Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.6 F
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faim
Suivant:
fantasme
Index:
Index
faire
*
L'inconscient
est cette
partie
du
discours
concret
en tant que
transindividuel,
qui
fait
défaut
à la disposition du
sujet
pour
rétablir
la
continuité
de son
discours
conscient.
[
Lac66a
, p. 258]
Le
mot
est déjà une
présence
faite
d'absence.
[
Lac66a
, p. 276]
L'homme
parle
parce que le
symbole
l'a
fait
homme.
[
Lac66a
, p. 276]
Dans la
folie
il y a la
liberté
négative
d'une
parole
qui a
renoncé
à se
faire
reconnaître.
[
Lac66a
, p. 279]
La
parole
consiste,
pour le
sujet
à se
faire
reconnaître.
*
Ce qui n'est pas
reconnu,
fait
irruption
dans la
conscience
sous
forme
du
vu.
Quand
l'identification
moïque
sera
faite,
toute
nouvelle
ré-identification
du
sujet
fera
surgir
l'anxiété.
C'est
l'échange
symbolique
qui
lie
les
êtres
humains
et qui
fait
de la
parole
une
sorte
de
lien.
Le
symbole
introduit
un
tiers,
élément
de
médiation,
qui
fait
passer
sur un
autre
plan
les
deux
personnages
en
présence.
Ce qui
fait
la
différence
entre
le
comportement
humain
et
animal,
c'est que
l'homme
se
sait
comme
corps.
Le
moi
est
fait
de la
succession
des
identifications.
C'est
l'incertitude
fondamentale
de la
relation
perverse
qui
fait
une
face
du
drame
de
l'homosexualité.
Faire
une
analyse
de
transfert,
c'est
trouver
dans un
acte
son
sens
de
parole.
Toute
signification
ne
fait
jamais
que
renvoyer
à une
autre
signification.
Le
langage
n'est pas
fait
pour
désigner
les
choses.
Le
moi
n'a
rien
à
faire
avec
l'unité
supposée
de la
réalité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 374]
C'est la
dialectique
du
moi
et de
l'autre
qui
fait
l'impasse
du
névrosé.
[
Lac66a
, p. 377]
L'inconscient
se
fait
entendre
d'une
façon
qui ne
satisfait
pas au
principe
du
plaisir.
Dans le
rêve,
le
désir
majeur
c'est de
faire
passer
un
message.
*
Le
doute
fait
partie
du
message.
La
censure
fait
partie
du
caractère
interrompu
du
discours.
sI
c'est
faire
une
interprétation
du
rêve.
*
Le
moi
est
fait
de la
série
des
identifications
qui, au
cours
de la
vie
du
sujet
ont
représentées.
*
Le
langage
est aussi bien
fait
pour nous
fonder
dans
l'autre
que pour nous
empêcher
radicalement
de le
comprendre.
*
La
parole
s'introduit
à partir du
moment
où le
sujet
fait.
Le
langage
humain
incarné
dans une
langue
humaine
est
fait
avec des
images
choisies.
La
division
passe
entre
quelque
chose
qui tend à se
répéter
et quelque
chose
qui y
fait
obstacle.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
transfert
se
passe
entre
et
pour autant que le
,
en tant qu'il est
représenté
par
l'analyste,
fait
défaut.
Parler
à
l'autre,
c'est
faire
parler
l'Autre
comme tel.
*
Les
langues
artificielles
sont
toujours
faites
en
essayant
de se
relier
sur la
signification.
La
névrose
est un
pur
et
simple
fait
de
langage.
Le
sujet
s'exprime
dans sa
langue
pour
faire
passer
des
significations
dans le
réel.
*
L'analyste
intervient
concrètement
dans la
dialectique
de
l'analyse
en
faisant
le
mort.
[
Lac66a
, p. 430]
L'analyste
fait
le
mort
par son
silence,
là où il est
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 430]
L'analyste
fait
le
mort
en
annulant
sa
propre
résistance,
là où il est
l'autre.
[
Lac66a
, p. 430]
En
faisant
le
mort,
l'analyste
présentifie
la
mort.
[
Lac66a
, p. 430]
Quand quelque
chose
apparaît
qui n'a pas été
symbolisé
primitivement
le
sujet
se
trouve
absolument
démuni
quand à
faire
réussir
la
Verneinung
.
Dans la
psychose
le
sujet
ne
peut
rétablir
le
pacte
du
sujet
à
l'Autre,
ne
peut
faire
une
médiation
entre
ce qui est
nouveau,
ce qui
apparaît
et lui-même.
*
C'est par la
voie
de la
relation
narcissique
que se
fait
toute
identification
érotique.
Le
moi
comporte
toujours
un
corrélatif
qui est un
discours
qui n'a
rien
à
faire
avec la
réalité.
Le
sujet
avoue,
se
reconnaît,
et se
fait
reconnaître
dans
l'Autre
en tant que
fondamental
de la
parole.
Ce qui
distingue
le
signifiant
comme tel est le
fait
qu'on
prend
acte
du
signe
comme tel.
Le
ressort
original,
propre,
distinctif,
du
signifiant
est
d'exercer
sa
fonction
propre
qui n'est pas de
faire
émerger
une
signification.
Dans la
psychose,
ce qui a
fait
l'objet
d'une
Verwerfung
reparaît
dans le
réel.
*
Normalement,
c'est par la
voie
d'un
conflit
imaginaire
que se
fait
l'intégration
symbolique.
Dans la
forme
normale,
la
réalisation
symbolique
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
conflit
imaginaire.
Dans la
forme
névrotique,
la
réalisation
imaginaire
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
exercice
symbolique
de la
conduite.
*
Il est
tout
à fait
exclu
qu'un
animal
fasse
une
métaphore.
L'altérité
en
miroir
fait
dépendre
l'humain
de la
forme
du
semblable.
La
peur
fait
un
être
double.
Le
tu,
c'est
l'autre
tel que
je
le
fait
voir
par son
discours.
Tout
l'accomplissement
de la
relation
duelle
comme telle
fait,
à
mesure
qu'on
s'en
approche,
surgir
un
objet
imaginaire
au
premier
plan,
le
phallus.
*
La
Wirklichkeit
c'est ce qui
implique
en
soi
toute
possibilité
des
faits.
Le
principe
de
réalité
s'identifie
avec le
fait
que
l'enfant
doit
apprendre
à se
passer
du
sein
maternel.
Le
signifiant
a un
fonctionnement
alternant,
qui
exige
qu'il quitte sa
place,
pour y
faire
retour
circulairement.
