Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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Index
parole, parler
Le
symptôme
est
langage
dont la
parole
doit
être
délivrée. [
Lac66a
, p. 269]
L'homme
parle
parce que le
symbole
l'a
fait
homme.
[
Lac66a
, p. 276]
Dans la
folie
il y a la
liberté
négative
d'une
parole
qui a
renoncé
à se
faire
reconnaître.
[
Lac66a
, p. 279]
Dans la
folie,
l'absence
de
parole
se
manifeste
par les
stéréotypies
d'un
discours
où le
sujet
est
parlé
plutôt qu'il ne
parle.
[
Lac66a
, p. 280]
Pour
libérer
sa
parole,
le
sujet
est
introduit,
par la
psychanalyse,
au
langage
de son
désir.
[
Lac66a
, p. 293]
La
parole
introduit
un
effet
de
signifiant.
[
Lac66a
, p. 296]
La
parole
a une
fonction
symbolisante.
[
Lac66a
, p. 296]
La
parole,
dans sa
fonction
symbolisante,
va
transformer
le
sujet
à qui elle
s'adresse,
par le
lien
qu'elle
établit
avec celui qui
l'émet.
[
Lac66a
, p. 296]
La
responsabilité
de
l'analyste
chaque
fois
qu'il
intervient
par la
parole,
est de
reconnaître
ou d'abolir le
sujet
comme tel. [
Lac66a
, p. 300]
La
parole
est un
don
de
langage.
[
Lac66a
, p. 301]
L'analyse
a pour
but
l'avènement
d'une
parole
vraie.
[
Lac66a
, p. 302]
La
parole
a
essentiellement
une
valeur
d'évocation.
[
Lac66a
, p. 295]
La
parole
joue
le
rôle
de
médiation.
Le
surmoi
est une
parole
qui ne
dit
rien.
Le
surmoi
est une
parole
qui
interdit.
L'action
de la
parole
fonde
l'homme
dans son
authenticité.
Le
langage
n'est que
moyen
dans
l'action
de la
parole.
La
parole
consiste,
pour le
sujet
à se
faire
reconnaître.
*
Le
réel
à quoi
l'analyste
s'affronte est un
homme
qu'il faut laisser
parler.
La
parole
a un
caractère
fondamentalement
équivoque
en tant que sa
fonction
est de celer autant que de
découvrir.
Mot
et
parole
dans le
langage
sont les
deux
termes
de
substitution
combinatoire
du
signifiant
et de
transsubjectivité
fondamentale
du
signifié.
Le
rapport
symbolique
de la
parole
prise
en tant que telle est un
tiers
élément.
La
parole
est
médiation
entre
le
sujet
et
l'autre.
L'expérience
analytique
cherche
à
révéler
l'autre
face
de la
parole.
Le
fond
inconscient
du
sujet
se
révèle
dans la
parole
pleine.
La
parole
verworfen
est
parole
rejetée
par le
sujet.
La
situation
du
sujet
est
essentiellement
caractérisée
par sa
place
dans le
monde
symbolique,
dans le
monde
de la
parole.
*
L'introjection
est
toujours
introjection
de la
parole
de
l'autre.
Le
sujet
est
intégré
au
système
symbolique
et s'y exerce et s'y
affirme
par
l'exercice
d'une
véritable
parole.
L'acte
de la
parole,
en tant que
fonctionnement
symbolique,
est coordonné à
tout
un
système
symbolique
déjà établi.
La
fonction
symbolique
est
exactement
la
même
chose
que la
fonction
de la
parole.
L'analyse
attend
du
sujet
une
parole
pleine.
Le
surmoi,
à la
différence
de
l'idéal-du-moi
se
situe
essentiellement
sur le
plan
symbolique
de la
parole.
Le
surmoi
est la
parole
même,
le
commandement
de la
loi.
La
parole
pleine
vise,
forme
cette
vérité
s'établissant dans la
reconnaissance
de l'un par
l'autre.
Par une
parole
pleine,
un des
sujets
se
trouve
après,
autre
qu'il
n'était
avant.
Aux
niveaux
de la
parole,
dans sa
fonction
de
reconnaissance,
il y a
deux
plans,
le
plan
de la
reconnaissance
de la
parole
en tant qu'elle
lie
entre
les
sujets
ce
pacte
par où les
sujets
eux-mêmes sont
transformés,
sont établis comme
sujets
humains
et
communiquant,
et
l'ordre
du
communiqué.
Dans la
parole
est mis l'accent sur un
objet,
c'est à dire quelque
chose
qui est
considéré
comme
extérieur
à la
parole.
Le
transfert
efficace
c'est
l'acte
de la
parole.
*
Chaque
fois
qu'un
homme
parle
à un
autre
d'une
façon
authentique
et
pleine,
c'est un
transfert
de
sens
où il se
passe
quelque
chose
qui
change
littéralement
la
nature
des
deux
êtres
en
présence.
La
censure
est une
instance
symbolique
qui
parle.
C'est la
parole,
la
fonction
symbolique
qui
peut
définir
le
plus
ou
moins
grand
degré
de perfection, de
complétude,
d'approximation de
l'imaginaire.
C'est
l'échange
symbolique
qui
lie
les
êtres
humains
et qui
fait
de la
parole
une
sorte
de
lien.
L'
Ich-Ideal,
en tant que
parlant
vient
se
situer
dans le
monde
des
objets,
au
niveau
de
l'
Ideal-Ich
.
Je
est une
référence
parlée.
L'analyse
emprunte
la
voie
paradoxale
qui
consiste
à extraire la
parole
du
langage.
La
parole
a
fonction
de
reconnaissance;
c'est la
dimension
par où le
désir
du
sujet
est
authentiquement
intégré
sur le
plan
symbolique.
La
conjonction
de la
parole
du
sujet
est un
tiers
élément
au
moment
significatif
d'émergence
du
désir.
