsessionnel,
dans son
exploit
vise
l'Autre,
là où les
choses
s'articulent
en
termes
de
signifiant.
La
conduite
de
l'obsessionnel
vise
dans son
ensemble,
le
maintien
de
l'Autre.
La
demande
d'amour
s'adresse
à
L'Autre.
La
castration
c'est la
loi
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
est pour lui à
rechercher
au
lieu
de
l'Autre.
Le
désir
est un
désir
structuré
dans le
lieu
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
où se
situe
la
possibilité
d'articuler
le
besoin
dans le
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Dans le
graphe
5.25.3
,
est la
formule
du
signifié
de
l'Autre
venant
du
lieu
de la
parole.
*
L'obsessionnel
s'emploie
à
détruire
le
désir
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
s'institue
et se
dessine
du
seul
fait
que le
sujet
parle.
L'Autre
est
invoqué
chaque
fois
qu'il y a
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
de
l'Autre
c'est là où
s'articule
le
discours
de
l'inconscient
5
.
40
.
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
Le
sujet
barré
est
marqué
de la
condition
qui le
subordonne
à
l'Autre.
L'Autre
est
conditionné,
marqué
par les
conditions
de la
parole.
*
Pour le
psychotique,
la
parole
de
l'Autre
ne
passe
nullement
dans son
inconscient.
La
métaphore
essentielle
donne
au
désir
de
l'Autre
le
signifiant
essentiel
qu'est le
phallus.
L'obsessionnel
annule
le
désir
de
l'Autre.
La
Verneinung
est la
dénégation
du
désir
de
l'Autre.
La
formule
est celle du
signifié
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
de la
demande.
La
demande
d'amour
qui
symbolise
l'Autre
distingue
l'autre
comme
objet
réel
capable
de
donner
satisfaction.
la
demande
d'amour
distingue
l'Autre
en tant
qu'objet
symbolique.
Le
désir
c'est
d'abord
le
désir
de
l'Autre.
Dans le
graphe
6.1.2
en
est ce qui est
signifié
de
l'Autre.
Dans le
graphe
6.1.2
le
signifiant
donné
par
l'Autre
est
produit
sur la
chaîne.
*
Tout
discours
est le
discours
de
l'Autre.
Ce
qu'exprime
le
second
étage du
graphe
6.2.3
ne vaut qu'à partir de la
question
de
l'Autre,
che vuoi.
Toute
parole
est
discours
de
l'Autre.
La
condition
névrotique
ou
psychotique
du
sujet
dépend
de ce qui se déroule en
l'Autre
.
[
Lac66a
, p. 549]
Ce qui se déroule en
l'Autre
est
articulé
comme un
discours.
[
Lac66a
, p. 549]
est la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 551]
La
présence
du
signifiant
dans
l'Autre
est une
présence
fermée
au
sujet,
à
l'état
de
refoulé,
verdrängt
. [
Lac66a
, p. 557]
Dans la
psychose,
l'idéal-du-moi
a
pris
la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 572]
L'Autre
est le
lieu
de la
mémoire
appelée
inconscient.
[
Lac66a
, p. 575]
La
condition
essentielle
de la
psychose
est la
forclusion
du
nom-du-père
à la
place
de
l'Autre
et
l'échec
de la
métaphore
paternelle.
[
Lac66a
, p. 575]
*
Pour que la
psychose
se
déclenche,
il faut que le
nom-du-père,
verworfen
,
forclos,
c'est-à-dire
jamais
venu
à la
place
de
l'Autre,
y soit
appelé
en
opposition
symbolique
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
défaut
du
nom-du-père
à la
place
de
l'Autre
ouvre
un
trou
dans le
signifié.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
nom-du-père
est le
signifiant
qui dans
l'Autre,
en tant que
lieu
du
signifiant,
est le
signifiant
de
l'Autre
en tant que
lieu
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 583]
*
L'inconscient
est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 549]
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 627]
L'Autre
est le
lieu
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 627]
L'Autre
est le
lieu
du
déploiement
de la
parole
ou
autre
scène.
[
Lac66a
, p. 628]
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 628]
Le
désir
du
rêve
est
discours
articulé
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 629]
Le
refus
de la
castration
est
d'abord
refus
de la
castration
de
l'Autre,
de la
mère
premièrement.
[
Lac66a
, p. 632]
*
Le
désir
inconscient
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 632]
*
C'est
d'abord
pour le
sujet
que sa
parole
est un
message,
parce qu'elle se
produit
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 634]
L'Autre
est
l'analyste,
pour ce que le
sujet
en
fait
le
lieu
de sa
parole.
[
Lac66a
, p. 680]
*
Ça
parle
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 689]
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
trouve
sa
place
signifiante,
par une
antériorité
logique
à
tout
éveil du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
Le
message
de
l'homme
est
émis
du
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
sujet
a
accès
au
phallus,
à la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est
raison
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 694]
La
castration
suppose
la
subjectivité
de
l'Autre
en tant que
lieu
de sa
loi.
[
Lac66a
, p. 732]
*
Un
dévoilement
de
l'Autre
intéressé
dans le
transfert
peut
modifier
une
défense
commandée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 732]
*
Ce qui
ressurgit
dans
l'inconscient
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre,
soit le
phallus
désiré
par la
mère.
[
Lac66a
, p. 733]
Le
sujet
se
constitue
comme
signifié
d'une
relation
du
moi
à
l'autre,
puis à
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 751]
L'idéal-du-moi
se
forme
par l'adoption
inconsciente
de
l'image
de
l'Autre
en tant qu'il a la
jouissance
de ce
désir
[
Lac66a
, p. 752]
L'Autre
est
marqué
par le
signifiant.
est le
signifiant
de
l'Autre
qui est en
moi.
Le
désir
se
fixe
quelque part dans le
discours
de
l'Autre.
Un
fantasme,
est
entre
le
signifiant
de
l'Autre
et le
signifié
de
l'autre
.
Il y a une
division
entre
l'Autre
en tant que
parlant
et
l'autre
en tant
qu'imaginaire.
*
L'omnipotence
est
toujours
du coté de
l'Autre,
du coté du
monde
de la
parole
en tant que tel.
Le
partenaire
féminin,
en tant
qu'Autre
est ce qui
domine
toute
l'économie
de son
désir.
L'Autre
est
lieu
de la
parole
et
lieu
de la
loi.
*
Il y a un
rapport
entre
le
phallus
et le
grand
Autre.
