Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.12 L
Précédent:
lamelle
Suivant:
langage-objet
Index:
Index
langage
*
Le
langage,
avant
de
signifier
quelque
chose,
signifie
pour quelqu'un. [
Lac66a
, p. 82]
Le
phénomène
de la
folie
n'est pas
séparable
du
langage
pour
l'homme.
[
Lac66a
, p. 166]
Le
langage
de
l'homme
est
l'instrument
de son
mensonge.
[
Lac66a
, p. 166]
Par le
langage,
le
je
a
fonction
de
sujet.
[
Lac66a
, p. 94]
Toute
science
reste
longtemps empêtrée dans le
langage.
Le
super-ego
est aussi une
loi
dépourvue de
sens
mais en
rapport
avec les
problèmes
de
langage.
*
Le
symptôme
se
résout
tout
entier
dans une
analyse
de
langage,
parce qu'il est lui-même
structuré
comme un
langage.
[
Lac66a
, p. 269]
Le
symptôme
est
langage
dont la
parole
doit
être
délivrée. [
Lac66a
, p. 269]
*
La
loi
de
l'homme
est la
loi
du
langage.
[
Lac66a
, p. 272]
Dans la
folie,
on
rencontre
un
délire
qui
objective
le
sujet
dans un
langage
sans
dialectique.
[
Lac66a
, p. 280]
Pour
libérer
sa
parole,
le
sujet
est
introduit,
par la
psychanalyse,
au
langage
de son
désir.
[
Lac66a
, p. 293]
Il s'agit d'un
langage
de
désir
dans les
symboles
du
symptôme.
[
Lac66a
, p. 293]
Le
langage
du
symptôme
a le
caractère
universel
d'une
langue
qui serait
entendue
dans
toutes
les
autres
langues.
[
Lac66a
, p. 293]
Le
langage
du
symptôme
est le
langage
qui
saisit
le
désir
au
point
où il
s'humanise.
[
Lac66a
, pp. 293–294]
Le
langage-signe
se
distingue
d'un
langage,
par la corrélation
fixe
de ses
signes
à la
réalité
qu'ils signifient. [
Lac66a
, p. 297]
*
Dans un
langage
les
signes
prennent
leur
valeur
de leur
relation
les uns aux
autres.
[
Lac66a
, p. 297]
Le
langage
humain
constitue
une
communication
où
l'émetteur
reçoit
du
récepteur
son
propre
message
sous
forme
inversée.
[
Lac66a
, p. 298]
*
La
fonction
du
langage
n'y est pas
d'informer,
mais
d'évoquer.
[
Lac66a
, p. 299]
La
parole
est un
don
de
langage.
[
Lac66a
, p. 301]
*
Le
langage
n'est pas
immatériel.
[
Lac66a
, p. 301]
Le
langage
est
corps
5
.
266
. [
Lac66a
, p. 301]
*
Le
moment
où le
désir
s'humanise
est aussi celui où
l'enfant
naît
au
langage.
[
Lac66a
, p. 319]
Le
symptôme
exprime
quelque
chose
de
structuré,
d'organisé
comme un
langage.
Dans les
symptômes,
il s'agit
toujours
de
symboles
organisés
dans le
langage.
Le
langage
n'est que
moyen
dans
l'action
de la
parole.
*
La
relation
entre
signifiant
et
signifié
est
toute
entière
incluse
dans
l'ordre
du
langage
lui-même qui en
conditionne
intégralement
les deux
termes.
Mot
et
parole
dans le
langage
sont les
deux
termes
de
substitution
combinatoire
du
signifiant
et de
transsubjectivité
fondamentale
du
signifié.
Le
surmoi
est
cohérent
avec
l'ensemble
du
système
du
langage.
Le
système
du
langage
est
fondamentalement
lié
à la
règle,
à la
loi.
Le
je
se
constitue
dans une
expérience
de
langage,
dans la
référence
au
tu.
Le
désir
apprend
à se
reconnaître
par le
symbole,
c'est à dire dans le
langage.
