femme

$0314013_{1956}$
Entre homme et femme une dissymétrie essentielle apparaît au niveau du signifiant, au niveau du symbolique.
$0314014_{1956}$
Il n'y a pas de symbolisation du sexe de la femme comme tel.
$0314015_{1956}$
La symbolisation du sexe de la femme n'est pas la même que la symbolisation du sexe de l'homme.
$0314024_{1956}$
La position sexuelle normale, achevée, se réalise en tant que la fonction de l'homme et de la femme est symbolisée.
$0314027_{1956}$
L'hystérique homme et femme se pose la même question, celle qui concerne la position féminine.
$0402001_{1956}$
L'objet génital c'est la femme.
$0404024_{1956}$
La femme a le phallus dans ses manques d'objets essentiels.
$0404025_{1956}$
Quand la femme trouve dans l'enfant une satisfaction, c'est qu'elle trouve en lui ce quelque chose qui la calme, ce pénis, ce besoin de phallus.
$0406032_{1957}$
Ce qui est cherché dans la femme, c'est ce qui lui manque.
$0409005_{1957}$
Le fétiche, c'est le pénis de la femme en tant qu'elle ne l'a pas.
$0409008_{1957}$
Le phallus peut faire à l'occasion l'objet d'une nostalgie imaginaire de la part de la femme.
$0409009_{1957}$
Le phallus que la femme n'a pas est phallus symbolique qui existe là en tant qu'absence.
$0409010_{1957}$
L'idée de la castration chez la femme tient à ce qu'elle n'a pas le phallus symboliquement.
$0409011_{1957}$
L'absence de phallus symbolique chez la femme a pour conséquence qu'elle peut l'avoir.
$0409014_{1957}$
C'est par l'intermédiaire de la valorisation symbolique du phallus que les femmes entrent dans la chaîne de l'échange symbolique.
$0409017_{1957}$
Dans le fétiche, la castration de la femme est à la fois affirmée et aussi niée.
$0409028_{1957}$
C'est une alternance d'identifications à la femme qui organise le cycle des relations à l'objet amoureux chez le fétichiste.
$0410015_{1957}$
Dans certains cas le sujet masculin se donne à la femme comme étant ce quelque chose qui lui manque.
$0412019_{1957}$
* Toute femme qui n'est pas permise, est interdite par la loi.
$0413005_{1957}$
La castration prend comme base cette appréhension dans le réel de l'absence de pénis chez la femme.
$0415010_{1957}$
Le phallus s'impose parmi les autres images, et d'une façon prévalente, au désir de la femme.
$0416005_{1957}$
La complexité des relations de l'homme à la femme vient de la résistance des sujets masculins à admettre que les sujets féminins sont dépourvus de quelque chose et sont pourvus de quelque chose d'autre.
$0510014_{1958}$
C'est du complexe de castration que dépend que la fille devienne une femme.
$0510016_{1958}$
Dans la mesure où il n'accepte pas le phallus, cela entraîne homme ou femme à être le phallus.
$0515017_{1958}$
Le phallus est le signifiant fondamental par quoi le désir du sujet a à se faire reconnaître comme tel, pour l'homme et pour la femme.
$0515025_{1958}$
Le Penis-Neid est à l'articulation essentielle de l'entrée de la femme dans la dialectique œdipienne.
$0515035_{1958}$
Le désir de la femme est précisément signifié par ce qui lui manque, et par le phallus.
$0518017_{1958}$
La femme est l'héritière de la fonction de la mère, se trouvant dépossédée, frustrée de l'élément du désir.
$0526001_{1958}$
Pour le développement de la femme, elle doit être le phallus sur le fond qu'elle ne l'est pas.
$0606004_{1958}$
Les rapports de l'homme et de la femme à leur désir sont foncièrement différents en raison de leur asymétrie par rapport au signifiant phallus.
$0021051_{1958}$
Le schéma $I$, figure 1.21.2, désigne les objets: $M$, qui s'adresse à  nous, $a$, la jouissance transsexualiste, le laissé tombé par le créateur, l'image de la créature, $\mathcal{S}$, $\Phi_{0}$, $\mathcal{R}$, $\ensuremath{P}\xspace _{0}$, $\mathcal{I}$, le futur de la créature, les créatures de la parole, la parole où se maintient le réel, $I$, $a '$, aime sa femme. [Lac66a, p. 571]
$0023022_{1958}$
Le désir de la femme se note \ensuremath {\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace }(\varphi)}. [Lac66a, p. 683]
$0027005_{1958}$
* La duplicité du sujet est masquée chez la femme. [Lac66a, p. 734]
$0607014_{1959}$
Pour autant que la femme symbolise le phallus, l'homme y retrouve le complément de son  être.