C'est dans la
conjonction
de la
parole
avec le
désir,
au
moment
où il est par le
sujet
ressenti,
que se
trouve
le
moment
fécond.
Le
sujet
parlant
est un
sujet
en ceci qu'il est
capable
de
mentir,
c'est à dire qu'il est
différent
de ce qu'il
dit.
Dans le
sujet
humain,
il y a quelque
chose
qui
parle
et donc il y a quelque
chose
qui
ment.
L'être,
le
verbe
même,
n'existe
que dans le
registre
de la
parole
qui
introduit
le
creux
de
l'être
dans la
texture
du
réel.
La
parole
existe
d'abord
dans le
registre
de la
reconnaissance.
La
parole
s'institue
dans la
structure
du
monde
sémantique
qui est celui du
langage.
Derrière
les
dialectiques
des
vouloir
dire
des
discours
il y a la
fonction
créatrice
de la
parole.
Dans
l'essence
de la
parole,
il y a le
concept.
*
L'élément
est une
dimension
essentielle,
mais
primordiale,
de
tout
ce qui est
d'ordre
de la
parole.
Faire
une
analyse
de
transfert,
c'est
trouver
dans un
acte
son
sens
de
parole.
*
La
parole
est le
milieu
même
dans lequel se
déplace
l'analyse.
*
C'est par
rapport
à la
fonction
de la
parole
que les
différents
ressorts de
l'analyse
prennent
leur
sens,
leur
place
exacte.
Toute
parole
formulée
comme telle
introduit
une
émergence
du
sens
dégageant du
réel
la
dimension
de la
vérité.
Tous les
actes
manqués
et
toutes
les
paroles
qui achoppent, sont des
paroles
qui
avouent
et des
actes
qui
réussissent
dans le
sens
d'une
vérité
qui
essentiellement
ment.
*
Par son
corps
même,
le
sujet
émet
une
parole
qui, comme telle, est
parole
de
vérité.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
*
La
réalité
humaine
est une
réalité
de
parole.
Le
domaine
de la
violence
commence
aux confins où la
parole
se démet. [
Lac66a
, p. 375]
Dans
l'analyse,
le
rêve
ne vaut que comme
vecteur
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 378]
La
parole
pleine
se
définit
par son
identité
à ce dont elle
parle.
[
Lac66a
, p. 381]
Le
langage
est quelque
chose
de
matériel
qui est
l'instrument
de la
parole.
La
répétition
est à
concevoir
comme
liée
à un
processus
circulaire
de
l'échange
de la
parole,
à un
circuit
symbolique
extérieur
au
sujet.
La
parole
est le
rapport
de
l'homme
au
langage.
*
La
parole
est
toujours
un
médiateur
entre
deux
sujets.
*
Le
rêve
est une
sorte
d'acte
qui est
l'acte
de la
parole.
C'est parce qu'il y a un
inconscient,
un
au-delà
de
l'ego,
un
sujet
qui
parle
et pourtant
inconnu
du
sujet,
qu'il faut
supposer
un
autre
principe.
C'est de
l'Autre
qu'il s'agit quand il s'agit de la
fonction
de la
parole.
L'humain
ne
sait
pas
pourquoi
il
parle.
Parole
et
langage
ne se
confondent
pas.
Chacun des
choix
de
l'homme
est une
parole.
*
La
question
du
sens
vient
avec la
parole.
*
La
parole
s'intercale
comme
élément
de
révélation
entre
le
discours
universel
et le
langage.
*
La
parole
s'introduit
à partir du
moment
où le
sujet
fait.
*
Il y a
derrière
tout
discours
une
vraie
parole.
Ce qui tend à se
répéter
est une
parole
qui
insiste.
Ce dont il s'agit dans la
réalisation
symbolique
du
sujet
est
toujours
création
symbolique,
relation
de la
parole.
*
C'est
toujours
le
moi
qui
parle.
Le
sujet
psychotique
parle
avec son
moi.
L'émetteur
de la
parole
humaine
est
toujours
en
même
temps
un
récepteur.
L'être
humain
entend
le
son
de ses
propres
paroles.
La
parole
c'est
avant
tout
parler
à
d'autres.
Parler
à
l'autre,
c'est
faire
parler
l'Autre
comme tel.
La
parole
parle
de
l'autre
en tant
qu'objet.
*
La
parole
est
toujours
pacte.
Le
sujet
parle
à
l'analyste
de quelque
chose
qui lui a
parlé.
Dans la
psychose,
le
sujet
parlant
ne
parle
pas à
l'autre,
ni de
l'autre,
mais
parle
avec
l'Autre.
Dans la
psychose,
la
part
de
sujet
qui
parle,
c'est
l'inconscient.
Dans la
psychose,
l'inconscient
c'est quelque
chose
qui
parle
dans le
sujet.
Dans la
psychose,
il y a quelque
chose
qui
parle
dans le
sujet,
au-delà
du
sujet.
*
Dans le
cas
du
sujet
et de la
parole
délirants,
l'Autre
est
exclu
véritablement.
Il y a
trois
objets
dans la
parole,
signifiant,
signifié,
et
discours
réel
concret.
Le
mécanisme
du
refoulement
relève de
l'impossibilité
d'accorder
un
certain
passé
de la
parole
du
sujet.
La
parole
intègre les
trois
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans la
parole,
le
symbolique
est
représenté
par le
signifiant.
Dans la
parole,
l'imaginaire
est
représenté
par la
signification.
Dans la
parole,
le
réel
est le
discours
dans sa
dimension
diachronique.
Il
existe
dans le
discours
constitué
la
parole
constituante.
[
Lac66a
, p. 337]
La
parole
donne
au
sens
son
support
dans le
symbole
qu'elle
incarne
par son
acte.
[
Lac66a
, p. 351]
La
parole
est un
acte.
[
Lac66a
, p. 351]
La
parole
suppose
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 351]
La
vraie
parole
s'oppose
au
discours
vrai.