[
Lac66a
, p. 29]
La
détermination
symbolique
est
d'abord
un
fait
de
syntaxe.
[
Lac66a
, p. 468]
La
frustration
c'est surtout
l'amour
de celui qui
peut
faire
un
don.
La
demande
a en elle-même quelque
chose
qui
fait
qu'elle ne
peut
jamais
comme telle, être
exaucée.
La
symbolique
du
phallus
fait
un
lien
étroit
entre
la
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale.
Pour le
garçon,
à la
fin
du
complexe
d'Œdipe,
au
moment
où il aura
réalisé
sur un
certain
plan
la
symbolique
du
don,
il faudra qu'il
fasse
don
de ce qu'il a.
Le
transfert
se
passe
essentiellement
quand quelque
chose
prend
son
sens
du
fait
que
l'analyste
devient
le
lieu
du
transfert.
La
métonymie
fait
entendre
quelque
chose
en
parlant
de quelque
chose
de
tout
à
fait
autre.
Le
phallus
peut
faire
à l'occasion
l'objet
d'une
nostalgie
imaginaire
de la
part
de la
femme.
Le
fétiche
est d'une certaine
façon
image
et
image
projetée
qui
fait
signe
et
repère
du
point
de
refoulement.
La
fille
vit
la
relation
sexuelle
comme
étant
cette
relation
qui
fait
qu'elle-même
apporte
au
partenaire
masculin
son
phallus.
*
L'existence
d'un
phallus
imaginaire
est le
pivot
de
toute
une
série
de
faits
qui exigent son
postulat.
C'est en tant
qu'imaginaire
symbolisé
que le
fait
d'avoir
ou de ne pas
avoir
de
phallus
prend
l'importance
économique
qu'il a au
niveau
de
l'œdipe.
Pour
l'enfant
en
fin
de
phase
préœdipienne,
il s'agit qu'il
assume
le
phallus
en tant que
signifiant
de
façon
qu'il le
fasse
instrument
de
l'ordre
symbolique
des
échanges.
L'offrande
phallique
que
fait
l'enfant
à sa
mère
peut
être
identification
à la
mère,
identification
au
phallus,
identification
à la
mère
comme
porteuse
du
phallus,
porteur
lui-même du
phallus.
Pour
faire
un
trou
réel
dans le
réel,
il faut y
introduire
un
objet
symbolique.
Un
signifiant
typique
est un
signifiant
propre
à
tout
faire.
L'œdipe
fait
entrer
en
jeu
le
nom
du
père
en tant que
père
symbolique.
La
sublimation
déplace
le
dernier
et
radical
rapport
à une
altérité
essentielle
pour la
faire
habiter
par une
relation
de
mirage.
Le
signifiant,
au
début,
est
fait
pour
exprimer
une
demande.
Le
mécanisme
de la
demande
est le
fait
que
l'autre,
par
nature,
s'y
oppose.
La
structuration
de la
demande
est
tout
à
fait
à la
base,
au
fondement
de
l'exercice
premier
du
signifiant
dans
l'expression
du
désir.
L'amour
fait
son
objet
de ce qui
manque
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 439]
C'est la
structure
qui
fait
de
toute
la
suite
de la
névrose
une
question
et
non
un
leurre.
[
Lac66a
, p. 454]
La
dialectique
de
méconnaissance,
de
dénégation
et
d'aliénation
narcissique
est le
fait
du
moi
.
[
Lac66a
, p. 454]
*
Le
langage
avec sa
structure
préexiste à
l'entrée
qu'y
fait
chaque
sujet
à chaque
moment
de son
développement
mental.
[
Lac66a
, p. 495]
La
valeur
de
signifiant
de
l'image
n'a
rien
à
faire
avec sa
signification.
[
Lac66a
, p. 510]
La
chaîne
signifiante
est
faite
d'anneaux
dont le
collier
se scelle dans
l'anneau
d'un
autre
collier
fait
d'anneaux.
[
Lac66a
, p. 502]
Le
nom-du-père
fonde
comme tel le
fait
qu'il y a
loi.
Le
signifié
est
fait
de la
transformation,
de la réfraction de son
désir
par le
passage
par le
signifiant.
L'invocation
fait
appel
à la
voix.
Il n'y a pas
moyen
qu'un
message
ne parte, sinon de
l'Autre
car il est
fait
avec une
langue
qui est la
langue
de
l'Autre.
Le
père
considéré
en tant qu'il
prive
la
mère
de
l'objet
phallique
de son
désir,
joue
un
rôle
tout
à
fait
essentiel
dans
toutes
les
névroses.
La
possibilité
d'être
castré
est
essentielle
dans
l'assomption
du
fait
d'avoir
le
phallus.
Le
père
fait
obstacle
entre
l'enfant
et la
mère
en tant que
porteur
de la
loi.
Le
père
intervient
pour
faire
passer
ce qui est
l'objet
de la
mère
au
rang
proprement
symbolique.
Le
moi
est
fait
d'une
série
d'identifications
à un
objet
qui est
au-delà
de
l'objet
immédiat, lequel est le
père
en tant qu'il est
au-delà
de la
mère.
Le
rapport
de
l'homme
à
toute
signification,
du
fait
de
l'existence
du
signifiant
est un
objet
métonymique.
Ce qui
fait
l'objet
du
désir
de la
mère
c'est le
monde
du
signifié.
Le
nom-du-père
est ce qui
autorise
le
système
signifiant
à
exister,
qui en
fait
la
loi.
La
confrontation
de
l'enfant
au
personnage
maternel
aboutit
à une
relation
spéculaire
qui
fait
que le
corps
maternel
devient
le
lieu
des
pulsions
de
l'enfant.
La
dialectique
primordiale
du
désir
est dans un
rapport
tiers
qui
fait
intervenir
au-delà
de la
mère
un
personnage
tiers
qui est le
père.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
Le
fait
que la
petite
fille
ne
reçoive
pas le
pénis
du
père
est une
frustration.
Le
désir
passe
par le
système
signifiant
pour se
faire
reconnaître.
Là où
ça
parle,
cela
fait
partie
du
discours
du
sujet.
Dans la
demande,
l'identification
se
fait
à
l'objet,
au
sentiment.
Le
désir
du
sujet
est
profondément
transformé
par le
fait
de
devoir
passer
par la
demande.
C'est pour autant que
l'autre
va
reconnaître
son
désir
barré,
son
désir
insatisfait
à lui, que se
fait
sa
rencontre
avec son
désir
le
plus
authentique,
le
désir
génital.
L'obsessionnel
fait
passer
son
désir
avant
tout.