*
Le
sujet
refuse
la
castration
de
l'Autre.
La
fonction
de
l'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
*
L'inconscient
se
présentifie
sous la
forme
du
discours
de
l'Autre.
Le
désir
est
toujours
dans cet
au-delà
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
Dans la
mesure
où c'est à
l'Autre
que le
sujet
s'adresse,
interviennent la
pudeur
et la
décence.
,
le
grand
Autre
est le
lieu
de la
vérité.
Dans la
parole
s'instaure
toujours
l'élément
tiers
qu'est le
lieu
de
l'Autre
où la
parole
s'inscrit
comme
vérité.
est le
signifiant
de
l'Autre.
cf
6.9.1
est le
signifié
de
L'Autre.
cf
6.9.1
Le
signifié
de
l'Autre
modèle
le
sens
du
dire.
cf
6.9.1
La
réponse
c'est le
signifiant
de
l'Autre
.
*
,
le
grand
Autre,
est,
non
pas un
être,
mais le
lieu
de la
parole.
Au
niveau
de
l'Autre,
un
signifiant
y
fait
défaut.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Je
pense
au
lieu
de
l'Autre.
Il n'y a dans
l'Autre
aucun
signifiant
qui
puisse
répondre
à la
question
de ce que
je
suis.
Le
phallus
dans
l'Autre
est indisponible.
Che vuoi?
exprime
la
subjectivité
constituée
dans
l'Autre.
cf:
6.17.1
Le
signifié
de
l'Autre
est la
somme
de
toutes
les
significations.
cf:
6.17.2
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
Le
de
l'Autre
c'est là que
s'articule
la
demande.
Le
sujet
apparaît
au
niveau
de
l'Autre
comme
soumis
à la
loi
de
tous.
Dans le
discours
de
l'Autre,
quelque
chose
fait
défaut
au
sujet.
L'inconscient
est le
discours
de
l'Autre.
Le
rapport
de
l'Autre
à la
demande
est le
rapport
le
plus
primordial
du
sujet
en tant que
lieu
de la
parole.
L'Autre
est
interpellé
dans la
demande
d'amour.
*
C'est pour autant que
l'Autre
est un
sujet
comme tel, que le
sujet,
à ce
moment,
s'instaure
et
peut
s'instituer
lui-même comme
sujet.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
Le
manque
se
produit
au
niveau
de
l'Autre,
en tant que
lieu
de la
parole.
Il y a
non-garantie
au
niveau
de la
vérité
de
l'Autre.
La
mère
donne
dans
l'Autre
la
première
forme
de
l'omnipotence.
L'Autre
est
marqué
des
nécessités
du
langage,
comme
lieu
de
l'articulation
de la
parole.
Le
sujet
se
constitue
comme
sujet
qui
parle
par
rapport
à
l'Autre
comme
sujet
de la
parole.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
marque
le
moment
de
fading
du
sujet
où le
sujet
ne
trouve
rien
dans
l'Autre
qui le
garantisse.
*
La
demande
institue
l'Autre
à qui elle
s'adresse
comme celui qui
peut
être
présent
ou
absent.
La
réponse
au
est
symbolisée
par la
signifiance
de
l'Autre
en tant que
.
cf:
6.22.1
.
*
Il n'y a
rien
dans
l'Autre.
Il n'y a
d'autre
garantie
de la
vérité
que la bonne
foi
de
l'Autre.
*
Le
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
du
sujet
a à se
situer
devant le
désir
de
l'Autre.
L'objet
phobique
est là pour
occuper
la
place
entre
le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre.
Le
sujet
peut
soutenir
son
désir
devant le
désir
de
l'Autre,
comme
désir
insatisfait
chez
l'hystérique.
*
Le
névrosé
ne
peut
être
le
phallus
qu'au
nom
de
l'Autre.
le
phallus
est le
désir
du
désir
de
l'Autre.
Le
désir
est
désir
du
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'Autre
est
articulé,
et
structuré
dans le
rapport
du
sujet
à la
parole.
Le
das Ding
est
l'Autre
préhistorique.
La
Chose,
en tant qu'elle est
voilée,
dans la
retrouvaille
de
l'objet,
est comme tel
représenté
par
Autre
chose.
*
le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
La
loi
est
fondée
sur
l'Autre.
s'indique
comme la
réponse
dernière
demandée
à
l'Autre
du
sens
de la
loi
qu'il
articule
pour nous au
plus
profond
de
l'inconscient.
*
S'il n'y a plus de
manque,
l'Autre
défaille,
le
signifiant
est celui de la
mort
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
L'Autre
est le site
préalable
du
pur
sujet
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 807]
C'est de
l'Autre
que le
sujet
reçoit
le
message
qu'il
émet.
[
Lac66a
, p. 807]
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 807]
L'Autre
est
témoin
de la
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
Par la
dimension
qu'il
constitue,
l'Autre
permet
de
distinguer
entre
tromperie
de la
parole
et
feinte.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
signifiant
exige
le
lieu
de
l'Autre
pour que la
parole
qu'il
supporte
puisse
mentir,
c'est-à-dire se poser comme
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 813]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 813]
Le
désir
de
l'homme
trouve
forme
comme
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 813]
Dans
l'inconscient
est le
discours
de
l'Autre,
il s'agit
d'à propos de
, par
détermination
objective.
[
Lac66a
, p. 814]
Dans le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre,
il s'agit de
détermination
subjective.
[
Lac66a
, p. 814]
Dans le
graphe
1.30.3
,
est le
signifiant
d'un
manque
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 818]
Le
manque
dans
l'Autre
provient
de ce qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 818]
Le
manque
de la
jouissance
fait
l'Autre
inconsistant.
[
Lac66a
, pp. 819–820]
Le
névrosé
est celui qui
identifie
le
manque
de
l'Autre
à sa
demande,
à
. [
Lac66a
, p. 823]
L'obsessionnel
nie
le
désir
de
l'Autre
en
formant
son
fantasme
à accentuer
l'impossible
de
l'évanouissement
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 824]
La
mère
est
l'Autre
réel
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 824]
*
Le
pervers
s'imagine
être
l'Autre
pour
assurer
sa
jouissance.