[
Lac66a
, p. 351]
La
vraie
parole
constitue
la
reconnaissance
par les
sujets
de leurs
êtres
en ce qu'ils y sont
inter-essés
.
[
Lac66a
, p. 351]
*
L'homme,
dans la
subordination
de son
être
à la
loi
de la
reconnaissance,
est traversé par les avenues de la
parole.
[
Lac66a
, p. 352]
*
Le
discours
de la
tromperie
et de
l'erreur
n'est pas
sans
témoigner
de
l'existence
de la
parole
où se
fonde
la
vérité.
[
Lac66a
, p. 353]
*
L'analyste
doit
aspirer à telle
maîtrise
de sa
parole
qu'elle soit
identique
à son
être.
[
Lac66a
, p. 359]
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
[
Lac66a
, p. 409]
*
Il n'est
parole
que de
langage.
[
Lac66a
, p. 412]
Ça
parle,
là où
ça
souffre.
[
Lac66a
, p. 413]
L'Autre
parle
à
l'analyste,
dans le
discours
que
l'autre
tient
devant lui. [
Lac66a
, p. 430]
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
le
je
qui
parle
avec le
je
qui
entend.
[
Lac66a
, p. 431]
Le
lieu
du
sujet
s'étend dans le
sujet,
aussi loin qu'y règnent les
lois
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 431]
Le
sujet
est
responsable
de la
dette
symbolique,
en tant que
sujet
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 434]
La
parole
a
trois
étapes,
le
signifiant,
la
signification,
le
discours.
*
Toute
la
névrose
est une
parole
qui
s'articule.
Le
réel
définit,
par
rapport
à
l'acte
de la
parole,
un
champ
différent
du
symbolique.
Dans
l'expérience
analytique,
le
monde
est
incurvé
dans la
perspective
de la
parole.
Le
lien
entre
l'ouïr
et le
parler
n'est pas simplement
externe.
Au
moment
où le
signifiant
entraîne
la
signification,
l'ouïr
et le
parler
sont comme
l'endroit
et
l'envers.
Dans la
psychose,
le
moi-idéal
parle.
Dans la
psychose,
le
moi-idéal
est une
fantaisie
qui
parle,
une
fantaisie
parlée.
L'Autre
est
corrélatif
nécessaire
de la
parole.
L'analyse
est
étroitement
liée
aux
phénomènes
du
langage
et à
l'acte
de la
parole.
Les
paroles
imaginaires
du
sujet,
et
,
recouvrent
la
relation
spéculaire,
celle du
stade
du
miroir.
Le
sujet
commence
par
parler
de lui; quand il aura
parlé
de lui à son
analyste,
son
analyse
sera
terminée.
Le
sujet
parle
de son
moi,
.
Le
sujet
ne
sait
pas à qui il
parle
puisqu'il ne
sait
pas qui
parle
en lui.
Lorsque
l'analyste
entre
dans le
couplage
de la
résistance,
il
parle
alors en
,
il se
voit
alors dans le
sujet.
*
C'est
toujours
par
l'intermédiaire
de
l'Autre
que se
réalise
toute
parole
pleine.
Dans
l'Autre,
l'être
se
réalise
par un
aveu
de la
parole.
Le
sujet
avoue,
se
reconnaît,
et se
fait
reconnaître
dans
l'Autre
en tant que
fondamental
de la
parole.
Le
subjectif
n'est pas du
côté
de celui qui
parle.
Le
langage
parle
du
langage.
Le
sujet
prend
la
parole
en
partie
à son
insu.
Un des
motifs
d'entrée
dans la
psychose
est lorsque le
sujet
est amené à
prendre
la
parole.
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
le
je
qui
parle
avec celui qui
entend.
*
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
celui qui
parle
avec celui qui
écoute.
L'Autre
doit
être
d'abord
comme un
lieu
où la
parole
se
constitue.
Dans la
psychose,
ça
parle.
Le
sujet
reçoit
de
l'Autre
son
propre
message
sous la
forme
d'une
parole
inconsciente.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
L'objet
est
parlé
d'une
façon
implicite
chaque
fois
qu'entre
en
jeu
la
notion
de
réalité.
le
signifiant
et le
signifié
sont les
deux
niveaux
de la
parole.
L'humain
ne
sait
pas
pourquoi
il
parle.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
supposé
est le
sujet
dans lequel la
parole
se
constitue.
Les
paroles
restent.
[
Lac66a
, p. 27]
Les
paroles
entraînent une
dette
ineffaçable.
[
Lac66a
, p. 27]
Le
grand
Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
parole
inconsciente.
Le
grand
Autre
c'est le
en tant qu'il est
parole,
histoire,
mémoire,
structure
articulée.
De par sa
nature
de
parole,
un
message
est
reçu
de
l'Autre
sous
forme
inversée.
La
métonymie
fait
entendre
quelque
chose
en
parlant
de quelque
chose
de
tout
à
fait
autre.
L'incorporation
de certaines
paroles
est à
l'origine
de la
formation
précoce
du
surmoi.
La
structure
de la
parole
implique
dans
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
Le
signifiant
est
introduit
dans le
réel
à partir du
moment
où
on
parle.
L'Autre
absolu
est le
siège
de la
parole.
Au
début
l'enfant
ne
perçoit
de la
parole
de
l'adulte
que sa
structure
avant
d'en
percevoir
le
sens.
La
perception
de la
structure
de
parole
est la
première
forme
de la
conception
du
surmoi.
L'Autre
est le
siège
de la
parole
et
garant
de la
vérité.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.1
, est le
discours
concret
de celui qui
parle.
La
dialectique
du
refus
est
essentielle
à
soutenir
dans son
essence
de
demande,
ce qui se
manifeste
par la
voie
de la
parole.
Le
sujet
ne
parle
jamais
sans
une certaine
intention
de
signification.
