Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.16 P
Précédent:
pivot
Suivant:
placenta
Index:
Index
place
La
seule
place
de
résistance
à
l'analyse
est du
côté
de
l'analyste.
La
situation
du
sujet
est
essentiellement
caractérisée
par sa
place
dans le
monde
symbolique,
dans le
monde
de la
parole.
*
Les
objets
réels
sont à la
même
place
que
l'objet
imaginaire.
*
C'est par
rapport
à la
fonction
de la
parole
que les
différents
ressorts de
l'analyse
prennent
leur
sens,
leur
place
exacte.
L'analyste
ne
peut
être
qu'à la
place
de
l'ego
qu'il
observe.
Toutes
les
significations
doivent
trouver
place
dans le
langage.
Le
réel
c'est quelque
chose
qu'on
retrouve
à la
même
place.
Ce que
répond
l'analyste
est
moins
important
que la
place
d'où il
répond.
[
Lac66a
, p. 347]
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
Le
sujet
trouve
sa
place
dans un
appareil
symbolique,
préformé
qui
donne
la
loi,
qui
instaure
la
loi
dans la
sexualité.
Après la
Bewusstsein
,
en
troisième
place
intervient
la
Vorbewusstsein
ou
préconscient.
Le
signifiant
est un
système
corrélatif
d'éléments
qui
prennent
leur
place
synchroniquement
et
diachroniquement
les uns par
rapport
aux
autres.
La
non-acquisition
ou la
perte
de
l'Autre
entraîne,
pour le
sujet,
la
rencontre
d'un
autre
purement
imaginaire
à sa
place.
Tout
ce qui est
réel
est
toujours
et
obligatoirement
à sa
place.
Un
objet
qui
manque
à sa
place,
ça
devrait
être
là par la
loi.
Le
sujet
de
l'inconscient
est à
situer
comme
ex-sistant
;
c'est-à-dire
situé
à une
place
excentrique.
[
Lac66a
, p. 11]
Le
signifiant
peut
changer
de
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
signifiant
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
symbolique
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
réel
est
toujours
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
signifiant
a un
fonctionnement
alternant,
qui
exige
qu'il quitte sa
place,
pour y
faire
retour
circulairement.
[
Lac66a
, p. 29]
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
L'Autre
radical
est la
place,
le
lieu
de
l'inconscient.
La
métaphore
exerce sa
fonction
de
création
de
signifié
à la
place
où la
substitution
peut
se
produire.
désigne
une
place
essentielle
à la
structure
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 454]
La
métaphore
jaillit
entre
deux
signifiants,
dont l'un s'est
substitué
à
l'autre,
en
prenant
sa
place
dans la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 507]
Une
métaphore
c'est un
signifiant
qui
vient
à la
place
d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant,
comme tel, c'est quelque
chose
qui
peut
être
effacé,
qui ne laisse plus que sa
place.
C'est à travers
l'œdipe
que le
désir
génital
vient
prendre
sa
place
dans
l'économie.
L'hystérique
est le
sujet
pour lequel la
constitution
de
l'autre
en tant que
grand
Autre
est ce avec quoi il est
difficile
d'établir
la
relation
qui lui
permet
à lui,
hystérique
de garder sa
place
de
sujet.
*
C'est en cette
place
où le
sujet
a
cherché
à
articuler
son
désir
qu'il
rencontrera
le
désir
de
l'autre
comme tel.
Le
désir
a à s'organiser, a
prendre
sa
place,
entre
l'appel
de la
satisfaction
et la
demande
d'amour.
Dans la
communication
ce qui est
communiqué,
c'est le
signe
de ce qu'est la
place
où un
autre
signifiant
n'est pas.
Dans
l'idéal-du-moi
l'idéal
prend
la
place
de ce qui, chez le
sujet,
a été éprouvé comme
l'effet
d'un
enfant
désiré.
est la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 551]
Dans la
psychose,
le
créé
assume
la
place
en
laissée
vacante
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 563]
Dans la
psychose,
l'idéal-du-moi
a
pris
la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 572]
Un
critère
de la
réalité
est de
revenir
toujours
à la
même
place.
