Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.3 C
Précédent:
cassure
Suivant:
catastrophe
Index:
Index
castration
Dans la
Verwerfung
,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
castration
même
au
sens
du
refoulement.
5
.
65
C'est la
castration
qui
conditionne
la
crainte
narcissique.
Le
fétiche
remplit
une
fonction
de
protection
contre
l'angoisse
de
castration.
Castration,
frustration,
privation
ne sont pas du
tout
équivalentes.
La
castration
est
absolument
coordonnée
à la
notion
de
loi
primordiale.
La
castration
se
classe
dans la
catégorie
de la
dette
symbolique.
Castration,
frustration,
privation
sont les
trois
termes
de
référence
du
manque
d'objet.
Castration,
frustration,
privation
sont des
catégories
de
manque
d'objet.
La
castration
est
constituée
par la
dette
symbolique.
La
castration
n'est pas un
objet
réel.
La
castration
est
toujours
un
objet
imaginaire.
*
La
castration
est un
manque
imaginaire
de
l'objet.
*
L'objet
de la
castration
est un
objet
imaginaire.
*
Dans la
castration
il y a
fondamentalement
un
manque
qui se
situe
dans la
chaîne
symbolique.
La
castration
est
essentiellement
liée
à un
ordre
symbolique
en tant
qu'institué.
La
castration
institue
la
dette
symbolique.
Pour que
l'enfant
ait
besoin
du
phallus,
il faut qu'il
ait
été
préalablement
menacé
par
l'instance
castratrice
paternelle.
La
relation
de
castration
introduit
le
manque
d'objet
dans une
dialectique
qui
institue,
investit,
confère la
dimension
du
pacte
d'une
loi,
d'une
interdiction
de
l'inceste.
La
castration
n'est
rien
d'autre
que ce qui
instaure
la
nécessité
de la
frustration.
L'idée
de la
castration
chez la
femme
tient
à ce qu'elle n'a pas le
phallus
symboliquement.
Dans le
fétiche,
la
castration
de la
femme
est à la
fois
affirmée
et aussi
niée.
*
L'assomption
du
signe
même
de la
position
virile
de
l'hétérosexualité
masculine
implique
la
castration
à son
départ.
La
castration
est la
crise
essentielle
par où
tout
sujet
s'introduit
dans,
s'habilite
à
l'ordre
de la
loi.
Le
tableau
4.13.1
décrit les
relations
des
agents
que sont le
père
réel,
la
mère
symbolique
et le
père
imaginaire,
avec les
manques
d'objet
produits
par la
castration,
la
frustration
et la
privation
et avec les
objets
imaginaires,
réels
et
symboliques.
La
castration
est le
signe
du
drame
de
l'œdipe
et en est le
pivot
implicite.
La
castration
prend
comme
base
cette
appréhension
dans le
réel
de
l'absence
de
pénis
chez la
femme.
La
castration
porte
sur un
objet
imaginaire.
*
C'est pour autant qu'elle
joue
dans le
sujet
sous la
forme
d'une
action
portant
sur un
objet
imaginaire,
que la
castration
entre
en
jeu.
La
castration
symbolise
une
dette
symbolique.
La
castration
est quelque
chose
qui est
toujours
liée
à
l'incidence,
à
l'intervention
du
père
réel.
Il y a un
lien
fondamental
entre
le
père
réel
et la
castration.
*
Le
complexe
de
castration
reprend sur le
plan
imaginaire
tout
ce qui est en
jeu
avec le
phallus.
*
La
castration
c'est le
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
La
castration
est un
moment
essentiel
de la
crise
de
l'œdipe.
Le
complexe
de
castration,
c'est que le
pénis
est
symboliquement
enlevé.
C'est le
père
réel
qui
permet
l'assomption
de la
fonction
sexuelle
virile
par sa
fonction
de
père
castrateur.
La
différence
des
sexes
s'exprime
comme
Penis-Neid
d'un
côté
et
complexe
de
castration
de
l'autre.