Le
désir
porte
en
soi-même
une
contradiction
interne
qui en
fait
l'impasse
du
désir
de
l'obsessionnel.
*
La
demande,
du
fait
d'être
articulée
en
termes
symboliques
est une
demande
qui va
au-delà
de
toutes
les
satisfactions.
Le
fait
fantasmatique
est une
relation
articulée
et
toujours
complexe,
un
scénario.
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en en
faisant
un
désir
interdit.
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en la
faisant
supporter
par
l'interdiction
de
l'Autre.
C'est sur la
ligne
de la
suggestion
dans le
graphe
5.24.1
que se
fait
l'identification
sous sa
forme
primaire.
L'articulation
signifiante,
par sa
seule
présence,
fait
apparaître
du
symbolique
dans le
réel.
Pour le
développement
de
l'homme,
le
complexe
de
castration
fait
qu'il a le
phallus
sur le
fond
qu'il ne l'a pas.
*
Il s'agit pour
l'hystérique,
de
faire
tenir,
de
faire
subsister
l'objet
du
désir,
en tant que
distinct
et
indépendant
de
l'objet
de
tout
besoin.
L'Autre
s'institue
et se
dessine
du
seul
fait
que le
sujet
parle.
Ce qui
caractérise
la
demande
c'est que le
rapport
du
sujet
à un
autre
sujet
se
fait
par
l'intermédiaire
du
système
des
signifiants.
L'objet
supporte
le
sujet
au
moment
où il a à
faire
face
à son
existence.
La
direction
de la
cure
consiste
à
faire
appliquer,
par le
sujet,
la
règle
analytique.
[
Lac66a
, p. 586]
L'analysant
demande,
du
fait
qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 617]
Le
registre
synchronique
est
fait
d'oppositions
entre
éléments
irréductibles.
[
Lac66a
, p. 618]
Le
registre
diachronique
est
fait
de
substitutions
et de
combinaisons.
[
Lac66a
, p. 618]
*
Le
désir
ne
fait
qu'assujettir
ce que
l'analyse
subjective.
[
Lac66a
, p. 623]
Le
désir
résulte
pour le
sujet
de la
nécessité
de
faire
passer
son
besoin
par les
défilés
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 628]
Le
rien
fait
le fonds de la
demande
d'amour.
[
Lac66a
, p. 629]
L'Autre
est
l'analyste,
pour ce que le
sujet
en
fait
le
lieu
de sa
parole.
[
Lac66a
, p. 680]
Les
besoins
de
l'homme
sont
déviés,
du
fait
qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
désir
est quelque
chose
par quoi le
sujet
se
situe,
du
fait
de
l'existence
du
discours,
par
rapport
à la
demande.
Le
rêve
est un
rêve
fait
non
seulement
pour
l'analyse,
mais souvent pour
l'analyste.
Au
niveau
de
l'Autre,
un
signifiant
y
fait
défaut.
Dans le
discours
de
l'Autre,
quelque
chose
fait
défaut
au
sujet.
et
sont les lieux où
vient
se
situer
la
rencontre
de
l'intention
du
sujet
avec le
fait
concret.
cf:
6.22.1
Le
fait
de
l'inconscient
est que ce qui
s'articule
au
niveau
de la
chaîne
signifiante,
n'est pas
articulable
au
niveau
de
.
Le
réel
est
fait
de
coupures.
La
peur
de
l'objet
phobique
est
faite
pour
protéger
le
sujet
de son
désir.
L'idéalisation
fait
intervenir
l'identification
du
sujet
à un
objet.
La
Chose
est cet
objet
qui est
fait
pour
représenter
l'existence
du
vide
au
centre
du
réel.
*
Le
fait
d'introduire
comme
primordiale
la
fonction
du
père
représente
comme telle une
sublimation.
La
structure
subjective
est
définie
par le
fait
que le
sujet
a à se
situer
dans le
signifiant.
*
Nous
faisons
de la
réalité
avec du
plaisir.
L'analyste
ne
peut
pas
savoir
ce qu'il
fait
en
psychanalyse.
Du
fait
qu'elle
s'articule
avec du
signifiant,
la
demande
est à la
fois
en-deça
et
au-delà
d'elle-même.
*
Le
surmoi
n'a
rien
à
faire
avec la
conscience
morale.
Quand le
sujet
fait
de la
culpabilité,
c'est
toujours
, à
l'origine,
à la
racine,
pour autant qu'il a
cédé
sur son
désir.
Le
manque
de la
jouissance
fait
l'Autre
inconsistant.
[
Lac66a
, pp. 819–820]
La
loi
fait
d'une
barrière
un
sujet
barré.
[
Lac66a
, p. 821]
C'est
l'absence
de
pénis
de la
femme
qui la
fait
phallus,
objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 825]
*
Le
savoir
est un
fantasme
qui n'est
fait
que pour la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
L'amour
fait
partie
du
champ
entre
science
5
.
175
et
ignorance.
L'amour
ne
peut
être
articulé
qu'autour du
manque
du
fait
qu'il y a
désir.
Le
signifiant
n'est pas simplement
faire
signe
à quelqu'un.
La
castration
est
identique
à ce
phénomène
qui
fait
que
l'objet
de son
manque
est
identique
à
l'instrument
même
du
désir,
le
phallus.
L'identification
se
fait
toujours
par un
einziger Zug
.
La
demande
inconditionnelle
fait
la
place
au
désir.
*
On
ne
peut
aimer
qu'à se
faire
comme n'ayant pas,
même
si
l'on
a.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
La
phobie
est
faite
pour
soutenir
le
rapport
du
sujet
au
désir
sous la
forme
de
l'angoisse.
*
L'identification
n'a
rien
à
faire
avec
l'unification.
La
disjonction
du
et du
c'est que le
sujet
vient
à se loger comme tel, et que
l'identification
a à se
faire
avec ce quelque
chose
qui est
l'objet
du
désir.
La
pulsion
sexuelle
fait
prévalence
de la
fonction
érotique
dans la
constitution
du
sujet.
Le
fait
de la
répétition
est
enraciné
sur
l'unaire
originel.
Le
névrosé
essaie
de
faire
passer
dans la
demande
ce qui est
l'objet
de son
désir.
*
Le
pervers
est celui qui se
fait
objet
pour la
jouissance
d'un
phallus
dont il ne soupçonne pas
l'appartenance.
L'interruption
dans le
successif
fait
partie
de la
structure
du
signifiant.
La
synchronie
fait
que
réapparaît
le
même.
Le
névrosé
ne recule pas devant la
castration,
mais de
faire
de sa
castration
ce qui
manque
à
l'Autre.