[
Lac66a
, p. 573]
La
condition
essentielle
de la
psychose
est la
forclusion
du
nom-du-père
à la
place
de
l'Autre
et
l'échec
de la
métaphore
paternelle.
[
Lac66a
, p. 575]
*
Pour que la
psychose
se
déclenche,
il faut que le
nom-du-père,
verworfen
,
forclos,
c'est-à-dire
jamais
venu
à la
place
de
l'Autre,
y soit
appelé
en
opposition
symbolique
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
défaut
du
nom-du-père
à la
place
de
l'Autre
ouvre
un
trou
dans le
signifié.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
transfert
place
le
sujet
à
l'endroit
de sa
demande
dans une
position
qu'il ne
tient
que de son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
trouve
sa
place
signifiante,
par une
antériorité
logique
à
tout
éveil du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
Le
sujet
a
accès
au
phallus,
à la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
Dans le
fantasme,
la
fonction
de
l'objet
est de
prendre
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement,
le
phallus.
*
L'objet
du
fantasme
est cette
altérité,
image
et
pathos,
par où un
autre
prend
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement.
Tout
manque
dans le
réel
est un
manque
à sa
place.
Le
manque
à sa
place
dans le
réel
est un
manque
symbolique.
L'être
c'est comme un
réel
qui a
pris
sa
place
dans le
symbolique.
L'objet
phobique
est là pour
occuper
la
place
entre
le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre.
Le
réel
revient
toujours
à la
même
place.
L'expérience
freudienne
prend
sa
place
par
rapport
à
l'opposition
du
fictif
et du
réel.
Le
réel
c'est ce qui se
retrouve
toujours
à la
même
place.
La
réalité
se
pose
pour
l'homme
comme ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
L'éthique
reste
appendue à la
recherche
de ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
*
Le
signe
c'est ce qui est à la
place
de quelque
chose
pour quelqu'un.
L'aimant
vient
à la
place,
se
substitue,
à
l'objet
aimé.
Le
représentant
de la
représentation
a sa
place
dans
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 814]
L'organe
érectile
vient
à
symboliser
la
place
de la
jouissance
en tant que
partie
manquante
à
l'image
désirée.
[
Lac66a
, p. 822]
L'analyste
doit
offrir
la
place
vacante
au
désir
du
patient
pour qu'il se
réalise
comme
désir
de
l'Autre.
*
La
phase
orale
de la
libido
sexuelle
exige
cette
place
creusée
par la
demande.
La
place
du
signifiant
dans
l'Autre
est celle d'un
signifiant
manquant.
est un
symbole
qui
répond
à la
place
où sa
produit
le
manque
de
signifiant.
vient
à la
place
du
signifiant
manquant.
*
Être
sujet
c'est
avoir
sa
place
dans
grand
,
au
lieu
de la
parole.
Le
phallus,
à la
place
symbolique
de
l'instrument
du
désir
est porté à la
fonction
de
signifiant.
La
place
symbolique
du
phallus
est la
place
du
point
mort
occupé par le
père
en tant que déjà
mort.
C'est à la
place
de
l'idéal-du-moi
que
l'analyste
sera
appelé
à
fonctionner.
Il y a
place
au
désir,
là où il y a
demande
pour
rien.
La
demande
inconditionnelle
fait
la
place
au
désir.
L'angoisse
se
produit
topiquement
à la
place
définie
par
,
à la
place
du
moi.
Le
trait
unique,
l'
einziger Zug
,
a pour
fonction
d'indiquer
la
place
où est
suspendue
dans le
signifiant,
où est
accrochée,
la
question
de la
garantie
du
signifiant.
*
Le
réel
est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
Le
point
phallique
signifie
l'abolition
comme telle de
toute
signifiance;
c'est là que
l'objet
,
objet
de la
castration
prend
sa
place.
L'existence
de
l'angoisse
est
liée
à ceci que
toute
demande
a
toujours
quelque
chose
de
leurrant
par
rapport
à ce qui
préserve
la
place
du
désir.
La
place
de
l'angoisse
est
constituante
d'un
certain
vide.
Le
but,
Ziel
et
l'objet,
Objekt
de la
pulsion
ne se
situent
pas à la
même
place.
L'angoisse
vient
se
constituer,
prendre
sa
place
dans un
rapport
au-delà
de ce
vide
d'un
temps
premier
de la
castration.
