Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.4 D
Précédent:
désignation
Suivant:
désordre
Index:
Index
désir, désidération
*
La
satisfaction
du
désir
humain
n'est
possible
que
médiatisée
par le
désir
et le
travail
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 121]
Tout
le
savoir
humain
est
médiatisé
par le
désir
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 98]
L'ego
est
frustration,
non
d'un
désir
du
sujet,
mais d'un
objet.
[
Lac66a
, pp. 249–250]
L'ego
est
frustration
d'un
objet,
où le
désir
du
sujet
est
aliéné.
[
Lac66a
, p. 250]
Le
désir
de
l'homme
trouve
son
sens
dans le
désir
de
l'autre
parce que son
premier
objet
est
d'être
reconnu
par
l'autre.
[
Lac66a
, p. 268]
Pour
libérer
sa
parole,
le
sujet
est
introduit,
par la
psychanalyse,
au
langage
de son
désir.
[
Lac66a
, p. 293]
Il s'agit d'un
langage
de
désir
dans les
symboles
du
symptôme.
[
Lac66a
, p. 293]
Le
langage
du
symptôme
est le
langage
qui
saisit
le
désir
au
point
où il
s'humanise.
[
Lac66a
, pp. 293–294]
*
Le
moment
où le
désir
s'humanise
est aussi celui où
l'enfant
naît
au
langage.
[
Lac66a
, p. 319]
Le
désir
du
sujet
cessant
d'être
infans
est de
devenir
le
désir
d'un
autre
qui le
domine.
[
Lac66a
, p. 319]
Le
symbole
se
manifeste
d'abord
comme
meurtre
de la
Chose,
et cette
mort
constitue
dans le
sujet
l'éternisation de son
désir.
[
Lac66a
, p. 319]
Dans le
rêve
ce dont il s'agit
tout
le
temps,
c'est d'un
désir.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
C'est dans le
corps
de
l'autre
que
l'être
humain
reconnaît
son
désir.
Le
je
se
constitue
dans une
relation
où
l'autre
manifeste
des
ordres,
des
désirs
qu'il
doit
reconnaître.
Le
moi
ne
sait
rien
des
désirs
du
sujet.
L'enfant
apprend
à
reconnaître
le
désir
en tant
qu'inversé
dans
l'autre.
Le
désir
apprend
à se
reconnaître
par le
symbole,
c'est à dire dans le
langage.
Le
désir
est
ressenti
et
vu,
projeté dans
l'autre,
aliéné
sur le
plan
de la
relation
imaginaire
du
stade
spéculaire.
Chaque
fois
que le
sujet
est
captivé
par un de ses
semblables,
le
désir
revient,
dans le
sujet,
verbalisé.
La
perpétuelle
réversion du
désir
à la
forme,
et la
forme
du
désir,
est le
mécanisme
fondamental
autour de quoi
tourne
tout
ce qui se
rapporte
à
l'ego.
*
Le
moment
où le
désir
s'humanise
est aussi celui où
l'enfant
naît
au
langage.
5
.
112
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
Le
désir
de
l'autre,
qui est le
désir
de
l'homme,
entre
dans la
médiatisation
du
langage.
C'est dans
l'autre,
et par
l'autre,
que le
désir
va être
nommé,
reconnu,
va
entrer
dans la
relation
symbolique
du
je
et du
tu.
À la
projection
de
l'image
succède
la
projection
du
désir.
C'est sur le
plan
symbolique
que les
désirs
vont être
ré-assumés
par le
sujet,
après leur
passage
dans
l'autre
spéculaire.
La
parole
a
fonction
de
reconnaissance;
c'est la
dimension
par où le
désir
du
sujet
est
authentiquement
intégré
sur le
plan
symbolique.
La
conjonction
de la
parole
du
sujet
est un
tiers
élément
au
moment
significatif
d'émergence
du
désir.
C'est dans la
conjonction
de la
parole
avec le
désir,
au
moment
où il est par le
sujet
ressenti,
que se
trouve
le
moment
fécond.
C'est au
moment
où, en
présence
d'une
situation
où
l'imaginaire
et le
réel
de la
situation
analytique
se
confondent
que le
désir
du
sujet
est là à la
fois
présent
et
inexprimable.
Le
désir
humain
est
tout
entier
exposé
au
désir
de
l'autre.
*
Le
désir
propre
du
sujet
n'est
jamais
que le
désir
de
l'autre.
Le
désir
pervers
a à sa
limite
l'idéal
d'un
objet
inanimé.
Le
narcissisme
fondamental
est
essentiel
dans la
constitution
même
de
l'objet
du
désir.
L'amour
se
distingue
du
désir.
