Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.12 L
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Index
lieu
Le
moi
de
l'analyse
se
présente
comme
maître
d'erreurs,
siège
des
illusions,
lieu
d'une
passion
qui lui est
propre
et va
essentiellement
à la
méconnaissance.
Le
lieu
psychique
c'est la
dimension
symbolique.
Le
rêve
est le
lieu
de
l'échange
symbolique
comme tel.
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
le
je
qui
parle
avec le
je
qui
entend.
[
Lac66a
, p. 431]
Le
lieu
du
sujet
s'étend dans le
sujet,
aussi loin qu'y règnent les
lois
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 431]
Le
lieu
de
l'Autre
s'étend bien
au-delà
du
discours
qui
prend
du
moi
ses
mots
d'ordre.
[
Lac66a
, p. 431]
Dans la
psychose,
le
refoulé
reparaît
sans
masque,
dans un
autre
lieu,
dans
l'imaginaire.
Dans la
névrose,
au
lieu
de se
servir
des
mots,
le
sujet
se
sert
de
tout
et
devient
le
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
le
je
qui
parle
avec celui qui
entend.
*
L'Autre
est le
lieu
où se
constitue
celui qui
parle
avec celui qui
écoute.
L'Autre
doit
être
d'abord
comme un
lieu
où la
parole
se
constitue.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
parole
inconsciente.
Le
transfert
se
passe
essentiellement
quand quelque
chose
prend
son
sens
du
fait
que
l'analyste
devient
le
lieu
du
transfert.
Dans le
transfert,
l'analyste
devient
le
lieu
de
l'articulation
symbolique
comme telle.
Tout
discours
comporte
virtuellement
et au
départ
cet
Autre
qui est le
témoin,
le
garant,
le
lieu
idéal
de sa bonne
foi.
L'Autre
radical
est la
place,
le
lieu
de
l'inconscient.
La
chaîne
signifiante
est au
principe
de la
combinaison
en tant que
lieu
de la
métonymie.
Il y a
toujours
au
début
du
trait
d'esprit
un
appel
à
l'autre
comme
lieu
de la
vérification.
L'Autre
est le
lieu
du
code,
le
lieu
des
emplois
du
signifiant.
L'Autre
est le le
lieu
où parvient le
message
constitué
par le
mot
d'esprit.
L'Autre
est
essentiellement
un
lieu
symbolique
qui est un
trésor.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
Le
lieu
de la
convention
signifiante
est un
tiers
lieu.
[
Lac66a
, p. 525]
L'Autre
est le
lieu
de
repos
5
.
279
, le
trésor
du
signifiant.
Dans le
schéma
5.8.1
qui est une version simplifiée du
schéma
L,
est le
lieu
du
signifiant.
La
confrontation
de
l'enfant
au
personnage
maternel
aboutit
à une
relation
spéculaire
qui
fait
que le
corps
maternel
devient
le
lieu
des
pulsions
de
l'enfant.
L'extérieur,
pour le
sujet
est
donné
d'abord
comme le
lieu
où se
situe
le
désir
de
l'autre.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est le
lieu
de la
parole
articulée
comme telle.
Le
grand
Autre
est
lieu
de la
parole.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Le
signifiant
paternel
est le
signifiant
qui, dans le
lieu
de
l'Autre,
autorise
le
jeu
des
signifiants.
Le
grand
Autre
est le
lieu
d'un
système
unitaire
et
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est le
lieu
où le
signifiant
ordonne
le
désir.
Le
désir
de
l'homme
est pour lui à
rechercher
au
lieu
de
l'Autre.
Le
désir
est un
désir
structuré
dans le
lieu
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Dans le
graphe,
figure
5.26.1
en
est le
lieu
où
l'enfant
rencontre
la
mère
en tant que
sujet
parlant.
Dans le
graphe,
figure
5.26.1
en
est le
lieu
où
aboutit
le
message
de
l'enfant.
L'Autre
est le
lieu
où se
situe
la
possibilité
d'articuler
le
besoin
dans le
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
Dans le
graphe
5.25.3
,
est la
formule
du
signifié
de
l'Autre
venant
du
lieu
de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
de la
demande.
est le
lieu
du
code.
Le
lieu
est le
lieu
où
gît
le
trésor
de la
langue
dans sa
synchronie.
Le
lieu
est le
lieu
où
gît
la
somme
des
éléments
taxématiques
est le
lieu
d'où
peut
se poser au
sujet
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, le
champ
qu'isole
n'est que le tenant
lieu
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 553]
L'Autre
est le
lieu
de la
mémoire
appelée
inconscient.