Le
névrosé
fait
une
offre
fallacieuse à
l'analyste
qui l'accepte.
Le
doute
n'est
fait
que pour combattre
l'angoisse.
Le
fantasme
fait
le
plaisir
propre
au
désir.
[
Lac66a
, pp. 773–774]
Le
désir
sadique
s'entend
à
faire
vibrer
l'angoisse
de
l'autre
par
rapport
à son
existence
essentielle
comme
sujet.
Ce qui
caractérise
le
désir
sadique,
c'est qu'il ne
sait
pas qu'il
cherche
à se
faire
apparaître
comme
pur
objet.
*
Le
désir
du
père
c'est cela qui a
fait
la
loi.
Le
masochiste
entend
faire
apparaître
que le
désir
de
l'Autre
fait
de la
loi.
Le
signifiant
fait
retour
à
l'état
de
trace.
*
L'angoisse
fait
le
médium
du
désir
à la
jouissance.
*
L'amour
est un
fait
culturel.
La
pulsion
est
intimement
mêlée à la
demande
à
faire
l'amour.
Le
mode
le
plus
ordinaire de la
séduction
entre
sexes,
c'est de
faire
des
attributs
féminins
les
signes
de la
toute
puissance
de
l'homme.
L'œil
institue
le
rapport
fondamental
désirable
en ceci qu'il tend
toujours
à
faire
méconnaître,
dans le
rapport
à
l'autre,
que sous ce
désirable
il y a un
désirant.
*
L'espace
fait
partie
du
réel.
Le
symptôme
est
tout
entier
implicable
dans le
processus
de la
constitution
du
sujet
en tant qu'il a à se
faire
au
lieu
de
l'Autre.
*
L'effet
de la
parole,
l'effet
du
signifiant
est de
faire
surgir
dans le
sujet,
la
dimension
du
signifié
essentiellement.
*
La
mamelle
fait
partie
du
monde
intérieur
du
sujet
et
non
pas du
corps
de la
mère.
Un
acte
est une
action
en tant que s'y
manifeste
le
désir
même
qui aurait été
fait
pour
l'inhiber.
L'
acting-out
c'est ce qui se
produit
toujours
d'un
fait
qui
vient
d'ailleurs
que de la
cause
sur laquelle
on
vient
d'agir.
La
fonction
angoissante
du
désir
de
l'Autre
est
liée
au
fait
que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour ce
désir.
L'objet
est le
désirant
d'un
manque
qui n'est pas un
manque
du
sujet,
mais d'un
défaut
fait
à la
jouissance
qui se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
Faire
surgir
l'objet
de la
vérité
du
sujet,
est
élément
de
comique
pur.
*
Le
concept
de
répétition
n'a
rien
à
faire
avec celui de
transfert.
La
schize
fait
appréhender
le
réel
originellement
comme
malvenu.
Le
phallus
fait
défaut
à ce qui
pourrait
être
atteint
de
réel
dans la
visée
du
sexe.
Ce qui
fait
la
valeur
de
l'icône,
c'est que le
dieu
qu'elle
représente
aussi la
regarde.
La
vérité
ne se
fonde
que de ce que la
parole,
même
mensongère,
y
fait
appel
et la
suscite.
Un
et 1
marquent
la
première
schize
qui
fait
que le
sujet,
comme tel, se
distingue
du
signe
par
rapport
auquel,
d'abord,
il a pu se
constituer
comme
sujet.
Le
transfert
fait
obstacle
à la
remémoration.
Le
symptôme
est
fait
pour
apporter
certaines
satisfactions.
*
L'inconscient,
c'est la
dimension
où le
sujet
se
détermine
du
fait
et dans le
développement
des
effets
de la
parole.
Le
reste
métonymique
est dû au
fait
que la
demande
est
articulée
au
signifiant.
Le
réel
se
distingue
par le
fait
que son
économie
admet
l'impossible.
La
fonction
pulsionnelle
fait
le
tour
de
l'objet
.
cf:
11.13.1
Le
réel
fait
obstacle
au
principe
du
plaisir.
L'inconscient
est
fait
de
langage.
Ce qu'il faut
faire
comme
homme
ou comme
femme,
l'être
humain
a
toujours
à
l'apprendre
de
toutes
pièces
de
l'Autre.
*
Le
signifiant
se
produisant
au
champ
de
l'Autre,
fait
surgir
le
sujet
de sa
signification.
Un
manque
est, par le
sujet,
rencontré
dans
l'Autre,
dans
l'intimation
même
que lui
fait
l'Autre
par son
discours.
La
dialectique
des
objets
du
désir
fait
le
joint
du
désir
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
C'est en tant que le
désir
de
l'Autre
est
au-delà
ou en-deçà de ce qu'il
dit,
de ce qu'il
fait
surgir
comme
sens,
c'est en tant que son
désir
est
inconnu,
c'est en ce
point
de
manque,
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
Le
désir
fait
le
tour
de
l'objet
de la
pulsion
en tant qu'il est
agi
dans la
pulsion.
L'interprétation
renverse
le
rapport
qui
fait
que le
signifiant
a pour
effet
dans le
langage,
le
signifié.
La
pulsion
fait
le
tour
de
l'objet
.
Par la
fonction
de
l'objet
,
le
sujet
se
sépare,
cesse
d'être
lié
à la
vacillation
de
l'être,
au
sens
qui
fait
l'essentiel
de
l'aliénation.
Il n'y a pas
d'instance
valable de la
signification
qui ne
fasse
détour
de quelque
référent.
La
barre
de la
formule
est cet
autre
effet
du
signifiant
en quoi le
signifiant
ne
fait
que
représenter
le
sujet.
La
fonction
du
signifiant
est le
fait
que le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
désir
fait
son lit de la
coupure
signifiante
où s'effectue la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 835]
*
L'aliénation
est le
fait
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
L'être
humain
doit
toujours
se fournir d'un
homoncule
dans sa
tête
pour
faire
d'un
réel
une
réalité.
[
Lac66a
, p. 846]
*
C'est
entre
le
sein
et la
mère
que
passe
le
plan
de
séparation
qui
fait
du
sein
l'objet
perdu
en
cause
dans le
désir.
[
Lac66a
, p. 848]
Le
signifiant
comme tel, a, en
barrant
le
sujet
par
première
intention,
fait
entrer
en lui le
sens
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
Le
nom
propre
est
fait
pour
combler
les
trous,
pour
donner
une
obturation,
une
fermeture.
*
La
demande
orale
se
fait
par le
même
orifice
que la
demande
invocante.
