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Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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limite
L'être
de
l'homme
porte
en lui la
folie
comme
limite
de sa
liberté.
[
Lac66a
, p. 176]
*
L'inconscient
est une
scission,
limitation,
aliénation
par le
système
symbolique
pour le
sujet.
Le
surmoi
se
produit
dans le
monde
symbolique,
mais n'est pas
uniquement
limité
au
sujet.
Le
monde
symbolique
n'est pas
uniquement
limité
au
sujet
car le
monde
symbolique
se
réalise
dans une
langue
qui est la
langue
commune,
qui est le
système
symbolique
universel.
La
relation
sadique
ne se
soutient
que pour autant que
l'autre
est justement à la
limite
où
l'autre
reste
un
sujet.
Le
désir
pervers
a à sa
limite
l'idéal
d'un
objet
inanimé.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
La
trace,
dans ce qu'elle
comporte
de
négatif
et de
séparé,
mène
l'ordre
et le
champ
du
signe
naturel
à la
limite
du
point
où il est le
plus
évanescent.
Le
réel
a quelque
chose
qui est à la
limite
de
l'expérience
analytique.
L'instinct
de
mort
c'est cette
limite
du
signifié
qui n'est
jamais
atteinte
par
aucun
être
vivant.
Dans la
privation
il y a dans le
réel,
une
limite
réelle,
une
béance
réelle.
L'enfant
rencontre
une
double
déception,
déception
imaginaire
que le
phallus
lui
manque,
déception
à la
limite
du
symbolique
et du
réel
qu'il
manque
aussi à la
mère.
Le
soi
ne se
réalise
qu'à la
limite.
L'être
de
l'homme
ne
peut
être
compris
sans
la
folie
qui est la
limite
de sa
liberté.
[
Lac66a
, p. 575]
*
L'homme,
son
pénis
lui est
restitué
par un
certain
acte
dont à la
limite
ou
pourrait
dire
qu'il l'en
prive.
Les
zones
érogènes
se
limitent
à des
points
élus, à des
points
de
béance,
à un
nombre
limité
de
bouches
à la
surface
du
corps.
C'est le
plaisir
qui
apporte
à la
jouissance
ses
limites.
[
Lac66a
, p. 821]
La
beauté
est la
limite
du tragique.
La
volonté
de
jouissance,
chez chacun,
échoue
en
rencontrant
sa
limite.
L'angoisse
de
castration
est
l'obstacle
constituant
la
limite
de
l'expérience
analytique.
*
La
praxis
délimite
un
champ.
Le
désir
rencontre
quelque part sa
limite.
Le
plaisir
est ce qui
limite
la
portée
de l'empan
humain.
Le
désir
se
soutient
dans le
rapport
à sa
limite,
et
franchit
le
seuil
imposé
par le
principe
du
plaisir.
*
La
libido
est cette
lamelle
que
glisse
l'être
de
l'organisme
à sa
véritable
limite,
qui va plus loin que celle du
corps.
[
Lac66a
, p. 848]
L'acte
est le
seul
lieu
où le
signifiant
a
l'apparence
de se
signifier
lui-même, c'est-à-dire de
fonctionner
hors
de ses
limites.
Le
plaisir
a une
limite
qui est que trop de
plaisir
est un
déplaisir.
*
La
jouissance
est ce quelque
chose
dans quoi
marque
ses
traits
et ses
limites
le
principe
du
plaisir.
Il y a une
limite
imposée
à la
jouissance
par la
fonction
du
principe
du
plaisir.
L'impossible
est la
limite
d'où
s'instaure,
par le
symbolique,
la
catégorie
du
réel.
[
Lac70d
, p. 69]
Le
passage
à
l'acte
est le
réel
qui se
rencontre
aux
limites
du
discours.
Le
signifiant
ne
peut
se
limiter
d'aucune
façon
à son
support
phonématique.
Tout
savoir
naïf
pose
la
question
de ce qui s'y trahit des
limites
de la
puissance
du tracé
imposé
à la
jouissance.
*
La
jouissance
est une
limite.
*
La
vérité
a une
limite
d'un
côté
et c'est pour cela qu'elle est
mi-dite.
Le
nœud
borroméen
a pour
limite
inférieure
le
nombre
trois.
L'
ex-sistence
du
réel
est de
sister
hors
de
l'imaginaire
et du
symbolique,
en
limitation.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08