1.32 Du Trieb de FREUD et du désir du psychanalyste, 1964

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* C'est grâce au nom-du-père, que l'homme ne reste pas attaché au service sexuel de la mère. [Lac66a, p. 852]
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* L'agression contre le père est au principe de la loi. [Lac66a, p. 852]
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* La loi est au service du désir qu'elle institue par l'interdiction de l'inceste. [Lac66a, p. 852]
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* L'inconscient montre que le désir est accroché à l'interdit. [Lac66a, p. 852]
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C'est l'assomption de la castration qui crée le manque dont s'institue le désir. [Lac66a, p. 852]
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* Le désir est désir de désir. [Lac66a, p. 852]
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Le désir est désir de l'Autre. [Lac66a, p. 852]
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La femme doit perdre ce qu'elle n'a pas. [Lac66a, p. 852]
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La jouissance est du côté de la Chose. [Lac66a, p. 853]
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* La pulsion divise le sujet et le désir. [Lac66a, p. 853]
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Le désir ne se soutient que du rapport qu'il méconnaît, de la division du sujet à un objet qui le cause. [Lac66a, p. 853]
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* C'est le désir de l'analyste qui, au dernier terme, opère dans la psychanalyse. [Lac66a, p. 854]

Jacques B. Siboni 2024-11-08