[
Lac66a
, pp. 824–825]
Le
névrosé
s'imagine
être
un
pervers
pour
s'assurer
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 825]
La
perversion
est dans
l'inconscient
du
névrosé,
en tant que
fantasme
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 825]
Le
névrosé
refuse
de
sacrifier
sa
castration
à la
jouissance
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 826]
L'Autre
n'existe
pas. [
Lac66a
, p. 826]
Le
névrosé
imagine
que
l'Autre
demande
sa
castration.
[
Lac66a
, p. 826]
Là où
c'était,
c'était
de
l'Autre
côté.
[
Lac84a
, p. 11]
Le
sujet
n'est
rien
que le
trou
par quoi
tout
Autre
est
séparé
de la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 15]
L'analyste
doit
offrir
la
place
vacante
au
désir
du
patient
pour qu'il se
réalise
comme
désir
de
l'Autre.
est un
Autre
perpétuellement
évanouissant.
Le
ressort
de la
naissance
de
l'amour
c'est que le
désir
dans sa
racine,
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
se
définit
comme le
désir
de
l'Autre.
Dans la
phase
orale,
ce n'est qu'à
l'intérieur
de la
demande
que
l'Autre
se
constitue
comme
reflet
de la
faim
du
sujet.
Le
signe
repose
dans
l'Autre
.
L'objet
phallus
c'est un
objet
privilégié
dans le
champ
de
l'Autre
qui
vient
en
déduction
du
statut
de
l'Autre.
La
place
du
signifiant
dans
l'Autre
est celle d'un
signifiant
manquant.
Le génitif présent dans le
désir
de
l'Autre
est à la
fois
subjectif
et
objectif.
Grand
est
l'Autre
du
sujet
parlant.
*
L'Autre
n'est pas un
sujet,
c'est un
lieu.
C'est en
prenant
l'autre
pour un
autre
que le
sujet
met cet
autre
au
niveau
de
l'Autre.
La
chaîne
signifiante
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
*
L'Un
comme tel est
l'Autre.
L'objet
du
désir
est
l'effet
de
l'impossibilité
de
l'Autre
de
répondre
à la
demande.
Le
névrosé,
dans une
dépendance
à la
demande
de
l'Autre,
essaie
de
fonder,
d'instituer
son
désir.
Le
désir
se
constitue
d'abord,
de sa
nature,
comme ce qui est
caché
à
l'Autre
par
structure.
C'est
l'impossible
à
l'Autre
qui
devient
le
désir
du
sujet.
*
Le
désir
se
constitue
comme la
partie
de la
demande
qui est
cachée
à
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
*
L'hystérique
se
pose
comme
signe
de quelque
chose
à quoi
l'Autre
pourrait
croire.
*
L'Autre
est
marqué
du
signifiant.
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
*
L'Autre
c'est la
loi.
L'Autre
c'est la
jouissance
en tant
qu'interdite.
*
L'Autre
est à
être,
il n'est donc pas.
L'Autre
est le
lieu
où se
déploie
la
chaîne
signifiante.
Le
seul
Autre
réel
est ce dont
on
pourrait
jouir
sans
la
loi.
La
virtualité
de
l'Autre
le
définit
comme
lieu.
La
Chose
élidée,
réduite
à son
lieu,
voilà
l'Autre.
L'angoisse
passe
par le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
est le
produit
de
mon
désir
par le
désir
de
l'Autre,
ça
ne
peut
donner
qu'un
manque
.
*
L'angoisse
c'est la
sensation
du
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
La
sensation
d'angoisse
est le
désir
de
l'Autre.
L'angoisse
est la
sensation
du
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
névrosé,
c'est le
normal
en tant que pour lui
l'Autre
a
toute
l'importance.
Le
désir
n'est
concevable
pour
l'homme
qu'à partir de la
fonction
du
grand
Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
Le
névrosé
est
normal
dans sa
névrose,
parce qu'il a affaire à
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
où
s'ordonne
la
réalité
du
signifiant.
Le
désir
de
l'Autre
est le
point
nodal,
le
point
phallique.
L'objet
surgit
au
point
de
défaillance
de
l'Autre.
est ce que
l'Autre
désire
dans le
sujet
défaillant, dans le
fantasme
le
.
Le
sujet
instaure
l'objet
de la
castration
en un
Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
le “de” du
désir
de
l'Autre
est un génitif
objectif.
L'Autre
originaire
est le
lieu
du
signifiant.
Par
rapport
à
l'Autre,
dépendant
de cet
Autre,
le
sujet
s'inscrit
comme quotient.
Le
sujet
est
marqué
du
trait
unaire
du
signifiant
dans le
champ
de
l'Autre.
*
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre.
c'est
l'angoisse
de
castration
dans son
rapport
à
l'Autre.
Le
névrosé
ne recule pas devant la
castration,
mais de
faire
de sa
castration
ce qui
manque
à
l'Autre.
L'Autre
se
dérobe
dans le
renvoi
indéfini
des
significations.
Le
sujet
pervers
s'offre
loyalement à la
jouissance
de
l'Autre.
L'angoisse
du cauchemar est
éprouvée
comme celle de la
jouissance
de
l'Autre.
Ce qui nourrit
l'émergence
du
signifiant,
c'est que
l'Autre
réel
ne
sache
pas.
*
Le
sadisme
rejette
dans
l'Autre
la
douleur
d'exister.
[
Lac66a
, p. 778]
Le
désir
se
supporte
d'un
fantasme,
dont une
partie
au
moins,
est dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 780]
L'origine
du
désir
est
désir
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 784]
Le
sujet
sadien
vise
que sa
division
de
sujet
lui soit
toute
entière
de
l'Autre
renvoyée.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
masochiste
entend
faire
apparaître
que le
désir
de
l'Autre
fait
de la
loi.
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre
comme
marqué
du
signifiant
avec un
reste
petit
.
L'angoisse
est ce qui est
commun
au
sujet
et à
l'Autre.
Pour que le
symptôme
puisse
être
interprété,
il faut qu'il y
ait
transfert
c'est-à-dire,
introduction
de
l'Autre.
Le
symptôme,
dans son
essence
n'est pas
appel
à
l'Autre.
L'expérience
du
miroir
est paradigmatique de la
constitution
du
moi
idéal
dans
l'expérience
de
l'Autre.
L'angoisse
c'est quand le
désir
de
l'Autre
ne me
reconnaît
pas.
Le
sujet
a à se
constituer,
sous les
espèces
primaires
du
signifiant,
au
lieu
de
l'Autre
sur le
donné
du
trésor
du
signifiant.