*
Le
moment
où le
désir
s'humanise
est aussi celui où
l'enfant
naît
au
langage.
5
.
267
L'analyse
emprunte
la
voie
paradoxale
qui
consiste
à extraire la
parole
du
langage.
Le
désir
de
l'autre,
qui est le
désir
de
l'homme,
entre
dans la
médiatisation
du
langage.
Avant
l'apparition
extériorisée
du
langage,
l'enfant
a déjà une
première
appréhension
du
symbolisme
du
langage,
de sa
fonction
de
pacte
et de
loi.
Il n'y a pas de
numération
concevable
autrement que sur le
plan
du
langage.
La
parole
s'institue
dans la
structure
du
monde
sémantique
qui est celui du
langage.
Pour
tout
ce qui est du
langage
humain,
il n'y a
jamais
univocité
du
symbole.
Le
langage
n'est pas
fait
pour
désigner
les
choses.
Toute
signification
interne
quelconque du
langage,
doit
être
définie
par
l'ensemble
des
emplois
possibles
du
terme.
Un
geste
humain
est un
langage.
Le
langage
n'est
concevable
que comme un
réseau
symbolique.
Le
langage
est quelque
chose
de
matériel
qui est
l'instrument
de la
parole.
Le
phénomène
du
rêve,
autant que le
symptôme,
a quelque
rapport
avec la
structure
du
langage
et à ce
rapport
de
l'homme
au
langage.
La
parole
est le
rapport
de
l'homme
au
langage.
Un
monde
est précisément un
univers
soumis
au
langage.
*
Le
langage
est aussi bien
fait
pour nous
fonder
dans
l'autre
que pour nous
empêcher
radicalement
de le
comprendre.
Une
caractéristique
du
langage
est son
ambiguïté.
Le
langage
n'est pas un
code.
Le
langage
peut
opérer
dans les
messages
d'une
façon
efficace
par la
totalité
d'une
signification.
Parole
et
langage
ne se
confondent
pas.
Le
monde
du
langage
est
neutralisant,
incertain,
source
d'erreur.
La
possibilité
de
l'erreur
est
liée
à
l'existence
du
langage.
Le
discours
universel
a un
rapport
avec le
langage.
Le
discours
universel
n'est
nullement
identique
au
langage.
Le
verbum
c'est le
langage
conçu
en tant que
monde
des
signes.
*
La
parole
s'intercale
comme
élément
de
révélation
entre
le
discours
universel
et le
langage.
*
Dès que le
langage
existe,
il est
universel.
Toutes
les
significations
doivent
trouver
place
dans le
langage.
Le
langage
est un
système
de
signes,
et comme tel, un
système
complet.
Le
sens
c'est que
l'être
humain
n'est pas le
maître
du
langage
primordial
et
primitif.
Le
langage
humain
incarné
dans une
langue
humaine
est
fait
avec des
images
choisies.
Le
signifiant
est un
matériel
du
langage.
Le
système
du
langage
n'aboutit
jamais
à un
index
directement
dirigé
sur un
point
de la
réalité.
L'ensemble
du
réseau
du
langage
recouvre
toute
la
réalité.
Dans le
langage
délirant,
certains
mots
renvoient
essentiellement
à une
signification
qui ne
renvoie
à
rien
qu'à elle-même.
Dans le
langage
délirant,
la
signification
renvoie
avant
tout
à la
signification
en tant que telle.
Dans le
langage
délirant,
il y a
deux
pôles,
le
mot
de
l'énigme,
c'est
l'âme
de la
situation,
et la
signification
qui ne
renvoie
plus
qu'au
vide
complet,
c'est la
ritournelle.
Les
deux
pôles
du
langage
délirant
sont la
signature
du
délire.
La
répartition
triple
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel
s'applique au
langage.
La
névrose
est un
pur
et
simple
fait
de
langage.
*
Il n'est
parole
que de
langage.
[
Lac66a
, p. 412]
*
Le
langage
est un
ordre
que des
lois
constituent.
[
Lac66a
, p. 413]
Le
langage,
c'est
différent
de
l'expression
naturelle.