La
castration
est
profondément
liée
à
l'articulation
symbolique
de
l'interdiction
de
l'inceste.
Chez les
névrosés,
la
castration
se
manifeste
sur le
plan
imaginaire.
La
castration
est une
intervention
réelle
du
père
concernant une
menace
de
castration
imaginaire.
5.9.1
La
castration
est un
acte
symbolique.
5.9.1
L'agent
de la
castration
est quelqu'un de
réel.
5.9.1
L'objet
de la
castration
est un
objet
imaginaire.
5.9.1
Dans la
structure
de la
métaphore,
réside
toutes
possibilités
d'articuler
le
complexe
d'œdipe
et son
ressort
le
complexe
de
castration.
C'est du
complexe
de
castration
que
dépend
que le
garçon
devienne
un
homme.
C'est du
complexe
de
castration
que
dépend
que la
fille
devienne
une
femme.
La
possibilité
d'être
castré
est
essentielle
dans
l'assomption
du
fait
d'avoir
le
phallus.
La
castration
est ce qui
symboliquement
ampute
le
sujet
de quelque
chose
d'imaginaire.
La
castration
n'est pas une
castration
réelle.
La
castration
est
liée
à un
désir.
Le
phallus
n'est pas une
castration
s'adressant
aux
organes
génitaux
dans leur
ensemble.
Le
signifiant
phallus
est
irréductible
dans le
complexe
de
castration.
Le
phallus
se
trouve
toujours
recouvert par quelque
chose
qui est la
castration.
La
castration
est
d'abord
rencontrée
dans
l'autre.
Le
désir
génital
est
marqué
de
castration.
La
castration
c'est la
loi
de
l'Autre.
Pour le
développement
de
l'homme,
le
complexe
de
castration
fait
qu'il a le
phallus
sur le
fond
qu'il ne l'a pas.
Dans le
tableau
5.9.1
, dans la
castration,
l'action
est
symbolique,
l'agent
est
réel.
Dans le
tableau
5.9.1
, la
castration
est une
action
symbolique
qui
porte
sur quelque
chose
d'imaginaire.
Le
support
à
l'action
symbolique
propre,
la
castration,
est une
image
choisie
dans le
système
imaginaire.
Dans le
graphe
5.25.3
,
s'articule
dans le
complexe
de
castration.
Le
complexe
de
castration
renvoie
à ceci que le
sujet
craint
d'être
privé
de son
propre
désir.
Le
refus
de la
castration
est
d'abord
refus
de la
castration
de
l'Autre,
de la
mère
premièrement.
[
Lac66a
, p. 632]
*
Le
complexe
de
castration
inconscient
a une
fonction
de
nœud.
[
Lac66a
, p. 685]
La
castration
suppose
la
subjectivité
de
l'Autre
en tant que
lieu
de sa
loi.
[
Lac66a
, p. 732]
*
Il n'est pas de
virilité
que la
castration
ne consacre. [
Lac66a
, p. 733]
Le
complexe
de
castration
implique
la
perte,
le
sacrifice
d'un
signifiant.
L'
aphanisis
est la
substance
de la
crainte
de la
castration.
La
castration
exprime
ceci, que le
sujet
est et n'est pas le
phallus,
mais il n'est pas
sans
l'avoir.
*
Le
sujet
refuse
la
castration
de
l'Autre.
c'est le
châtré.
Le
manque
associé
à la
castration
est une
dette
symbolique.
cf:
5.9.1
L'agent
de la
castration
est le
père
réel.
cf:
5.9.1
L'objet
de la
castration
est le
phallus
imaginaire.
cf:
5.9.1
La
castration
est une
action
symbolique.
cf:
5.9.1
La
castration
se
rapporte
à
l'objet
phallique
imaginaire.
cf:
5.9.1
Au
niveau
de la
castration
un
sujet,
en tant que
réel,
est
marqué
du
signe
de la
parole.