La
femme
ne
peut
jouir
de
que parce qu'il n'est pas à sa
place,
à la
place
de sa
jouissance.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
La
place
de
l'Autre
où se
constitue
le
sujet
est
située
entre
perception
et
conscience.
La
fonction
de la
répétition
est à la
place
du
réel
qui va du
trauma
au
fantasme.
Au
champ
de
l'Autre,
la
caractéristique
du
sujet
de
l'inconscient
est
d'être
à une
place
indéterminée.
Le
sujet
peut
occuper
diverses
places
selon que
l'analyste
le met sous l'un ou
l'autre
des
signifiants
de
l'interprétation.
L'analyste
tient
cette
place
pour autant qu'il est
l'objet
du
transfert.
L'effet
de
métaphore
est
constitué
par un
signifiant
substitutif
mis à la
place
d'un
autre
signifiant.
L'interprétation
est une
signification
qui
vient
à la
place
du
,
le
signifié.
L'analyste
se
doit
d'occuper
la
place
de
l'Autre.
L'
Urverdrängung
se
situe
à la
place
du
manque
du
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 868]
*
Un
symbole
vient
à la
place
du
manque
constitué
par le
manque
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 722]
Le
manque
à sa
place
est
nécessaire
au
départ
de la
dimension
de
déplacement
d'où
procède
tout
le
jeu
du
symbole.
[
Lac66a
, p. 722]
L'inconscient,
dans son
essence
poétique,
vient
à la
place
de ce
je
ne
pense
pas.
L'
acting-out
se
situe
à cette
place
élidée
où quelque
chose
se
manifeste
du
champ
de
l'Autre
éliminé,
mais sous une
forme
de
manifestation
véridique.
C'est dans la
mesure
où quelque
objet
peut
venir
prendre
la
place
que
prend
le
dans
l'acte
sexuel
comme tel que la
sublimation
peut
subsister.
L'analyste
est
placé
en
position
de
sujet
supposé
savoir.
Le
langage
trouve
sa
place
au
lieu
de
l'Autre.
Dans
l'interprétation
le
fantasme
prend
la
place
d'un
axiome.
La
position
de
l'analyste
se
tient
dans le
vide,
le
trou,
la
place
du
désir.
*
La
passe
est ce
point
où,
d'être
venu
à bout de sa
psychanalyse,
la
place
que le
psychanalyste
a
tenue
dans son
parcours,
quelqu'un
fait
ce pas de la
prendre.
[
Lac70b
, p. 25]
Le
terme
de
l'analyse
consiste
en sa
réduction
à
l'avènement
de
l'objet
comme
cause
de la
division
du
sujet
qui
vient
à sa
place.
À se mettre à la
place
de
l'analyste,
celui-ci en
viendra
en
fin
à
être,
sous la
forme
du
,
cet
objet
rejeté.
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
vient
prendre
place.
Le
sujet
grammatical
n'est que la
place
où quelque
chose
vient
à se
représenter.
Le
fantasme
tient,
pour le
sujet,
la
place
du
réel.
[
Lac84b
, p. 16]
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
La
tache
est
essentielle
et
structurante
au titre de
place
de
manque
dans
toute
vision.
dans le
discours
du
maître
est à la
place
de
l'esclave.
Dans le
discours
du
maître,
occupe
la
place
de la
dominante,
de la
loi.
La
loi
est à la
place
dominante
dans le
discours
du
maître.
Dans le
discours
de
l'analyste,
la
place
dominante
est
occupée
par
l'objet
.
Les
places
dans les
quatre
discours
sont
Les
quatre
places
de chacun des
quatre
discours
sont:
Le
savoir
dans le
discours
de
l'hystérique
vient
à la
place
de la
jouissance.
Chaque
place
dans les
quatre
discours
ne se
distingue
que du
fonctionnement
de ce qui y
vient
de
l'articulation
à chaque
place,
Chacune des
places
dans les
quatre
discours
est une
place
d'ordre,
de
commandement.
Le
tient
la
place
dominante
du
discours
universitaire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
c'est
l'objet
qui
vient
à la
place
du
commandement.
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
est à la
place
dite de la
vérité.
