Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
Recherche
Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.6 F
Précédent:
féminin
Suivant:
fente
Index:
Index
femme
Entre
homme
et
femme
une
dissymétrie
essentielle
apparaît
au
niveau
du
signifiant,
au
niveau
du
symbolique.
Il n'y a pas de
symbolisation
du
sexe
de la
femme
comme tel.
La
symbolisation
du
sexe
de la
femme
n'est pas la
même
que la
symbolisation
du
sexe
de
l'homme.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant que la
fonction
de
l'homme
et de la
femme
est
symbolisée.
L'hystérique
homme
et
femme
se
pose
la
même
question,
celle qui
concerne
la
position
féminine.
L'objet
génital
c'est la
femme.
La
femme
a le
phallus
dans ses
manques
d'objets
essentiels.
Quand la
femme
trouve
dans
l'enfant
une
satisfaction,
c'est qu'elle
trouve
en lui ce quelque
chose
qui la
calme,
ce
pénis,
ce
besoin
de
phallus.
Ce qui est
cherché
dans la
femme,
c'est ce qui lui
manque.
Le
fétiche,
c'est le
pénis
de la
femme
en tant qu'elle ne l'a pas.
Le
phallus
peut
faire
à l'occasion
l'objet
d'une
nostalgie
imaginaire
de la
part
de la
femme.
Le
phallus
que la
femme
n'a pas est
phallus
symbolique
qui
existe
là en tant
qu'absence.
L'idée
de la
castration
chez la
femme
tient
à ce qu'elle n'a pas le
phallus
symboliquement.
L'absence
de
phallus
symbolique
chez la
femme
a pour
conséquence
qu'elle
peut
l'avoir.
C'est par
l'intermédiaire
de la
valorisation
symbolique
du
phallus
que les
femmes
entrent
dans la
chaîne
de
l'échange
symbolique.
Dans le
fétiche,
la
castration
de la
femme
est à la
fois
affirmée
et aussi
niée.
C'est une
alternance
d'identifications
à la
femme
qui
organise
le
cycle
des
relations
à
l'objet
amoureux
chez le
fétichiste.
Dans certains
cas
le
sujet
masculin
se
donne
à la
femme
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
manque.
*
Toute
femme
qui n'est pas
permise,
est
interdite
par la
loi.
La
castration
prend
comme
base
cette
appréhension
dans le
réel
de
l'absence
de
pénis
chez la
femme.
Le
phallus
s'impose
parmi les
autres
images,
et d'une
façon
prévalente,
au
désir
de la
femme.
La
complexité
des
relations
de
l'homme
à la
femme
vient
de la
résistance
des
sujets
masculins
à admettre que les
sujets
féminins
sont
dépourvus
de quelque
chose
et sont pourvus de quelque
chose
d'autre.
C'est du
complexe
de
castration
que
dépend
que la
fille
devienne
une
femme.
Dans la
mesure
où il n'accepte pas le
phallus,
cela
entraîne
homme
ou
femme
à
être
le
phallus.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
Le
Penis-Neid
est à
l'articulation
essentielle
de
l'entrée
de la
femme
dans la
dialectique
œdipienne.
Le
désir
de la
femme
est précisément
signifié
par ce qui lui
manque,
et par le
phallus.
La
femme
est l'héritière de la
fonction
de la
mère,
se trouvant
dépossédée,
frustrée
de
l'élément
du
désir.
Pour le
développement
de la
femme,
elle
doit
être
le
phallus
sur le
fond
qu'elle ne l'est pas.
Les
rapports
de
l'homme
et de la
femme
à leur
désir
sont foncièrement
différents
en
raison
de leur
asymétrie
par
rapport
au
signifiant
phallus.
Le
schéma
,
figure
1.21.2
,
désigne
les
objets:
, qui
s'adresse
à nous,
,
la
jouissance
transsexualiste,
le laissé tombé par le créateur,
l'image
de la
créature,
,
,
,
,
, le
futur
de la
créature,
les
créatures
de la
parole,
la
parole
où se
maintient
le
réel,
,
,
aime
sa
femme.
[
Lac66a
, p. 571]
Le
désir
de la
femme
se note
.
[
Lac66a
, p. 683]
*
La
duplicité
du
sujet
est
masquée
chez la
femme.
[
Lac66a
, p. 734]
Pour autant que la
femme
symbolise
le
phallus,
l'homme
y
retrouve
le
complément
de son
être.
Le pas
Un
se
transforme
en
phallus
ressenti
comme
absence
chez la
femme.
Le
phallus,
la
femme
elle l'aura
toujours
en
moins.
La
femme
a à faire avec
l'objet
phallique,
toujours
en tant que
séparé.
Dans
l'inconscient
de la
femme,
le
phallus
à la
fois
elle
l'est ,
et elle
l'a .
