Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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sans
Dans la
folie,
on
rencontre
un
délire
qui
objective
le
sujet
dans un
langage
sans
dialectique.
[
Lac66a
, p. 280]
La
sublimation
réussie
satisfait
l'exigence
de
l'
Ich-Ideal
sans
entraîner le
refoulement.
Il n'y a pas
moyen
de s'avancer dans
l'expérience
analytique
sans
distinguer
les
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
Le
réel
est
absolument
sans
fissure.
*
Le
réel
est
sans
fissure.
Un
refoulé
ne va
jamais
sans
retour.
*
Il n'y a pas de
discours
sans
un
certain
ordre
temporel.
*
Le
discours
de la
tromperie
et de
l'erreur
n'est pas
sans
témoigner
de
l'existence
de la
parole
où se
fonde
la
vérité.
[
Lac66a
, p. 353]
Dans la
psychose,
le
refoulé
reparaît
sans
masque,
dans un
autre
lieu,
dans
l'imaginaire.
*
Si la
psychanalyse
habite
le
langage,
elle ne
saurait
sans
s'altérer
le
méconnaître
en son
discours.
Il n'y a pas
d'ego
sans
un
jumeau,
gros de
délire.
*
La
créature
est
impensable
sans
une
fondamentale
création.
Il y a des
signifiants
de
base
sans
lesquels
l'ordre
des
significations
humaines
ne
saurait
s'établir.
Une
névrose
sans
œdipe,
ce n'est pas
vrai.
Le
surmoi
c'est une
loi
sans
dialectique.
La
frustration
est le
domaine
des
exigences
sans
loi.
L'angoisse
est quelque
chose
sans
objet.
L'objet
ne se
conquiert
jamais
sans
être
d'abord
perdu.
Le
sujet
ne
parle
jamais
sans
une certaine
intention
de
signification.
Les
algorithmes
mathématiques
sont
sans
aucun
sens.
[
Lac66a
, p. 498]
L'exigence
enfantine
primordiale
est
sans
but.
L'être
vivant
marqué
a un
désir
qui n'est pas
sans
un
certain
rapport
intime
avec cette
marque.
L'être
de
l'homme
ne
peut
être
compris
sans
la
folie
qui est la
limite
de sa
liberté.
[
Lac66a
, p. 575]
La
castration
exprime
ceci, que le
sujet
est et n'est pas le
phallus,
mais il n'est pas
sans
l'avoir.
Le
rapport
du
sujet
féminin
au
phallus
c'est
d'être
sans
l'avoir.
La
vérité
au
niveau
de
l'inconscient
est une
vérité
sans
vérité.
Le
sujet
ne
peut
se
situer
dans le
désir
sans
se
châtrer.
Le
monde
de la
perception
est
corrélatif,
dépendant,
référence
à
l'hallucination
fondamentale
sans
laquelle il n'y aurait
aucune
attention disponible.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
sans
la
satisfaction
de
tous.
*
La
femme
est
sans
l'avoir.
*
Le
stade
du
miroir
n'est pas
sans
rapport
avec
l'angoisse.
La
parole
est
possible
sans
avoir
le
rapport
humain
au
langage.
Le
seul
Autre
réel
est ce dont
on
pourrait
jouir
sans
la
loi.
Rien
du
sujet
ne
saurait
s'identifier
au
signifiant
sans
s'en
exclure.
C'est dans la
mesure
où est laissée
sans
réponse
la
demande
qui
vient
s'articuler,
que se
produit
l'agression.
L'angoisse,
c'est cette
coupure
sans
laquelle la
présence
du
signifiant,
son sillon dans le
réel
est
impensable.
Il est
faux
que
l'angoisse
est
sans
objet.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
Le
rapport
du
sujet
au
phallus
est qu'il n'est pas
sans
l'avoir.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
*
Le
transfert
sans
analyse
c'est
l'
acting-out
.
*
L'
acting-out
sans
analyse
c'est le
transfert.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
*
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
*
Les manœuvres se
situent
à un
niveau
qui n'est pas
sans
rapport
avec
l'Autre.
*
La
forme
,
mon
image,
ma
présence
dans
l'Autre
est
sans
reste.
*
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
L'angoisse
est
sans
cause,
mais
non
pas
sans
objet.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet,
mais elle
désigne
très
probablement
l'objet
dernier,
la
Chose.
Dans la
manie,
le
sujet
n'est lesté par
aucun
,
ce qui le livre
sans
aucune
possibilité
de
liberté,
à la
métonymie
infinie
et ludique et
pure
de la
chaîne
signifiante.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
La
sublimation
est
satisfaction
de la
pulsion,
mais
sans
refoulement.