La
castration,
dans le
vécu
terminal
d'une
analyse
de
névrosé,
passe
par
l'expérience
que le
sujet
a à
faire
de la
faille
qui le
sépare
de la
reconnaissance
de ceci, qu'il
vit
ailleurs
que dans la
réalité.
La
demande
fait
surgir
une certaine
demande.
*
Le
sujet
est ce qui
fait
défaut
au
savoir.
Le
transfert
en
début
d'analyse
fait
de
l'analyste
le
sujet
supposé
savoir.
La
négation
a, dans les
formations
de
l'inconscient,
des
représentants
tout
à
fait
repérés
et clairs.
*
L'être
est
dissocié
entre
l'être
antérieur
à la
pensée
et
l'être
que la
pensée
fait
surgir.
L'objet
de la
demande
faite
à
l'Autre,
c'est
l'objet
sein.
Faire
une
psychanalyse,
être
un
psychanalyste,
faire
un
psychanalyste
sont
trois
temps
différents.
Une
coupure
du
plan
projectif
fait
surgir
l'objet
.
L'ensemble
des
énoncés
fait
partie
de
l'univers
du
discours
qui est
situé
dans le
.
peut se
dire
fait
partie
de
.
La
métaphore
substitue
un
signifiant
autre
qui
fait
ressortir la
vérité.
Le
refoulé
est le
représentant
de la
représentation
première
en tant qu'elle est
liée
au
fait
logique
du
refoulement.
Le
fait
qu'il n'y
ait
pas
d'univers
du
discours
connote
ce qui
manque
dans la
chaîne
signifiante.
L'entrée
de
l'homme
dans
l'ordre
symbolique
ne
peut
se
faire
que par le
défilé
radical
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 53]
Le
fait
de
l'aliénation
est
essentiellement
fondé
sur le
rejet
de
l'Autre.
*
Tout
ce qui a simplement
forme
grammaticale,
fait
sens.
Le
sens
logique
originel
de la
castration
c'est qu'au
niveau
des
Bedeutungen
,
des
significations,
le
langage
mathématiquement
fait
défaut.
*
L'aliénation
n'a
absolument
rien
à
faire
avec ce qui
résulte
de
déformation
de
perte,
dans
tout
ce qui est
communication.
*
Il y a quelque
chose
de
perdu
par le
fait
de la
répétition.
L'aliénation
c'est le
signifiant
de
l'Autre,
en tant qu'il
fait
de
l'Autre
un
champ
marqué
de la
même
finitude
que le
sujet
lui-même
.
La
psychanalyse
vient
à
être
constituée
partout
où la
vérité
se
fait
reconnaître
seulement
en ceci qu'elle
surprend
et
s'impose.
La
structure
c'est que le
sujet
est un
fait
de
langage
et un
fait
du
langage.
L'Un
du
trait
unaire
fait
l'unitif
entre
le
et le
grand
Autre.
*
La clef de la
position
névrotique
tient
à ce
rapport
étroit
à la
demande
de
l'Autre
en tant qu'il
essaie
de la
faire
surgir.
Le
matériel
pour
l'acte
s'accumule,
très
probablement,
du
fait
que
l'acte
est
impossible.
Le
corps
est
fait
pour
inscrire
quelque
chose
qui
s'appelle
la
marque.
*
Le
corps
est
fait
pour
être
marqué.
Quand
Un
fait
irruption
au
champ
de
l'Autre,
c'est au
niveau
du
corps.
*
Ce n'est pas la
fonction
qui
fait
l'organe,
mais
l'organe
qui
fait
la
fonction.
La
vérité
de
l'acte
sexuel
fait
question
dans
l'expérience
psychanalytique.
L'érection
ça n'a
rien
à
faire
avec le
désir.
*
Le
désir
n'a
rien
à
faire
avec la
demande.
Du
fait
de son
entrée
en
analyse,
l'analysant
fait
référence
à un
sujet
supposé
savoir
mieux que les
autres.
Le
transfert
fait
objection
à
l'intersubjectivité.
[
Lac68e
, p. 18]
Par la
passe,
le
psychanalysant
se
fait
autoriser
comme
analyste
de l'École. [
Lac68e
, pp. 26–27]
Dans la
structure
de la
méprise
du
sujet
supposé
savoir,
le
psychanalyste
doit
trouver
la
certitude
de son
acte,
et la
béance
qui
fait
sa
loi.
[
Lac68d
, p. 40]
Le
statut
de
l'acte
se
distingue
de celui du
faire.
[
Lac68a
, p. 56]
*
Le
corps
fait
le lit de
l'Autre
par
l'opération
du
signifiant.
[
Lac68a
, p. 58]
Il n'y a, de
fait,
pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac70b
, p. 13]
Le
désir
du
psychanalyste
n'a
rien
à
faire
avec le
désir
d'être
psychanalyste.
[
Lac70b
, p. 19]
Ce n'est pas la
destitution
subjective
qui
fait
désêtre.
[
Lac70b
, p. 21]
*
La
passe
est ce
point
où,
d'être
venu
à bout de sa
psychanalyse,
la
place
que le
psychanalyste
a
tenue
dans son
parcours,
quelqu'un
fait
ce pas de la
prendre.
[
Lac70b
, p. 25]
L'inconscient
ne
fait
pas
semblant.
[
Lac70b
, p. 29]
*
Un
langage
n'est pas
fait
de
signes.
Le
langage
a
fonction
de
faire
le
tour
de la
Chose.
*
Le
langage
n'est pas
fait
pour la
communication.
Le
langage
fait
le
sujet.
L'objet
a pour
propriété
d'être
ce qui
fait
le
désir.
Le
sujet
dépend
de la
cause
qui le
fait
divisé,
l'objet
.
*
Le
seul
fait
que quelque
chose
se soit
passé
subsiste
dans
l'inconscient.
La
psychanalyse
constitue
la
conjonction
d'un
acte
et d'un
faire.
L'acte
est un
fait
de
signifiant.
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
L'analyste,
avec de
l'offre
fait
de la
demande.
La
fonction
du
plus-de-jouir
apparaît
par le
fait
du
discours
parce qu'elle
démontre,
dans la
renonciation
à la
jouissance,
un
effet
du
discours
lui-même.
*
Le
savoir
ça n'a
rien
à
faire
avec le
travail.
La
jouissance
fait
la
substance
de la
psychanalyse.
*
La
souffrance
est un
fait.
*
Il y a de la
souffrance
qui est
fait,
c'est-à-dire qui
recèle
un
dire.
Là où il y a
pathos
du
signifiant
sans
aucun
arrimage
encore
fait
dans le
discours
du
sujet
est un des
champs
du
sujet.