[
Lac66a
, p. 575]
Le
nom-du-père
est le
signifiant
qui dans
l'Autre,
en tant que
lieu
du
signifiant,
est le
signifiant
de
l'Autre
en tant que
lieu
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 583]
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 627]
L'Autre
est le
lieu
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 627]
L'Autre
est le
lieu
du
déploiement
de la
parole
ou
autre
scène.
[
Lac66a
, p. 628]
Le
désir
du
rêve
est
discours
articulé
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 629]
*
C'est
d'abord
pour le
sujet
que sa
parole
est un
message,
parce qu'elle se
produit
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 634]
L'Autre
est
l'analyste,
pour ce que le
sujet
en
fait
le
lieu
de sa
parole.
[
Lac66a
, p. 680]
Le
message
de
l'homme
est
émis
du
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
La
castration
suppose
la
subjectivité
de
l'Autre
en tant que
lieu
de sa
loi.
[
Lac66a
, p. 732]
L'Autre
est
lieu
de la
parole
et
lieu
de la
loi.
,
le
grand
Autre
est le
lieu
de la
vérité.
Dans la
parole
s'instaure
toujours
l'élément
tiers
qu'est le
lieu
de
l'Autre
où la
parole
s'inscrit
comme
vérité.
*
,
le
grand
Autre,
est,
non
pas un
être,
mais le
lieu
de la
parole.
Dans le
lieu
de la
parole,
,
il
manque
quelque
chose.
*
Je
pense
au
lieu
de
l'Autre.
La
mère
est le
lieu
de la
demande
d'amour.
Le
rapport
de
l'Autre
à la
demande
est le
rapport
le
plus
primordial
du
sujet
en tant que
lieu
de la
parole.
Le
manque
se
produit
au
niveau
de
l'Autre,
en tant que
lieu
de la
parole.
L'Autre
est
marqué
des
nécessités
du
langage,
comme
lieu
de
l'articulation
de la
parole.
Dans le
graphe
1.30.1
, le
lieu
est le
lieu
du
trésor
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 806]
Dans le
graphe
1.30.1
, le
lieu
n'est pas le
lieu
du
code.
[
Lac66a
, p. 806]
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
signifiant
exige
le
lieu
de
l'Autre
pour que la
parole
qu'il
supporte
puisse
mentir,
c'est-à-dire se poser comme
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 813]
*
La
caractéristique
de
l'inconscient
est de se
révéler
comme le
lieu
d'une
pensée
foisonnante. [
Lac84a
, p. 17]
se
définit
comme
lieu
de la
parole.
La
vacillation
du
sujet
est comme
constituant
le
fantasme
fondamental
instaurant
le
lieu
où le
sujet
peut
se
fixer
comme
désir.
*
Être
sujet
c'est
avoir
sa
place
dans
grand
,
au
lieu
de la
parole.
*
L'Autre
n'est pas un
sujet,
c'est un
lieu.
La
chaîne
signifiante
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
L'inconscient
est le
lieu
du
sujet
où
ça
parle.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole.
L'Autre
est le
lieu
où se
déploie
la
chaîne
signifiante.
La
virtualité
de
l'Autre
le
définit
comme
lieu.
La
Chose
élidée,
réduite
à son
lieu,
voilà
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
L'Autre
est le
lieu
où
s'ordonne
la
réalité
du
signifiant.
L'Autre
originaire
est le
lieu
du
signifiant.
*
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre.
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre
comme
marqué
du
signifiant
avec un
reste
petit
.
Le
sujet
a à se
constituer,
sous les
espèces
primaires
du
signifiant,
au
lieu
de
l'Autre
sur le
donné
du
trésor
du
signifiant.
Le
est le
reste
irréductible
dans
l'opération
totale
de
l'avènement
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est
lieu
du
signifiant.
Le
lieu
du
manque,
dans son
rapport
au
désir,
est
structuré
par le
fantasme,
par la
vacillation
du
sujet
dans son
rapport
à
l'objet
partiel.
Dans le
complexe
de
castration
il y a un
véritable
renversement
du
point
de
désir
et du
lieu
de
l'angoisse.
*
C'est parce que le
phallus
ne
réalise
pas, si ce n'est dans son
évanescence,
la
rencontre
des
désirs,
qu'il
devient
le
lieu
commun
de
l'angoisse.
*
Il n'y a pas de
castration
parce que, au
lieu
où elle a à se
produire,
il n'y a pas
d'objet
à
castrer.
est le
reste
de la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
en tant qu'il a à se
constituer
en
sujet
barré,
.
Le
symptôme
est
tout
entier
implicable
dans le
processus
de la
constitution
du
sujet
en tant qu'il a à se
faire
au
lieu
de
l'Autre.
*
est
lié
à la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
et le
représente.