La
castration,
est
l'essentiel
de la
marque
sur
l'homme
de son
rapport
au
logos
.
La
castration
peut
être
assumée
sur le
plan
imaginaire.
Le
sujet
apparaît
dans les
trois
formes
castration,
frustration,
privation,
trois
formes
aliénées.
*
Au
niveau
de la
castration,
le
sujet
apparaît
dans une
syncope
du
signifiant.
Le
c'est
l'effet
de la
castration.
L'objet
de la
castration
s'appelle
le
phallus.
Le
sujet
ne
peut
se
situer
dans le
désir
sans
se
châtrer.
Le pas
Un
se
transforme
dans la
menace
de
castration
chez
l'homme.
Toute
métaphore
est le
masque
d'une
métonymie,
et en
dernier
ressort,
métonymie
de la
castration.
La
castration
c'est le
père
réel.
Le
graphe
complet,
1.30.3
, décrit:
jouissance,
,
,
castration,
,
,
signifiant,
,
,
voix,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 817]
Le
fantasme
contient
le
,
fonction
imaginaire
de la
castration.
[
Lac66a
, p. 825]
Le
névrosé
a
subi
au
départ
la
castration
imaginaire
qui
soutient
son
moi
fort. [
Lac66a
, p. 826]
Le
névrosé
refuse
de
sacrifier
sa
castration
à la
jouissance
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 826]
Le
névrosé
imagine
que
l'Autre
demande
sa
castration.
[
Lac66a
, p. 826]
*
La
castration
veut
dire
qu'il faut que la
jouissance
soit
refusée,
pour qu'elle
puisse
être
atteinte
sur l'échelle
renversée
de la
loi
du
désir.
[
Lac66a
, p. 827]
L'
aphanisis
est la
disparition
du
désir
dans le
complexe
de
castration.
Il s'agit de
considérer
le
phallus
comme
signifiant
comme
centre
de
toute
appréhension
cohérente
de ce dont il s'agit dans le
complexe
de
castration.
*
La
mère
est d'autant
plus
castratrice
qu'elle ne s'est pas
occupée
à
castrer
le
père.
La
fonction
castratrice
de la
mère,
il n'y en a pas s'il n'y a pas de
père
à
castrer.
La
castration
est
identique
à ce
phénomène
qui
fait
que
l'objet
de son
manque
est
identique
à
l'instrument
même
du
désir,
le
phallus.
Le
pénis,
partie
du
corps
réel,
tombe
sous le coup de la
menace
de
castration.
C'est en
raison
de la
fonction
signifiante
du
phallus
comme tel, que le
pénis
tombe
sous le coup de la
menace
de
castration.
*
C'est à la lumière de la
castration
que
peut
se
comprendre
la
fécondité
du thème
privatif.
Seule la
castration
est un
objet
qui
peut
être
numérique.
La
castration
porte
le
nombre
avec lui comme une qualité.
Le
point
phallique
signifie
l'abolition
comme telle de
toute
signifiance;
c'est là que
l'objet
,
objet
de la
castration
prend
sa
place.
L'objet
est
objet
de la
castration.
L'objet
est
l'objet
d'une
castration
constitutive.
Le
sujet
instaure
l'objet
de la
castration
en un
Autre.
L'objet
de la
castration
c'est
l'objet
même
par quoi se
situe
l'objet
de la
science.
c'est
l'angoisse
de
castration
dans son
rapport
à
l'Autre.
Pour le
névrosé
c'est
l'angoisse
de
castration
qui est
indépassable.
Le
névrosé
bute sur
l'angoisse
de
castration.
Le
névrosé
ne recule pas devant la
castration,
mais de
faire
de sa
castration
ce qui
manque
à
l'Autre.
Le
moment
de la
castration
n'est
rien
d'autre
que le
moment
de
l'interprétation
de la
castration.
Le
complexe
de
castration
n'est pas une
castration.
La
castration
est
symbolique.
