Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
Recherche
Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.22 V
Précédent:
vérification
Suivant:
Verleugnung
Index:
Index
vérité
L'analyse
a pour
but
l'avènement
d'une
parole
vraie.
[
Lac66a
, p. 302]
La
résistance
part
de
l'impuissance
du
sujet
à
aboutir
dans le
domaine
de la
réalisation
de sa
vérité.
Le
sujet
est
intégré
au
système
symbolique
et s'y exerce et s'y
affirme
par
l'exercice
d'une
véritable
parole.
La
parole
pleine
vise,
forme
cette
vérité
s'établissant dans la
reconnaissance
de l'un par
l'autre.
L'amour
provoque
une
véritable
subduction du
symbolique.
La
formation
de
l'objet
et celle du
moi
sont
d'apparition
vraiment
contemporaine.
L'ignorance
est un
terme
dialectique,
pour autant qu'elle n'est
littéralement
constituée
comme telle que dans une
perspective
de
recherche
de la
vérité.
L'ignorance
se
constitue
d'une
façon
polaire
par
rapport
à la
position
virtuelle
d'une
vérité
à
atteindre.
Toute
parole
formulée
comme telle
introduit
une
émergence
du
sens
dégageant du
réel
la
dimension
de la
vérité.
L'erreur
n'est
définissable
qu'en
termes
de
vérité.
*
Le
mensonge,
pour être
soutenu
et poursuivi
impose
littéralement
la
constitution
de la
vérité.
Il n'y a pas par
essence
d'erreur
qui ne se
pose
et ne
s'enseigne
comme
vérité.
L'erreur
est
l'incarnation
commune
et habituelle de la
vérité.
La
tromperie
n'est
soutenable
qu'en
fonction
de la
vérité.
*
Les
voies
de la
vérité
sont des
voies
d'erreur
par
essence.
*
C'est la
contradiction
dans le
discours
qui est le
départ
entre
la
vérité
et
l'erreur.
Tous les
actes
manqués
et
toutes
les
paroles
qui achoppent, sont des
paroles
qui
avouent
et des
actes
qui
réussissent
dans le
sens
d'une
vérité
qui
essentiellement
ment.
La
vérité
rattrape
l'erreur
dans la
méprise.
*
Par son
corps
même,
le
sujet
émet
une
parole
qui, comme telle, est
parole
de
vérité.
Le
sujet
vrai
est le
sujet
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 372]
La
vérité
est
toujours
voilée.
*
Il y a
derrière
tout
discours
une
vraie
parole.
Le
symptôme
est en lui-même
signification,
c'est à dire
vérité.
Le
symptôme
est
vérité
mise en
forme
en tant que
vérité.
*
La
seule
véritable
résistance
dans
l'analyse,
c'est la
résistance
de
l'analyste.
*
Dans le
cas
du
sujet
et de la
parole
délirants,
l'Autre
est
exclu
véritablement.
Quand
l'Autre
est
exclu
véritablement,
ce qui
concerne
le
sujet
est
dit
par
l'autre
réellement.
La
vraie
parole
s'oppose
au
discours
vrai.
[
Lac66a
, p. 351]
La
vraie
parole
constitue
la
reconnaissance
par les
sujets
de leurs
êtres
en ce qu'ils y sont
inter-essés
.
[
Lac66a
, p. 351]
Le
discours
vrai
est
constitué
par la
connaissance
du
réel,
en tant qu'il est
visé
par le
sujet
dans les
objets.
[
Lac66a
, p. 351]
*
Le
discours
de la
tromperie
et de
l'erreur
n'est pas
sans
témoigner
de
l'existence
de la
parole
où se
fonde
la
vérité.
[
Lac66a
, p. 353]
Le
refoulement
est
censure
de la
vérité.
[
Lac66a
, p. 358]
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
[
Lac66a
, p. 409]
*
Il y a du
véritable.
[
Lac66a
, p. 406]
*
Tout
vrai
signifiant
est, en tant que tel, un
signifiant
qui ne
signifie
rien.
C'est dans la
mesure
où une
notion
peut
être mise en
doute
qu'elle est un
signifiant
véritable.
Une
névrose
sans
œdipe,
ce n'est pas
vrai.
Dans la
psychose,
il y a une
véritable
intrusion
psychologique
du
signifiant
comme tel.
*
L'automatisme
c'est ce qui
pense
vraiment
par
soi-même.
Le
registre
de la
vérité
se
situe
à la
fondation
de
l'intersubjectivité.