Le
nom-du-père
se
place
là où le
savoir
fait
fonction
de
vérité.
Les
quatre
places
du
discours
peuvent
s'écrire:
Le
réel
se
place
comme
l'impossible
à démontrer le
vrai
dans le
registre
d'une
articulation
symbolique.
L'objet
au
niveau
du
discours
universitaire
vient
à la
place
de
l'exploitation.
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
de la
structure
a
place
de
vérité.
[
Lac70d
, p. 98]
Dans chaque
discours,
les
places
sont: cf:
18.2.1
[
Lac70d
, p. 99]
La
position
de
l'analyste
se
définit
de mettre le poids de son
plus-de-jouir
à une certaine
place.
Le
discours
se
supporte
de
quatre
places
privilégiées. cf:
18.2.1
Le
discours
du
maître
existe
quand le
signifiant
maître
est en
place
d'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
de
l'université
existe
quand le
savoir
occupe
la
place
de
l'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
de
l'hystérique
existe
quand le
sujet
est en
place
de
l'agent
dans sa
division
fondatrice
de
l'inconscient.
cf:
18.2.1
Le
discours
de
l'analyste
existe
quand le
plus-de-jouir
occupe
la
place
de
l'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
du
maître,
par le
signifiant
en tant que
maître
,
occupe
la
place
du
semblant.
cf:
18.2.1
dans le
discours
du
maître
occupe
la
place
de la
vérité.
cf:
18.2.1
L'objet
vient
remplir
la
place
définie
comme celle du
plus-de-jouir.
L'
achose
est
absente
là où elle
tient
sa
place,
occupée
par
l'objet
.
*
La
femme
ne
peut
remplir
sa
place
dans le
rapport
sexuel.
La
lettre
vient
pour
marquer
la
place
d'un
signifiant.
Sans une
distinction
entre
code
et
message,
il n'y a pas de
place
pour la
parole.
*
La
parole
définit
la
place
de ce
qu'on
appelle
la
vérité.
Le
discours
analytique
se
caractérise
de
situer
l'objet
à la
place
du
semblant.
La
place
du
semblant
est
tenue
différemment dans le
discours
universitaire
et
psychanalytique.
L'analyste
se
fait
le
representamen
de
l'objet
à la
place
du
semblant.
Les
places
occupées dans chaque
discours
sont
l'agent,
la
vérité,
l'autre,
la
production,
qui se
relationnent
ainsi : cf:
18.2.1
C'est de la
place
du
semblant,
qu'un
dire
prend
son
sens.
[
Lac73a
, p. 7]
Le
signifié
d'un
signifiant
vient
toujours
de la
place
où le
même
signifiant
occupe
un
autre
discours.
Dans le
discours
de
l'analyste,
à la
place
de la
vérité
se
tient
,
le
savoir.
Le
rapport
fondé
sur la
disparition,
l'évanouissement
de
l'existence
de l'un des
partenaires
qui laisse la
place
vide
à
l'inscription
de la
parole,
n'est pas le
privilège
d'aucun
côté.
Avant
qu'un
signifiant
soit mis à sa
place,
il y a
toujours
des
effets
de circulation.
La
signification
précède,
dans ses
effets,
la
reconnaissance
de sa
place
instituante.
Le
fondement
de
l'Un,
s'avère
être
profondément
constitué
de la
place
d'Un
manque.
Dans le
discours
analytique,
le
se
soutient
de ce
,
savoir
en
place
de la
vérité.
cf:
C'est du
savoir
en
place
de
vérité
que l'interpelle le
qui
doit
aboutir
à la
production
du
,
du
signifiant.
cf:
L'imaginaire
pris
comme
moyen,
c'est le
fondement
de la
vraie
place
de
l'amour.
Le
discours
analytique
réserve
la
place
de la
vérité.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
Le
discours
analytique
a sa
place
d'
ex-sistence
.
*
L'imaginaire
c'est la
place
où
toute
vérité
s'énonce.
*
À la
place
de
l'Autre
de
l'Autre,
il y a
aucun
ordre
d'existence.
La
place
du
semblant,
de
l'objet
n'est pas celle de la
vérité.
Suivant:
placenta
Remonter:
5.16 P
Précédent:
pivot
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08