Il n'y a de
désir
réalisable
qu'impliquant
la
castration.
L'angoisse
vient
se
constituer,
prendre
sa
place
dans un
rapport
au-delà
de ce
vide
d'un
temps
premier
de la
castration.
Le
sujet
n'a qu'un
désir,
celui de
retourner
à la
castration
première.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
Dans le
complexe
de
castration,
le
fonctionne
comme
.
Dans le
complexe
de
castration
il y a un
véritable
renversement
du
point
de
désir
et du
lieu
de
l'angoisse.
Le
symbolise
l'angoisse
de
castration.
C'est
l'évanouissement
de la
fonction
phallique
qui est le
principe
de
l'angoisse
de
castration.
L'angoisse
de
castration
notée
dénote
une
carence.
L'angoisse
de
castration,
c'est une
angoisse
qui se
rapporte
au
champ
où la
mort
se
noue
étroitement
au
renouvellement
de la
vie.
L'angoisse
de
castration
est
l'obstacle
constituant
la
limite
de
l'expérience
analytique.
*
C'est
l'Autre
qui
menace
de
castration.
*
Il n'y a pas de
castration
parce que, au
lieu
où elle a à se
produire,
il n'y a pas
d'objet
à
castrer.
L'axe
ce la
jouissance
dans
l'Autre
est
marqué
de
l'angoisse
de
castration.
Le
excrémentiel
symbolise
la
castration.
La
pulsion
scopique
est celle qui
élude
le
plus
complètement
le
terme
de
castration.
Le
manque
est
constitutif
de
l'angoisse
de
castration.
Le
sujet
est
néantisé
sous une
forme
qui est
l'incarnation
dans
l'image
du
de la
castration
et rend
nécessaire
l'organisation
des
désirs
à travers le cadre des
pulsions
fondamentales.
La
castration
comporte
le
.
*
Tout
désir
humain
est
centré
sur la
castration.
L'objet
est
cause
du
complexe
de
castration.
[
Lac66a
, p. 850]
C'est
l'assomption
de la
castration
qui
crée
le
manque
dont
s'institue
le
désir.
[
Lac66a
, p. 852]
Les
fonctions
de
privation,
de
frustration,
de
castration
sont
opposées.
La
castration,
dans le
vécu
terminal
d'une
analyse
de
névrosé,
passe
par
l'expérience
que le
sujet
a à
faire
de la
faille
qui le
sépare
de la
reconnaissance
de ceci, qu'il
vit
ailleurs
que dans la
réalité.
Privation,
frustration,
castration
sont les
trois
espèces
de la
dialectique
du
manque.
La
femme,
de
n'avoir
pas le
phallus,
incarne
le parfait
accomplissement
de la
castration.
*
Le
concept
de
castration
joue
en tant qu'il
porte
aussi sur quelqu'un qui ne l'est pas de
nature,
castré.
L'essence
de la
castration
se
manifeste
en ceci que la
différence
sexuelle
ne se
supporte
que de la
Bedeutung
de quelque
chose
qui
manque
sous l'aspect du
phallus.
Le
sens
logique
originel
de la
castration
c'est qu'au
niveau
des
Bedeutungen
,
des
significations,
le
langage
mathématiquement
fait
défaut.
L'Autre
du
vécu
inaugural
de la
vie
de
l'enfant
doit
à un
moment
apparaître
comme
castré.
La
mère
désigne
dans le
langage
analytique
la
première
appréhension
de la
castration.
L'Autre
est au
premier
abord
marqué
par la
castration.
La
répétition
est le
lieu
temporel
d'un
quadrangle
5
.
66
où viennent
agir
le
choix
aliénant,
le
du
ça,
l'inconscient
et la
castration.
désigne
la
castration.
La
fonction
de la
castration
signifiante
signe
un
manque
fondamental.
*
Le
rejet
de la
castration
marque
le
délire
de la
pensée.
Pour
l'homme
le
manque
phallique
s'appelle
la
castration.