[
Lac66a
, p. 20]
La
structure
de la
vérité
est la
même
que la
structure
de la
fiction.
La
vérité
a une
structure
de
fiction.
L'Autre
est le
siège
de la
parole
et
garant
de la
vérité.
La
lettre
produit
tous
ses
effets
de
vérité
dans
l'homme.
[
Lac66a
, p. 509]
La
vérité
du
désir
est à elle
seule
une offense à l'autorité de la
loi.
,
le
grand
Autre
est le
lieu
de la
vérité.
Dans la
parole
s'instaure
toujours
l'élément
tiers
qu'est le
lieu
de
l'Autre
où la
parole
s'inscrit
comme
vérité.
La
vérité
au
niveau
de
l'inconscient
est une
vérité
sans
vérité.
Le
fantasme
de la
névrose
est
avant
l'heure de
vérité
ou après l'heure.
*
Il n'y a pas dans le
signifiant
lui-même, de
garant
de la
dimension
de
vérité
instaurée par le
signifiant.
Il y a
non-garantie
au
niveau
de la
vérité
de
l'Autre.
*
Il n'y a
rien
dans la
signifiance
qui soit la
garantie
de la
vérité.
Il n'y a
d'autre
garantie
de la
vérité
que la bonne
foi
de
l'Autre.
L'obsessionnel
réserve
l'engagement
de son
véritable
désir
à une date ultérieure.
*
Toute
vérité
a une
structure
de
fiction.
L'articulation
signifiante
donne
la
véritable
structure
de
l'inconscient.
Le
mensonge
du
sujet
au
niveau
de
l'inconscient
est sa
façon
de
dire
la
vérité.
La
véritable
terminaison
de
l'analyse
est celle qui prépare à
devenir
analyste.
*
La
première
imagination,
invention
de la
vérité,
c'est
l'amour.
*
le
discours
engendre
la
dimension
de la
vérité.
L'Autre
est
témoin
de la
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
signifiant
exige
le
lieu
de
l'Autre
pour que la
parole
qu'il
supporte
puisse
mentir,
c'est-à-dire se poser comme
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
La
vérité
ne tire pas sa
garantie
de la
réalité
qu'elle
concerne.
[
Lac66a
, p. 808]
La
vérité
tire sa
garantie
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 808]
La
vérité
est
instituée
dans une
structure
de
fiction.
[
Lac66a
, p. 808]
La
vraie
fonction
du
père
est
d'unir
un
désir
à la
loi.
[
Lac66a
, p. 824]
*
Toute
vérité
a une
structure
de
fiction.
[
Lac84a
, p. 12]
L'oblativité
est le
champ
véritable
de la
dialectique
anale.
*
Le
sujet
n'affirme
la
dimension
de la
vérité
comme
originale
qu'au
moment
où il se
sert
du
signifiant
pour
mentir.
Le
trou
central
du
tore
n'est pas un
véritable
intérieur,
il suggère quelque
chose
de
l'ordre
du
passage
de
l'intérieur
à
l'extérieur.
*
Le
vrai
objet
que
cherche
le
névrosé,
est une
demande
qu'il
veut
qu'on
lui
demande.
Le
hors
de
doute
est la
véritable
substance
de
l'angoisse,
ce qui ne
trompe
pas.
La
psychanalyse
reconnaît
dans le
désir
la
vérité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 785]
Dans
l'
acting-out
,
le
désir
pour
s'affirmer
comme
vérité,
s'engage
dans une
voie
de
monstration.
L'angoisse
vise
la
vérité
du
manque.
Dans le
complexe
de
castration
il y a un
véritable
renversement
du
point
de
désir
et du
lieu
de
l'angoisse.
*
La
vérité
de la
psychanalyse
n'est, tout au moins en
partie,
accessible
qu'à
l'expérience
du
psychanalyste.
*
L'angoisse
est la
vérité
de la
sexualité.
*
La
vérité
entre
dans le
monde
avec le
signifiant
et
avant
tout
contrôle.
*
L'analyse
doit
s'avancer vers une conquête du
vrai
par la
voie
de la
tromperie.
La
vérité
du
sujet
n'est pas en lui.
La
vérité
du
sujet
est dans un
objet
de
nature
voilé.
Faire
surgir
l'objet
de la
vérité
du
sujet,
est
élément
de
comique
pur.
La
vraie
fonction
de
l'inconscient,
c'est
d'être
en
relation
profonde,
initiale,
inaugurale
avec la
fonction
de la
coupure.
*
La
véritable
formule
de l'athéisme c'est que
Dieu
est
inconscient.