Le
désir
de
l'obsessionnel
se
situe
en
suppléance
de ce qui est
impossible
à
suppléer
ailleurs,
c'est-à-dire en son
lieu.
Le
,
marqué
comme
cause
du
désir,
se
définit
comme un
reste
irréductible
à la
symbolisation
au
lieu
de
l'Autre.
*
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
L'Autre
est le
lieu
où
ça
parle.
Le
Ich
est le
lieu
complet,
total,
du
réseau
de
signifiants.
Le
sujet
de
l'inconscient
se
situe
dans un
lieu
qui n'est pas un
lieu
spatial.
Ce qui
réveille,
c'est
l'autre
réalité
cachée
derrière
le
manque
de ce qui
tient
lieu
de
représentation.
*
Le
niveau
anal
et le
lieu
de la
métaphore.
L'écran
est le
lieu
de la
médiation.
Le
grand
Autre
est le
lieu
de la
parole.
Le
grand
Autre
est
virtuellement
le
lieu
de la
vérité.
Le
désir
est le
lieu
de
jonction
du
champ
de la
demande
dans sa corrélation avec la
réalité
sexuelle.
Le
premier
signifiant
surgit
au
lieu
de
l'Autre.
*
Le
sujet,
in-initio
,
commence
au
lieu
de
l'Autre
en tant que là
surgit
le
premier
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où se
situe
la
chaîne
du
signifiant.
Le
gîte
de la
métonymie
est
situé
dans les
intervalles
coupant
structurellement
les
signifiants.
C'est dans le
gîte
de la
métonymie,
que
glisse
le
désir.
*
Il n'y a de
surgissement
du
sujet
au
niveau
du
sens,
que de
l'
aphanisis
du
sujet
en
l'autre
lieu
qui est celui de
l'inconscient.
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
L'Autre
est pour le
sujet
le
lieu
de sa
cause
signifiante.
[
Lac66a
, p. 841]
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
qui est
propre
au
sujet.
La
demande
est
essentiellement
ce en quoi le
discours
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
Tout
ce qui se
dit
au
lieu
de
l'Autre
est une
demande.
*
La
demande
est
définie
comme le
discours
qui
vient
expressément
s'inscrire
au
lieu
de
l'Autre.
La bouteille de
K
LEIN
fonctionne
dans
l'espace
de
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole.
5
.
280
L'idéal-du-moi
est le
lieu
de la
fonction
du
trait
unaire.
Le
,
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
la
succession
des
signifiants.
est le
lieu
de
l'Autre,
lieu
où
l'Autre
est
présent.
L'analyste
ne
peut
être
conçu
comme un
lieu
vide.
L'analyse
est le
lieu
où se
vérifie,
d'une
façon
radicale,
que le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
Le
sujet
du “je parle”,
parle
au
lieu
de
l'Autre.
Au
lieu
de
l'Autre,
tout
ce qui
s'articule
comme
parole
se
pose
comme
vrai,
même et y compris le
mensonge.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où est mise en
question
la
vérité
de la
demande.
est le
lieu
de
l'Autre.
La
fonction
de
vérité
de la
parole
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
*
L'Autre
n'est en
aucun
cas
un
lieu
de félicité.
Le
tient
lieu
de ce dont il retourne concernant la
division
du
sujet.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
identifie
le
lieu
de
l'Autre
qui est le
lieu
où se
produit
l'énoncé,
le
trésor
du
signifiant.
Le
non-être
est le
lieu
où
je
ne
suis
pas.
La
paranoïa
identifie
la
jouissance
dans le
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66b
, p. 74]
L'Autre
c'est ce qui
prend
fonction
d'être
le
lieu
de la
parole.
Le
seul
statut
qui vaille de
l'Autre
est celui de
lieu
de la
parole.
L'Autre
comme
lieu
de la
parole
n'est
rien
d'autre
que le
lieu
où
l'assertion
se
pose
comme
véridique.
L'Autre
n'a
aucune
autre
espèce
d'existence
que
d'être
le
lieu
de la
parole.
L'Autre
barré
est le
lieu
où se
situe
l'affirmation
de la
parole.
Le
lieu
de
l'Autre
est
fracturé.
Le
lieu
de
l'Autre
est
divisé.
L'acte
est le
seul
lieu
où le
signifiant
a
l'apparence
de se
signifier
lui-même, c'est-à-dire de
fonctionner
hors
de ses
limites.
La
répétition
est le
lieu
temporel
d'un
quadrangle
5
.
281
où viennent
agir
le
choix
aliénant,
le
du
ça,
l'inconscient
et la
castration.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
chaîne
signifiante
et ce qu'elle
supporte
de
vérité.