*
La
valeur
de
jouissance
prend
origine
dans le
manque,
marqué
par le
complexe
de
castration.
Le
complexe
de
castration
est
marqué
du
signe
moins.
Le
complexe
de
castration
est comme
originel
dans la
fonction
économique
de la
jouissance.
La
castration
est une
fonction
subjective.
La
castration
est une
structure
subjective.
Le
complexe
de
castration
veut
dire
qu'il n'y a pas
d'objet
phallique
et qu'il y a un
acte
sexuel.
C'est dans une
voie
qui est
inverse
à celle qui va de la butée de la
castration
que
s'articule
ce qui est
perversion.
Avec la
castration,
le
sujet
ne se
réalise
exactement
qu'en tant que
manque,
cette
expérience
subjective
est
symbolisée
par
.
L'acte
analytique,
en se
réitérant,
instaure
la
castration
comme
passage
à
l'acte.
la
castration
est une
incarnation
du
sujet.
[
Lac84b
, p. 14]
*
Pour le
pervers
il faut qu'il y
ait
une
femme
non
châtrée.
L'hystérique
promeut la
castration
au
niveau
du
nom-du-père
symbolique.
*
Le
propre
de la
castration,
c'est que
rien
ne
peut
à proprement
parler
l'énoncer
parce que sa
cause
est
absente.
Le
signifiant
maître
induit
et
détermine
la
castration.
Dans le
champ
du
discours
du
maître,
le
père
est dès
l'origine,
castré.
La
castration
est au
principe
du
signifiant
maître.
La
castration
est une
fonction
essentiellement
symbolique
qui ne se
conçoit
nulle
part
ailleurs
que de
l'articulation
symbolique.
Le
phallus
est le
contenu
manifestement
imaginaire
de
l'énigme
de la
castration.
Le
père
réel
est
l'agent
de la
castration.
*
La
castration
c'est
l'opération
réelle
introduite
de par
l'incidence
du
signifiant.
La
castration
n'est pas un
fantasme.
Dans la
castration,
le
signifiant
femme
s'inscrit
comme
privation.
[
Lac70d
, p. 90]
L'homme
masculin
est
exposé
à la
castration.
Le
névrosé,
hystérique
ou
non,
se
définit
de
l'évitement
de la
castration.
L'évitement
de la
castration
par
l'hystérique
consiste
à
l'unilatériser
de
l'autre
coté, du coté du
partenaire.
*
À
l'hystérique
il faut le
partenaire
châtré.
La
castration
c'est ce qui
permet
le
rapport
sexuel.
*
ça
veut
dire
la
fonction
qui
s'appelle
la
castration.
Les
femmes
ne sont pas
castrables,
parce que le
phallus
elle ne
l'ont
pas.
*
C'est du
réel
que la
femme
prend
son
rapport
à la
castration.
Le
surmoi
est
corrélat
de la
castration.
Dans le
discours
du
capitaliste
il y a
rejet
de la
castration.
Dans le
rapport
entre
l'homme
et la
femme,
la
castration
elle est
partout.
*
Chez
l'homme,
la
castration,
c'est le
moyen
d'adaptation à la
survie.
La
femme
ne
saurait
être
châtrée.
*
L'universel
masculin
peut
prendre
son assiette dans
l'assurance
qu'il
n'existe
pas de
femme
qui
ait
été
châtrée.
*
L'universalité
des
hommes
est
sujette
à la
castration.
*
Tous les
hommes
sont en
puissance
de
castration.
La
castration
est quelque
chose
qui
dit
non
à la
fonction
phallique.
Le
dire
non
à la
fonction
phallique
c'est
c'est la
fonction
de
castration.
L'interdit
de
l'inceste,
ça se propage du coté de la
castration.
L'amour
éternel se
rapporte
à la
fonction
du
père
en tant que
porteur
de la
castration.
*
Il n'y a de
vrai
que la
castration.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08