La
vraie
fonction
de
l'organe
de
l'œil
est le
mauvais
œil.
Le
grand
Autre
est
virtuellement
le
lieu
de la
vérité.
La
vérité
ne se
fonde
que de ce que la
parole,
même
mensongère,
y
fait
appel
et la
suscite.
L'analyste
est en posture de
formuler,
“
tu
dis
la
vérité
”, et son
interprétation
n'a de
sens
que dans cette
dimension.
Le
mensonge
comme tel se
pose
lui-même dans la
dimension
de la
vérité.
La
distinction
entre
pulsion
de
vie
et
pulsion
de
mort
est
vraie
pour autant qu'elle
manifeste
deux
aspects de la
pulsion.
*
L'Autre
est la
dimension
exigée
de ce que la
parole
s'affirme
en
vérité.
[
Lac66a
, p. 839]
*
La
libido
est cette
lamelle
que
glisse
l'être
de
l'organisme
à sa
véritable
limite,
qui va plus loin que celle du
corps.
[
Lac66a
, p. 848]
*
La
parole
est ce qui
introduit
dans le
monde
la
vérité.
Il y a un
rapport
divergent de la
vérité
au
savoir.
*
Les
moyens
de la
psychanalyse
sont des
moyens
de
vérité.
Chaque
fois
que le
sujet
trouve
sa
vérité,
ce qu'il
trouve,
il le
change
en
objet
.
Le
sujet
est
divisé
entre
savoir
et
vérité.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
*
La
vérité
se
fonde
de ce qu'elle
parle.
L'inconscient
qui
dit
le
vrai
sur le
vrai
est
structuré
comme un
langage.
*
La
vérité
de la
souffrance
névrotique,
c'est
d'avoir
la
vérité
comme
cause.
5
.
591
*
La magie, c'est la
vérité
comme
cause
sous son aspect de
cause
efficiente.
Jouir
de la
vérité,
c'est la
pulsion
épistémologique.
Le
sujet
se
divise
entre
vérité
et
savoir.
Jouir
de la
vérité
est la
visée
véritable
de la
pulsion
épistémophilique.
L'objet
est le
champ
de
l'intersection
de la
vérité
et du
savoir.
5
.
592
*
Il n'y a pas de
vrai
sur le
vrai.
La
division
du
sujet
est
entre
le
savoir
et la
vérité.
[
Lac66a
, p. 856]
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 867]
*
La
vérité
se
fonde
de ce qu'elle
parle.
[
Lac66a
, p. 868]
L'inconscient
dit
le
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 868]
L'
Urverdrängung
se
situe
à la
place
du
manque
du
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 868]
*
Moi
la
vérité
je
parle.
La
valeur
de
l'objet
est
valeur
de
vérité.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
Le
domaine
de la
tromperie
est celui où, comme telle, la
vérité
parle.
Au
lieu
de
l'Autre,
tout
ce qui
s'articule
comme
parole
se
pose
comme
vrai,
même et y compris le
mensonge.
La
dimension
du
mensonge,
contrairement
à celle de la
feinte,
est
d'avoir
le
pouvoir
de
s'affirmer
comme
vérité.
La
vérité,
avant
d'être
vraie
ou
fausse,
peut
se
poursuivre
valablement de sa
dialectique.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
La
parole
se
situe
au
champ
de
l'Autre
comme
support
de la
vérité.
La
jouissance
est
soustraite
au
champ
de
l'amour
courtois,
où est
permis
un
certain
équilibre
de la
vérité
et du
savoir.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir
tout
sauf ce qu'il en est de la
vérité
du
patient.
*
La
pulsion
épistémologique,
c'est la
vérité
qui
s'offre
comme
jouissance.
Un
objet
divise
entre
le
savoir
et la
vérité.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où est mise en
question
la
vérité
de la
demande.
Le
symptôme
est
être
de
vérité.
Le
symptôme
est un
être
de
vérité.
La
fonction
de
vérité
de la
parole
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
La
dimension
du
vrai
n'implique
pas en elle-même le
support
de la
pensée.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Il est de la
caractéristique
du
faux
de
rendre
tout
vrai.
La
caractéristique
du
faux
c'est
qu'on
en déduit le
faux
et le
vrai.
Le
rapport
du
signifiant
à la
vérité
peut
court-circuiter
toute
pensée
qui le
supporte.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
La
métaphore
substitue
un
signifiant
autre
qui
fait
ressortir la
vérité.
La
fonction
de
l'interprétation
dans
l'analyse
a un
effet
de
vérité.