[
Lac66a
, p. 413]
Le
langage,
ce n'est pas un
code.
[
Lac66a
, p. 413]
Le
langage
ne se
confond
pas avec
l'information.
[
Lac66a
, p. 413]
Le
langage
est
peu
réductible
à une
superstructure.
[
Lac66a
, p. 414]
Le
réseau
du
signifiant
est la
structure
synchronique
du
matériel
du
langage.
[
Lac66a
, p. 414]
Le
langage,
ce n'est pas du
signe.
[
Lac66a
, p. 415]
Pour le
petit
enfant,
le
symbole
est déjà là, le
langage
existe
déjà.
Le
diagnostic
de
psychose
comporte
des
troubles
de
l'aliénation
dans
l'ordre
du
langage.
L'inconscient
est,
structuré,
tramé,
chaîné,
tissé
de
langage.
Le
rôle
fondamental
du
système
du
signifiant
est de
caractériser
le
langage.
Le
matériel
lié
au
conflit
ancien
est
conservé
dans
l'inconscient
au titre de
signifiant
en
puissance,
virtuel,
pour être
pris
dans le
signifié
du
conflit
actuel
et lui
servir
de
langage,
c'est à dire de
symptôme.
*
Si la
psychanalyse
habite
le
langage,
elle ne
saurait
sans
s'altérer
le
méconnaître
en son
discours.
Une
apparition
primitive
du
signifiant
implique
déjà le
langage.
L'analyse
est
étroitement
liée
aux
phénomènes
du
langage
et à
l'acte
de la
parole.
Le
préconscient
n'a pas une
structure
de
langage.
Le
préconscient
s'inscrit
et se refond dans une
structure
de
langage.
*
Tout
ce qui est de la
communication
analytique
a
structure
de
langage.
Le
phénomène
analytique
n'est pas un
langage.
Tout
phénomène
qui
participe
du
champ
analytique,
du
symptôme,
est
structuré
comme un
langage.
Le
phénomène
analytique
est la
variété
phénoménale
la
plus
importante
et la
plus
révélatrice
des
rapports
de
l'homme
au
domaine
du
langage.
Le
signifiant,
en tant qu'il fait
partie
du
langage,
est un
signe
qui
renvoie
à un
autre
signe.
*
Le
langage
commence
à
l'opposition.
Le
symbolisme
est
structuré
dans le
langage.
Tout
système
de
langage
comporte
la
totalité
des
significations.
Il est
faux
que
tout
système
de
langage
épuise les
possibilités
du
signifiant.
Les
symptômes,
c'est
toujours
une
implication
de
l'organisme
humain
dans quelque
chose
qui est
structuré
comme un
langage.
Le
caractère
le
plus
important
de
l'aphasique
sensoriel
est un
langage
de
paraphrases.
*
Tout
langage
implique
un
métalangage.
Tout
langage
est déjà
métalangage.
Le
langage
implique
la
métaphrase
et la
métalangue.
Le
langage
parle
du
langage.
Le
langage
mathématique
est un
langage
de
pur
signifiant.
Le
langage
mathématique
est un
métalangage
par excellence.
*
Le
névrosé
habite
le
langage.
*
Le
psychotique
est
habité,
possédé
par le
langage.
*
La
notion
même
de
structure
est
empruntée
au
langage.
Le
psychotique
a un
rapport
d'extériorité
avec
l'ensemble
de
l'appareil
du
langage.
Le
langage
des abeilles est une
fonction
imaginaire
plus
différenciée
que les autres. [
Lac66a
, p. 19]
Une
écriture
peut
être
figurative,
elle est
toujours,
comme un
langage,
articulée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 470]
Le
nom-du-père
est
essentiel
à
toute
articulation
du
langage
humain.
Le
langage
se
définit
d'une
chaîne
diachronique
de
déplacement,
et d'une
chaîne
de
substitution
synchronique.
L'être
humain
est
soumis
au
phénomène
du
langage.
L'inconscient
est
structuré
par le
langage.