Le
est le
reste
irréductible
dans
l'opération
totale
de
l'avènement
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre.
L'existence
de
l'Autre
est
absolument
essentielle
chez le
sadique.
*
La
jouissance
ne
connaîtra
pas
l'Autre
sinon par ce
reste
.
*
Les manœuvres se
situent
à un
niveau
qui n'est pas
sans
rapport
avec
l'Autre.
*
Le
masochiste
vise
la
jouissance
de
l'Autre.
Ce que
vise
le
masochiste
c'est
l'angoisse
de
l'Autre.
Ce qui est
cherché
dans le
sadisme
c'est
l'angoisse
de
l'Autre.
Désirer
l'Autre
,
ce n'est
jamais
que
désirer
.
Le
lieu
de
l'Autre
est
lieu
du
signifiant.
Pour la
femme,
le
désir
de
l'Autre
est le
moyen
pour que sa
jouissance
ait
un
objet
convenable.
Le
n'est
supporté,
constitué
que par
l'intermédiaire
du
désir
de
l'Autre.
Il est
essentiel
pour le
masochiste
de tenter de
provoquer
l'angoisse
de
l'Autre.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
*
Au
niveau
de la
pulsion
orale,
le
point
d'angoisse
est au
niveau
de
l'Autre.
Le
point
d'angoisse
est au
niveau
de
l'Autre,
au
niveau
du
corps
de la
mère.
Le
désir
est
illusoire
parce qu'il
s'adresse
toujours
ailleurs,
à un
reste
constitué
par la
relation
du
sujet
à
l'Autre
qui
vient
s'y
substituer.
L'objet
fonctionne
comme
reste
de la
dialectique
du
sujet
à
l'Autre.
*
La
forme
,
mon
image,
ma
présence
dans
l'Autre
est
sans
reste.
*
C'est
l'Autre
qui
menace
de
castration.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
Principiellement,
c'est de
l'Autre
que
grand
reçoit
son
propre
message.
Tout
ce que le
sujet
reçoit
de
l'Autre
par le
langage,
est qu'il le
reçoit
sous une
forme
vocale.
Il est de la
structure
de
l'Autre
de
constituer
le
vide
de son
manque
de
garantie.
Le
sacrifice
est destiné à la
capture
de
l'Autre
comme tel dans le
réseau
du
désir.
L'angoisse
gît
dans le
rapport
fondamental
où le
sujet
est dans le
désir
de
l'Autre.
Dans
toute
avancée,
comme tel,
l'angoisse
apparaît
en
fonction
de son
rapport
au
désir
de
l'Autre.
est le
reste
de la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
en tant qu'il a à se
constituer
en
sujet
barré,
.
Le
symptôme
est
tout
entier
implicable
dans le
processus
de la
constitution
du
sujet
en tant qu'il a à se
faire
au
lieu
de
l'Autre.
L'objet
oral
n'est pas
besoin
de
l'Autre,
mais
besoin
dans
l'Autre,
au
niveau
de
l'Autre.
Pour
l'objet
anal
il y a la
demande
dans
l'Autre.
La
jouissance
dans
l'Autre,
axe
de la
sexualité,
est
marquée
de
l'instrument
manquant
que
désigne
.
L'axe
ce la
jouissance
dans
l'Autre
est
marqué
de
l'angoisse
de
castration.
Au
niveau
scopique,
celui du
fantasme,
se
manifeste
la
puissance
dans
l'Autre,
le
mirage
du
désir
humain.
Pour
l'obsessionnel,
le
désir
dans
l'Autre
est
essentiellement
refoulé.
Pour
couvrir
le
désir
de
l'Autre,
l'obsessionnel
a
recours
à sa
demande.
*
L'évitement
de
l'obsessionnel
c'est la
couverture
du
désir
dans
l'Autre
par la
demande
dans
l'Autre.
*
est
lié
à la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
et le
représente.
*
La
jouissance
de la
femme
est en elle-même, elle ne la
conjoint
pas à
l'Autre.
*
Le
symbole
du
don
est
essentiel
à la
relation
à
l'Autre.
L'angoisse
se
manifeste
d'une
façon
complexe
au
désir
de
l'Autre.
La
fonction
angoissante
du
désir
de
l'Autre
est
liée
au
fait
que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour ce
désir.
L'angoisse
est
liée
à ceci que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour le
désir
de
l'Autre.
*
L'angoisse
paraît
avant
toute
articulation
comme telle de la
demande
de
l'Autre.
L'objet
se
trouve
à
être
le
premier
support
à
l'Autre
de la
subjectivation.
Le
,
marqué
comme
cause
du
désir,
se
définit
comme un
reste
irréductible
à la
symbolisation
au
lieu
de
l'Autre.
L'objet
est le
désirant
d'un
manque
qui n'est pas un
manque
du
sujet,
mais d'un
défaut
fait
à la
jouissance
qui se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
*
Il n'y a de
surmontement
de
l'angoisse
que quand
l'Autre
s'est
nommé.
L'objet
est à
situer
comme tel dans le
champ
de
l'Autre,
c'est ce qui rend
possible
le
transfert.
*
Dans
l'angoisse,
le
sujet
est
affecté
par le
désir
de
l'Autre.
*
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
Le
transfert
n'a pas de
nom
au
champ
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
5
.
41
La
place
de
l'Autre
où se
constitue
le
sujet
est
située
entre
perception
et
conscience.
Le
regard
que
rencontre
le
sujet
et qui le
surprend,
est un
regard
imaginé
au
champ
de
l'Autre.
Le
regard
opère
dans une descente de
désir
à
l'Autre,
au bout duquel est le
donné
à
voir.
*
Le
désir
de
l'homme
est
désir
de
l'Autre.
Le
grand
Autre
est le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est
virtuellement
le
lieu
de la
vérité.
L'Autre
est déjà là dans
toute
ouverture,
même
fugitive, de
l'inconscient.
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
se
constitue
comme
idéal.
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
se
constitue
dans sa
réalité
imaginaire,
ou
moi-idéal.
Le
sujet
se
voit
dans
l'espace
de
l'Autre.
Le
sujet
se
regarde
depuis
l'espace
de
l'Autre.
Le
sujet
parle
depuis
l'espace
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
passage
de la
pulsion
orale
à la
pulsion
anale
se
produit
par
l'intervention,
le
renversement,
de la
demande
de
l'Autre.
Le
sujet
n'est
sujet
que
d'être
assujettissement
au
champ
de
l'Autre.