L'effet
de
vérité
ne
préjuge
pas de
l'état
de
vérité
ou de
fausseté
de
l'interprétation.
Si
je
pense
est
vrai,
alors
je
suis
est
vrai
en
logique;
mais si
je
pense
est
faux
alors
je
suis
est
vrai
ou
faux
en
logique.
5
.
593
Le
symptôme
est
vérité.
[
Lac66a
, p. 235]
*
La
vérité,
c'est ce qui
s'instaure
de la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 235]
Un
nœud
vrai
ne
saurait
se mettre à
plat.
[
Lac66a
, p. 724]
Le
symbole
a une
structure
de
nœud
vrai.
[
Lac66a
, p. 724]
Un
nœud
vrai
ne
peut
pas se mettre à
plat.
[
Lac66a
, p. 724]
Je
ne
suis
pas est
révélation
de quelque
chose
qui est la
vérité
de la
structure.
L'Autre
comme
lieu
de la
parole
n'est
rien
d'autre
que le
lieu
où
l'assertion
se
pose
comme
véridique.
La
vérité
se
réalise
où elle
veut
quand elle
parle.
L'Autre
est le
champ
de la
vérité.
L'angoisse
de
l'Autre
est la
vraie
racine
de la
position
du
sujet
comme
position
masochique.
La
vérité
est
dimension
propre
du
langage.
La
psychanalyse
vient
à
être
constituée
partout
où la
vérité
se
fait
reconnaître
seulement
en ceci qu'elle
surprend
et
s'impose.
L'
acting-out
se
situe
à cette
place
élidée
où quelque
chose
se
manifeste
du
champ
de
l'Autre
éliminé,
mais sous une
forme
de
manifestation
véridique.
L'
acting-out
s'apparente au
symptôme
en tant que
manifestation
de la
vérité.
D'un
acte
véritable,
s'instaure
un
sujet
qui
surgit
différent
car, par la
coupure,
sa
structure
est
modifiée.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
La
vérité
parle
puisqu'elle est la
vérité.
La
vérité
dit
dans le
symptôme.
L'inconscient
parle
avec la
vérité.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
chaîne
signifiante
et ce qu'elle
supporte
de
vérité.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
le
discours
de la
vérité.
Pour les
analystes
la
vérité
n'a
d'autre
forme
que le
symptôme.
Il n'y a qu'un
seul
domaine
qui
n'ait
pas de
rapport
avec
l'acte
sexuel,
en tant qu'il
intéresse
la
vérité,
c'est la
mathématique,
au
point
où elle conflue avec la
logique
5
.
594
.
*
La
vérité
sexuelle
est
exigeante.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
La
vérité
de
l'acte
sexuel
fait
question
dans
l'expérience
psychanalytique.
La
présence
de la
dimension
de la
vérité
est
inévitable
dans
l'instauration
du
discours
analytique.
Le
discours
analytique,
c'est un
discours
soumis
à la
loi
de solliciter une
vérité
qui
parle.
En tant que
discours
non
soumis
au
principe
de
contradiction,
il y a
vérité
d'un
discours
qui
peut
dire
oui
et
non
en
même
temps
de la
même
chose.
L'inconscient
préserve
une
vérité
qu'il
n'avoue
pas.
Le
transfert
est
source
de
résistance
entre
la
position
fausse
d'être
le
sujet
supposé
savoir,
ce que
l'analyste
sait
bien qu'il n'est pas, et celle
d'avoir
à rectifier les
effets
de cette
supposition
de la
part
du
sujet
au
nom
de la
vérité.
*
La
vraie
dimension
de la
connerie
est indispensable à
saisir
comme
étant
à quoi a affaire
l'acte
analytique.
Il n'y a pas de
vrai
sur le
vrai.
L'acte
manqué
est un
acte
symptomatique
qui
révèle
la
vérité.
*
Le
psychanalyste
ne
prend
pas en charge la
vérité.
*
La
vérité
c'est, au
lieu
de
l'Autre,
l'inscription
du
signifiant.
C'est de la
jouissance
que la
vérité
trouve
à
résister
au
savoir.
[
Lac68a
, p. 58]
Il n'y a, de
droit,
pas de
vrai
sur le
vrai.
[
Lac70b
, p. 13]
Aucun
mensonge
n'échappe à la pente de la
vérité.
[
Lac70b
, p. 21]
*
Il n'y a de
dimension
de la
vérité
qu'à partir du
moment
où il y a du
signifiant.
*
Il n'y a ni
vérité,
ni
mensonge,
dans la
feinte.