Il n'y a pas de
métalangage
car il n'y a pas de
mathématisation
complète
du
phénomène
du
langage.
Il n'y a pas de
moyen
de
formaliser
le
phénomène
du
langage
au delà de ce qui est
donné
comme
structure
primitive
du
langage.
Le
soi
ne se
saisit
qu'au-delà
de
toute
élaboration
du
désir
dans le
réseau
du
langage.
Le
soi
de
l'homme
est
entièrement
engagé dans la
dialectique
du
langage.
Les
dieux
sont les
immortels
du
langage.
Les
rapports
de
l'homme
au
langage
se font sous une
forme
aveugle
fermée.
le
soi
est par
nature
au-delà
de la
prise
du
désir
dans le
langage.
Le
symptôme
psychanalysable
est
soutenu
par une
structure
qui est
identique
à celle du
langage.
[
Lac66a
, p. 444]
La
structure
du
langage
est la
structure
des
langues
parlées
effectivement.
[
Lac66a
, p. 444]
L'ordre
symbolique
est
constitué
par le
langage.
[
Lac66a
, p. 445]
La
lettre
est le
support
matériel
que le
discours
concret
emprunte
au
langage.
[
Lac66a
, p. 495]
Le
langage
ne se
confond
pas avec les diverses
fonctions
somatiques
et
psychiques
qui le
desservent
chez le
sujet
parlant.
[
Lac66a
, p. 495]
*
Le
langage
avec sa
structure
préexiste à
l'entrée
qu'y
fait
chaque
sujet
à chaque
moment
de son
développement
mental.
[
Lac66a
, p. 495]
Le
sujet
est serf du
langage,
et
encore
plus,
serf d'un
discours.
[
Lac66a
, p. 495]
La
métonymie
est la
fonction
proprement
signifiante
dans le
langage.
[
Lac66a
, p. 505]
La
demande
est
liée
d'abord
et
avant
tout
à ce qui est dans les prémisses du
langage,
dans
l'existence
d'un
appel
qui est
principe
de la
présence,
et
terme
qui
permet
de la repousser.
Le
processus
primaire
c'est
d'abord
et
avant
tout
tissé
comme du
langage.
*
Toute
demande
de
satisfaction
d'un
besoin
doit
passer
par les
défilés
de
l'articulation
tels que le
langage
les rend
obligatoires.
Le
signifié
vient
du
langage
et du
signifiant
comme tel.
La
subjectivité
étant
prise
dans le
langage,
il y a
émission,
non
pas d'un
signe
mais d'un
signifiant.
Dans le
graphe
6.1.2
en
le
désir
se
manifeste
dans la
béance,
dans
l'intervalle
qui
sépare
l'articulation
langagière
de la
parole.
L'inconscient
a la
structure
radicale
du
langage.
[
Lac66a
, p. 594]
*
Le
langage
structure
tout
de la
relation
inter-humaine.
[
Lac66a
, pp. 618–619]
*
L'être
du
langage
est le
non-être
des
objets.
[
Lac66a
, p. 627]
Le
désir
va se
produire
entre
le
langage
purement
et simplement
quésitif
et le
langage
votif.
L'Autre
est
marqué
des
nécessités
du
langage,
comme
lieu
de
l'articulation
de la
parole.
Le
rapport
de la
coupure
du
réel
et de la
coupure
du
langage
est un
recouvrement
d'un
système
de
coupure
par un
autre
système
de
coupure.
L'inconscient
n'a pas une
autre
structure
au
dernier
terme
qu'une
structure
de
langage.
*
Ce qui est
inconnu
se
présente
comme une
structure
de
langage.
La
Sache
est cette
Chose,
produit
de l'industrie, de
l'action
humaine,
en tant qu'elle est
action
dirigée,
gouvernée
par le
langage.
*
Le
langage
scande
et
coupe
tout
ce qui se
passe
dans le
mouvement
de la
vie.
La
dépendance,
que
vit
le
sujet
infans
,
est
maintenue
par un
univers
de
langage.