$0624017_{1959}$
Le pas Un se transforme en phallus ressenti comme absence chez la femme.
$0625011_{1959}$
Le phallus, la femme elle l'aura toujours en moins.
$0625012_{1959}$
La femme a à faire  avec l'objet phallique, toujours en tant que séparé.
$0625013_{1959}$
Dans l'inconscient de la femme, le phallus à la fois elle l'est , et elle l'a .
$0030102_{1960}$
C'est l'absence de pénis de la femme qui la fait phallus, objet du désir. [Lac66a, p. 825]
$0816012_{1961}$
* La femme est sans l'avoir.
$1010009_{1963}$
* Une femme n'a pas de pénis.
$1014029_{1963}$
La femme ne manque de rien.
$1014030_{1963}$
Chez la femme, il n'y a rien à désirer sur le chemin de la jouissance.
$1015002_{1963}$
Le lien de la femme au nœud du désir est beaucoup plus lâche.
$1015007_{1963}$
La femme se tente en tentant l'autre.
$1015008_{1963}$
Pour la femme, le désir de l'Autre est le moyen pour que sa jouissance ait un objet convenable.
$1016002_{1963}$
La femme veut un objet en tant qu'elle ne l'a pas.
$1016003_{1963}$
* C'est dans la dépendance de la demande que se constitue cet objet $a$ pour la femme.
$1016004_{1963}$
Pour la femme, c'est initialement ce qu'elle n'a pas comme tel, qui constitue au départ l'objet de son  désir.
$1016009_{1963}$
La femme n'a aucun risque à rechercher ce qu'il en est du désir de l'homme.
$1016010_{1963}$
Pour la femme, la revendication du pénis, reste essentiellement liée au rapport à la mère par la demande.
$1020009_{1963}$
* La jouissance de la femme et de l'homme ne se conjoignent pas organiquement.
$1021001_{1963}$
Dans le Penisneid, la femme ne peut prendre le phallus que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son  $a$, soit son  trop petit $\varphi$ à elle.
$1021002_{1963}$
La femme ne peut jouir de $\varphi$ que parce qu'il n'est pas à sa place, à la place de sa jouissance.
$1023009_{1963}$
* La jouissance de la femme est en elle-même, elle ne la conjoint pas à l'Autre.
$1023010_{1963}$
L'homme n'est dans la femme que par délégation de sa présence, sous la forme d'un organe caduc.
$1116010_{1964}$
Ce qu'il faut faire comme homme ou comme femme, l'être humain a toujours à l'apprendre de toutes pièces de l'Autre.
$0032008_{1964}$
La femme doit perdre ce qu'elle n'a pas. [Lac66a, p. 852]
$1316018_{1966}$
La femme, de n'avoir pas le phallus, incarne le parfait accomplissement de la castration.
$1323006_{1966}$
La femme ça  existe au niveau de l'objet $a$.
$1413005_{1967}$
C'est parce qu'elle n'a pas le phallus que le don de la femme prend une valeur privilégiée quant à l'être.
$1413007_{1967}$
Ce que donne la femme sous la forme de ce qu'elle n'a pas est aussi la cause de son  désir.
$1413008_{1967}$
Ce que donne la femme de ne pas l'avoir devient la cause de son  désir.
$1413009_{1967}$
La femme ne perd rien puisqu'elle ne donne que ce qu'elle n'a pas.
$1414010_{1967}$
Pour la femme le manque phallique s'appelle Penis-neid.
$1416015_{1967}$
La valeur phallique c'est la femme qui le5.182 représente.
$1417015_{1967}$
C'est en tant qu'elle n'a pas le phallus que la femme peut en prendre la valeur.
$1420012_{1967}$
* Il y a de la femme quelque part.
$1422010_{1967}$
Le corps de la femme est la métaphore de la jouissance du mâle.
$1515007_{1968}$
* L'homme et la femme n'ont ensemble rien à voir.
$1515008_{1968}$
* L'homme et la femme finalement n'ont ensemble rien à voir.