Je
parle
forcément dans le
double
registre
de la
métonymie
et de la
métaphore.
Dans
l'inconscient,
ça
parle.
[
Lac66a
, p. 437]
Le
langage
ne se
confond
pas avec les diverses
fonctions
somatiques
et
psychiques
qui le
desservent
chez le
sujet
parlant.
[
Lac66a
, p. 495]
La
voix
c'est ce qui
supporte
la
parole
au
sujet.
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est le
lieu
de la
parole
articulée
comme telle.
Le
grand
Autre
est
lieu
de la
parole.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Ça
parle.
Là où
ça
parle,
cela
fait
partie
du
discours
du
sujet.
Le
symptôme,
en tant
qu'inconscient,
est quelque
chose
qui
parle.
*
Avant
toute
parole,
l'enfant
rit.
Pour que quoi que ce soit s'établisse
d'inter-subjectif,
il faut que
l'Autre
parle.
Il est de la
nature
de la
parole
d'être
la
parole
de
l'Autre.
L'autre
scène
est
nécessaire
à la
satisfaction
de
l'homme,
pour autant
qu'étant
un
être
parlant,
ses
satisfactions
doivent
passer
par
l'intermédiaire
de la
parole.
Le
désir
est
obligé
au truchement de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'enfant
dans son
impuissance,
dépend
entièrement
de la
parole
de
l'Autre
qui
modifie,
restructure,
aliène
profondément
la
nature
de son
désir.
Un
rêve
se
développe
sur
deux
étages; l'étage proprement
signifiant
qui est la
parole,
et l'étage
imaginaire
où
s'incarne
l'objet
métonymique.
L'homme
se
constitue
en tant que
sujet
de la
parole.
L'homme
se
constitue
en tant que
je
de
l'acte
de la
parole.
L'obsessionnel
se met dans la
plus
grande
dépendance
par
rapport
à
l'Autre
en tant qu'il
parle.
Le
désir
se
produit
dans la
béance
que la
parole
ouvre
dans la
demande.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
de la
parole.
*
La
violence
est quelque
chose
dans son
essence,
qui se
distingue
de la
parole.
*
Ne
saurait
être
refoulé
que ce qui se
révèle
balisé à la
structure
de la
parole,
c'est-à-dire à une
articulation
signifiante.
Dans le
graphe,
figure
5.26.1
en
est le
lieu
où
l'enfant
rencontre
la
mère
en tant que
sujet
parlant.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Dans le
graphe
5.25.3
,
est la
formule
du
signifié
de
l'Autre
venant
du
lieu
de la
parole.
La
somme
du
comportement
du
névrosé
se
présente
comme une
parole
pleine.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
s'institue
et se
dessine
du
seul
fait
que le
sujet
parle.
L'Autre
est
invoqué
chaque
fois
qu'il y a
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
La
parole
est
symbolisation
du
signifiant
sur le
sujet.
L'Autre
est
conditionné,
marqué
par les
conditions
de la
parole.
*
Pour le
psychotique,
la
parole
de
l'Autre
ne
passe
nullement
dans son
inconscient.
*
Le
ça
parle
qui est dans
l'inconscient
pour le
sujet
névrotique,
est au
dehors
pour le
sujet
psychotique.
L'autonomie
du
sujet
à la
parole
du
commandement
est
fondamentale.
Dans le
graphe
6.1.2
en
le
désir
se
manifeste
dans la
béance,
dans
l'intervalle
qui
sépare
l'articulation
langagière
de la
parole.
est le
sujet
barré
en tant que
parlant.
Le
graphe
6.2.1
montre
les
rapports
du
sujet
parlant
avec le
signifiant.
Le
sujet,
en
parlant,
peut-il se
signifier
efficacement son
action
de
signification.
Les
deux
étages du
graphe
6.2.1
fonctionnent
tous
les
deux
en
même
temps
dans
tout
acte
de
parole.
Dans le
procès
de
parole
présenté dans le
graphe
6.2.1
, les
quatre
points
,
,
,
partent en
même
temps.
Dans le
graphe
6.2.1
en
est le
sujet
en tant que
parlant.
Le
sujet
en tant que
parlant
est un
shifter
.
Toute
la
vie
du
sujet
est
prise
dans des
actes
de
parler.
Toute
parole
part
de ce
point
de
croisement
le
point
.
6.4.1
Toute
parole
est
discours
de
l'Autre.
*
Le
sujet
est le
sujet
qui
parle.
Le
schéma
,
figure
1.21.2
,
désigne
les
objets:
, qui
s'adresse
à nous,
,
la
jouissance
transsexualiste,
le laissé tombé par le créateur,
l'image
de la
créature,
,
,
,
,
, le
futur
de la
créature,
les
créatures
de la
parole,
la
parole
où se
maintient
le
réel,
,
,
aime
sa
femme.
[
Lac66a
, p. 571]
Dans la
psychose,
toute
l'épaisseur de la
créature
réelle
s'interpose
pour le
sujet
entre
la
jouissance
narcissique
de son
image
et
l'aliénation
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 572]
Pour le
psychanalyste
il convient
d'écouter
celui qui
parle,
quand il s'agit d'un
message
qui
provient
d'une
parole
au-delà du
sujet.
[
Lac66a
, p. 574]
L'analysant
demande,
du
fait
qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 617]
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 627]
L'Autre
est le
lieu
du
déploiement
de la
parole
ou
autre
scène.
[
Lac66a
, p. 628]
*
Le
désir
du
rêve
n'est pas
assumé
par le
sujet
qui
dit
je
dans sa
parole.
[
Lac66a
, p. 629]
*
C'est
d'abord
pour le
sujet
que sa
parole
est un
message,
parce qu'elle se
produit
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 634]
Le
sujet
subit
une
refente,
Spaltung
de
n'être
sujet
qu'en tant qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 634]
L'Autre
est
l'analyste,
pour ce que le
sujet
en
fait
le
lieu
de sa
parole.
