Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
Recherche
Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.18 R
Précédent:
Real-Ich
Suivant:
rébus
Index:
Index
réalité
Le
complexe
d'Œdipe
est le
constituant
normal
du
sentiment
de
réalité.
[
Lac66a
, p. 182]
La
fonction
de
l'
imago
est
d'établir
une
relation
de
l'organisme
à la
réalité,
Innerwelt
,
Umwelt
.
[
Lac66a
, p. 96]
*
Le
concept
a son
ordre
de
réalité
originale.
Le
langage-signe
se
distingue
d'un
langage,
par la corrélation
fixe
de ses
signes
à la
réalité
qu'ils signifient. [
Lac66a
, p. 297]
Il
existe
trois
registres
très
distincts
de la
réalité
humaine,
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Les
réalités
deviennent
des
Choses
lors de leurs
rencontres
avec le
discours.
Ce qui n'est pas
symbolisé,
c'est la
réalité
avant
toute
formation
du
symbole.
Dans la
méconnaissance,
le
refus,
le
barrage
de la
réalité
qui est celui du
névrotique,
il y a un
recours
à la
fantaisie.
*
Dans le
fondement
du
transfert,
il y a la
projection
de quelque
chose
qui n'est pas dans la
réalité.
*
La
réalité
tombe
sous la
contradiction.
*
La
réalité
humaine
est une
réalité
de
parole.
L'appareil
psychique
est quelque
chose
qui est
entre
le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité.
Le
principe
de
plaisir
est un
principe
de
réalité
à retardement.
La
réalité
dans le
principe
du
plaisir
est la
réalité
psychique.
Le
moi
n'a
rien
à
faire
avec
l'unité
supposée
de la
réalité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 374]
L'homme
a beaucoup
plus
d'informations
sur la
réalité
qu'il n'en
acquiert
par la
simple
pulsation
de son
expérience.
Le
système
du
langage
n'aboutit
jamais
à un
index
directement
dirigé
sur un
point
de la
réalité.
L'ensemble
du
réseau
du
langage
recouvre
toute
la
réalité.
*
La
réalité
qui est
sacrifiée
dans la
névrose
est une
partie
de la
réalité
psychique.
La
réalité
n'est pas
synonyme
de
réalité
extérieure.
Au
moment
où il
déclenche
sa
névrose,
le
sujet
élide,
scotomise
une
partie
de sa
réalité
psychique.
Dans la
psychose,
c'est avec la
réalité
extérieure
qu'il y a eu, à un
moment,
trou
et
rupture.
Dans la
psychose,
la
réalité
est pourvue d'un
trou
qui est ensuite
comblé
avec un
monde
fantastique.
Pour le
sujet
normal,
un
certain
nombre
de
réalités
existent,
mais il ne les
prend
pas
tout
à fait au
sérieux.
Chez
l'être
humain,
la
réalité
est au
départ
hallucinée.
Le
phénomène
psychotique
est une
signification
énorme
qui
peut
surgir
dans la
réalité
qui n'est
jamais
entrée
dans le
système
de la
symbolisation.
L'ordre
symbolique
est
constitutif
de la
réalité
humaine.
Le
moi
a la
fonction
d'un
discours
de la
réalité.
Le
moi
comporte
toujours
un
corrélatif
qui est un
discours
qui n'a
rien
à
faire
avec la
réalité.
*
La
réalité
est
marquée
d'emblée de la
néantisation
symbolique.
Dans les
psychoses
la
réalité
est
remaniée.
Dans les
psychoses
une
partie
de la
réalité
est
supprimée.
Le
moi
a le
privilège
de
l'exercice,
de
l'épreuve
de
réalité.
La
fonction
du
moi
atteste
la
réalité
pour le
sujet.
Grâce à la
fonction
du
moi,
le
sujet
valorise,
donne
l'accent à la
réalité.
Le
passage
du
sujet
par
l'expérience
symbolique
de
l'œdipe
est
essentiel
à son
accès
à la
réalité.
La
juste
situation
du
sujet
humain
dans la
réalité
dépend
d'une certaine
expérience
purement
symbolique.
La
réalité
humaine
est
structurée
comme
signifiante.
La
réalité
à laquelle nous
avons
affaire est
profondément
soutenue,
tramée
par la
tresse
de
signifiants
qui la
constitue.