Un
mensonge
ne serait pas un
mensonge
s'il ne se proposait pas comme
vérité.
*
L'Autre
en
aucun
cas
n'est
garant
de la
vérité.
*
Le
fou
est
véritablement
l'être
libre.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
5
.
595
La
vérité
gît
au
point
où le
sujet
refuse
de
savoir.
*
Le
symptôme,
c'est ce
nœud
réel
où est la
vérité
du
sujet.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Nulle
part
dans
l'Autre
ne
peut
être
assurée,
d'aucune
façon
la
consistance
de ce qui
s'appelle
vérité.
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Nul
discours
ne
peut
dire
la
vérité.
La
vérité,
moi,
je
parle.
C'est au
lieu
de
l'Autre
qu'est appendue la
possibilité
du
sujet
en tant qu'il se
formule
comme
lieu
de la
vérité.
Le
lieu
de la
vérité
est un
lieu
troué.
La
substance
de la
vérité
c'est ce qui
pâtit
du
signifiant.
*
La
souffrance
peut
être
symptôme,
ce qui
veut
dire
vérité.
*
La
vérité
parle
je.
*
La
vérité
parle
je.
Dans
l'
acting-out
,
ce qui
dit
n'est pas
sujet,
mais
vérité.
[
Lac84b
, p. 15]
La
vérité
s'énonce
à partir d'une
structure
de
fiction.
[
Lac84b
, p. 19]
*
C'est
vraiment
du
matériel
phonématique
lui-même qu'il s'agit dans les
jeux
de
l'inconscient.
*
La
vérité
parle
je.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
La
vérité
de
soi
a
structure
de
fiction.
*
Il y a quelque part une
vérité
qui ne
sait
pas.
La
vérité
qui
s'articule
au
niveau
de
l'inconscient
ne
sait
pas.
Au
lieu
de
l'inconscient
nous
savons
qu'une
vérité
s'énonce
dont nous ne
pouvons
rien
savoir.
Il y a un
savoir
dont la
marque
à un
certain
niveau
s'articule
de
vérité.
Le
manque
du
Un
ne
garantit
pas que ce soit la
vérité.
Par
rapport
au
champ
de la
vérité,
le
savoir
est
ailleurs.
L'interprétation
analytique
vise
un
effet
de
savoir
qu'elle rend
sensible
au titre de sa
vérité.
La
vérité
de
l'interprétation
analytique
est du
côté
du
désir,
c'est-à-dire de la
division
du
sujet.
*
La
vérité
a
structure
de
fiction.
Entre
savoir
et
vérité
doit
se
situer
la
question
du
transfert.
Le
névrosé
a une
demande
de
savoir
la
vérité,
car le
savoir
le
gêne.
La
vérité
ne
peut
jamais
se
dire
qu'à
moitié.
La
structure
d'une
interprétation
est celle d'un
savoir
en tant que
vérité.
C'est avec le
savoir
en tant que
moyen
de la
jouissance
que se
produit
ce
travail
qui a un
sens
de
vérité.
La
vérité
n'est
accessible
que d'un
mi-dire.
La
vérité
ne
peut
se
dire
toute
entière.
Au delà de la
moitié
de la
vérité,
il n'y a
rien
à
dire.
La
cause
de
l'amour
de la
vérité
est dans le
manque-à-être
de la
vérité,
le
manque
d'oubli.
Ce
qu'on
attend
d'un
psychanalyste,
c'est de
faire
fonctionner
son
savoir
en
terme
de
vérité.
L'humain
n'est pas
sans
un
rapport
avec la
vérité.
*
La
vérité
parle
je.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
Dans le
travail
de la
vérité,
il n'y a de
discours
que de la
jouissance.
Dans le
discours
de
l'analyste,
un
certain
savoir
est au site de la
vérité,
C'est de ce que la
vérité
du
discours
du
maître
est
masquée
que
l'analyse
prend
son
importance.
La
vérité
ne
saurait
s'énoncer
que d'un
mi-dire.
*
La
vérité
ne se
figure
qu'à
s'énoncer
dans un
mi-dire.
*
La
vérité
ne se
figure
que d'un
mi-dire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
est à la
place
dite de la
vérité.
Dans le
discours
de
l'analyste,
ce qui
peut
savoir
est prié de
fonctionner
au
registre
de la
vérité.
Le
discours
de
l'analyste
interroge
le
savoir
en
fonction
de
vérité.
Le
nom-du-père
se
place
là où le
savoir
fait
fonction
de
vérité.