[
Lac66a
, p. 812]
Parler,
avoir
la
parole,
n'est pas
avoir
totalement
le
langage.
La
parole
est
possible
sans
avoir
le
rapport
humain
au
langage.
Les
pensées
sont
structurées
comme un
langage.
*
Le
langage
existe
dans le
réel.
Tout
ce que le
sujet
reçoit
de
l'Autre
par le
langage,
est qu'il le
reçoit
sous une
forme
vocale.
*
Le
langage
n'est pas
vocalisation.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
sujet
est
divisé
par
l'effet
de
langage.
Le
sujet
est
déterminé
par le
langage
et la
parole.
L'inconscient
est
fait
de
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
signifiant
a pour
effet
dans le
langage,
le
signifié.
L'interprétation
renverse
le
rapport
qui
fait
que le
signifiant
a pour
effet
dans le
langage,
le
signifié.
Une
perte
se
produit
chaque
fois
que le
langage
essaie,
dans un
discours,
de
rendre
raison
de lui-même.
Tout
développement
logique
suppose
le
langage
à
l'origine,
dont il est
détaché.
*
La
structure
grammaticale
est
absolument
corrélative
des
toutes
premières
apparitions
du
langage.
*
Le
langage
entre
dans le
réel
et il y
crée
la
structure.
Le
langage
est
cause
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 830]
*
L'effet
du
langage,
c'est la
cause
introduite
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
langage
des
animaux
est un
langage
de
signes
qui n'admet pas la
métaphore,
ni
n'engendre
la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 840]
Dans
l'instant
de
voir,
le
langage
s'instaure
comme
synchronie.
On
habite
le
langage,
mais
on
n'habite
pas le
manque.
Le
langage
n'est pas un
code
parce que, dans le moindre
énoncé,
il véhicule avec lui le
sujet
présent
dans
l'énonciation.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
langage.
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
L'inconscient
qui
dit
le
vrai
sur le
vrai
est
structuré
comme un
langage.
*
C'est
l'écrit
qui
détermine
le
champ
du
langage.
L'inconscient
est
langage.
[
Lac66a
, p. 866]
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 867]
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
[
Lac66a
, p. 868]
Il n'y a pas
d'autre
support
de
l'expérience
analytique
que la
parole
et le
langage.
*
L'inconscient
a
structure
de
langage.
Tout
métalangage
est
partie
du
langage.
*
Le
sujet
n'est pas
immanent
mais
latent,
évanouissant
au
réseau
du
langage.
La
jouissance
est
prise
au
réseau
du
langage
en tant qu'elle est
jouissance
sexuelle.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Dans le
langage,
notre
message
nous
vient
de
l'Autre,
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, p. 9]
*
Le
signifiant,
c'est la
matière
qui se
transcende
en
langage.
[
Lac66c
, p. 10]
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
sens
logique
originel
de la
castration
c'est qu'au
niveau
des
Bedeutungen
,
des
significations,
le
langage
mathématiquement
fait
défaut.
La
mère
désigne
dans le
langage
analytique
la
première
appréhension
de la
castration.
L'essence
du
langage
détermine
une
coupure
sous
forme
de
seuil.
La
vérité
est
dimension
propre
du
langage.
La
structure
c'est que le
sujet
est un
fait
de
langage
et un
fait
du
langage.
*
L'acte
de se
taire
ne
libère
pas le
sujet
du
langage.
Ce n'est pas que la
science
se
passe
du
sujet,
c'est qu'elle le
vide
du
langage,
l'expulse.
La
science
se
crée
ses
formules
d'un
langage
vidé
du
sujet.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
La
logique
est le
métadiscours
immanent
au
langage.
L'univers
de
langage
n'existe
pas.
Le
fantasme
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
langage
trouve
sa
place
au
lieu
de
l'Autre.
L'être
parlant,
dans son
rapport
au
langage,
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
grand
Autre
est le
lieu
d'opération
du
langage.
[
Lac68e
, p. 18]
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
[
Lac68d
, p. 35]
*
Tout
ce qui est de
l'inconscient
ne
joue
que sur des
effets
de
langage.