Toute
énonciation
se
fait
demande
de ce qui
manque
à
l'Autre.
Le
fantasme
fait
fonction
de
l'axiome,
au
niveau
de
l'interprétation.
[
Lac84b
, p. 16]
L'acte
psychanalytique
est
acte
à se
reproduire
du
faire
qu'il
commande.
[
Lac84b
, p. 18]
Pour que le
psychanalysant
fasse
le
psychanalyste,
il faut
s'assurer
qu'il a du
psychanalyste.
[
Lac84b
, p. 21]
Le
psychanalyste
se
fait
de
l'objet
.
[
Lac84b
, p. 21]
Le
plaisir
fait
barrière
à la
jouissance.
[
Lac84b
, p. 22]
Le
transfert
fait
réalité.
[
Lac84b
, p. 22]
Il est de la
nature
du
discours,
non
seulement
d'être
équivoque,
mais
d'être
essentiellement
fait
du
glissement
radical
de la
signification.
*
Le
sujet
fait
la
structure
de la
jouissance.
Un
fait
est une affaire de
discours.
Il n'y a de
fait
qu'énoncé.
La
jouissance
de
l'instrument
phallus
fait
barrage
à la
jouissance
de
l'Autre.
*
Il n'y a que
l'acte
sexuel
au
sens
où il n'y a que
l'acte,
pour
faire
rapport.
À propos de
l'obsessionnel,
le
psychanalyste
fait
5
.
176
le
maître.
L'acte
psychanalytique
fait,
du
psychanalysant,
surgir,
s'inaugurer,
s'instaurer
le
psychanalyste.
Le
psychanalysant
fait
le
psychanalyste.
La
sublimation
est le
propre
de ceci qui
sait
faire
le
tour
de ce à quoi se
réduit
le
sujet
supposé
savoir.
*
L'hystérique
fait
l'homme
qui
supposerait
la
femme
savoir.
*
Le
savoir
sert
la
femme,
parce qu'il la
fait
cause
du
désir.
Le
signifiant
n'est pas
fait
pour le
rapport
sexuel.
Résoudre
une
énigme,
c'est
faire
devenir
un
énoncé
à partir d'une
énonciation.
Ce
qu'on
attend
d'un
psychanalyste,
c'est de
faire
fonctionner
son
savoir
en
terme
de
vérité.
*
À
fixer
l'enfant
à la
mère,
la connivence
sociale
la
fait
le
siège
élu des
interdits.
La
psychanalyse
c'est
fait
par le
psychanalyste.
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
L'hystérique
fait
grève de ne pas livrer son
savoir.
Dans le
discours
du
maître
la
liaison
fait
le
lien
du
discours
du
maître
à
l'esclave.
Dans la
partie
du
discours
du
maître,
le
fantasme
fait
barrière
à la
jouissance
du
maître.
Le
nom-du-père
se
place
là où le
savoir
fait
fonction
de
vérité.
Dans le
discours
du
maître,
la flèche
est
marquée
de
l'impossible
qu'il y
ait
un
maître
qui
fasse
marcher son
monde.
Il y a
impuissance
à
faire
le
joint
du
plus-de-jouir
à la
vérité
du
maître.
fait
le secret du
savoir
dans la
situation
universitaire.
Le
lieu
de
l'Autre
est
fait
pour que là s'y
inscrive
la
vérité.
Prendre le
signe
pour
objet
fait
obstacle
à sa
saisie
comme
signifiant.
[
Lac70d
, p. 56]
*
Le
signe
suppose
le quelqu'un à qui il
fait
signe
de quelque
chose.
[
Lac70d
, p. 56]
La
structure
fait
l'affect
quand elle est
incorporée.
[
Lac70d
, p. 61]
*
La
science,
de
faire
le
sujet
maître,
le
dérobe.
[
Lac70d
, p. 63]
*
Au
phallus
se résume le
point
de
mythe
où le
sexuel
se
fait
passion
du
signifiant.
[
Lac70d
, p. 64]
La
condensation
part
du
refoulement,
et
fait
retour
de
l'impossible.
[
Lac70d
, p. 69]
*
Le
désir
d'être
le
maître
contredit
le
fait
même
du
psychanalyste.
[
Lac70d
, p. 71]
L'inconscient
fait
sujet
de la
négation.
[
Lac70d
, p. 78]
Être
fait
sujet
d'un
discours
peut
rendre
l'être
humain
sujet
au
savoir.
[
Lac70d
, p. 85]
La
logique
mathématique
fait
revenir
la
structure
dans le
savoir.
[
Lac70d
, p. 90]
*
Il n'y a de
fait
que de
fait
du
discours.
*
Le
fait
énoncé
est
tout
ensemble
le
fait
du
discours.
L'économie
est
toujours
un
fait
de
discours.
Ce qui est
réel,
c'est ce qui
fait
trou
dans le
semblant
articulé
qu'est le
discours
scientifique.
cf:
18.2.1
L'
acting-out
consiste
à
faire
passer
le
semblant
sur la
scène,
c'est la
passion.
La
nature
du
langage
fait
que, pour ce qui est
d'accrocher
quoi que ce soit qui
signifie,
le
référent
n'est
jamais
le bon.
Le
phallus
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
En tant que la
femme,
elle, n'a
rien
à
faire
avec la
loi.
La
lettre
qui
fait
rature,
s'y
distingue
d'être
rupture,
donc du
semblant.
L'homme,
la
femme
sont des
faits
de
discours.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
Rien
de ce que le
langage
permet
de
faire
n'est
autre
que
métaphore
ou
métonymie.
*
Le
nombre
fait
partie
du
réel.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
*
La
connerie
fait
preuve pour ce qui est de
l'authenticité.
La
jouissance
sexuelle
fait
barrage
au
rapport.
C'est de la
conjonction
du
trait
premier
et de ce qui
l'efface,
que le
ruissellement
se
fait
sujet.
[
Lac71a
, p. 7]
*
L'inconscient
a à
faire
d'abord
avec la
grammaire.
L'inconscient
a à
faire
avec la
répétition.
*
La
signification
fait
signe.
*
Un
signe
n'a
rien
à
faire
avec un
signifiant.
La
métaphore
sert
à
faire
surgir
un
sens
qui
dépasse
de beaucoup les
moyens.
*
Le
discours
universitaire
se
constitue
de
faire
du
savoir
un
semblant.
Le
langage
fait
sens
car il n'est
jamais
le décalque des
choses.
Il n'y a pas
moyen
de
faire
un
mensonge
sans
supposer
la
dimension
de la
vérité.
La
nécessité
est
toujours
le
fait
d'un
discours.