L'assujettissement
du
sujet
au
champ
de
l'Autre
est
synchronique.
Le
premier
signifiant
surgit
au
lieu
de
l'Autre.
*
Le
sujet,
in-initio
,
commence
au
lieu
de
l'Autre
en tant que là
surgit
le
premier
signifiant.
*
Le
sujet
naît,
en tant qu'au
champ
de
l'Autre,
surgit
le
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où se
situe
la
chaîne
du
signifiant.
Le
champ
de
l'Autre
est le
champ
de ce
vivant
où le
sujet
a à
apparaître.
Ce qu'il faut
faire
comme
homme
ou comme
femme,
l'être
humain
a
toujours
à
l'apprendre
de
toutes
pièces
de
l'Autre.
Deux
manques
se
recouvrent,
le
sujet
dépend
du
signifiant
situé
d'abord
au
champ
de
l'Autre
et le
manque
réel,
que
constitue
la
perte
d'une
part
du
vivant
à la
naissance.
L'entaille
du
tatouage
ou de la scarification a la
fonction
d'être
pour
l'Autre.
La
relation
du
sujet
à
l'Autre
s'engendre
toute
entière
dans un
processus
de
béance.
Entre
le
sujet
et
l'Autre
les
procès
sont à
définir
comme
circulaires.
Le
processus
entre
le
sujet
et
l'Autre
est
dissymétrique.
*
Le
signifiant
se
produisant
au
champ
de
l'Autre,
fait
surgir
le
sujet
de sa
signification.
Au
champ
de
l'Autre,
la
caractéristique
du
sujet
de
l'inconscient
est
d'être
à une
place
indéterminée.
Un
manque
est, par le
sujet,
rencontré
dans
l'Autre,
dans
l'intimation
même
que lui
fait
l'Autre
par son
discours.
Le
désir
de
l'Autre
est
appréhendé
par le
sujet,
dans ce qui ne
colle
pas, dans les
manques
du
discours
de
l'Autre.
La
dialectique
des
objets
du
désir
fait
le
joint
du
désir
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
Le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre,
c'est le
même.
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre.
*
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre
en tant que le
premier
signifiant,
le
signifiant
unaire,
surgit
au
champ
de
l'Autre,
et qu'il
représente,
comme tel, le
sujet
pour un
autre
signifiant.
C'est dans
l'intervalle
entre
le
signifiant
unaire
et le
signifiant
binaire,
que
gît
le
désir
offert au
repérage
du
sujet,
dans
l'expérience
du
discours
de
l'Autre.
C'est en tant que le
désir
de
l'Autre
est
au-delà
ou en-deçà de ce qu'il
dit,
de ce qu'il
fait
surgir
comme
sens,
c'est en tant que son
désir
est
inconnu,
c'est en ce
point
de
manque,
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Ce n'est qu'au
niveau
du
désir
de
l'Autre,
que
l'homme
peut
reconnaître
son
désir.
La
dialectique
du
désir
du
sujet
se
constitue
du
désir
de
l'Autre.
Les
significations
dialectisées
dans le
rapport
du
désir
de
l'Autre
donnent
au
rapport
du
sujet
à
l'inconscient
une
valeur
déterminée.
C'est le
signifiant
de
l'Autre
qui
détermine
la
fonction
du
trait
unaire.
La
science
se
situe
au
niveau
de la
dialectique
du
sujet
à
l'Autre,
comme celui de la
séparation.
*
L'Autre
est la
dimension
exigée
de ce que la
parole
s'affirme
en
vérité.
[
Lac66a
, p. 839]
L'inconscient
est
entre
le
sujet
et
l'Autre
leur
coupure
en
acte.
[
Lac66a
, p. 839]
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
L'Autre
est pour le
sujet
le
lieu
de sa
cause
signifiante.
[
Lac66a
, p. 841]
Il n'y a
d'accès
à
l'Autre
du
sexe
opposé
que par la
voie
des
pulsions
partielles.
[
Lac66a
, p. 849]
Le
désir
est
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 852]
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
qui est
propre
au
sujet.
La
demande
est
essentiellement
ce en quoi le
discours
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
Tout
ce qui se
dit
au
lieu
de
l'Autre
est une
demande.
*
La
demande
est
définie
comme le
discours
qui
vient
expressément
s'inscrire
au
lieu
de
l'Autre.
La bouteille de
K
LEIN
fonctionne
dans
l'espace
de
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole.
5
.
42
L'idéal-du-moi
marque
le
départ
du
sujet
au
champ
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
L'Autre
n'est pas
désiré.
*
L'Autre
est
désirant.
Le
désir
de
l'Autre
est au
cœur
de
l'objet
.
La
troisième
identification
est
identification
directe
du
désir
au
désir
par
communication
directe
du
désir
de
l'Autre.
Le
,
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
la
succession
des
signifiants.
est le
lieu
de
l'Autre,
lieu
où
l'Autre
est
présent.
L'analyste
se
doit
d'occuper
la
place
de
l'Autre.
La
demande
vient
toujours
au
joint
du
sujet
et de
l'Autre.
*
Le
désir,
c'est
toujours
le
désir
de
l'Autre.
L'analyse
est le
lieu
où se
vérifie,
d'une
façon
radicale,
que le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
*
C'est en tant que
je
suis
que
mon
désir
est le
désir
de
l'Autre.
Au
centre
de la
névrose
il y a
demande
de
l'Autre.
Au
centre
de la
perversion
il y a
jouissance
de
l'Autre.
Au
centre
de la
psychose
il y a
angoisse
de
l'Autre.
Dans la
névrose,
c'est par
rapport
à la
demande
de
l'Autre
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
*
Le
désir
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
Ce que
l'Autre
demande,
n'est pas ce qu'il
désire.
*
L'hystérique
charge un
tiers
de
répondre
à la
demande
de
l'Autre.
,
l'Autre
sait
qu'il ne
sait
rien.
Le
sujet
du “je parle”,
parle
au
lieu
de
l'Autre.
Au
lieu
de
l'Autre,
tout
ce qui
s'articule
comme
parole
se
pose
comme
vrai,
même et y compris le
mensonge.
La
parole
se
situe
au
champ
de
l'Autre
comme
support
de la
vérité.
L'Autre
est
marqué
de la
barre
qui le
réduit
à
l'alternative
de
l'existence
ou pas.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où est mise en
question
la
vérité
de la
demande.