[
Lac68d
, p. 36]
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Un
langage
n'est pas
fait
de
signes.
*
Un
langage
n'a pas de
rapport
direct
aux
choses.
Le
langage
engendre
du
signifié.
Le
langage
a
fonction
de
faire
le
tour
de la
Chose.
Le
langage
cerne
la
Chose.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Le
langage
n'est pas
fait
pour la
communication.
Le
langage
fait
le
sujet.
Le
langage
fabrique
le
désir.
*
L'inconscient
est
structure
de
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Il y a
isomorphisme
de
l'inconscient
au regard de ce qu'il en est du
discours
sur le
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Il y a
tout
un
niveau
où le
savoir
est de
langage.
L'inconscient
est un
effet
de
langage.
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Le
langage
n'est pas du
tout
acte
du
sujet.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
L'Autre
au
lieu
du
code
est le
trésor
du
langage.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
[
Lac84b
, p. 8]
*
L'inconscient
ne se
traduit
qu'en
nœuds
de
langage.
[
Lac84b
, p. 9]
La
censure
est
franchie
de la
combinatoire
des
nœuds
de
langage.
[
Lac84b
, p. 9]
Le
sujet
n'est
qu'effet
de
langage.
[
Lac84b
, p. 14]
Dans les
mathématiques,
on
appelle
métalangage
le
discours
dont un
langage
veut
s'exclure.
[
Lac84b
, p. 19]
Le
langage-objet
est un
langage
sans
équivoque.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
C'est dans
l'Autre
qu'est
l'inconscient
structuré
comme un
langage.
*
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
*
Ce n'est de
nul
étant
qu'il s'agit dans
l'effet
du
langage.
L'effet
du
langage
est
rétroactif
en ceci que c'est à
mesure
de son
développement
qu'il
manifeste
ce qu'il est de
manque-à-être.
La
répétition
qui
insiste
caractérise
ce qu'il en est de la
réalité
psychique
de
l'être
inscrit
dans le
langage.
Le
trait
unaire
est la
marque
première
de
l'entrée
en
jeu
du
langage.
L'entrée
en
jeu
du
langage
fonde
la
séparation
de la
jouissance
et du
corps.
*
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
[
Lac70d
, p. 58]
*
Suivre
la
structure,
c'est
s'assurer
de
l'effet
du
langage.
[
Lac70d
, p. 60]
Il
existe
un
savoir
structuré
comme un
langage.
[
Lac70d
, p. 77]
Pour que
naisse
le
langage
il a fallu
l'inconscient.
Une
accumulation
de
signifiants
précède
la
naissance
d'un
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Tout
usage
du
langage
se
déplace
dans la
métaphore.
*
Il n'y a de
langage
que
métaphorique.
La
nature
du
langage
fait
que, pour ce qui est
d'accrocher
quoi que ce soit qui
signifie,
le
référent
n'est
jamais
le bon.
L'écrit
est
second
par
rapport
à
toute
fonction
du
langage.
L'écrit
n'est pas le
langage.
*
C'est de
l'écrit
que
s'interroge
le
langage.
L'écrit
ne se
construit,
ne se
fabrique,
que de sa
référence
au
langage.
Le
langage
a son
champ
réservé dans la
béance
du
rapport
sexuel.
Le
plus-de-jouir
prend
sa
source
dans le
champ
d'où
tout
part,
l'effet
du
langage
dans le
désir
de
l'Autre.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
On
ne
parle
jamais
du
langage
qu'à partir de
l'écriture.
L'inconscient
est
effet
de
langage.
Habite
le
langage,
celui qui
parle.
*
Le
sujet
est
divisé
par le
langage.
*
Tout
ce qui est du
langage,
a affaire avec le
sexe,
est dans un
certain
rapport
avec le
sexe.
Le
langage
ne rend pas
compte
du
rapport
sexuel.
Une
structure
de
fiction
est proprement
l'essence
même
du
langage.