$1515009_{1968}$
L'homme et la femme peuvent aller ensemble sans avoir rien à voir ensemble.
$1515013_{1968}$
L'homme et la femme n'ont ensemble rien à voir.
$1601020_{1968}$
* À sainte femme, fils pervers.
$1614004_{1969}$
* Toute la normativité s'organise pour l'homme comme pour la femme autour de la passation d'un manque.
$1614011_{1969}$
* La sublimation conserve la femme dans le rapport de l'amour au prix de la constituer au niveau de la Chose.
$1615001_{1969}$
* La sublimation c'est cet effort pour permettre que l'amour se réalise avec la femme.
$1618004_{1969}$
* La femme est distinguée de ceci qu'elle n'a pas le phallus.
$1618008_{1969}$
* Pour le pervers il faut qu'il y ait une femme non châtrée.
$1620027_{1969}$
Le père primordial, c'est celui qui confond dans sa jouissance, toutes les femmes.
$1621007_{1969}$
* L'hystérique se caractérise de ne pas se prendre pour la femme.
$1624005_{1969}$
* L'hystérique s'introduit de ne pas se prendre pour la femme.
$1624006_{1969}$
* La mort est en jeu dans ce que l'hystérique aborde de ce qu'il en est de la femme.
$1624007_{1969}$
* L'hystérique fait l'homme qui supposerait la femme savoir.
$1624008_{1969}$
* Ce que l'hystérique suppose, c'est que la femme sait ce qu'elle veut.
$1625002_{1969}$
* Le savoir sert la femme, parce qu'il la fait cause du désir.
$1702019_{1969}$
Hommes et femmes, quand ils se font analyser sont forcés d'en passer par la loi du discours de l'hystérique.
$1704001_{1970}$
Les femmes sont moins enfermées dans le cycle des discours que l'homme, mâle, viril.
$1711004_{1970}$
Ce n'est qu'à ce que $a$ se substitue à la femme que l'homme la désire.
$0053020_{1970}$
L'homme ne sait rien de la femme. [Lac70d, p. 64]
$0053021_{1970}$
La femme ne sait rien de l'homme. [Lac70d, p. 64]
$0053064_{1970}$
Dans la castration, le signifiant femme s'inscrit comme privation. [Lac70d, p. 90]
$1802035_{1971}$
* La femme est en position, au regard  de la jouissance sexuelle, de ponctuer l'équivalence de la jouissance et du semblant.
$1802036_{1971}$
La femme est le support de cette vérité, de ce qu'il y a de semblant dans le rapport de l'homme à la femme.
$1802038_{1971}$
La femme sait ce qui, de la jouissance et du semblant, est disjonctif.
$1802040_{1971}$
* La femme a une très grande liberté à l'endroit du semblant.
$1804026_{1971}$
Le père primordial jouit de toutes les femmes.
$1804027_{1971}$
* Il n'y a pas d'universel de la femme.
$1804039_{1971}$
Le rapport de l'homme et de la femme est radicalement faussé, de par la loi sexuelle.
$1804040_{1971}$
* La femme n'existe pas.
$1805010_{1971}$
Le désir de la femme s'écrit \ensuremath {\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace }(\varphi)}.
$1806006_{1971}$
Il est impensable de dire la femme parce qu'on ne peut pas dire toutes les femmes.
$1806007_{1971}$
Que le père possède toutes les femmes, est manifestement le signe d'une impossibilité.
$1806009_{1971}$
En tant que la femme, elle, n'a rien à faire avec la loi.
$1806018_{1971}$
* La parole s'efforce de réduire la femme à la sujétion.
$1806019_{1971}$
La femme n'existe dans aucun être réel.
$1806020_{1971}$
La femme c'est la lettre en tant qu'elle est le signifiant qu'il n'y a pas d'Autre.
$1808002_{1971}$
La lettre a un effet féminisant.
$1808017_{1971}$
Dans le schéma 18.8.1 s'indique : un-en-peluce, $\Phi$, hommoinzun, Homme, Femme.
$1808019_{1971}$
* La femme ne peut remplir sa place dans le rapport sexuel.
$1808020_{1971}$
La femme ne peut être femme qu'au titre d'une femme.
$1808021_{1971}$
* Il n'y a pas de toute femme.
$1808023_{1971}$
Ce n'est qu'à partir d'être une femme que la femme peut s'instituer dans ce qui est inscriptible de ne pas l'être, restant béant de ce qu'il en est du rapport sexuel.