*
La
vérité
ne se
supporte
que d'un
mi-dire.
Le
champ
du
déconnage
c'est la
vérité.
Vérité
et
déconnage
c'est
identique.
Tout
est
vrai
à
condition
d'en
exclure
le
contraire.
Pour
l'enfant,
le
père
est celui qui ne
sait
rien
de la
vérité.
La
vérité
ne
peut
pas se
lire
en
face.
*
C'est
l'esclave
par son
travail
qui
donne
la
vérité
du
maître.
Le
réel
se
place
comme
l'impossible
à démontrer le
vrai
dans le
registre
d'une
articulation
symbolique.
Il y a
impuissance
à
faire
le
joint
du
plus-de-jouir
à la
vérité
du
maître.
Le
lieu
de
l'Autre
est
fait
pour que là s'y
inscrive
la
vérité.
Le
faux,
le
mensonge
n'existe
pas sinon sur le
fondement
de la
vérité.
La
frontière
entre
vérité
et
savoir
est
partout.
[
Lac70d
, p. 94]
*
L'effet
de
vérité
tient
à ce qui
choit
du
savoir.
[
Lac70d
, p. 95]
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
de la
structure
a
place
de
vérité.
[
Lac70d
, p. 98]
dans le
discours
du
maître
occupe
la
place
de la
vérité.
cf:
18.2.1
*
La
vérité
n'est pas le
contraire
du
semblant.
la
démansion
du
semblant
supporte
celle de la
vérité.
La
femme
est le
support
de cette
vérité,
de ce qu'il y a de
semblant
dans le
rapport
de
l'homme
à la
femme.
La
démansion
,
c'est la
résidence,
le
lieu
de
l'Autre,
de la
vérité.
La
vérité,
c'est
l'oracle.
*
La
vérité
parle
je.
À la
vérité,
on
peut
dire
tu.
La
vérité
ne
progresse
que d'une
structure
de
fiction.
Les
hystériques
sont celles qui, sur ce qu'il en est du
rapport
sexuel,
disent
la
vérité.
Une
névrose
n'est
strictement
que le
point
où
s'articule
la
vérité
d'un
échec.
*
Le
semblant
ne
s'énonce
qu'à partir de la
vérité.
La
vérité
ne
peut
dire
que le
semblant
sur la
jouissance.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
*
Le
savoir
dont il s'agit dans
l'inconscient
s'avère
savoir
de la
vérité.
Le
discours
analytique
s'instaure
de la
restitution
de la
vérité
à
l'hystérique.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
*
Si la
vérité,
c'est pas le
savoir,
c'est le
non-savoir.
Le
discours
analytique
se
tient
à la
frontière
entre
la
vérité
et le
savoir.
*
La
parole
définit
la
place
de ce
qu'on
appelle
la
vérité.
La
vérité
a une
structure
de
fiction.
*
Le
symptôme
est
valeur
de
vérité.
*
La
valeur
de
vérité
n'est pas
symptôme.
*
Le
symptôme
est
valeur
de
vérité.
Dans la
psychanalyse,
le
symptôme
a affaire à quelque
chose
qui est la
traduction
en
paroles
de sa
valeur
de
vérité.
La
non-contradiction
ne
suffit
pas à
fonder
la
vérité.
Il n'y a pas
moyen
de
faire
un
mensonge
sans
supposer
la
dimension
de la
vérité.
La
fonction
prend
une
valeur
vraie
pour
tout
du
domaine.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
désigne
qu'il
existe
au
moins
un
, qui se
pose
comme
fonction
qui a une
valeur
qualifiable de
vrai.
La
vérité
ne
peut
plus que se
mi-dire.
*
La
logique
c'est de
repérer
dans la
grammaire
ce qui
prend
forme
de la
position
de
vérité.
La
logique,
c'est ce qui dans le
langage,
le rend adéquat à
faire
vérité.
*
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
La
vérité,
ça
implique
le
discours.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
*
Tout
ce qui est
dit
est
vrai.
Les
places
occupées dans chaque
discours
sont
l'agent,
la
vérité,
l'autre,
la
production,
qui se
relationnent
ainsi : cf:
18.2.1
*
Pour qui
parle
japonais, c'est performance usuelle que de
dire
la
vérité
par le
mensonge,
c'est-à-dire
sans
être
un
menteur.
[
Lac81a
, p. 3]
Pour qu'un
dit
soit
vrai,
il faut qu'il y
ait
du
dire.
[
Lac73a
, p. 6]
*
Le
dit
se
pose
toujours
en
vérité.