L'homme
est une
espèce
d'animal
qui
habite
le
langage.
Le
signifiant
maître
n'est pas inhérent en
soi
au
langage.
Le
langage
ne rend
possible
qu'un
nombre
déterminé
de
discours.
*
Il n'y a pas, dans le
langage,
d'autre
Bedeutung
que le
phallus.
Le
langage
ne
connote
que
l'impossibilité
de
symboliser
le
rapport
sexuel
chez les
êtres
qui
habitent
le
langage.
C'est
d'habiter
le
langage
que les
êtres
parlants
tiennent la
parole.
*
C'est de ce que le
langage
n'est
constitué
que d'une seule
Bedeutung
,
qu'il tire sa
structure.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
La
condition
de
l'inconscient,
c'est le
langage.
*
Qu'il y a du
langagièrement
articulé,
qui n'est pas pour cela
articulable
en
paroles.
Rien
de ce que le
langage
permet
de
faire
n'est
autre
que
métaphore
ou
métonymie.
*
Le
vide
c'est la
seule
façon
d'attraper
quelque
chose
avec le
langage.
La
formule
qu'il n'y a pas de
métalangage
nie
que la
division
entre
langage
méta et
langage-objet
soit
tenable.
L'inconscient
est
effet
de
langage.
[
Lac71a
, p. 5]
Qui
parle,
habite
le
langage.
[
Lac71a
, p. 6]
*
L'écrit
qui se
fabrique
du
langage
est
matériel.
[
Lac71a
, p. 8]
Le
sujet
est
divisé
par le
langage.
[
Lac71a
, p. 9]
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
L'inconscient
n'est pas
structuré
comme la
lalangue
mais
structuré
comme un
langage.
Le
savoir
insu
dont il s'agit dans la
psychanalyse,
c'est un
savoir
qui
s'articule
et est
structuré
comme un
langage.
Le
langage
fait
sens
car il n'est
jamais
le décalque des
choses.
Tout
ce qui
s'inscrit
dans le
langage
n'est
pensable
que par
référence
au
grand
Autre.
Les
symptômes,
c'est
structuré
comme un
langage.
Le
langage
a une
structure
ternaire.
Qu'il y
ait
l'homme
et la
femme,
c'est
d'abord
affaire de
langage.
La
logique,
c'est ce qui dans le
langage,
le rend adéquat à
faire
vérité.
*
Le
langage
ça n'est pas
l'être
parlant.
Le
langage
ex-siste
hors
de ces
corps
qui en sont
agités.
La
notion
de
discours
est à
prendre
comme
lien
social
fondé
sur le
langage.
L'inconscient
est
structuré
par un
langage.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
[
Lac81a
, p. 3]
L'homme
et la
femme
habitent
le
langage.
[
Lac73a
, p. 11]
*
Le
rapport
d'organe
du
langage
à
l'être
parlant
est
métaphore.
[
Lac73a
, p. 33]
Le
seul
réel
reconnu
d'abord
dans le
langage
est le
nombre.
[
Lac73a
, p. 37]
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
[
Lac73a
, p. 45]
Le
langage
désigne
la
structure
dont il y a
effet
de
langages.
[
Lac73a
, p. 45]
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
[
Lac73a
, p. 47]
Dans la
psychanalyse
il s'agit de
langage,
c'est un
nouveau
discours.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
phallus,
c'est la
signification
par quoi le
langage
signifie
qu'il n'y a qu'une
Bedeutung
,
c'est le
phallus.
*
Il n'y a pas de
deuxième
sexe
à partir du
moment
où
entre
en
fonction
le
langage.
S'il n'y avait pas de
langage
il n'y aurait pas de
question.
Le
discours
de la
science
est
insertion
du
langage
sur le
réel
mathématique.
Le
seul
domaine
où
peut
se
formuler
une
impossibilité
symbolique
est le
réel
seul,
au-delà
du
langage.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
L'être
est ce qui, dans le
langage,
se
dérobe
le
plus.
La
grammaire
c'est ce qui, du
langage,
ne se
révèle
que par
l'écrit.