C'est
l'absence
de
pénis
de la
femme
qui la
fait
phallus,
objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 825]
*
La
femme
est
sans
l'avoir.
*
Une
femme
n'a pas de
pénis.
La
femme
ne
manque
de
rien.
Chez la
femme,
il n'y a
rien
à
désirer
sur le
chemin
de la
jouissance.
Le
lien
de la
femme
au
nœud
du
désir
est beaucoup
plus
lâche.
La
femme
se
tente
en
tentant
l'autre.
Pour la
femme,
le
désir
de
l'Autre
est le
moyen
pour que sa
jouissance
ait
un
objet
convenable.
La
femme
veut
un
objet
en tant qu'elle ne l'a pas.
*
C'est dans la
dépendance
de la
demande
que se
constitue
cet
objet
pour la
femme.
Pour la
femme,
c'est
initialement
ce qu'elle n'a pas comme tel, qui
constitue
au
départ
l'objet
de son
désir.
La
femme
n'a
aucun
risque à
rechercher
ce qu'il en est du
désir
de
l'homme.
Pour la
femme,
la
revendication
du
pénis,
reste
essentiellement
liée
au
rapport
à la
mère
par la
demande.
*
La
jouissance
de la
femme
et de
l'homme
ne se
conjoignent
pas
organiquement.
Dans le
Penisneid
,
la
femme
ne
peut
prendre
le
phallus
que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son
,
soit son trop
petit
à elle.
La
femme
ne
peut
jouir
de
que parce qu'il n'est pas à sa
place,
à la
place
de sa
jouissance.
*
La
jouissance
de la
femme
est en elle-même, elle ne la
conjoint
pas à
l'Autre.
L'homme
n'est dans la
femme
que par délégation de sa
présence,
sous la
forme
d'un
organe
caduc.
Ce qu'il faut
faire
comme
homme
ou comme
femme,
l'être
humain
a
toujours
à
l'apprendre
de
toutes
pièces
de
l'Autre.
La
femme
doit
perdre
ce qu'elle n'a pas. [
Lac66a
, p. 852]
La
femme,
de
n'avoir
pas le
phallus,
incarne
le parfait
accomplissement
de la
castration.
La
femme
ça
existe
au
niveau
de
l'objet
.
C'est parce qu'elle n'a pas le
phallus
que le
don
de la
femme
prend
une
valeur
privilégiée
quant à
l'être.
Ce que
donne
la
femme
sous la
forme
de ce qu'elle n'a pas est aussi la
cause
de son
désir.
Ce que
donne
la
femme
de ne pas
l'avoir
devient
la
cause
de son
désir.
La
femme
ne
perd
rien
puisqu'elle ne
donne
que ce qu'elle n'a pas.
Pour la
femme
le
manque
phallique
s'appelle
Penis-neid
.
La
valeur
phallique
c'est la
femme
qui le
5
.
182
représente.
C'est en tant qu'elle n'a pas le
phallus
que la
femme
peut
en
prendre
la
valeur.
*
Il y a de la
femme
quelque part.
Le
corps
de la
femme
est la
métaphore
de la
jouissance
du
mâle.
*
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
L'homme
et la
femme
finalement
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
L'homme
et la
femme
peuvent
aller
ensemble
sans
avoir
rien
à
voir
ensemble.
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
À
sainte
femme,
fils
pervers.
*
Toute
la
normativité
s'organise
pour
l'homme
comme pour la
femme
autour de la
passation
d'un
manque.
*
La
sublimation
conserve la
femme
dans le
rapport
de
l'amour
au
prix
de la
constituer
au
niveau
de la
Chose.
*
La
sublimation
c'est cet
effort
pour
permettre
que
l'amour
se
réalise
avec la
femme.
*
La
femme
est
distinguée
de ceci qu'elle n'a pas le
phallus.
*
Pour le
pervers
il faut qu'il y
ait
une
femme
non
châtrée.
Le
père
primordial,
c'est celui qui
confond
dans sa
jouissance,
toutes
les
femmes.
*
L'hystérique
se
caractérise
de ne pas se
prendre
pour la
femme.
*
L'hystérique
s'introduit
de ne pas se
prendre
pour la
femme.
*
La
mort
est en
jeu
dans ce que
l'hystérique
aborde
de ce qu'il en est de la
femme.
*
L'hystérique
fait
l'homme
qui
supposerait
la
femme
savoir.
*
Ce que
l'hystérique
suppose,
c'est que la
femme
sait
ce qu'elle
veut.
*
Le
savoir
sert
la
femme,
parce qu'il la
fait
cause
du
désir.
Hommes
et
femmes,
quand ils se font
analyser
sont
forcés
d'en
passer
par la
loi
du
discours
de
l'hystérique.
Les
femmes
sont
moins
enfermées dans le
cycle
des
discours
que
l'homme,
mâle,
viril.