*
Le
désir,
c'est
d'abord
le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
est à
mesurer
en
fonction
d'une
demande
de
l'Autre.
La
demande
de
l'Autre,
c'est
l'objet
fèces.
La
demande
à
l'Autre,
c'est
l'objet
sein.
*
Les
relations
du
sujet
à
l'Autre
ne sont pas
réciproques.
L'objet
est l'enjeu
fondateur,
pour le
sujet,
dans son
rapport
à
l'Autre.
L'objet
de la
demande
faite
à
l'Autre,
c'est
l'objet
sein.
L'objet
de la
demande
qui
vient
de
l'Autre,
c'est
l'objet
excrément.
La
dimension
du
désir
surgit
avec
l'avènement
d'un
objet
qui n'est pas
l'objet
de la
satisfaction
d'un
besoin
mais d'un
rapport
de la
demande
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
Pour le
névrosé,
sa
demande
vise
le
désir
de
l'Autre
et son
désir
vise
la
demande
de
l'Autre.
*
La
voix
n'est pas
seulement
l'objet
causal
mais
l'instrument
où se
manifeste
le
désir
de
l'Autre.
est le
lieu
de
l'Autre.
*
La
demande
à
l'Autre
demande
du
sein.
La
fonction
de
vérité
de la
parole
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
L'angoisse
surgit
de ceci que la
question
sur la
jouissance
ne lui
vient
que du
désir
de
l'Autre.
*
L'Autre
n'est en
aucun
cas
un
lieu
de félicité.
Le
petit
est à
l'intersection
du
sujet
et de
l'Autre.
La
réunion
du
sujet
à
l'Autre
définit
leur
liaison.
Le
est le
résultat
des
opérations
logiques
de
réunion
et
d'intersection
opérées
sur le
sujet
et
l'Autre.
identifie
le
lieu
de
l'Autre
qui est le
lieu
où se
produit
l'énoncé,
le
trésor
du
signifiant.
Dans le
langage,
notre
message
nous
vient
de
l'Autre,
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, p. 9]
Le
défilé
de la
parole
se
reproduit
chaque
fois
que le
sujet
s'adresse
à
l'Autre,
comme
absolu.
[
Lac66a
, p. 53]
L'Autre
peut
annuler
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 53]
C'est du
champ
de
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, pp. 55–56]
Dans le
schéma
1.2.2
,
est le
champ
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 55]
La
paranoïa
identifie
la
jouissance
dans le
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66b
, p. 74]
Le
fait
de
l'aliénation
est
essentiellement
fondé
sur le
rejet
de
l'Autre.
L'Autre
ne s'assure de
rien
d'autre
que de
l'instauration
de
l'être
comme
étant
l'être
du
je.
L'Autre
c'est ce qui
prend
fonction
d'être
le
lieu
de la
parole.
Le
seul
statut
qui vaille de
l'Autre
est celui de
lieu
de la
parole.
L'Autre
comme
lieu
de la
parole
n'est
rien
d'autre
que le
lieu
où
l'assertion
se
pose
comme
véridique.
L'Autre
n'a
aucune
autre
espèce
d'existence
que
d'être
le
lieu
de la
parole.
L'Autre
n'ayant
aucune
espèce
d'existence,
ne
peut
se
dire
mais
peut
s'écrire.
L'Autre
du
vécu
inaugural
de la
vie
de
l'enfant
doit
à un
moment
apparaître
comme
castré.
veut
dire
que
l'Autre
est
marqué.
*
L'Autre
est
marqué.
L'Autre
est le
champ
de la
vérité.
L'Autre
est au
premier
abord
marqué
par la
castration.
*
Le
désir
c'est le
désir
de
l'Autre.
L'Autre
barré
est le
lieu
où se
situe
l'affirmation
de la
parole.
L'Autre
n'existe
pas et pourtant il a une
Bedeutung
.
L'aliénation
c'est le
signifiant
de
l'Autre,
en tant qu'il
fait
de
l'Autre
un
champ
marqué
de la
même
finitude
que le
sujet
lui-même
.
Le
lieu
de
l'Autre
est
fracturé.
La
déchéance
permanente
de
l'Autre
est inextirpable du
donné
de
l'expérience
subjective.
Le
lieu
de
l'Autre
est
divisé.
*
Le
problème
de la
demande
se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
*
Le
désir
du
névrosé
tourne
autour de la
demande
de
l'Autre.
L'angoisse
de
l'Autre
est la
vraie
racine
de la
position
du
sujet
comme
position
masochique.
L'aliénation
c'est
l'élimination
ordinaire, en
terme
de
rejet
hors
du
seuil,
de
l'Autre.
Par
l'aliénation,
l'Autre
est
éliminé
en tant que
champ
clos et
unifié.
L'
acting-out
se
situe
à cette
place
élidée
où quelque
chose
se
manifeste
du
champ
de
l'Autre
éliminé,
mais sous une
forme
de
manifestation
véridique.
est la
division
de
l'Autre.
La
première
présentation
de
l'Autre
c'est la
mère.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
chaîne
signifiante
et ce qu'elle
supporte
de
vérité.
L'Un
et
l'Autre
constitue
la
dyade.
Le
est
l'enfant
métaphorique
de
l'Un
et
l'Autre
qui est
né
comme
déchet
de la
répétition
inaugurale.
Le
lieu
de
l'Autre
introduit
le
redoublement
du
champ
de
l'Un.
Le
champ
de
l'Un
s'oppose
en
miroir
au
champ
de
l'Autre.
Tout
ce qui est
identification
part
précisément pour le
sujet,
par
identification
à
l'idéal-du-moi,
au
niveau
de
l'Autre.
L'Un
du
trait
unaire
fait
l'unitif
entre
le
et le
grand
Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
le
discours
de la
vérité.
Le
corps
est le
lieu
de
l'Autre.
*
La clef de la
position
névrotique
tient
à ce
rapport
étroit
à la
demande
de
l'Autre
en tant qu'il
essaie
de la
faire
surgir.
*
L'Autre,
c'est le
réservoir
de
matériel
pour
l'acte.
L'Autre
c'est le
corps.
Quand
Un
fait
irruption
au
champ
de
l'Autre,
c'est au
niveau
du
corps.
Il n'y a
aucun
lien
entre
le
champ
de
l'Un
et le
champ
de
l'Autre.