Le
langage
se
distingue
de ceci que, dans son
effet
de
signifié,
il n'est
jamais
que à coté du
signifiant.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
L'inconscient
n'est pas
structuré
par un
langage.
Le
langage
est ce qui
fonctionne
pour
suppléer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Il n'y a pas
d'autre
appareil
que le
langage.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
langage
se
pose
comme
appareil
de
jouissance.
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
La
structure
de la
pensée
repose
sur le
langage.
Les
mathèmes
ne se
transmettent
qu'avec l'aide du
langage.
*
L'écriture
est une
trace
où se
lit
un
effet
de
langage.
Le
langage
c'est
l'effort
fait
pour
rendre
compte
de quelque
chose
qui n'a
rien
à
faire
avec la
communication,
lalangue
.
*
Le
langage,
d'abord,
ça
n'existe
pas.
Le
langage
est
fait
de
lalangue
.
Le
langage
n'est pas
seulement
communication.
L'inconscient
c'est du
langage.
*
Le
sujet
naît
inclus
dans le
langage.
La
parole
n'a
rien
à
faire
avec le
savoir
qui
existe
dans le
langage.
Le
langage
est un
effet
de ce qu'il y a du
signifiant
Un.
L'inconscient
dépend
du
langage.
[
Lac74b
, p. 16]
Le
propre
du
corps
est
d'habiter
le
langage.
[
Lac74b
, p. 41]
Un
être
vivant
se
distingue
des
autres
d'habiter
le
langage.
[
Lac75d
, p. 12]
Le
langage
n'est pas
fait
de
mots.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
Le
langage
est ce dans quoi
s'inscrit
le
non-rapport.
L'inconscient
est
conditionné
par le
langage.
L'effet
du
langage
c'est le
pathème
, la
passion
du
corps.
Le
langage
est
lié
à quelque
chose
qui, dans le
réel,
fait
trou.
C'est de cette
fonction
du
trou,
que le
langage
opère
sa
prise
sur le
réel.
*
Le
langage
n'est pas en lui-même un
message.
*
C'est en tant qu'il est
accroché
au
langage
que le
symptôme
subsiste.
*
On
use du
langage
d'une
façon
qui va
plus
loin que ce qui est
effectivement
dit.
Le
langage
fait
nœud
de
l'imaginaire
et du
réel.
[
Lac75g
, p. 4]
Le
sens
est
autre
au
langage.
[
Lac75g
, p. 4]
*
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
*
Ce qui
crée
la
structure,
est la manière dont le
langage
émerge
au
départ
chez un
être
humain.
Le
symbolique
est le
lien
de
l'être
humain
au
langage.
L'inconscient
est
structuré
comme un
langage.
Le
langage
supplée
à
l'absence
de
rapport
sexuel.
*
Le
langage
ça
n'existe
pas. [
Lac78
]
*
Le
langage
est la
condition
de
l'inconscient.
[
Lac77b
, p. 14]
Le
langage
implique
l'inconscient.
[
Lac77b
, p. 14]
La
structure
de
l'inconscient,
c'est le
langage.
[
Lac77a
, p. 9]
L'inconscient
est
structuré
parce qu'il est
fait
comme un
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
L'inconscient
se
déploie
dans les
effets
de
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
*
La
parole
n'est pas le
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
Le
langage
fait
parler
l'être.
[
Lac77a
, p. 13]
*
Le
langage
n'est pas
réductible
à la
communication.
[
Lac77a
, p. 13]
Il faut
être
un
sujet
pour
faire
usage
du
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
Le
sujet
ne
peut
être
pensé,
si ce n'est comme
structuré
par le
langage.
[
Lac77a
, pp. 13–14]
*
Le
symbolique,
c'est le
langage.
[
Lac78
]
*
Le
langage
est imparfait. [
Lac78
]
*
Le
langage
est un
mauvais
outil. [
Lac78
]
L'universalité
est le
modèle
du
langage.
Suivant:
langage-objet
Remonter:
5.12 L
Précédent:
lamelle
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08