Le
signifiant
surmoi
n'est pas autre
chose
que la
fonction
du
tu,
et le
sentiment
de
réalité.
L'objet
est
parlé
d'une
façon
implicite
chaque
fois
qu'entre
en
jeu
la
notion
de
réalité.
Le
principe
de
plaisir
et le
principe
de
réalité
ne sont pas
détachables
l'un de
l'autre.
Le
principe
de
plaisir
et le
principe
de
réalité
s'impliquent
et
s'incluent
l'un à
l'autre
dans un
rapport
dialectique.
*
Le
principe
de
réalité
n'est
constitué
que par ce qui est
imposé
pour sa
satisfaction
au
principe
du
plaisir.
*
Le
principe
de
réalité
implique
dans sa
dynamique
et dans sa
recherche
fondamentale
la
tension
fondamentale
du
principe
du
plaisir.
Il y a une
béance
entre
le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité.
*
Le
principe
de
réalité
implique
l'existence
d'une
organisation,
d'une
structuration
autonome.
Il y a une
opposition
foncière
entre
la
réalité
et ce qui est
cherché
par la
tendance.
Dans le
système
primaire
du
désir,
l'objet
est
halluciné
sur un
fond
de
réalité
angoissante.
En
fin
d'analyse,
l'objet
se
détache,
non
plus sur
fond
d'angoisse,
mais sur le
fond
de
réalité
commune.
Le
principe
de
réalité
s'identifie
avec le
fait
que
l'enfant
doit
apprendre
à se
passer
du
sein
maternel.
À l'aide de
frustrations,
la
mère
enseigne
à
l'enfant
que, de
temps
en
temps,
la
réalité
ne
coïncide
pas avec
l'hallucination
surgie
du
désir.
Le
n'est pas une
réalité
brute.
Ce qui se
passe
au
niveau
du
système
de
réalité
est
défini
par ce qui
force
le
sujet
dans la
réalité
extérieure,
à la
conduite
du
détour.
Il n'est en
aucun
cas
possible
de
confondre
le
phallus
avec le
pénis
dans sa
réalité.
*
Ce n'est pas la
frustration
de la
jouissance
qui
engendre
la
réalité.
La
mère
symbolique
est la
mère
en tant qu'elle est le
premier
élément
de la
réalité
qui est
symbolisé
par
l'enfant.
La
fonction
symbolique
est
seule
capable
de
rendre
compte
de la
détermination
dans le
sens
qu'est la
réalité
fondamentale
de
l'expérience
freudienne.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.1
, est le
discours
courant de la
réalité.
Les
trois
pôles
du
triangle
œdipien
sont
l'idéal-du-moi,
le
surmoi,
et la
réalité.
Dans la
psychose
et la
perversion,
il s'agit de
manifestations
pathologiques
dans lesquelles c'est par des
images
qu'est
profondément
troublé le
champ
de la
réalité.
La
réalité
implique
les
rapports
de
l'œdipe
avec les
affections
qui
comportent
un
bouleversement
du
rapport
à la
réalité,
perversion
et
psychose.
Le
procès
secondaire
recouvre
le
principe
du
réalité.
L'accession
à la
réalité
est une
pure
dialectique
de
fantaisie.
Le
besoin
exige
pour
être
satisfait
des
processus
secondaires
soumis
au
principe
de
réalité.
*
La
réalité
humaine
se
construit
sur un
fond
d'hallucination
préalable.
le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
représente
les
lignes
de
conditionnement
du
perceptum
,
ou
objet,
en tant que ces
lignes
circonscrivent le
champ
de la
réalité.
[
Lac66a
, p. 552]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, le
champ
de la
réalité
est délimité par le
quadrangle
5
.
406
. [
Lac66a
, p. 553]
Le
champ
de la
réalité
ne
fonctionne
qu'à
s'obstruer
de
l'écran
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 553]
Le
champ
est le
champ
de la
réalité.
[
Lac66a
, p. 554]
Dans le
schéma
,
figure
1.21.2
, la disposition du
champ
représente
les
conditions
sous lesquelles la
réalité
s'est restaurée pour le
sujet.
[
Lac66a
, p. 573]
Un
critère
de la
réalité
est de
revenir
toujours
à la
même
place.
[
Lac66a
, p. 573]
C'est en tant que
représentant
de la
représentation
dans le
fantasme,
que le
supporte
le
champ
de la
réalité.