*
La
grammaire
fait
partie
du
code.
La
grammaire
fait
partie
du
code.
L'Un
est un
réel
qui
peut
n'avoir
rien
à
faire
avec la
réalité.
Un
texte,
ça ne
peut
se tisser qu'à
faire
des
nœuds.
L'analyste
ne
fait
pas
semblant,
il
occupe
la
position
du
semblant.
La
logique,
c'est ce qui dans le
langage,
le rend adéquat à
faire
vérité.
*
Qu'on
dise
comme
fait
reste
oublié
derrière
ce qui est
dit,
dans ce qui
s'entend.
*
L'Un
fait
l'être.
*
L'hystérique
fait
l'homme.
L'Un
n'est pas
l'être,
il
fait
l'être.
*
Tout
ce qui est
dit
fait
jouir.
Qu'on
dise
comme
fait
reste
oublié
derrière
ce qui est
dit.
L'analyste
se
fait
le
representamen
de
l'objet
à la
place
du
semblant.
L'amour
fait
signe.
C'est
l'identification
qui
fait
l'Un.
*
Ce qui
fait
tenir
l'image
c'est un
reste.
*
Le
phallus
c'est
l'objection
de
conscience
faite
par un des
deux
êtres
sexués
au
service
à
rendre
à
l'Autre.
*
Le
mot
n'a
d'autre
point
où se
faire
collection que le
dictionnaire
où il
peut
être
rangé.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
fait
halte à la
jouissance.
*
Du
discours
psychanalytique,
un
organe
se
fait
le
signifiant.
[
Lac73a
, p. 12]
Dans les
asphères,
la
coupure
fermée,
qui est le
dit,
elle
fait
sujet.
[
Lac73a
, p. 29]
*
L'inconscient
est un
fait
en tant qu'il se
supporte
du
discours
même
qui
l'établit.
[
Lac73a
, p. ]
L'analysant
ne
termine
qu'à
faire
de
l'objet
le
représentant
de la
représentation
de son
analyste.
[
Lac73a
, p. 44]
Il y a solidarité
entre
le
non-rapport
des
sexes
et le
fait
qu'un
être
soit
parlant.
[
Lac75f
, p. 7]
*
Le
savoir
affecte
le
corps
de
l'être
qui ne se
fait
être
que de
paroles.
[
Lac75f
, p. 8]
L'origine
de
tous
les
faits
est que quoi que ce soit ne
prend
rang
de
fait
que quand c'est
dit.
Un
dire
c'est une
parole
qui
fonde
le
fait.
*
La
parole
fonctionne
même
quand elle ne
fonde
aucun
fait.
La
fonction
de la
parole
n'est pas
toujours
appliquée
à
dénoter
des
faits.
*
On
ne
dénote
pas des
choses,
on
dénote
des
faits.
Zéro
et
Un
ça
fait
deux
sur le
plan
symbolique
car
l'existence
s'enracine dans le
symbole,
ce qui
définit
l'être
parlant.
La
relation
de la
femme
à la
fonction
phallique
est
tout
à
fait
active.
La
psychanalyse,
c'est le
repérage
de ce qui se
comprend
d'obscurci, de ce qui s'obscurcit en
compréhension
du
fait
d'un
signifiant
qui a
marqué
un
point
du
corps.
Les
mathématiques
sont un
réel
qui n'a
rien
à
faire
avec la
vérité.
Le
signifiant
n'a à
faire
qu'avec la
lecture
de ce
qu'on
entend
de
signifié.
La
fonction
du
phallus
ne
s'articule
que des
faits
d'absence.
Tous les
besoins
de
l'être
parlant
sont contaminés par le
fait
d'être
impliqués
dans une
autre
satisfaction,
à quoi ils
peuvent
faire
défaut.
Du
fait
que la
jouissance
parle,
le
rapport
sexuel
n'est pas.
Entre
les
sexes,
chez
l'être
parlant,
le
rapport
ne se
fait
pas.
L'éros
se
définit
comme fusion de ce qui
fait
du
deux
fait
Un.
Le
transfert
fait
le
sujet
supposé
savoir.
Le
discours
analytique
fait
surgir
que le
sens
est de
semblant.
Le
symbolique,
c'est ce qui a été
fait
Dieu.
Dans le
discours
analytique
on
ne
fait
que
parler
d'amour.
La
femme
ne
peut
aimer
en
l'homme
que la
façon
dont il
fait
face
au
savoir
dont il
âme.
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec le
savoir.
Le
langage
c'est
l'effort
fait
pour
rendre
compte
de quelque
chose
qui n'a
rien
à
faire
avec la
communication,
lalangue
.
Le
langage
est
fait
de
lalangue
.
L'individu
qui est
affecté
de
l'inconscient,
c'est le
même
qui
fait
le
sujet
d'un
signifiant.
C'est parce qu'il y a
l'inconscient,
à savoir
lalangue
,
que le
signifiant
peut
être
appelé
à
faire
signe.
Le
signifiant
fait
le
support
formel
d'un
sujet
en tant que
signifiant.
Savoir
ce que le
partenaire
va
faire,
n'est pas une preuve de
l'amour.
Le
travail
c'est ce qui
fait
des
rapports
au
savoir,
la
jouissance.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
fait
un
signe
à un
signe.
La
jouissance
fait
obstacle
à ce que le
rapport
sexuel
ne
puisse
d'aucune
façon
s'inscrire.
Ce que vous
faites
sait
vous.
La
parole
n'a
rien
à
faire
avec le
savoir
qui
existe
dans le
langage.
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec la
vérité.
La
jouissance
ne
fait
pas
énergie.
[
Lac74b
, p. 35]
Ce qui
fait
obstacle
au
rapport
sexuel
établi, c'est que dans le
chiffrage
est la
jouissance.
[
Lac75d
, p. 14]
Le
verbe
fait
moyen.
Le
langage
n'est pas
fait
de
mots.
Le
nœud
borroméen,
son
réel
est de ne
tenir
qu'à ce qu'il
fait
tresse.
ex:
21.4.2
C'est le
discours
analytique
qui
fait
coller
à un
savoir.
Le
réel
fait
trois
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
*
L'hystérique
fait
l'homme.
Le
réel
c'est ce qui avec
l'imaginaire
et le
symbolique
fait
trois.
La
logique
c'est
faire
de la
vérité
une
valeur
vide.
La
jouissance
fait
éruption
5
.
177
dans le
réel.
La
jouissance
phallique
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
*
Tout
ce qui
fait
sens
dans
lalangue
s'avère
lié
à
l'ex-sistence
de cette
langue.