$1809001_{1971}$
* L'homme, la femme n'ont aucun besoin de parler pour être pris dans un discours.
$1809002_{1971}$
L'homme, la femme sont des faits de discours.
$1809010_{1971}$
* C'est par rapport à toute femme qu'une femme se situe.
$1809029_{1971}$
L'œdipe a l'avantage de montrer en quoi l'homme peut répondre à l'exigence du pas plus d'Un qui est dans l'être d'une femme.
$1901009_{1971}$
* La femme ne sait jouir que dans une absence.
$1902013_{1971}$
La fonction du pas-tous s'applique aux femmes.
$2702018_{1971}$
* Des hommes et des femmes c'est du réel.
$1903001_{1972}$
Qu'il y ait l'homme et la femme, c'est d'abord affaire de langage.
$1903012_{1972}$
Il y a béance d'une indétermination du rapport commun à la jouissance de l'homme et de la femme.
$1903013_{1972}$
* Il n'y a pas de tout des femmes.
$1903015_{1972}$
Les femmes ne sont pas castrables, parce que le phallus elle ne l'ont  pas.
$1903019_{1972}$
* C'est du réel que la femme prend son  rapport à la castration.
$1903020_{1972}$
* Il n'est pas impossible que la femme connaisse la fonction phallique.
$1903021_{1972}$
Le pas impossible de la valeur sexuelle de la femme la situe dans le domaine du contingent.
$1909003_{1972}$
La nature de la femme se fonde du pas-tous.
$1909014_{1972}$
* La femme n'est pas-toute.
$2001027_{1972}$
* Il n'y a pas la femme.
$2001028_{1972}$
* La femme n'est pas toute.
$2001029_{1972}$
* Le sexe de la femme ne dit rien à l'homme si ce n'est par l'intermédiaire de la jouissance du corps.
$2001031_{1972}$
La femme se définit d'une position du pas toute à l'endroit de la jouissance phallique.
$2001032_{1972}$
La jouissance phallique est l'obstacle par quoi l'homme n'arrive pas à jouir du corps de la femme.
$2001042_{1972}$
La femme est pas toute, dans son  corps, comme être sexué.
$0057001_{1972}$
La conjonction des termes homme et femme ne peut produire rapport sexuel. [Lac73b, p. 3]
$0058016_{1972}$
L'homme et la femme habitent le langage. [Lac73a, p. 11]
$0058059_{1972}$
La femme est leurre de vérité. [Lac73a, p. 50]
$2703009_{1972}$
Dans le rapport entre l'homme et la femme, la castration elle est partout.
$2704011_{1972}$
Bander pour une femme, ça  veut dire lui donner la fonction $\Phi (x)$ , ça  veut dire la prendre comme phallus.
$2704017_{1972}$
L'homme comme la femme font semblant chacun dans son  rôle.
$2705011_{1972}$
* La femme, au regard de la fonction phallique ne se situe que du pas toute à y être sujette.
$2705013_{1972}$
La femme ne saurait être châtrée.
$2705014_{1972}$
La femme recèle une autre jouissance que la jouissance phallique.
$2705016_{1972}$
* Si la femme n'est pas toute, c'est que sa jouissance, elle, est duelle.
$2705018_{1972}$
* La femme n'est pas toute.
$2705027_{1972}$
* L'universel masculin peut prendre son  assiette dans l'assurance qu'il n'existe pas de femme qui ait été châtrée.
$2705028_{1972}$
La relation de la femme à la fonction phallique est tout à fait active.
$2706019_{1972}$
Il n'y a que deux sexes, les hommes et les femmes.
$2707017_{1972}$
* La femme n'est pas le lieu de l'Autre.
$2707018_{1972}$
La femme n'est pas l'Autre dans la fonction que le $A$ est le lieu de la vérité.
$2707022_{1972}$
La femme se distingue de ne pas être unifiante.
$2004021_{1973}$
C'est d'une suppléance du pas toute sur quoi repose la jouissance de la femme.
$2004022_{1973}$
La jouissance de la femme n'est pas toute.
$2005004_{1973}$
Une femme n'est rien qu'un signifiant.
$2007008_{1973}$
Entre l'homme et la femme se situe un certain Autre.
$2007020_{1973}$
La femme ne peut s'écrire que $\not\!\!La$ femme.
$2007021_{1973}$
Il n'y a pas de la femme.