Ce n'est qu'à ce que
se
substitue
à la
femme
que
l'homme
la
désire.
L'homme
ne
sait
rien
de la
femme.
[
Lac70d
, p. 64]
La
femme
ne
sait
rien
de
l'homme.
[
Lac70d
, p. 64]
Dans la
castration,
le
signifiant
femme
s'inscrit
comme
privation.
[
Lac70d
, p. 90]
*
La
femme
est en
position,
au regard de la
jouissance
sexuelle,
de ponctuer
l'équivalence
de la
jouissance
et du
semblant.
La
femme
est le
support
de cette
vérité,
de ce qu'il y a de
semblant
dans le
rapport
de
l'homme
à la
femme.
La
femme
sait
ce qui, de la
jouissance
et du
semblant,
est
disjonctif.
*
La
femme
a une très grande
liberté
à
l'endroit
du
semblant.
Le
père
primordial
jouit
de
toutes
les
femmes.
*
Il n'y a pas
d'universel
de la
femme.
Le
rapport
de
l'homme
et de la
femme
est
radicalement
faussé,
de par la
loi
sexuelle.
*
La
femme
n'existe
pas.
Le
désir
de la
femme
s'écrit
.
Il est
impensable
de
dire
la
femme
parce
qu'on
ne
peut
pas
dire
toutes
les
femmes.
Que le
père
possède
toutes
les
femmes,
est
manifestement
le
signe
d'une
impossibilité.
En tant que la
femme,
elle, n'a
rien
à
faire
avec la
loi.
*
La
parole
s'efforce
de
réduire
la
femme
à la
sujétion.
La
femme
n'existe
dans
aucun
être
réel.
La
femme
c'est la
lettre
en tant qu'elle est le
signifiant
qu'il n'y a pas
d'Autre.
La
lettre
a un
effet
féminisant.
Dans le
schéma
18.8.1
s'indique
:
un-en-peluce
,
,
hommoinzun
,
Homme,
Femme.
*
La
femme
ne
peut
remplir
sa
place
dans le
rapport
sexuel.
La
femme
ne
peut
être
femme
qu'au titre d'une
femme.
*
Il n'y a pas de
toute
femme.
Ce n'est qu'à partir
d'être
une
femme
que la
femme
peut
s'instituer
dans ce qui est
inscriptible
de ne pas
l'être,
restant
béant
de ce qu'il en est du
rapport
sexuel.
*
L'homme,
la
femme
n'ont
aucun
besoin
de
parler
pour
être
pris
dans un
discours.
L'homme,
la
femme
sont des
faits
de
discours.
*
C'est par
rapport
à
toute
femme
qu'une
femme
se
situe.
L'œdipe
a l'avantage de
montrer
en quoi
l'homme
peut
répondre
à
l'exigence
du pas
plus
d'Un
qui est dans
l'être
d'une
femme.
*
La
femme
ne
sait
jouir
que dans une
absence.
La
fonction
du
pas-tous
s'applique aux
femmes.
*
Des
hommes
et des
femmes
c'est du
réel.
Qu'il y
ait
l'homme
et la
femme,
c'est
d'abord
affaire de
langage.
Il y a
béance
d'une
indétermination
du
rapport
commun
à la
jouissance
de
l'homme
et de la
femme.
*
Il n'y a pas de
tout
des
femmes.
Les
femmes
ne sont pas
castrables,
parce que le
phallus
elle ne
l'ont
pas.
*
C'est du
réel
que la
femme
prend
son
rapport
à la
castration.
*
Il n'est pas
impossible
que la
femme
connaisse
la
fonction
phallique.
Le pas
impossible
de la
valeur
sexuelle
de la
femme
la
situe
dans le
domaine
du
contingent.
La
nature
de la
femme
se
fonde
du
pas-tous.
*
La
femme
n'est
pas-toute.
*
Il n'y a pas la
femme.
*
La
femme
n'est pas
toute.
*
Le
sexe
de la
femme
ne
dit
rien
à
l'homme
si ce n'est par
l'intermédiaire
de la
jouissance
du
corps.
La
femme
se
définit
d'une
position
du pas
toute
à
l'endroit
de la
jouissance
phallique.
La
jouissance
phallique
est
l'obstacle
par quoi
l'homme
n'arrive
pas à
jouir
du
corps
de la
femme.
La
femme
est pas
toute,
dans son
corps,
comme
être
sexué.
La
conjonction
des
termes
homme
et
femme
ne
peut
produire
rapport
sexuel.
[
Lac73b
, p. 3]
L'homme
et la
femme
habitent
le
langage.
[
Lac73a
, p. 11]
La
femme
est
leurre
de
vérité.
[
Lac73a
, p. 50]
Dans le
rapport
entre
l'homme
et la
femme,
la
castration
elle est
partout.