L'Autre
c'est aussi
l'inconscient.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
Ce qui
coupe
l'Un
de
l'Autre
c'est très précisément cela qui
constitue
le
sujet.
L'Autre
n'est
Autre
que de
.
Le
lieu
de
l'Autre
est dans le
corps.
Le
corps,
lui-même, est
d'origine
ce
lieu
de
l'Autre
en tant que c'est là que
s'inscrit
la
marque
en tant que
signifiant.
*
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
L'Autre
c'est
l'ensemble
des
corps
dominés
par la
loi.
Le
pervers
vise
la
jouissance
de
l'Autre.
“Je ne
suis
pas” est du
côté
du “pour
l'Autre”.
*
Le
désir
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
langage
trouve
sa
place
au
lieu
de
l'Autre.
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
La
vérité
c'est, au
lieu
de
l'Autre,
l'inscription
du
signifiant.
Le
grand
Autre
est le
lieu
d'opération
du
langage.
[
Lac68e
, p. 18]
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac68d
, p. 35]
Le
désir
se
forme
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac68b
, p. 43]
*
Le
corps
fait
le lit de
l'Autre
par
l'opération
du
signifiant.
[
Lac68a
, p. 58]
Il n'y a, de
fait,
pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac70b
, p. 13]
Le
désir
du
sujet
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac70b
, p. 14]
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
L'Autre
est un
lieu
défini
comme
nécessaire
à la
primarité
de la
chaîne
signifiante.
*
L'Autre
en
aucun
cas
n'est
garant
de la
vérité.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
vient
prendre
place.
*
Tout
savoir
nous
vient
de
l'Autre.
*
Il y a
toujours
un
Autre
où est la tradition,
l'accumulation,
le
réservoir.
*
Ce n'est qu'au
niveau
de
l'Autre
que, ce qui
détermine
le
sujet
s'articule
en
savoir.
Le
champ
de
l'Autre
est ce
lieu
où
tout
discours
au
moins
se
pose.
*
Au
champ
de
l'Autre,
il n'y a pas de
possibilité
d'entière
consistance
du
discours.
*
Nulle
part
dans
l'Autre
ne
peut
être
assurée,
d'aucune
façon
la
consistance
de ce qui
s'appelle
vérité.
L'Autre
au
lieu
du
code
est le
trésor
du
langage.
Che vuoi?
c'est que veut-il?, que
veut
l'Autre?
indique
l'altérité
de
l'Autre.
C'est au
lieu
de
l'Autre
qu'est appendue la
possibilité
du
sujet
en tant qu'il se
formule
comme
lieu
de la
vérité.
L'objet
est le
trou
qui se
désigne
au
niveau
de
l'Autre.
*
L'Autre
n'enferme
nul
savoir
qui soit ni déjà là ni à
venir
dans un
statut
d'absolu.
*
L'Autre
ne
donne
que
l'étoffe
du
sujet,
soit sa
topologie.
*
C'est de son
désir
à
l'Autre,
que
je
suis.
La
condition
du
grand
Autre
est de ne pas se
contenir
lui-même.
L'Autre
est le
lieu
d'un
défaut
d'origine
porté dans la
parole.
Le
champ
de
l'Autre
est le
champ
de ce qui
s'articule
dans le
discours.
C'est à partir de la
structure
de
l'Autre
que
peut
se
définir
la
possibilité
du
tu.
C'est en tant que ce
champ
de
l'Autre
n'est pas
consistant
que
l'énonciation
prend
la
tournure
de la
demande.
C'est en tant que
l'Autre
n'est pas
consistant
que
l'énonciation
prend
la
tournure
de la
demande.
Toute
énonciation
se
fait
demande
de ce qui
manque
à
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
grand
Autre
est
constituant
du
sujet.
[
Lac84b
, p. 9]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac84b
, p. 15]
Le
lieu
de
l'Autre
n'est pas à
prendre
ailleurs
que dans le
corps.
[
Lac84b
, p. 17]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac84b
, p. 19]
Le
désir
se
joue
dans le
champ
de
l'Autre
tel qu'il
s'articule
comme
lieu
de la
parole.
C'est dans
l'Autre
qu'est
l'inconscient
structuré
comme un
langage.
La
jouissance
est ce
terme
qui ne
s'institue
que de son évacuation du
champ
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole
comme telle.
Ce qui
représente
le
sujet
ne
peut
se poser que comme
d'avant
l'Autre.
*
Le
pervers
est celui qui se consacre à
boucher
ce
trou
dans
l'Autre.
*
C'est à la
jouissance
de
l'Autre
que
l'exhibitionniste
veille.
Le
sadique
essaie
de
compléter
l'Autre
en lui ôtant la
parole,
mais en lui
imposant
sa
voix.
*
Le
névrosé
se
veut
être
l'Un
dans le
champ
de
l'Autre.
La
jouissance
de
l'instrument
phallus
fait
barrage
à la
jouissance
de
l'Autre.
L'objet
est
essentiellement
fondé
des
effets
de ce qui se
passe
au
champ
de
l'Autre,
du
symbolique,
du
rangement,
de
l'ordre,
du
rêve
de
l'unité,
de
l'imaginaire.
Le
sujet
subsiste
de
s'inscrire
dans le
champ
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
où
ça
se
sait.
Le
grand
Autre
est celui qui
sait.
L'Autre
est le
lieu
où le
savoir
s'institue.
*
Rien
n'indique
que
l'Autre
soit
Un.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
L'Autre
sait,
seulement
il n'est pas un
sujet.
Dans la
formule
,
désigne
le
signifiant
et
désigne
l'Autre
au titre de
l'ensemble
vide.
L'Autre
est un
ensemble
vide.
L'Un-en-plus,
l'ensemble
vide,
c'est
c'est-à-dire le
signifiant
de
l'Autre
inaugural.
Le
névrosé,
noté
veut
dire
que le
sujet
est
toujours
Autre,
mais qu'en
plus
cet
Autre
n'est pas le
bon.
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
*
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
*
Le
désir
du
maître
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Là où
c'était
le
plus-de-jouir,
le
jouir
de
l'Autre,
c'est là que
moi,
en tant que
je
profère
l'acte
psychanalytique,
je
dois
venir.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
message
du
sujet,
il le
reçoit
de
l'Autre
sous sa
forme
inversée.
De
l'autre
coté du
désir
est le site de
l'Autre,
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
discours
du
maître
montre
la
jouissance
comme
venant
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est
fait
pour que là s'y
inscrive
la
vérité.