$2007022_{1973}$
La femme n'est pas toute.
$2007026_{1973}$
$\not\!\!La$ femme n'est pas toute, ce qui ne permet pas de parler de la femme.
$2007027_{1973}$
La femme a, par rapport à ce que désigne de jouissance la fonction phallique, une jouissance supplémentaire.
$2007029_{1973}$
La jouissance de $\not\!\!La$ femme est en plus.
$2008014_{1973}$
La femme ne peut s'écrire.
$2008016_{1973}$
La femme a rapport au signifiant de l'Autre.
$2008019_{1973}$
Rien ne peut se dire de $\not\!\!La$ femme. cf: 20.8.1
$2008020_{1973}$
$\not\!\!La$ femme a rapport à $S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$. cf: 20.8.1
$2008021_{1973}$
$\not\!\!La$ femme se dédouble. cf: 20.8.1
$2008022_{1973}$
$\not\!\!La$ femme n'est pas toute le phallus. cf: 20.8.1
$2008027_{1973}$
C'est en tant que sa jouissance est radicalement Autre que $\not\!\!La$ femme a plus rapport à Dieu.
$2008035_{1973}$
$S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$ ne désigne rien d'autre que la jouissance de $\not\!\!La$ femme.
$2008036_{1973}$
$\not\!\!La$ femme a affaire à l'Autre. cf: 20.8.1
$2008043_{1973}$
La femme ne peut aimer en l'homme que la façon dont il fait face au savoir dont il âme.
$2010007_{1973}$
La femme, c'est la vérité en tant qu'elle ne peut que se mi-dire.
$2104005_{1973}$
Un  homme aime une femme par hasard.
$0059033_{1973}$
* La femme n'ex-siste pas. [Lac74b, p. 60]
$0059034_{1973}$
Les femmes ne sont pas toutes. [Lac74b, p. 63]
$0059035_{1973}$
* Une femme ne rencontre L'homme que dans la psychose. [Lac74b, p. 63]
$2106006_{1974}$
La fonction de l'homme par rapport à la femme s'écrit $\overline{\exists f}.f(x,y)$.
$2106019_{1974}$
L'homme n'est pas la femme.
$2106028_{1974}$
* La femme, ça  n'existe pas.
$2106029_{1974}$
* La femme n'existe pas.
$2107002_{1974}$
* La femme n'existe pas.
$2107003_{1974}$
* La femme n'est pas toute.
$2107028_{1974}$
La jouissance de la femme ne va pas sans le dire de la vérité.
$2115007_{1974}$
* $\exists x.\overline{\Phi x}$ c'est le lieu de la jouissance de la femme.
$2115008_{1974}$
$\overline{\exists x}.\overline{\Phi x}$ c'est en quoi la femme n'existe pas.
$2115009_{1974}$
* L'inconscient comme savoir dysharmonique est plus étranger à une femme qu'à l'homme.
$2203025_{1974}$
La femme n'existe pas.
$2205016_{1975}$
* $\not\!\!La$ femme ça  n'existe pas.
$2205018_{1975}$
Ni l'homme, ni une femme n'est un objet $a$.
$2205019_{1975}$
La jouissance phallique est aussi bien  l'affaire d'une femme.
$2206005_{1975}$
$\not\!\!La$ femme n'existe pas.
$2208013_{1975}$
Dieu est la femme rendue toute.
$2208014_{1975}$
La femme n'est pas toute.
$2208015_{1975}$
* Il n'existe pas $\not\!\!La$ femme.
$2301003_{1975}$
La femme est un autre nom de Dieu, c'est en quoi elle n'ex-siste pas.
$3601008_{1975}$
La fin de la vérité est qu'entre homme et femme, ça ne marche pas.
$3604009_{1975}$
Une femme est un symptôme pour l'homme.
$2308002_{1976}$
La femme n'est pas toute.
$2401012_{1976}$
* Dans l'utérus de la femme l'enfant est parasite.
$2411017_{1977}$
* les femmes sont plus homme5.183 que l'homme.
$2501040_{1977}$
C'est au moment où un homme est femme qu'il aime. [Lac78]
$0068002_{1980}$
La femme n'est pas privée de la jouissance phallique. [Lac82b, p. 83]
$0068003_{1980}$
La femme n'a pas moins que l'homme la jouissance phallique. [Lac82b, p. 83]

Jacques B. Siboni 2024-11-08