Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
Recherche
Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.17 Q
Précédent:
quésitif
Suivant:
quête
Index:
Index
question
*
La
question
du
sens
vient
avec la
parole.
Le
sujet
pose
sa
question
névrotique
avec son
moi.
L'hystérique
homme
et
femme
se
pose
la
même
question,
celle qui
concerne
la
position
féminine.
La
question
de la
procréation
est le
facteur
commun
à la
position
masculine
et
féminine.
La
structure
de la
névrose
hystérique
est une
question
centrée autour d'un
signifiant
qui
reste
énigmatique
quant à sa
signification.
La
question
de la
mort
ou celle de la
naissance
n'ont pas de
solution
dans le
signifiant.
La
position
hystérique
est une
question
qui se
rapporte
aux
deux
pôles
signifiants
du
mâle
et de la
femelle.
La
position
obsessionnelle
est la
question
du ni
mâle,
ni
femelle.
L'ironie
est
avant
tout
un
mode
de
question.
Le
schéma
de Dora,
figure
4.8.4
, met en
relation
Mme K. qui
pose
sa
question,
Mr. K. à qui Dora
s'identifie,
Dora et le
père
qui
reste
l'Autre
par excellence.
La
névrose
est une
question.
*
La
névrose
est une
question
posée
par le
sujet
au
niveau
de son
existence
même.
*
La
névrose
est une
sorte
de
question
formée
pour le
sujet
lui-même, mais
organisée,
structurée,
comme
question.
Le
propre
de la
question
du
névrotique
est d' être
absolument
fermée.
C'est la
structure
qui
fait
de
toute
la
suite
de la
névrose
une
question
et
non
un
leurre.
[
Lac66a
, p. 454]
La
névrose
est une
question
que
l'être
pose
pour le
sujet
de là où il
était
avant
que le
sujet
vint au
monde.
[
Lac66a
, p. 520]
Quelque
chose
lie
la
métaphore
à la
question
de
l'être.
[
Lac66a
, p. 528]
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en en
faisant
un
désir
interdit.
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en la
faisant
supporter
par
l'interdiction
de
l'Autre.
Ce
qu'exprime
le
second
étage du
graphe
6.2.3
ne vaut qu'à partir de la
question
de
l'Autre,
che vuoi.
est le
lieu
d'où
peut
se poser au
sujet
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
*
Il se
pose,
pour le
sujet,
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
Le
sujet
articule
la
question
Que suis-je là? concernant son
sexe
et sa
contingence
dans
l'être.
[
Lac66a
, p. 549]
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Que
veux-tu?
est la
question
qui se
pose
au
sujet.
Il n'y a dans
l'Autre
aucun
signifiant
qui
puisse
répondre
à la
question
de ce que
je
suis.
La
substitution
du
moi
au
sujet
introduit
la
demande
dans la
question
du
désir.
*
La
question
du
bien
est à cheval sur le
principe
du
plaisir
et le
principe
de la
réalité.
Le
trait
unique,
l'
einziger Zug
,
a pour
fonction
d'indiquer
la
place
où est
suspendue
dans le
signifiant,
où est
accrochée,
la
question
de la
garantie
du
signifiant.
*
Le
désir
se
construit
sur le
chemin
d'une
question
qui le
menace.
La
question
de
l'Un
du
trait
unaire
est à la clé de la
deuxième
espèce
d'identification.
Il y a
toujours
dans le
symptôme
l'indication
qu'il est
question
de
savoir.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où est mise en
question
la
vérité
de la
demande.
L'angoisse
surgit
de ceci que la
question
sur la
jouissance
ne lui
vient
que du
désir
de
l'Autre.
La
psychanalyse
est la mise en
question
du
psychanalyste.
[
Lac66a
, p. 41]
La
vérité
de
l'acte
sexuel
fait
question
dans
l'expérience
psychanalytique.
L'acte
pervers
se
situe
au
niveau
de la
question
sur la
jouissance.
*
Il n'est pas
question
de
contradiction
dans le
réel.
Le
professeur
ne remet
jamais
en
question
le
sujet
supposé
savoir,
puisqu'il est son
représentant.
*
la
psychanalyse
se
trouve
intéresser
la mise en
question
du
savoir.
Entre
savoir
et
vérité
doit
se
situer
la
question
du
transfert.
La
loi
est mise en
question
comme
symptôme.
C'est de quelque
chose
de bien
réel
qu'il est
toujours
question
dans la
frustration.
*
Il n'y a de
question
logique
qu'à partir de
l'écrit.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
Dans le
discours
analytique
il n'est plus
question
de
corps.
L'objet
est
étranger
à la
question
du
sens.
S'il n'y avait pas de
langage
il n'y aurait pas de
question.
Tout
savoir
naïf
pose
la
question
de ce qui s'y trahit des
limites
de la
puissance
du tracé
imposé
à la
jouissance.
*
La
question
c'est
l'essence.
*
Il n'y a pas
d'autre
essence
que de
question.
*
Il n'y a pas de
question
sans
réponse.
Suivant:
quête
Remonter:
5.17 Q
Précédent:
quésitif
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08