Dans la
dialectique
psychanalytique,
rien
n'y est
concevable
sans
la conjugaison du
sujet,
du
savoir
et du
sexe.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
La doctrine
médicale
est
fausse,
sans
cela elle ne
saurait
prêter
appui
au
statut
médical.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
Il n'y a pas
d'acte
analytique
sans
référence
au
transfert.
Le
désir
du
psychanalyste
est ce
lieu
dont
on
est
hors
sans
y
penser.
[
Lac70b
, p. 14]
L'action
est au
commencement
parce qu'il ne
saurait
y
avoir
de
commencement
sans
action.
Tous les
objets
sont des
êtres
sans
essence.
Dans
l'inconscient
il y a un
savoir
sans
sujet.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il
s'articule
à un
autre
signifiant
sans
y
représenter
un
sujet.
*
Il n'y a pas de
psychanalyste
sans
psychanalysant.
*
Jamais
deux
sans
trois.
5
.
437
L'homme
et la
femme
peuvent
aller
ensemble
sans
avoir
rien
à
voir
ensemble.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
Un
discours
sans
parole
est
l'essence
de la
théorie
analytique.
Là où il y a
pathos
du
signifiant
sans
aucun
arrimage
encore
fait
dans le
discours
du
sujet
est un des
champs
du
sujet.
Il y a de
l'inconscient
veut
dire
qu'il y a du
savoir
sans
sujet.
[
Lac84b
, p. 19]
Le
langage-objet
est un
langage
sans
équivoque.
Dans la
psychanalyse
on
y est
sans
le
savoir.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
Le
champ
de
l'angoisse
n'est pas
sans
objet.
*
Tout
ce qui est du
champ
de la
structure
est
impensable
sans
cause
finale.
*
La
psychanalyse
c'est un
discours
sans
parole.
L'angoisse
n'est pas
sans
objet.
L'humain
n'est pas
sans
un
rapport
avec la
vérité.
Les
quatre
discours
sont des
discours
sans
parole.
Il est
impossible,
sans
la
référence
au
semblant,
de qualifier ce qu'il en est du
discours.
Le
rapport
sexuel
ne va pas
sans
un
tiers
terme,
qui est le
phallus.
*
Parler
veut
dire
la
division
sans
remède de la
jouissance
et du
semblant.
*
L'objet
n'est un
objet
qu'en ce
sens
qu'il est là pour
affirmer
que
rien
de
l'ordre
du
savoir
n'est
sans
le
produire.
Il n'y a pas
moyen
de
faire
un
mensonge
sans
supposer
la
dimension
de la
vérité.
*
Pour qui
parle
japonais, c'est performance usuelle que de
dire
la
vérité
par le
mensonge,
c'est-à-dire
sans
être
un
menteur.
[
Lac81a
, p. 3]
*
Le
dit
ne va pas
sans
dire.
[
Lac73a
, p. 8]
La
mathématique
est une
science
sans
conscience.
[
Lac73a
, p. 9]
Le
point
hors-ligne
supplémente
la
ligne
sans
points
et
compose
le
cross-cap
.
[
Lac73a
, p. 27]
La
coupure
centrale
de la
bande
de
Mœbius
c'est une
ligne
sans
points;
celle-ci est elle-même une
bande
de
Mœbius.
[
Lac73a
, p. 38]
Un
être
quand il en
vient
à
n'être
que du
symbole
est un
être
sans
être.
L'ensemble
n'est
rien
d'autre
que le
sujet
et donc ne
saurait
se manier
sans
l'addition
de
l'ensemble
vide.
*
Je
parle
sans
le
savoir.
*
Le
suicide
est le
seul
acte
qui
puisse
réussir
sans
ratage.
[
Lac74b
, pp. 66–67]
La
jouissance
de la
femme
ne va pas
sans
le
dire
de la
vérité.
*
La
jouissance
du
réel
ne va pas
sans
le
réel
de la
jouissance.
*
Il n'y a pas de
question
sans
réponse.
L'analyse
est
sans
effet
contre la
connerie.
*
Nous ne
pensons
pas
sans
mots.
*
L'inconscient
ne va pas
sans
référence
au
corps.
Le
réel
est
sans
loi.
L'une-bévue
substitue
à ce qui
fonde
comme
savoir
qu'on
sait,
le
principe
qu'on
sait
sans
le
savoir.
*
Il n'est pas de
savoir
sans
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
L'inconscient,
c'est là où
ça
pense
sans
savoir.
[
Lac77a
, p. 14]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08