Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.4 D
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défilé
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déformation
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Index
définition
L'
imago
est la
forme
définissable
dans
l'imaginaire
qui a pour
fonction
de
réaliser
l'identification
résolutive
d'une
phase
psychique.
[
Lac66a
, p. 188]
Le
sens
plein
du
terme
image
se
définit
du
rapport
avec des
identifications
formatrices pour le
sujet.
*
C'est la
relation
symbolique
qui
définit
la
position
du
sujet
comme
voyant.
C'est la
parole,
la
fonction
symbolique
qui
peut
définir
le
plus
ou
moins
grand
degré
de perfection, de
complétude,
d'approximation de
l'imaginaire.
Le
surmoi
est une
scission
du
système
symbolique
intégré
par le
sujet
comme
formation
de la
totalité
qui
définit
l'histoire
du
sujet.
La
loi
coranique a un
caractère
totalitaire,
qui ne
permet
absolument
pas de
définir,
de discerner, d'isoler le
plan
juridique
du
plan
religieux.
La
perversion
ne se
définit
pas simplement comme atypie, aberrance,
anomalie
par
rapport
à des critères
sociaux.
Toute
signification
interne
quelconque du
langage,
doit
être
définie
par
l'ensemble
des
emplois
possibles
du
terme.
L'erreur
n'est
définissable
qu'en
termes
de
vérité.
La
parole
pleine
se
définit
par son
identité
à ce dont elle
parle.
[
Lac66a
, p. 381]
L'expulsion
primaire
définit
le
réel
comme
extérieur
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 389]
L'ordre
symbolique
se
définit
par son
caractère
de
structure
organisée.
Le
réel
définit,
par
rapport
à
l'acte
de la
parole,
un
champ
différent
du
symbolique.
La
définition
des
subjectivités
est la
possibilité
de manier le
signifiant
à des fins
purement
signifiantes
et
non
pas
significatives.
Ce qui se
passe
au
niveau
du
système
de
réalité
est
défini
par ce qui
force
le
sujet
dans la
réalité
extérieure,
à la
conduite
du
détour.
Le
phallus
est un
objet
défini
comme
imaginaire.
La
réalisation
par le
sujet
de la
frustration
est par
définition
exclue,
parce qu'elle est
extraordinairement
instable.
L'insistance
propre
à la
chaîne
symbolique
n'est pas par
définition
assumée
par le
sujet.
*
Le
réel,
par
définition,
est
plein.
Les
éléments
signifiants
doivent
être
définis
pour leur
articulation
avec les
autres
éléments
signifiants.
Le
langage
se
définit
d'une
chaîne
diachronique
de
déplacement,
et d'une
chaîne
de
substitution
synchronique.
Le
désir
est ce quelque
chose
qui est
défini
par un
décalage
essentiel
par
rapport
à
tout
ce qui est de
l'ordre
de la
direction
imaginaire
du
besoin.
L'algorithme
définit
la
topique
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 515]
Dans le
graphe
5.22.1
, les
quatre
points
donnent
la
définition
du
désir.
Le
fantasme
inconscient
se
définit
comme une
image
mise en
fonction
dans la
structure
signifiante.
[
Lac66a
, p. 637]
Le
réel
se
définit
comme
toujours
plein.
*
L'objet
se
définit
d'abord
comme le
support
que le
sujet
se
donne
pour autant qu'il
défaille.
La
métaphore
se
définit
par
l'implantation,
dans une
chaîne
signifiante,
d'un
autre
signifiant,
par quoi celui qu'il supplante
tombe
au
rang
de
signifié.
[
Lac66a
, p. 708]
C'est du
semblable,
en tant que
semblable
que
naissent
les
méconnaissances
qui me
définissent
comme
moi.
La
structure
subjective
est
définie
par le
fait
que le
sujet
a à se
situer
dans le
signifiant.
*
Le
discours
issu des
mathématiques
est un
discours
qui, par
structure,
par
définition
n'oublie
rien.
La
topologie
du
plaisir
se
définit
comme la
loi
de ce qui se déroule
en-deça
de
l'appareil
du
désir.
se
définit
comme
lieu
de la
parole.
Le
désir
se
définit
comme le
désir
de
l'Autre.
L'angoisse
se
produit
topiquement
à la
place
définie
par
,
à la
place
du
moi.
L'image
se
définit
comme
tout
arrangement
physique
qui a pour
résultat,
entre
deux
systèmes,
de
constituer
une concordance
biunivoque,
à quelque
niveau
que ce soit.
*
Le
signifiant
ne
peut
se
définir,
sinon que comme
n'étant
pas ce que sont les
autres
signifiants.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
La
virtualité
de
l'Autre
le
définit
comme
lieu.
Le
sujet
n'est que cette
part
exclue
d'un
champ
entièrement
défini
par le
signifiant.
Il est
plus
certain,
plus
structural
de partir de la
surface
pour
définir
l'espace.
L'objet
est un
objet
externe
à
toute
définition
possible
de
l'objectivité.
Le
fonctionnement
du
fantasme
implique
une
syncope
temporellement
définissable
de la
fonction
du
qui
s'efface
et
disparaît.
L'angoisse
liée
à
l'approche
de
l'objet
se
définit
comme ce qui ne
trompe
pas.
La
fonction
du
est une
fonction
unique
par
rapport
à
toutes
les
autres
fonctions
de
en tant qu'elle est
définie
par un
manque,
par le
manque
d'un
objet.
Le
,
marqué
comme
cause
du
désir,
se
définit
comme un
reste
irréductible
à la
symbolisation
au
lieu
de
l'Autre.
Le
sujet
se
définit
comme le
sujet
qui
parle
et qui se
détermine
dans un
effet
du
signifiant.