[
Lac73a
, p. 8]
Le
dire
n'est pas de la
dit-mansion
de la
vérité.
[
Lac73a
, p. 8]
*
De
vérité,
il n'y a que
mi-dit.
[
Lac73a
, p. 10]
L'impossibilité
de
dire
vrai
du
réel
se
motive
d'un
mathème
dont se
situe
le
rapport
du
dire
au
dit.
[
Lac73a
, p. 37]
La
femme
est
leurre
de
vérité.
[
Lac73a
, p. 50]
La
fonction
de la
parole
c'est
d'être
la
seule
forme
d'action
qui se
pose
comme
vérité.
L'essentiel
du
savoir
de
l'analyste
est que la
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
à la
place
de la
vérité
se
tient
,
le
savoir.
affirme
qu'il est
vrai
que ce qui se
rapporte
au
registre
de
l'acte
sexuel
relève de la
fonction
phallique.
Ce n'est qu'avec le
discours
analytique
qu'un
universel
peut
trouver
dans
l'existence
de
l'exception,
son
fondement
véritable.
La
vérité
ça ne
peut
que se
mi-dire.
Les
mathématiques
sont un
réel
qui n'a
rien
à
faire
avec la
vérité.
La
femme
n'est pas
l'Autre
dans la
fonction
que le
est le
lieu
de la
vérité.
L'Autre
est le
lieu
de la
vérité.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
ne
peut
s'inscrire
qu'en
vérité.
Le
vrai
vise
le
réel.
Dans le
discours
analytique,
le
se
soutient
de ce
,
savoir
en
place
de la
vérité.
cf:
C'est du
savoir
en
place
de
vérité
que l'interpelle le
qui
doit
aboutir
à la
production
du
,
du
signifiant.
cf:
*
Toute
la
vérité,
c'est ce qui ne
peut
pas se
dire.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
La
vérité
présume le
désir,
inscrit
d'une
contingence
corporelle.
est
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai.
cf:
20.9.1
La
femme,
c'est la
vérité
en tant qu'elle ne
peut
que se
mi-dire.
La
vérité
ne
peut
la
dire
qu'à
moitié.
La
vérité,
c'est la
dit-mansion
.
La
vérité,
c'est la mention du
dit.
Le
christianisme
est la
vraie
religion.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
d'être
déposée,
fonde
la
vérité
avec le
pacte
qui
supplée
à
l'inexistence
du
rapport
sexuel.
Derrière
la
vérité
il y a
toujours
un
désir.
Le
christianisme
c'est la
vraie
religion.
Le
christianisme
est le
vrai
dans la
religion.
*
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
*
Il n'y a de
vérité
que
mathématisée,
écrite.
La
vérité
n'est suspensible qu'à des
axiomes.
*
Il n'y a de
vérité
que de ce qui n'a
aucun
sens.
La
religion
est
vraie.
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec la
vérité.
L'imaginaire
pris
comme
moyen,
c'est le
fondement
de la
vraie
place
de
l'amour.
C'est
impossible
de
dire
toute
la
vérité.
[
Lac74b
, p. 9]
C'est par
l'impossible
de
dire
toute
la
vérité
qu'elle
tient
au
réel.
[
Lac74b
, p. 9]
Le
vrai
n'est que
supposé
au
savoir.
*
Le
vrai
c'est ce qui
contredit
le
faux.
La
vérité
on
ne
peut
que la
mi-dire.
La
vérité
ne se
fonde
que sur le
non.
La
vérité
est de
l'imaginaire.
*
La
vérité
a une
limite
d'un
côté
et c'est pour cela qu'elle est
mi-dite.
Le
dire
vrai
c'est autre
chose.
Le
dire
vrai
c'est la rainure par où
passe
ce qui
supplée
à
l'absence,
à
l'impossibilité
d'écrire
le
rapport
sexuel.
Le
discours
analytique
réserve
la
place
de la
vérité.
Le
dire
vrai
est
distinct
de
toute
science
du
réel.
*
La
vérité
du
maître,
ça n'est
rien
d'autre
que le
sujet.
La
jouissance
de la
femme
ne va pas
sans
le
dire
de la
vérité.
Le
vrai
ne
peut
que se
mi-dire.
Le
transfert
c'est
l'entrée
de la
découverte
de la
vérité
de
l'amour.
La
logique
c'est
faire
de la
vérité
une
valeur
vide.
La
vérité
mène à la
religion.
*
L'analyse
a découvert la
vérité,
c'est
l'amour
du
savoir.