Faire
ensemble
ça
veut
dire,
pouvoir
faire
série.
La
jouissance
ex-siste
au
réel
comme
faisant
trou.
L'
ex-sistence
se
définit,
se
supporte
de ce qui dans chacun de ces
termes,
R.S.I.
fait
trou.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
*
Pas-tout
être
à
parler
ne
saurait
s'autoriser
à
faire
un
analyste.
[
Lac82d
]
La
sexualité
fait
trou
dans le
réel.
[
Lac74a
, p. 10]
Il y a dans le
réel
quelque
chose
qui
fait
trou.
*
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec le
rapport
sexuel.
Le
dire
se
spécifie
d'être
ce qui
fait
nœud.
Le
discours
du
maître
fait
signifiant
Un
du
phallus.
Le
sujet
se
conditionne
de ce qui, dans le
nœud
détermine
des
points
triples
du
fait
du
serrage
du
nœud.
Le
nœud
est
supposé
être
le
réel
dans le
fait
de ce qu'il
détermine
comme
ex-sistence.
Ça
fait
trou
en un
point
de
l'être,
du
parlêtre.
L'inconscient
c'est le
réel
en tant qu'il est affligé de la
seule
Chose
qui
fasse
trou,
le
symbolique.
*
Le
signifiant
fait
trou.
Ce qui
fait
nœud
n'est pas
imaginaire,
ce n'est pas une
représentation.
*
Ce qui
fait
consistance
est de
l'ordre
imaginaire.
*
Les
pulsions
c'est l'écho dans le
corps
du
fait
qu'il y a un
dire.
L'analyse
est la
réduction
de
l'initiation
à sa
réalité,
c'est-à-dire au
fait
qu'il n'y a pas à proprement
parler
d'initiation.
La
division
fait
le
réel.
Le
langage
est
lié
à quelque
chose
qui, dans le
réel,
fait
trou.
La
science
fait
d'un
objet
un
sujet,
alors que le
sujet
est lui-même
divisé.
Le
langage
fait
nœud
de
l'imaginaire
et du
réel.
[
Lac75g
, p. 4]
La
grammaire
fait
scie du
sens.
[
Lac75g
, p. 4]
L'interprétation
analytique
n'est pas
faite
pour
être
comprise,
elle est
faite
pour
produire
des
effets.
*
Il n'y a que la
lettre
qui
fasse
trou.
La
vérité
est
caractérisée
par le
fait
de ce
que
l'analyste
ne
dit
que des
paroles.
*
Il n'y a de
fait
que du
fait
que le
parl-être
le
dise.
*
Il n'y a pas
d'autres
faits
que ceux que le
parl-être
reconnaît
comme tels en les
disant.
*
Il n'y a de
faits
que
d'artifices.
*
C'est la
façon
de les
présenter
dans leur
nœud
de
chaîne
qui, à elle
toute
entière,
fait
le
réel
du
nœud.
*
La
réminiscence
consiste
à
imaginer
à propos de quelque
chose
qui
fait
fonction
d'idée
et qui n'en est pas une.
La
remémoration
c'est
faire
entrer
la
chaîne
dans ce qui est déjà là et qui se
nomme
le
savoir.
Ce qui
fonctionne
vraiment
n'a
rien
à
faire
avec le
réel.
Le
réel
apporte
l'élément
qui
peut
faire
tenir
ensemble
imaginaire
et
symbolique.
Une
écriture
est un
faire
qui
donne
support
à la
pensée.
Le
signifiant
n'a
rien
à
faire
avec
l'écriture.
L'inconscient
n'a
rien
à
faire
avec le
fait
qu'on
ignore des
choses.
*
La
loi
n'a
absolument
rien
à
faire
avec les
lois
du
monde
réel.
Le
réel
n'a
rien
à
faire
avec le
monde.
*
L'inconscient
ça n'a
rien
à
faire
avec
l'inconscience.
Connaître
veut
dire
savoir
faire
avec le
symptôme.
Savoir
y
faire
avec son
symptôme
, c'est là la
fin
de
l'analyse.
On
recourt
à
l'imaginaire
pour se
faire
une
idée
du
réel.
La
foi
religieuse
c'est un
vrai
qui n'a
rien
à
faire
avec le
réel.
L'être
n'est qu'une
part
du
parl-être
,
ce qui est
fait
uniquement
de ce qu'il
parle.
Savoir
y
faire
n'est pas la
même
chose
que le
savoir
absolu.
Un
psychanalyste
dépend
de la
lecture
qu'il
fait
de son
analysant.
La
névrose
est
liée
au
fait
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
psychanalyse
c'est ce qui
fait
vrai.
*
Dire
a quelque
chose
à
faire
avec le
temps.
[
Lac78
]
Le
mot
fait
la
Chose.
[
Lac78
]
*
La
vérité
a à
faire
avec le
réel.
[
Lac78
]
L'analyse
arrive
à
défaire
par la
parole
ce qui s'est
fait
par la
parole.
[
Lac78
]
*
L'adéquation du
symbolique
ne
fait
les
choses
que
fantasmatiquement.
[
Lac78
]
Le
fait
qu'il y
ait
un
symbolique
implique
qu'un
signifiant
nouveau
émerge,
.
[
Lac78
]
L'analysant
fait
parfois de la
poésie.
[
Lac78
]
*
Le
nœud
borroméen,
c'est ce qui, dans la
pensée,
fait
matière.
[
Lac78
]
L'étoffe
de la
métaphore,
c'est ce qui, dans la
pensée,
fait
matière
ou
corps.
[
Lac78
]
C'est un
fait
qu'il n'y a pas de
réalité.
[
Lac78
]
La
psychiatrie
fait
office de
ségrégation
sociale.
[
Lac77b
, p. 7]
L'inconscient
est
structuré
parce qu'il est
fait
comme un
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
Le
langage
fait
parler
l'être.
[
Lac77a
, p. 13]
Il faut
être
un
sujet
pour
faire
usage
du
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
*
La
mathématique
fait
référence
à
l'écrit.
[
Lac78
]
*
La
pensée
mathématique,
c'est le
fait
qu'on
peut
se
représenter
un
écrit.
[
Lac78
]
*
Un
tore
fait
trou.
[
Lac78
]
L'analyse
est un
fait
social
qui se
fonde
sur la
pensée
qu'on
exprime
avec
lalangue.
[
Lac78
]
L'analyse
ne se
supporte
que du
fait
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
C'est la
béance
entre
l'imaginaire
et le
réel
qui
fait
l'inhibition.
[
Lac78
]
Suivant:
fantasme
Remonter:
5.6 F
Précédent:
faim
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08