question

$0223021_{1955}$
* La question du sens vient avec la parole.
$0314011_{1956}$
Le sujet pose sa question névrotique avec  son moi.
$0314027_{1956}$
L'hystérique homme et femme se pose la même question, celle qui concerne la position féminine.
$0314030_{1956}$
La question de la procréation est le facteur commun à la position masculine et féminine.
$0315033_{1956}$
La structure de la névrose hystérique est une question centrée autour d'un signifiant qui reste énigmatique quant à sa signification.
$0315034_{1956}$
La question de la mort ou celle de la naissance n'ont pas de solution dans le signifiant.
$0320003_{1956}$
La position hystérique est une question qui se rapporte aux deux pôles signifiants du mâle et de la femelle.
$0320004_{1956}$
La position obsessionnelle est la question du ni mâle, ni femelle.
$0402016_{1956}$
L'ironie est avant tout un mode de question.
$0408030_{1957}$
Le schéma de Dora, figure 4.8.4, met en relation Mme K. qui pose sa question, Mr. K. à qui Dora s'identifie, Dora et le père qui reste l'Autre par excellence.
$0422001_{1957}$
La névrose est une question.
$0423003_{1957}$
* La névrose est une question posée par le sujet au niveau de  son existence même.
$0423005_{1957}$
* La névrose est une sorte de question formée pour le sujet lui-même, mais organisée, structurée, comme question.
$0423006_{1957}$
Le propre de la question du névrotique est d' être absolument fermée.
$0018013_{1957}$
C'est la structure qui fait de toute la suite de la névrose une question et non un leurre. [Lac66a, p. 454]
$0020056_{1957}$
La névrose est une question que l'être pose pour le sujet de là où il était avant que le sujet vint au monde. [Lac66a, p. 520]
$0020062_{1957}$
Quelque chose lie la métaphore à  la question de l'être. [Lac66a, p. 528]
$0523024_{1958}$
L'obsessionnel résout la question de l'évanescence de son  désir en en faisant un désir interdit.
$0523025_{1958}$
L'obsessionnel résout la question de l'évanescence de son  désir en la faisant supporter par l'interdiction de l'Autre.
$0602024_{1958}$
Ce qu'exprime le second étage du graphe 6.2.3 ne vaut qu'à partir de la question de l'Autre, che vuoi.
$0021010_{1958}$
$A$ est le lieu d'où peut se poser au sujet la question de son  existence. [Lac66a, p. 549]
$0021011_{1958}$
* Il se pose, pour le sujet, la question de son  existence. [Lac66a, p. 549]
$0021012_{1958}$
Le sujet articule la question Que suis-je là? concernant son  sexe et sa contingence dans l'être. [Lac66a, p. 549]
$0607006_{1959}$
Ce qu'exprime la formule du fantasme \ensuremath{ (\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace \; \lozenge \; a)}, c'est que le désir comme tel, et par rapport à tout objet possible pour l'homme, pose pour lui la question de son  élision subjective.
$0616004_{1959}$
Que veux-tu? est la question qui se pose au sujet.
$0616016_{1959}$
Il n'y a dans l'Autre aucun signifiant qui puisse répondre à la question de ce que je suis.
$0625019_{1959}$
La substitution du moi au sujet introduit la demande dans la question du désir.
$0719005_{1960}$
* La question du bien est à cheval sur le principe du plaisir et le principe de la réalité.
$0903003_{1961}$
Le trait unique, l'einziger Zug, a pour fonction d'indiquer la place où est suspendue dans le signifiant, où est accrochée, la question de la garantie du signifiant.
$0915012_{1962}$
* Le désir se construit sur le chemin d'une question qui le menace.
$1209004_{1965}$
La question de l'Un du trait unaire est à la clé de la deuxième espèce d'identification.
$1217010_{1965}$
Il y a toujours dans le symptôme l'indication qu'il est question de savoir.
$1313005_{1966}$
Le lieu de l'Autre est le lieu où est mise en question la vérité de la demande.
$1324010_{1966}$
L'angoisse surgit de ceci que la question sur la jouissance ne lui vient que du désir de l'Autre.
$0002030_{1966}$
La psychanalyse est la mise en question du psychanalyste. [Lac66a, p. 41]
$1421003_{1967}$
La vérité de l'acte sexuel fait question dans l'expérience psychanalytique.
$1422015_{1967}$
L'acte pervers se situe au niveau de la question sur la jouissance.
$1424005_{1967}$
* Il n'est pas question de contradiction dans le réel.
$1511001_{1968}$
Le professeur ne remet jamais en question le sujet supposé savoir, puisqu'il est son  représentant.
$1613004_{1969}$
* la psychanalyse se trouve intéresser la mise en question du savoir.
$1622018_{1969}$
Entre savoir et vérité doit se situer la question du transfert.
$1703008_{1970}$
La loi est mise en question comme symptôme.
$1708010_{1970}$
C'est de quelque chose de bien  réel qu'il est toujours question dans la frustration.
$1804008_{1971}$
* Il n'y a de question logique qu'à partir de l'écrit.
$1901014_{1971}$
* Pour tout ce qu'il en est de l'être parlant, le rapport sexuel fait question.
$1912016_{1972}$
Dans le discours analytique il n'est plus  question de corps.
$2703003_{1972}$
L'objet $a$ est étranger à la question du sens.
$2705005_{1972}$
S'il n'y avait pas de langage il n'y aurait pas de question.
$2706004_{1972}$
Tout savoir naïf pose la question de ce qui s'y trahit des limites de la puissance du tracé imposé à la jouissance.
$2112006_{1974}$
* La question c'est l'essence.
$2112007_{1974}$
* Il n'y a pas d'autre essence que de question.
$2112008_{1974}$
* Il n'y a pas de question sans réponse.

Jacques B. Siboni 2024-11-08