Le
transfert
révèle
la
vérité
de
l'amour
du
sujet
supposé
savoir.
La
division
marque
la
vérité
et ne
peut
pas-toute
être
dite.
La
vérité
ne
s'énonce
que du
mi-dire.
La
religion
est
vraie.
Croire
que la
science
est
vraie
sous le prétexte qu'elle est
transmissible
mathématiquement
est une
idée
délirante.
[
Lac82d
]
*
Il n'y a pas de
vérité
qu'on
puisse
dire
toute.
[
Lac82d
]
*
L'imaginaire
c'est la
place
où
toute
vérité
s'énonce.
*
Une
vérité
niée
à autant de poids
imaginaire
qu'une
vérité
avouée.
La
vérité
ça ne
peut
que se
mi-dire.
La
vérité
est, dans le
discours
du
maître,
comme
supposée
dans le
sujet.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Il n'y a de
vérité
comme telle
possible
que d'évider le
réel.
La
fin
de la
vérité
est
qu'entre
homme
et
femme,
ça
ne marche pas.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Il y a des
vérités
réelles,
symboliques
et
imaginaires.
*
Ce que
l'analyste
a à
dire,
est de
l'ordre
de la
vérité.
La
phrase
c'est le
dire
de la
vérité.
Les
vérités
ne
peuvent
se
dire
toutes,
car beaucoup ont une
existence
mythique.
C'est
seulement
dans le
mode
d'existence
du
père,
que le
réel
est
plus
fort que le
vrai.
L'analyste
est
produit
par le
dire
de la
vérité.
La
vérité
est
caractérisée
par le
fait
de ce
que
l'analyste
ne
dit
que des
paroles.
*
Quand
on
écrit
on
peut
bien toucher au
réel,
mais pas au
vrai.
*
N'est
vrai
que ce qui a un
sens.
représente
un
sujet,
vraiment.
Le
vrai
est
dire
conforme à la
réalité.
Ce qui
fonctionne
vraiment
n'a
rien
à
faire
avec le
réel.
*
Le
vrai
réel
implique
l'absence
de
loi.
*
Le
dit
n'est pas du tout forcément
vrai.
Réel
et
vrai
ne sont pas
partout
synonymes.
Le
vrai
c'est ce
qu'on
croit
tel.
La
foi
religieuse
c'est un
vrai
qui n'a
rien
à
faire
avec le
réel.
Le
corps
ne se
fonde
que que sur la
vérité
de
l'espace.
Ce qui
fonde
la
psychanalyse,
c'est de
dire
le
vrai
sur le
savoir.
*
Le
savoir
et la
vérité
n'ont
aucune
relation
entre
eux.
Le
discours
du
maître
est le
discours
le
moins
vrai.
La
vérité
demande
à
être
dite.
Le
réel
dit
la
vérité
mais ne
parle
pas.
Le
contraire
de la
Verneinung
ne
donne
pas la
vérité.
La
place
du
semblant,
de
l'objet
n'est pas celle de la
vérité.
*
L'imaginairement
symbolique
s'appelle
la
vérité.
*
Il n'y a de
vrai
que la
castration.
*
Il n'y a pas de
vérité
sur le
réel.
L'analysant
ne
connaît
pas sa
vérité.
*
C'est pour autant qu'une
interprétation
juste
éteint le
symptôme
que la
vérité
se
spécifie
d'être
poétique.
Dans
l'analyse
on
peut
dire
que le
vrai
ment.
*
Le
principe
du
dire
vrai
c'est la
négation.
*
La
psychanalyse
c'est ce qui
fait
vrai.
*
Il y a de grands
obstacles
à ce
qu'on
dise
la
vérité.
[
Lac78
]
*
La
vérité
a à
faire
avec le
réel.
[
Lac78
]
Un
savoir
en
position
de
vérité
ne se
conçoit
que d'une
structure
de
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
*
La
vérité
ne se
dit
jamais
qu'à
moitié.
[
Lac77b
, p. 6]
*
La
vérité
s'origine
dans sa
structure
de
fiction.
[
Lac77a
, p. 15]
*
L'interprétation
n'a pas
plus
à
être
vraie
que
fausse;
elle a à
être
juste.
[
Lac77a
, p. 16]
Le
dire
concerne
la
vérité.
[
Lac78
]
*
La
vérité,
on
ne
peut
pas la
dire.
[
Lac78
]
Seul
le
discours
analytique
ne se
prend
pas pour la
vérité.
[
Lac75g
]
Suivant:
Verleugnung
Remonter:
5.22 V
Précédent:
vérification
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08