[
Lac66a
, p. 680]
*
Dans
l'homme
et par
l'homme,
ça
parle.
[
Lac66a
, p. 688]
*
Ça
parle
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 689]
Les
besoins
de
l'homme
sont
déviés,
du
fait
qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 690]
Il y a une
division
entre
l'Autre
en tant que
parlant
et
l'autre
en tant
qu'imaginaire.
*
L'omnipotence
est
toujours
du coté de
l'Autre,
du coté du
monde
de la
parole
en tant que tel.
L'Autre
est
lieu
de la
parole
et
lieu
de la
loi.
Dans la
parole
s'instaure
toujours
l'élément
tiers
qu'est le
lieu
de
l'Autre
où la
parole
s'inscrit
comme
vérité.
*
,
le
grand
Autre,
est,
non
pas un
être,
mais le
lieu
de la
parole.
Dans le
lieu
de la
parole,
,
il
manque
quelque
chose.
Au
niveau
de la
castration
un
sujet,
en tant que
réel,
est
marqué
du
signe
de la
parole.
Le
rapport
de
l'Autre
à la
demande
est le
rapport
le
plus
primordial
du
sujet
en tant que
lieu
de la
parole.
Le
manque
se
produit
au
niveau
de
l'Autre,
en tant que
lieu
de la
parole.
Le
sujet
premier
ne
peut
s'instituer
comme tel que comme
sujet
de la
parole.
L'Autre
est
marqué
des
nécessités
du
langage,
comme
lieu
de
l'articulation
de la
parole.
Le
sujet
se
constitue
comme
sujet
qui
parle
par
rapport
à
l'Autre
comme
sujet
de la
parole.
est
marqué
de quelque
chose
qui le
divise
primordialement
de lui-même en tant que
sujet
de la
parole,
.
*
La
coupure
est la
scansion
essentielle
où s'édifie la
parole.
Le
désir
de
l'Autre
est
articulé,
et
structuré
dans le
rapport
du
sujet
à la
parole.
*
Ce qui est
connu
ne
peut
être
connu
qu'en
paroles.
*
Les
Choses
du
monde
humain
sont des
Choses
d'un
univers
structuré
en
paroles.
L'interdiction
de
l'inceste
n'est autre
chose
que la
condition
pour que
subsiste
la
parole.
Le
das Ding
est le
corrélatif
de la
loi
de la
parole.
Le
sujet
qui
parle
ne se
soutient
que du
discours.
[
Lac66a
, p. 709]
C'est dans le
redoublement
du
sujet
de la
parole
que
l'inconscient,
comme tel
trouve
à
s'articuler.
[
Lac66a
, p. 711]
Parler
de la
Chose
c'est
parler
de quelque
chose.
*
Ça
parle.
Le
je
comme
signifiant
n'est
rien
que le
shifter
ou
indicatif
qui, dans le
sujet
de
l'énoncé,
désigne
le
sujet
en tant qu'il
parle
actuellement.
[
Lac66a
, p. 800]
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 807]
Par la
dimension
qu'il
constitue,
l'Autre
permet
de
distinguer
entre
tromperie
de la
parole
et
feinte.
[
Lac66a
, p. 807]
*
La
parole
ne
commence
qu'avec le
passage
de la
feinte
à
l'ordre
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
signifiant
exige
le
lieu
de
l'Autre
pour que la
parole
qu'il
supporte
puisse
mentir,
c'est-à-dire se poser comme
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
La
vérité
tire sa
garantie
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 808]
*
Dans le
sujet,
il y a une
part
où
ça
parle
tout
seul.
Le
désir
se
présente
par
rapport
à la
chaîne
signifiante
inconsciente
comme
constitutive
du
sujet
qui
parle.
se
définit
comme
lieu
de la
parole.
Le
transfert
se
manifeste
dans le
rapport
à quelqu'un à qui
l'on
parle.
La
chaîne
signifiante
impose
sa
marque
à
toutes
les
manifestations
de la
vie
du
sujet
qui
parle.
Les
besoins
du
sujet
qui
parle
doivent
passer
par les
défilés
de la
demande.
La
tendance
naturelle
du
sujet
qui
parle
a à se
situer
dans un
au-delà
et dans un
en-deça
de la
demande.
Quand le
sujet
qui
parle
se
situe
dans un
au-delà
il est dans la
demande
d'amour.
Quand le
sujet
qui
parle
se
situe
dans un
en-deça
il est dans le
désir.
*
Être
sujet
c'est
avoir
sa
place
dans
grand
,
au
lieu
de la
parole.
*
Au
niveau
de la
parole,
il n'y a pas de
métalangage.
*
Il n'y a
d'amour
que pour un
être
qui
peut
parler.
Grand
est
l'Autre
du
sujet
parlant.
Parler,
avoir
la
parole,
n'est pas
avoir
totalement
le
langage.
La
parole
est
possible
sans
avoir
le
rapport
humain
au
langage.
Un
animal
parlant,
contrairement
à ce qui se passe chez
l'homme,
ne
prend
jamais
l'humain
pour un
autre.
L'inconscient
est le
lieu
du
sujet
où
ça
parle.
*
Quelque
chose,
à
l'insu
du
sujet,
est
profondément
remanié
par les
effets
de
rétroaction
du
signifiant
impliqué
dans la
parole.
*
Le
sujet
parle.
La
Versagung
c'est le
dédit,
la
trompeuse
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Le
signifiant
engendre
le
monde
du
sujet
qui
parle.
L'objet
est la
cause
du
manque
du
sujet
qui
parle
à
l'analyste.
Le
sujet,
dès qu'il
parle,
est déjà, par cette
parole,
impliqué
dans son
corps.
*
L'effet
de la
parole,
l'effet
du
signifiant
est de
faire
surgir
dans le
sujet,
la
dimension
du
signifié
essentiellement.