[
Lac66a
, p. 554]
Le
sujet
a
peu
d'accès
à la
réalité
de son
corps.
[
Lac66a
, p. 676]
Le
champ
de la
réalité
est à
situer
entre
et
.
cf:
6.22.1
Le
réel
part
d'une
opposition
première
entre
principe
de
réalité
et
principe
du
plaisir.
Le
processus
secondaire
est
gouverné
par le
principe
de
réalité.
Le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité
trouvent leur
opposition
fondamentale
dans un
tout
autre
système
de
référence.
L'opposition
principe
du
plaisir,
principe
de
réalité
est de
l'ordre
de
l'expérience
éthique.
Le
principe
de
réalité
fonctionne
comme isolant le
sujet
de la
réalité.
C'est au
principe
de
réalité
qu'est
liée
toute
la
fonction
qui
vient
s'articuler
dans le
surmoi.
La
réalité
se
pose
pour
l'homme
comme ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
C'est une
conception
d'une
dialectique
inséparable
entre
principe
du
plaisir
et
principe
de
réalité.
*
La
question
du
bien
est à cheval sur le
principe
du
plaisir
et le
principe
de la
réalité.
*
Nous
faisons
de la
réalité
avec du
plaisir.
L'amour
comme
dieu
est
réalité
qui se
révèle,
qui se
manifeste
dans le
réel.
La
Chose
ce n'est pas
die Sache
,
la
réalité
dernière.
Dans le
graphe
5.1.1
, le
vecteur
désigne
la
réalité
qui
s'imagine
dans le
schéma
éthologique
du
retour
du
besoin.
5
.
407
[
Lac66a
, p. 805]
La
vérité
ne tire pas sa
garantie
de la
réalité
qu'elle
concerne.
[
Lac66a
, p. 808]
Il n'y a
d'accès
à la
réalité
que de ce que le
sujet
est
conséquence
du
savoir.
[
Lac84a
, p. 14]
La
perception
est ce qui
répond
de la
réalité
en se
manifestant
dans la
conscience.
[
Lac84a
, p. 17]
La
réalité,
c'est la
somme
des
certitudes
accumulées
par
l'addition
d'une
série
d'actions
antérieures.
Un
est ce qui
donne
sa
réalité
à
l'idéal.
L'Autre
est le
lieu
où
s'ordonne
la
réalité
du
signifiant.
Une
partie
essentielle
du
réel,
le
système
de
réalité,
reste
prisonnier du
processus
primaire.
*
Le
réel
peut
se
représenter
par l'accident, le
petit
bruit, le
peu
de
réalité,
qui témoigne que nous ne
rêvons
pas.
Ce qui
réveille,
c'est
l'autre
réalité
cachée
derrière
le
manque
de ce qui
tient
lieu
de
représentation.
Dans le
rapport
de
désir,
la
réalité
n'apparaît
que
marginale.
cf.
11.9.1
Dans la
pratique
analytique,
il n'y a pas à
repérer
le
sujet
par
rapport
à la
réalité.
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
se
constitue
dans sa
réalité
imaginaire,
ou
moi-idéal.
*
Le
transfert
est la mise en
acte
de la
réalité
de
l'inconscient.
C'est par la
réalité
sexuelle
que le
signifiant
est
entré
au
monde
de
l'homme.
La
réalité
de
l'inconscient
c'est la
réalité
sexuelle.
Le
désir
est le
point
nodal
par quoi la
pulsation
de
l'inconscient
est
liée
à la
réalité
sexuelle.
C'est du
point
où le
sujet
désire,
que la
connotation
de
réalité
est
donnée
dans
l'hallucination.
C'est dans le
transfert,
que
s'inscrivent
les
effets
de la
réalité
sexuelle.
Le
désir
est le
lieu
de
jonction
du
champ
de la
demande
dans sa corrélation avec la
réalité
sexuelle.
La
réalité
de
l'inconscient
c'est la
réalité
sexuelle.
*
Le
transfert
est la mise en
acte
de la
réalité
de
l'inconscient.
*
La
sexualité
c'est la
réalité
de
l'inconscient.
Le
transfert
est ce qui
manifeste
la mise en
action
de la
réalité
de
l'inconscient
en tant qu'elle est
sexualité.
Au
regard
de la
finalité
biologique
de la
sexualité,
la
reproduction,
les
pulsions,
dans le
procès
de la
réalité
psychique,
sont
partielles.