L'expérience
ne
suffit
pas à
définir
une
science.
L'inconscient
est une
définition
du
processus
primaire.
Le
réel
se
définit
comme
l'impossible.
L'irréel
se
définit
de
s'articuler
au
réel
d'une
façon
qui
nécessite
l'usage
du
mythique.
Entre
le
sujet
et
l'Autre
les
procès
sont à
définir
comme
circulaires.
Le
vel
se
définit
d'un
choix,
dont les
propriétés
dépendent qu'il y a, dans la
réunion,
un
élément
qui
comporte
que, quel que soit le
choix
qui
s'opère,
il a pour
conséquence,
un “ni l'un ni
l'autre”.
cf:
11.16.3
Le
sujet
se
définit
comme
l'effet
du
signifiant.
L'effet
d'
aphanisis
qui se
produit
sous l'un du
couple
de
signifiants
est
lié
à la
définition
d'un
ensemble
de
signifiants.
Le
Real-Ich
est
défini
par le
fonctionnement
solidaire
du
système
nerveux
central
avec des
conditions
d'
homéostase
.
L'objet
défini
comme
narcissique
est noté
.
L'hypnose
peut
se
définir
par la
confusion,
en un
point,
du
signifiant
idéal
où se
repère
le
sujet
avec
l'objet
.
Le
sujet
se
définit
comme ce qui, du
signifiant,
se
représente
à
l'intérieur
du
système
du
signifiant.
*
La
demande
est
définie
comme le
discours
qui
vient
expressément
s'inscrire
au
lieu
de
l'Autre.
*
Le
réel
se
définit
comme
l'impossible.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
agissant
d'abord
comme
séparé
de la
signification.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
agissant
d'abord
comme
séparé
de sa
signification.
[
Lac66a
, p. 875]
La
réunion
du
sujet
à
l'Autre
définit
leur
liaison.
Le
signifiant
se
définit
de sa
fonction
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Il est
impossible
de
définir
un
acte
autrement que sur le
fondement
de la
double
boucle
de la
répétition.
La
définition
du
possible
exige
toujours
une
première
symbolisation.
La discipline
béhavioriste
se
définit
de la
dénégation
du
principe
de
réalité.
[
Lac68d
, p. 34]
L'Autre
est un
lieu
défini
comme
nécessaire
à la
primarité
de la
chaîne
signifiante.
Un
sujet
se
définit
comme
effet
de
discours
en ceci qu'il
peut
n'être
représenté
que par son
absence.
L'acte
psychanalytique
se
définit
par l'acception
d'être
rejeté
à la
façon
de
l'objet
.
C'est à partir de la
structure
de
l'Autre
que
peut
se
définir
la
possibilité
du
tu.
Ce qui
définit
le
sujet
c'est qu'il
efface
ses
traces.
Ce qui
définit
le
sujet
c'est qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
Le
phallus
se
définit
d'abord
comme ce qui
manque.
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
La
position
de
l'analyste
se
définit
de mettre le poids de son
plus-de-jouir
à une certaine
place.
L'objet
vient
remplir
la
place
définie
comme celle du
plus-de-jouir.
La
fonction
définie
par le
discours
analytique
est
liée.
Le
manque
de
sérieux
est ce qu'il y a de
plus
solide pour
définir
la
perversion.
Le
névrosé,
hystérique
ou
non,
se
définit
de
l'évitement
de la
castration.
Chez
l'être
parlant,
le
sexe
n'y
définit
nul
rapport.
*
La
parole
définit
la
place
de ce
qu'on
appelle
la
vérité.
définit
la
nécessité
qui rend
possible
l'existence
de
l'homme
comme
valeur
sexuelle.
La
femme
se
définit
d'une
position
du pas
toute
à
l'endroit
de la
jouissance
phallique.
Zéro
et
Un
ça
fait
deux
sur le
plan
symbolique
car
l'existence
s'enracine dans le
symbole,
ce qui
définit
l'être
parlant.
Le
discours
universitaire
se
définit
de ce que le
savoir
est mis en
position
de
semblant.
L'éros
se
définit
comme fusion de ce qui
fait
du
deux
fait
Un.
Le
sens
sexuel
ne se
définit
que ne pas
pouvoir
s'écrire.
*
La
logique
ne
peut
se
définir
que
d'être
la
science
du
réel.
se
définit
de ne pas
avoir
le moindre
rapport.
L'existence
ne se
définit
qu'à
l'effacement
de
tout
sens.
L'
ex-sistence
se
définit,
se
supporte
de ce qui dans chacun de ces
termes,
R.S.I.
fait
trou.
*
Ce n'est pas que soient rompus le
symbolique,
l'imaginaire,
et le
réel
qui
définit
la
perversion.
La
parole
se
définit
d'être
le
seul
lieu
où
l'être
ait
un
sens.
[
Lac75e
, p. 13]
La
définition
du
possible
est qu'il
peut
ne pas
avoir
lieu.
[
Lac75e
, p. 14]
Le
ratage
peut
être
défini
comme ce qui est
sexuel
dans
tout
acte
humain.
*
L'esclave
se
définit
de ce que quelqu'un a
pouvoir
sur son
corps.
Le
transfert
positif
se
définit
sous le
nom
de
sujet
supposé
savoir.
*
Le
sexe
ne
définit
pas un
rapport.
[
Lac78
]
*
Ce qui
définit
la
demande,
c'est
qu'on
ne
demande
jamais
que par ce
qu'on
désire.
[
Lac78
]
Le
rêve,
le
lapsus,
le
trait
d'esprit
se
définissent
par le
lisible.
[
Lac78
]
Suivant:
déformation
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5.4 D
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défilé
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Jacques B. Siboni
2024-11-08