Le
sujet
se
définit
comme le
sujet
qui
parle
et qui se
détermine
dans un
effet
du
signifiant.
*
La
voix
est le
produit
et
l'objet
chu
de
l'organe
de la
parole.
*
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
Au
niveau
de
l'inconscient,
ça
parle.
Dans
l'inconscient,
il y a les
effets
de la
parole
sur le
sujet.
Les
effets
de la
parole
déterminent
le
statut
du
sujet
comme
sujet.
L'inconscient
est le
seul
des
effets
qui se
dérobe
de la
parole
sur un
sujet,
au
niveau
où le
sujet
se
constitue
des
effets
du
signifiant.
Le
grand
Autre
est le
lieu
de la
parole.
La
vérité
ne se
fonde
que de ce que la
parole,
même
mensongère,
y
fait
appel
et la
suscite.
Le
sujet
parle
depuis
l'espace
de
l'Autre.
Toute
énonciation
parle
du
désir.
*
L'inconscient,
ce sont les
effets
sur le
sujet
de la
parole.
*
L'inconscient,
c'est la
dimension
où le
sujet
se
détermine
du
fait
et dans le
développement
des
effets
de la
parole.
Le
sujet
est
déterminé
par le
langage
et la
parole.
L'interprétation
n'a
point
son
dernier
ressort
en ceci qu'elle livre les
significations
de la
voie
où chemine le
psychique
qui
parle.
Le
sujet,
ça
parle
de lui. [
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet,
on
ne lui
parle
pas. [
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet
s'appréhende
là où
ça
parle
de lui. [
Lac66a
, p. 835]
*
L'Autre
est la
dimension
exigée
de ce que la
parole
s'affirme
en
vérité.
[
Lac66a
, p. 839]
*
Aucun
sujet
n'a de
raison
d'apparaître
dans le
réel,
sauf à ce qu'il y
existe
des
êtres
parlants.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
Dans
l'analyse,
le
sujet
qui
parle
ne
parle
pas pour
dire
ses
pensées.
*
La
parole
est ce qui
introduit
dans le
monde
la
vérité.
La bouteille de
K
LEIN
fonctionne
dans
l'espace
de
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole.
5
.
338
L
inconscient
est une
ouverture
qui
parle.
*
La
présence
du
silence
n'implique
nullement
qu'il n'y en
ait
pas un qui
parle.
L'inconscient,
c'est là où
ça
parle.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
La
vérité
se
fonde
de ce qu'elle
parle.
*
La
pensée
ne
fonde
l'être
qu'à se
nouer
dans la
parole.
[
Lac66a
, p. 865]
*
La
vérité
se
fonde
de ce qu'elle
parle.
[
Lac66a
, p. 868]
*
Au-delà
de
tout
ce qui
s'articule,
quelque
chose
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
sujet
du “je parle”,
parle
au
lieu
de
l'Autre.
Il n'y a pas
d'autre
support
de
l'expérience
analytique
que la
parole
et le
langage.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
Le
domaine
de la
tromperie
est celui où, comme telle, la
vérité
parle.
Au
lieu
de
l'Autre,
tout
ce qui
s'articule
comme
parole
se
pose
comme
vrai,
même et y compris le
mensonge.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
La
parole
se
situe
au
champ
de
l'Autre
comme
support
de la
vérité.
La
fonction
de
vérité
de la
parole
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
*
Ça
parle.
Il importe de
distinguer
de la
réalité
humaine
ce qui est à proprement
parler
du
réel.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
L'entrée
de
l'homme
dans
l'ordre
symbolique
ne
peut
se
faire
que par le
défilé
radical
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 53]
Le
défilé
de la
parole
se
reproduit
chaque
fois
que le
sujet
s'adresse
à
l'Autre,
comme
absolu.
[
Lac66a
, p. 53]
*
Le
sujet
de
l'inconscient
est un
être
parlé.
[
Lac66c
, p. 12]
Là où
ça
parle,
il ne s'agit de
nul
être.
L'Autre
c'est ce qui
prend
fonction
d'être
le
lieu
de la
parole.
Le
seul
statut
qui vaille de
l'Autre
est celui de
lieu
de la
parole.
L'Autre
comme
lieu
de la
parole
n'est
rien
d'autre
que le
lieu
où
l'assertion
se
pose
comme
véridique.
L'Autre
n'a
aucune
autre
espèce
d'existence
que
d'être
le
lieu
de la
parole.
La
vérité
se
réalise
où elle
veut
quand elle
parle.
L'Autre
barré
est le
lieu
où se
situe
l'affirmation
de la
parole.
*
L'inconscient
parle
sexe.
*
L'inconscient
ne
parle
pas la
sexualité.
L'inconscient
parle
du
sexe.
*
L'inconscient
parle
du
sexe.
L'inconscient
ne
parle
pas pour ne
rien
dire.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
La
vérité
parle
puisqu'elle est la
vérité.
L'inconscient
parle
avec la
vérité.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
discours
analytique,
c'est un
discours
soumis
à la
loi
de solliciter une
vérité
qui
parle.
L'être
parlant,
dans son
rapport
au
langage,
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
*
Ça
parle.
*
Ça
parle.
*
Ça
parle.
L'intersubjectivité
implique
l'usage
de la
parole.
[
Lac68e
, p. 18]
Le
sujet
en tant qu'il
parle
est
divisé.
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
vient
prendre
place.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
5
.
339
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
Moi
la
vérité
je
parle.
Un
discours
sans
parole
est
l'essence
de la
théorie
analytique.
La
vérité,
moi,
je
parle.
*
La
vérité
parle
je.
*
La
vérité
parle
je.
Il n'y a de
parole
que là où la
clôture
de tel
commandement
la
préserve.
L'Autre
est le
lieu
d'un
défaut
d'origine
porté dans la
parole.
*
La
vérité
parle
je.