Le
losange
est au
cœur
de
tout
rapport
de
l'inconscient,
entre
la
réalité
et le
sujet.
L'être
humain
doit
toujours
se fournir d'un
homoncule
dans sa
tête
pour
faire
d'un
réel
une
réalité.
[
Lac66a
, p. 846]
La
castration,
dans le
vécu
terminal
d'une
analyse
de
névrosé,
passe
par
l'expérience
que le
sujet
a à
faire
de la
faille
qui le
sépare
de la
reconnaissance
de ceci, qu'il
vit
ailleurs
que dans la
réalité.
La
pulsion
n'est pas un
instinct
mais un
montage
entre
des
réalités
de
niveaux
essentiellement
hétérogènes.
Le
peu
de
réalité
est la
substance
du
fantasme.
Peu
de
réalité,
c'est là
toute
la
réalité
à laquelle nous
pouvons
accéder.
Il y a
non-séparation
primitive
de la
réalité
et du
désir.
*
Toute
la
réalité
humaine
n'est
rien
d'autre que
montage
du
symbolique
et de
l'imaginaire.
Il importe de
distinguer
de la
réalité
humaine
ce qui est à proprement
parler
du
réel.
*
Le
désir
est
l'essence
de la
réalité.
L'objet
c'est la
première
Bedeutung
,
le
premier
référent,
la
première
réalité.
Il y a
radicale
inadéquation de la
pensée
à la
réalité
du
sexe.
*
La
perception
c'est le
modèle
de
l'idéologie,
puisque c'est un crible par
rapport
à la
réalité.
*
L'homme
est
effectivement
le
premier
à
supporter
la
réalité
de ce
trou
introduit
dans la
jouissance.
La
réalité
est
antérieure
à la
connaissance
mais pas le
savoir.
La discipline
béhavioriste
se
définit
de la
dénégation
du
principe
de
réalité.
[
Lac68d
, p. 34]
La
réalité
est
commandée
par le
fantasme,
en tant que le
sujet
s'y
réalise
dans sa
division
même.
[
Lac68a
, p. 58]
Le
fantasme
est le
moteur
de la
réalité
psychique.
[
Lac68a
, p. 59]
La
réalité
psychique
est celle du
sujet
divisé.
[
Lac68a
, p. 59]
*
La
réalité
est ce sur quoi
on
se
repose
pour
continuer
à rêver. [
Lac70b
, p. 28]
Il y a
inégalité
du
sujet
à
toute
subjectivation
possible
de sa
réalité
sexuelle.
Le
transfert
fait
réalité.
[
Lac84b
, p. 22]
*
Le
fantasme
domine
toute
la
réalité
du
désir,
c'est-à-dire la
loi.
La
répétition
qui
insiste
caractérise
ce qu'il en est de la
réalité
psychique
de
l'être
inscrit
dans le
langage.
*
Le
réel
se
distingue
de la
réalité.
[
Lac70d
, p. 60]
L'Un
est un
réel
qui
peut
n'avoir
rien
à
faire
avec la
réalité.
*
La
réalité
est abordée avec les
appareils
de la
jouissance.
La
réalité
est abordée avec les
appareils
de la
jouissance.
Le
fantasme
est le
support
du
principe
de
réalité.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Tout
ce qu'il est
permis
d'aborder de
réalité
reste
enraciné
dans le
fantasme.
Le
réel
est un
ouvert
entre
le
semblant
qui
résulte
du
réel
et la
réalité
telle qu'elle se
supporte
dans le
concret
de la
vie
humaine.
cf:
20.9.1
Le
nœud
n'est pas la
réalité,
il est le
réel.
Le
nœud
est la
distinction
entre
le
réel
et la
réalité.
L'analyse
est la
réduction
de
l'initiation
à sa
réalité,
c'est-à-dire au
fait
qu'il n'y a pas à proprement
parler
d'initiation.
Le
nœud
borroméen
à
quatre
est la
figure
de la
réalité
psychique.
Le
vrai
est
dire
conforme à la
réalité.
Le
réel
conditionne
la
réalité.
C'est un
fait
qu'il n'y a pas de
réalité.
[
Lac78
]
*
La
réalité
n'est
constituée
que par le
fantasme.
[
Lac78
]
Suivant:
rébus
Remonter:
5.18 R
Précédent:
Real-Ich
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08