Le
lieu
de
l'Autre
introduit
le
redoublement
du
champ
de
l'Un.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
le
discours
de la
vérité.
Le
corps
est le
lieu
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est dans le
corps.
Le
corps,
lui-même, est
d'origine
ce
lieu
de
l'Autre
en tant que c'est là que
s'inscrit
la
marque
en tant que
signifiant.
C'est du
lieu
de
que le
pervers
interroge
ce qu'il en est de la
fonction
de la
jouissance.
Le
langage
trouve
sa
place
au
lieu
de
l'Autre.
*
La
vérité
c'est, au
lieu
de
l'Autre,
l'inscription
du
signifiant.
Le
grand
Autre
est le
lieu
d'opération
du
langage.
[
Lac68e
, p. 18]
Le
désir
se
forme
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac68b
, p. 43]
Le
désir
du
psychanalyste
est ce
lieu
dont
on
est
hors
sans
y
penser.
[
Lac70b
, p. 14]
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
L'Autre
est un
lieu
défini
comme
nécessaire
à la
primarité
de la
chaîne
signifiante.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
vient
prendre
place.
Le
champ
de
l'Autre
est ce
lieu
où
tout
discours
au
moins
se
pose.
L'Autre
au
lieu
du
code
est le
trésor
du
langage.
Le
signifiant
est le
lieu,
le
trésor
des
signifiants.
Grand
est le
lieu
de
l'
Urverdrängung
.
C'est au
lieu
de
l'Autre
qu'est appendue la
possibilité
du
sujet
en tant qu'il se
formule
comme
lieu
de la
vérité.
Le
lieu
de la
vérité
est un
lieu
troué.
L'Autre
est le
lieu
d'un
défaut
d'origine
porté dans la
parole.
La
psychanalyse
postule
que
l'inconscient
est
invocable
du
lieu
où
je
ne
pense
pas. [
Lac84b
, p. 14]
Le
lieu
de
l'Autre
n'est pas à
prendre
ailleurs
que dans le
corps.
[
Lac84b
, p. 17]
L'acte
a
lieu
d'un
dire.
[
Lac84b
, p. 18]
Le
désir
se
joue
dans le
champ
de
l'Autre
tel qu'il
s'articule
comme
lieu
de la
parole.
Au
lieu
de
l'inconscient
nous
savons
qu'une
vérité
s'énonce
dont nous ne
pouvons
rien
savoir.
L'Autre
est le
lieu
de la
parole
comme telle.
est le
lieu
des
signifiants
autres.
L'Autre
est le
lieu
où
ça
se
sait.
L'Autre
est le
lieu
où le
savoir
s'institue.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est
fait
pour que là s'y
inscrive
la
vérité.
Moins-Un
désigne
le
lieu
de
l'Autre.
[
Lac70d
, p. 61]
La
démansion
,
c'est la
résidence,
le
lieu
de
l'Autre,
de la
vérité.
*
Il y a un
lieu
de
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
est ce où
s'inscrivent
les
effets
de la
parole.
*
La
femme
n'est pas le
lieu
de
l'Autre.
La
femme
n'est pas
l'Autre
dans la
fonction
que le
est le
lieu
de la
vérité.
Le
grand
Autre
est au
lieu
où se
situe
la
parole.
est le
lieu
de
l'Autre.
L'Autre
comme
lieu
ne
tient
pas, car il y a en ce
lieu,
une
faille,
un
trou,
un
lieu
de
perte.
L'Autre
est le
lieu
de la
vérité.
Dieu
est proprement le
lieu
où se
produit
le
dire.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
ne
peut
s'inscrire
qu'en
vérité.
L'être
de la
signifiance
n'a
d'autre
lieu
que le
lieu
de
l'Autre.
est ce
lieu
de
l'Autre,
là où
s'inscrit
tout
ce qui
peut
s'articuler
du
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où le
signifiant
se
pose.
La
dit-mansion
est la
résidence
du
dit
dont le
savoir
pose
l'Autre
comme
lieu.
Le
lieu
de
l'Autre
ne
sait
rien.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
d'être
déposée,
fonde
la
vérité
avec le
pacte
qui
supplée
à
l'inexistence
du
rapport
sexuel.
*
c'est le
lieu
de la
jouissance
de la
femme.
*
Ce qu'il en est de
l'inconscient
se
localise
au
lieu
de
l'Autre.
Au
symbolique
lieu
de
l'Autre,
rien
n'est
supposé.
La
parole
se
définit
d'être
le
seul
lieu
où
l'être
ait
un
sens.
[
Lac75e
, p. 13]
La
définition
du
possible
est qu'il
peut
ne pas
avoir
lieu.
[
Lac75e
, p. 14]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08