Le
désir
se
joue
dans le
champ
de
l'Autre
tel qu'il
s'articule
comme
lieu
de la
parole.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Le
est ce qui
anime
tout
ce qui est en
jeu
dans le
rapport
de
l'homme
à la
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole
comme telle.
L'être
parlant
est
pris
dans le
discours.
Le
sadique
essaie
de
compléter
l'Autre
en lui ôtant la
parole,
mais en lui
imposant
sa
voix.
L'écriture
est
première
au
regard
de ce qui est la
parole.
*
Le
propre
de la
castration,
c'est que
rien
ne
peut
à proprement
parler
l'énoncer
parce que sa
cause
est
absente.
*
La
psychanalyse
c'est un
discours
sans
parole.
*
La
vérité
parle
je.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
L'inconscient,
c'est le
savoir
qui
parle
tout
seul.
Les
quatre
discours
sont des
discours
sans
parole.
L'inconscient
parle.
[
Lac70d
, p. 87]
C'est de la
parole
que
s'instaure
la
voie
vers
l'écrit.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
l'être
parlant.
*
La
vérité
parle
je.
La
parole
dépasse
toujours
le
parleur,
qui est un
parlé.
L'écriture
c'est quelque
chose
qui se répercute sur la
parole.
*
Le
rapport
sexuel,
c'est la
parole
elle-même.
L'écriture
c'est une
représentation
de la
parole.
*
On
ne
parle
jamais
du
langage
qu'à partir de
l'écriture.
*
La
parole
s'efforce
de
réduire
la
femme
à la
sujétion.
Habite
le
langage,
celui qui
parle.
On
ne
peut
pas dire que les
animaux
domestiques
n'ont pas
l'usage
de la
parole.
*
L'homme,
la
femme
n'ont
aucun
besoin
de
parler
pour
être
pris
dans un
discours.
*
Qui
parle,
parle.
C'est
d'habiter
le
langage
que les
êtres
parlants
tiennent la
parole.
L'écriture
donne
accès
à
toutes
les
jouissances
qui, de
part
le
discours,
s'avèrent
s'ouvrir
à
l'être
parlant.
*
Parler
veut
dire
la
division
sans
remède de la
jouissance
et du
semblant.
*
Qu'il y a du
langagièrement
articulé,
qui n'est pas pour cela
articulable
en
paroles.
Du
phallus
ne
sort
aucune
parole.
Chez
l'être
parlant,
le
sexe
n'y
définit
nul
rapport.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
*
La
jouissance
sexuelle
ouvre
pour
l'être
parlant
la porte à la
jouissance.
Qui
parle,
habite
le
langage.
[
Lac71a
, p. 6]
Sans une
distinction
entre
code
et
message,
il n'y a pas de
place
pour la
parole.
*
La
parole
définit
la
place
de ce
qu'on
appelle
la
vérité.
On
peut
parler
de
rapport
quand un
discours
l'établit,
et quand ce
rapport,
on
l'énonce.
Dans la
psychanalyse,
le
symptôme
a affaire à quelque
chose
qui est la
traduction
en
paroles
de sa
valeur
de
vérité.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
pour les
êtres
qui
parlent.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
La
jouissance
constitutive
de
l'être
parlant
se démarque de la
jouissance
sexuelle.
*
Le
langage
ça n'est pas
l'être
parlant.
L'amour,
on
ne
peut
pas en
parler.
La
lettre
d'amour
et la déclaration
d'amour
ce n'est pas la
même
chose
que la
parole
d'amour.
*
Pour qui
parle
japonais, c'est performance usuelle que de
dire
la
vérité
par le
mensonge,
c'est-à-dire
sans
être
un
menteur.
[
Lac81a
, p. 3]
*
Le
corps
des
parlants
est
sujet
à se
diviser
de ses
organes.
[
Lac73a
, p. 12]
*
Le
rapport
d'organe
du
langage
à
l'être
parlant
est
métaphore.
[
Lac73a
, p. 33]
L'être
parlant
est celui qui
prend
être
de la
parole.
[
Lac75f
, p. 7]
Il y a solidarité
entre
le
non-rapport
des
sexes
et le
fait
qu'un
être
soit
parlant.
[
Lac75f
, p. 7]
*
Le
savoir
affecte
le
corps
de
l'être
qui ne se
fait
être
que de
paroles.
[
Lac75f
, p. 8]
On
ne
peut
pas
parler
d'amour,
mais
on
peut
en
écrire.
La
fonction
de la
parole
c'est
d'être
la
seule
forme
d'action
qui se
pose
comme
vérité.
*
Ça
parle.
*
Il y a quelque
chose
de
distinct
entre
parler
et
dire.
Un
dire
c'est une
parole
qui
fonde
le
fait.
*
La
parole
fonctionne
même
quand elle ne
fonde
aucun
fait.
*
La
parole
c'est comme là où
ça
bande.
La
fonction
de la
parole
n'est pas
toujours
appliquée
à
dénoter
des
faits.
La
fonction
de la
parole
supplée
à ceci que la
fonction
phallique
est justement qu'il n'y a chez
l'homme
que les
relations
mauvaises
entre
les
sexes.
L'objet
c'est ce par quoi
l'être
parlant,
quand il est
pris
dans des
discours,
se
détermine.
Le
lieu
de
l'Autre
est ce où
s'inscrivent
les
effets
de la
parole.
Le
rapport
fondé
sur la
disparition,
l'évanouissement
de
l'existence
de l'un des
partenaires
qui laisse la
place
vide
à
l'inscription
de la
parole,
n'est pas le
privilège
d'aucun
côté.
Zéro
et
Un
ça
fait
deux
sur le
plan
symbolique
car
l'existence
s'enracine dans le
symbole,
ce qui
définit
l'être
parlant.
Le
grand
Autre
est au
lieu
où se
situe
la
parole.
Le
discours
analytique
est ce
mode
de
rapport
qui est
fondé
seulement
de ce qui
fonctionne
comme
parole.
