lecture

$0018008_{1957}$

* Si le symptôme peut être lu, c'est parce qu'il est déjà  lui-même inscrit dans un procès d'écriture. [Lac66a, pp. 444–445]

$0020005_{1957}$

L'algorithme de la discipline linguistique est

$$\ensuremath{\frac{\ensuremath{S}\xspace }{s}}\xspace$$

et se lit, signifiant sur signifié. [Lac66a, p. 497]

$0822003_{1961}$

La formule du fantasme peut se lire, $S$ barré désir de $a$.

$0823007_{1961}$

La notation du fantasme peut se lire, $S$ désir de $a$, l'objet du désir.

$0920016_{1962}$

Dans la formule du fantasme , le $\lozenge$ se lit poinçon, désir de.

$0029014_{1962}$

Dans la formule du fantasme $\ensuremath{ (\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace \; \lozenge \; a)}\xspace$, le poinçon $\lozenge$ se lit désir de, à lire de même  de droite à gauche. [Lac66a, p. 774]

$1712005_{1970}$

La vérité ne peut pas se lire en face.

$2004001_{1973}$

Dans le discours analytique il ne s'agit que de ce qui se lit.

$2004012_{1973}$

Le signifiant n'a à faire qu'avec la lecture de ce qu'on entend de signifié.

$2004025_{1973}$

Ce dont il s'agit dans le discours analytique, c'est toujours, à ce qui s'énonce de signifiant, de donner une autre lecture que ce qu'il signifie.

$2009021_{1973}$

Un  rêve, ça  se lit dans ce qui s'en dit.

$2012024_{1973}$

* L'écriture est une trace où se lit un effet de langage.

$2410003_{1977}$

Un  psychanalyste dépend de la lecture qu'il fait de son  analysant.

$2503011_{1977}$

L'analyste tranche à lire ce qu'il en est de ce que l'analysant veut dire. [Lac78]

$2504017_{1978}$

Le rêve, le lapsus, le trait d'esprit se définissent par le lisible. [Lac78]

$2504018_{1978}$

Le savoir consiste en ce qui est lisible. [Lac78]

$2504021_{1978}$

Le supposé savoir c'est le supposé savoir lire autrement, $S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$. [Lac78]