Moins-Un
désigne
le
lieu
de
l'Autre.
[
Lac70d
, p. 61]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
La
démansion
,
c'est la
résidence,
le
lieu
de
l'Autre,
de la
vérité.
Le
plus-de-jouir
prend
sa
source
dans le
champ
d'où
tout
part,
l'effet
du
langage
dans le
désir
de
l'Autre.
La
femme
c'est la
lettre
en tant qu'elle est le
signifiant
qu'il n'y a pas
d'Autre.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
*
Le
grand
Autre
ça
n'existe
pas.
Tout
ce qui
s'inscrit
dans le
langage
n'est
pensable
que par
référence
au
grand
Autre.
La
principale
caractéristique
du
grand
Autre
c'est qu'il
n'existe
pas.
est le
signifiant
de la
non-existence
du
grand
Autre.
*
On
ne
jouit
que de
l'Autre.
On
ne
jouit
que de
l'Autre,
mais pas
sexuellement.
On
jouit
mentalement
de
l'Autre.
est la
formule
qu'on
jouit
mentalement
de
l'Autre.
Le
corps
de
l'autre
symbolise
l'Autre.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
5
.
43
qui le
symbolise,
n'est pas le
signe
de
l'amour.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Encore,
c'est le
nom
propre
de cette
faille
d'où, dans
l'Autre,
part
la
demande
d'amour.
La
demande
d'amour
part
de
l'Autre.
*
Le
phallus
c'est
l'objection
de
conscience
faite
par un des
deux
êtres
sexués
au
service
à
rendre
à
l'Autre.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
ne se promeut que de
l'infinitude.
*
Il y a un
lieu
de
l'Autre.
La
jouissance
de
l'Autre
n'est pas le
signe
de
l'amour.
Le
corps
symbolise
l'Autre
dans sa
jouissance.
La
jouissance
de
l'Autre
c'est proprement celle de
l'Autre
sexe.
La
jouissance
est de
l'Autre.
[
Lac75f
, p. 9]
Le
lieu
de
l'Autre
est ce où
s'inscrivent
les
effets
de la
parole.
L'Autre
est
absent
à partir du
moment
où il s'agit du
rapport
sexuel.
*
La
femme
n'est pas le
lieu
de
l'Autre.
La
femme
n'est pas
l'Autre
dans la
fonction
que le
est le
lieu
de la
vérité.
Le
grand
Autre
est au
lieu
où se
situe
la
parole.
est le
lieu
de
l'Autre.
L'Autre
comme
lieu
ne
tient
pas, car il y a en ce
lieu,
une
faille,
un
trou,
un
lieu
de
perte.
L'objet
vient
fonctionner
au
regard
de la
perte
dans
l'Autre.
La
jouissance
de
l'Autre
est
symbolisée
par le
corps.
La
jouissance
de
l'Autre
n'est pas le
signe
de
l'amour.
L'Autre,
cela ne
peut
être
que
l'Autre
sexe.
L'Autre
est le
lieu
de la
vérité.
Entre
l'homme
et la
femme
se
situe
un
certain
Autre.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
ne
peut
s'inscrire
qu'en
vérité.
L'Autre
a quelque
rapport
avec
l'autre
sexe.
L'être
de la
signifiance
n'a
d'autre
lieu
que le
lieu
de
l'Autre.
,
le
sujet
barré
n'a
jamais
affaire, en tant que
partenaire
sexuel,
qui est
l'Autre,
qu'à
l'objet
.
cf:
20.8.1
est ce
lieu
de
l'Autre,
là où
s'inscrit
tout
ce qui
peut
s'articuler
du
signifiant.
La
femme
a
rapport
au
signifiant
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
C'est en tant que sa
jouissance
est
radicalement
Autre
que
femme
a
plus
rapport
à
Dieu.
femme
a affaire à
l'Autre.
cf:
20.8.1
*
Dans
l'Autre,
ça
sait
parce que
ça
se
supporte
des
signifiants
dont se
constitue
le
sujet.
L'Autre
est le
lieu
où le
signifiant
se
pose.
La
dit-mansion
est la
résidence
du
dit
dont le
savoir
pose
l'Autre
comme
lieu.
Le
savoir
est dans
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
ne
sait
rien.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
d'être
déposée,
fonde
la
vérité
avec le
pacte
qui
supplée
à
l'inexistence
du
rapport
sexuel.
*
Le
partenaire
de
l'autre
sexe
reste
l'Autre.
Je
vient
se
substituer
à
l'Autre
sous la
forme
de la
cause
du
désir.
*
L'Autre
ne se
présente,
pour le
sujet,
que sous une
forme
a-sexuée
.
L'Autre
se
différencie
de
l'Un.
L'Autre
c'est
l'
Un-en-moins
.
La
jouissance
de
l'Autre
n'est pas le
signe
de
l'amour.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
Dans la
jouissance
perverse,
l'Autre
se
réduit
à
l'objet
.
*
La
structure
est ponctuée pas le
désir
de
l'Autre.
Le
sujet
est
déterminé
dans son
inconscient,
par le
désir
de
l'Autre.
Unien
désigne
l'identification
de
l'Autre
à
l'Un.
[
Lac74b
, p. 41]
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac74b
, p. 63]
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
Ce qui nous
possède
comme
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Il n'y a
d'Autre
qu'à le
dire.
L'objet
raye
l'Autre.
L'Autre
est la
matrice
à
double
entrée
dont le
constitue
l'une de ses
entrées.
*
Ce qu'il en est de
l'inconscient
se
localise
au
lieu
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
Dans la
jouissance
de
l'Autre
il s'agit d'un génitif
objectif.
Le
symbolique
c'est qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
Au
symbolique
lieu
de
l'Autre,
rien
n'est
supposé.
*
Il n'y a pas de
jouissance
de
l'Autre
en ceci qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
L'Autre
de
l'Autre
réel
est
impossible.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
*
À la
place
de
l'Autre
de
l'Autre,
il y a
aucun
ordre
d'existence.
L'inconscient
reste
l'Autre.
L'inconscient
est, dans
l'Autre,
porteur
des
signifiants.
Le
signifiant
est le
signifiant
que
L'Autre
n'existe
pas.
*
L'Autre
manque.
[
Lac82b
, p. 83]
Suivant:
autrui
Remonter:
5.1 A
Précédent:
autre
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08