Bander
pour une
femme,
ça
veut
dire
lui
donner
la
fonction
, ça
veut
dire
la
prendre
comme
phallus.
L'homme
comme la
femme
font
semblant
chacun dans son
rôle.
*
La
femme,
au
regard
de la
fonction
phallique
ne se
situe
que du pas
toute
à y
être
sujette.
La
femme
ne
saurait
être
châtrée.
La
femme
recèle
une
autre
jouissance
que la
jouissance
phallique.
*
Si la
femme
n'est pas
toute,
c'est que sa
jouissance,
elle, est
duelle.
*
La
femme
n'est pas
toute.
*
L'universel
masculin
peut
prendre
son assiette dans
l'assurance
qu'il
n'existe
pas de
femme
qui
ait
été
châtrée.
La
relation
de la
femme
à la
fonction
phallique
est
tout
à
fait
active.
Il n'y a que
deux
sexes,
les
hommes
et les
femmes.
*
La
femme
n'est pas le
lieu
de
l'Autre.
La
femme
n'est pas
l'Autre
dans la
fonction
que le
est le
lieu
de la
vérité.
La
femme
se
distingue
de ne pas
être
unifiante.
C'est d'une
suppléance
du pas
toute
sur quoi
repose
la
jouissance
de la
femme.
La
jouissance
de la
femme
n'est pas
toute.
Une
femme
n'est
rien
qu'un
signifiant.
Entre
l'homme
et la
femme
se
situe
un
certain
Autre.
La
femme
ne
peut
s'écrire
que
femme.
Il n'y a pas de la
femme.
La
femme
n'est pas
toute.
femme
n'est pas
toute,
ce qui ne
permet
pas de
parler
de la
femme.
La
femme
a, par
rapport
à ce que
désigne
de
jouissance
la
fonction
phallique,
une
jouissance
supplémentaire.
La
jouissance
de
femme
est en
plus.
La
femme
ne
peut
s'écrire.
La
femme
a
rapport
au
signifiant
de
l'Autre.
Rien
ne
peut
se
dire
de
femme.
cf:
20.8.1
femme
a
rapport
à
.
cf:
20.8.1
femme
se
dédouble.
cf:
20.8.1
femme
n'est pas
toute
le
phallus.
cf:
20.8.1
C'est en tant que sa
jouissance
est
radicalement
Autre
que
femme
a
plus
rapport
à
Dieu.
ne
désigne
rien
d'autre
que la
jouissance
de
femme.
femme
a affaire à
l'Autre.
cf:
20.8.1
La
femme
ne
peut
aimer
en
l'homme
que la
façon
dont il
fait
face
au
savoir
dont il
âme.
La
femme,
c'est la
vérité
en tant qu'elle ne
peut
que se
mi-dire.
Un
homme
aime
une
femme
par
hasard.
*
La
femme
n'
ex-siste
pas. [
Lac74b
, p. 60]
Les
femmes
ne sont pas
toutes.
[
Lac74b
, p. 63]
*
Une
femme
ne
rencontre
L
'homme
que dans la
psychose.
[
Lac74b
, p. 63]
La
fonction
de
l'homme
par
rapport
à la
femme
s'écrit
.
L'homme
n'est pas la
femme.
*
La
femme,
ça
n'existe
pas.
*
La
femme
n'existe
pas.
*
La
femme
n'existe
pas.
*
La
femme
n'est pas
toute.
La
jouissance
de la
femme
ne va pas
sans
le
dire
de la
vérité.
*
c'est le
lieu
de la
jouissance
de la
femme.
c'est en quoi la
femme
n'existe
pas.
*
L'inconscient
comme
savoir
dysharmonique
est
plus
étranger
à une
femme
qu'à
l'homme.
La
femme
n'existe
pas.
*
femme
ça
n'existe
pas.
Ni
l'homme,
ni une
femme
n'est un
objet
.
La
jouissance
phallique
est aussi bien l'affaire d'une
femme.
femme
n'existe
pas.
Dieu
est la
femme
rendue
toute.
La
femme
n'est pas
toute.
*
Il
n'existe
pas
femme.
La
femme
est un
autre
nom
de
Dieu,
c'est en quoi elle
n'
ex-siste
pas.
La
fin
de la
vérité
est
qu'entre
homme
et
femme,
ça
ne marche pas.
Une
femme
est un
symptôme
pour
l'homme.
La
femme
n'est pas
toute.
*
Dans
l'utérus
de la
femme
l'enfant
est
parasite.
*
les
femmes
sont
plus
homme
5
.
183
que
l'homme.
C'est au
moment
où un
homme
est
femme
qu'il
aime.
[
Lac78
]
La
femme
n'est pas
privée
de la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
La
femme
n'a pas
moins
que
l'homme
la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
Suivant:
fente
Remonter:
5.6 F
Précédent:
féminin
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08