*
Quand
on
parle
ça
signifie,
ça
comporte
le
signifié.
Tous les
besoins
de
l'être
parlant
sont contaminés par le
fait
d'être
impliqués
dans une
autre
satisfaction,
à quoi ils
peuvent
faire
défaut.
*
Chez
l'être
parlant
la
jouissance
est
appareillée.
Du
fait
que la
jouissance
parle,
le
rapport
sexuel
n'est pas.
Entre
les
sexes,
chez
l'être
parlant,
le
rapport
ne se
fait
pas.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
ne
peut
s'inscrire
qu'en
vérité.
*
L'acte
d'amour,
c'est la
perversion
polymorphe
du
mâle
parlant.
femme
n'est pas
toute,
ce qui ne
permet
pas de
parler
de la
femme.
Dans le
discours
analytique
on
ne
fait
que
parler
d'amour.
*
Parler
d'amour
est en
soi
une
jouissance.
L'animal
parlant,
d'habiter
le
signifiant,
il
résulte
qu'il en est
sujet.
L'inconscient,
c'est que
l'être,
en
parlant,
jouisse.
La
pensée
est du
côté
de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
d'être
déposée,
fonde
la
vérité
avec le
pacte
qui
supplée
à
l'inexistence
du
rapport
sexuel.
Là où
ça
parle,
ça
jouit.
*
Je
parle
sans
le
savoir.
*
Je
parle
avec son
corps.
Le
savoir
inconscient
est
inter-dit
au
parlant.
Le
corps
parlant
ne
peut
réussir
à se
reproduire
que grâce à un
malentendu
sur sa
jouissance.
Le
parlant
ne se
reproduit
que grâce à un
ratage
de ce qu'il
veut
dire.
Par
passion
de
l'ignorance,
de
l'être
de
l'autre,
le
parlant
ne
veut
rien
savoir.
Pour
tout
être
parlant,
la
cause
du
désir
est
strictement
équivalente
à sa
division
du
sujet.
*
Pour
l'être
parlant,
le
savoir,
c'est ce qui
s'articule.
Les
effets
de
lalangue
,
déjà là comme
savoir,
vont bien au delà de
tout
ce que
l'être
qui
parle
est
susceptible
d'énoncer.
Les
trois
catégories
de notre
espace
habité
en tant
qu'êtres
parlants,
sont
strictement
équivalentes.
*
Les
non-dupes
sont ceux
5
.
340
ou celles qui se
refusent
à la
capture
de
l'espace
de
l'être
parlant.
L'analyse
n'emploie
pas
d'autre
moyen
que la
parole.
La
parole
n'a
rien
à
faire
avec le
savoir
qui
existe
dans le
langage.
*
Toute
parole
n'est pas un
dire
5
.
341
.
*
Il n'y a
d'inconscient
que chez
l'être
parlant.
[
Lac74b
, p. 15]
*
L'inconscient,
ça
parle.
[
Lac74b
, p. 16]
La
passion
majeure
chez
l'être
parlant,
c'est
l'ignorance.
[
Lac75d
, p. 16]
*
Il n'y a
d'être
que de
parler.
Le
mâle
chez
l'être
parlant
n'est pas la
femelle.
La
parole
se
transfère
par la
mère.
l'analyste
n'opère
que de la
parole.
Il y a un
lien
entre
le
sexe
et la
parole.
Chez
l'être
parlant
la
jouissance
phallique
prévaut.
*
Pas-tout
être
à
parler
ne
saurait
s'autoriser
à
faire
un
analyste.
[
Lac82d
]
*
L'inconscient
est ce qui de
parler
détermine
le
sujet
en tant
qu'être.
Le
phallus
c'est la
conjonction
d'un
petit
bout de
queue
avec la
fonction
de la
parole.
La
langue
désigne
l'instrument
de la
parole.
L'analyse
est la
réduction
de
l'initiation
à sa
réalité,
c'est-à-dire au
fait
qu'il n'y a pas à proprement
parler
d'initiation.
*
L'inconscient,
c'est un
savoir
en tant que
parlé
comme
constituant
de
LOM
. [
Lac75e
, p. 13]
La
parole
se
définit
d'être
le
seul
lieu
où
l'être
ait
un
sens.
[
Lac75e
, p. 13]
L'homme
pense
en tant qu'il
parle.
est ce par quoi se
représente
le
sujet:
une
parole,
le
parlêtre.
La
vérité
est
caractérisée
par le
fait
de ce
que
l'analyste
ne
dit
que des
paroles.
La
parole
est un
parasite,
un placage dont
l'être
humain
est affligé.
L'inconscient
suppose
toujours
un
savoir
parlé.
L'homme
parl-être
veut
dire
qu'il
parle
signifiant
avec quoi la
notion
d'être
se
confond.
L'être
n'est qu'une
part
du
parl-être
,
ce qui est
fait
uniquement
de ce qu'il
parle.
Le
réel
dit
la
vérité
mais ne
parle
pas.
Le
symbolique,
supporté
par le
signifiant,
ne
dit
que des
mensonges
quand il
parle.
*
La
parole
pleine
c'est la
parole
pleine
de
sens.
La
parole
vide
est une
parole
qui n'a que de la
signification.
*
On
ne
parle
jamais
d'une
langue
que dans une
autre
langue.
[
Lac78
]
L'analyse
arrive
à
défaire
par la
parole
ce qui s'est
fait
par la
parole.
[
Lac78
]
*
Dire
est autre
chose
que
parler.
[
Lac78
]
*
L'analysant
parle.
[
Lac78
]
*
On
ne
sait
pas ce
qu'on
dit
quand
on
parle.
[
Lac78
]
*
La
parole
n'est pas le
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
Le
langage
fait
parler
l'être.
[
Lac77a
, p. 13]
Le
symbolique
c'est la
parole.
Suivant:
part
Remonter:
5.16 P
Précédent:
parlêtre
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08