*
L'amour
au
sens
du
désir
d'être
aimé
est
essentiellement
tentative
de
capture
de
l'autre
dans
soi-même
objet,
pris
en tant
qu'objet.
La
notion
de
besoin
se
distingue
de la
notion
de
désir.
Dans le
rêve,
le
désir
majeur
c'est de
faire
passer
un
message.
Au plus près de
l'élan
biologique,
le
désir
a
tendance
à se
manifester
sous une
forme
hallucinatoire.
*
Le
rêve
est
toujours
la
réalisation
d'un
désir,
d'un
souhait.
*
Le
rêve
est dans
tous
les
cas
la
satisfaction
d'un
désir.
Le
désir
est
désir
de
rien
de
nommable
.
Le
désir
est
préalable
à
toute
espèce
de
conceptualisation.
Toute
conceptualisation
sort
du
désir.
*
L'objet
d'intérêt
humain,
c'est
l'objet
du
désir
de
l'Autre.
Le
premier
abord
que le
sujet
humain
a avec les
objets,
c'est de
l'objet
en tant qu'il est
vu
comme
objet
du
désir
de
l'autre.
L'objet
est
intéressant
dans la
fonction
où il est
objet
du
désir
de
l'autre.
*
Le
désir
de
l'homme
s'aliène
dans le
désir
de
l'autre
5
.
113
. [
Lac66a
, p. 343]
*
Le
sujet
est à la
recherche
de
l'objet
de son
désir.
La
réalisation
du
désir
refoulé
se
situe
sur le
plan
symbolique
dans la
névrose.
La
réalisation
du
désir
refoulé
se
situe
sur le
plan
imaginaire
dans la
psychose.
*
Les
désirs
dans
l'inconscient
ne
s'éteignent
jamais.
C'est au
niveau
du
désir
sexuel
que
s'introduit
pour la
première
fois
et sous
toutes
ses
formes,
la
loi.
*
La
métaphore
est
impensable
dans la
psychologie
purement
animale
de
l'attraction,
de
l'appétit
et du
désir.
Dans le
système
primaire
du
désir,
l'objet
est
halluciné
sur un
fond
de
réalité
angoissante.
L'obsessionnel
mortifie
le
désir.
À l'aide de
frustrations,
la
mère
enseigne
à
l'enfant
que, de
temps
en
temps,
la
réalité
ne
coïncide
pas avec
l'hallucination
surgie
du
désir.
La
frustration
est le
domaine
de quelque
chose
qui est
désiré
et qui n'est pas
tenu.
Le
plaisir
est
lié,
non
pas au
repos,
mais à
l'envie
ou à
l'érection
du
désir.
L'enfant
s'aperçoit
que c'est un
phallus
que la
mère
désire.
La
mère
est
désirante
car elle
manque
de
phallus.
La
phallus
est
l'objet
du
désir
de la
mère.
Le
désir
est inextinguible. [
Lac66a
, p. 467]
Le
sein
maternel
est
l'objet
naturel
et
primordial
du
désir.
La
petite
fille,
au
moment
d'entrée
dans
l'œdipe,
se met à
désirer
un
enfant
du
père
comme
substitut
du
phallus
manquant.
Ce qui est proprement
désiré
dans
l'amour,
c'est ce qui
manque
au
sujet.
La
frustration
de la
jouissance
produit
tout
au
plus
la relance du
désir
mais
aucune
espèce
de
constitution
d'objet.
Le
rêve
s'institue
comme
représentant
du
désir
inconscient.
*
Le
désir
vise
le
phallus
en tant qu'il
doit
être
reçu
comme
don.
*
Le
désir,
dans
l'inconscient
refoulé,
est
indestructible.
Dans le
rêve
s'exprime
le
désir
de
l'impossible,
transposé
de
l'ordre
symbolique.
La
mère
désire
le
phallus
parce qu'elle en
manque.
Le
désir
de la
mère,
dans son
fondement
est
inassouvissable.
C'est le
désir
du
phallus
chez la
mère
qui
induit
le
manque
dans
l'objet
maternel.
*
C'est dans la
relation
à la
mère
que
l'enfant
éprouve
le
phallus
comme
étant
le
centre
du
désir
de la
mère.
Le
phallus
s'impose
parmi les
autres
images,
et d'une
façon
prévalente,
au
désir
de la
femme.
Ce que la
mère
désire,
ce n'est pas
l'enfant,
c'est le
phallus
imaginaire.
L'objet
du
désir
est
objet
du
désir
de
l'autre.
Le
désir
est
toujours
d'autre
chose.
Le
désir
est
désir
de ce qui
manque
à
l'objet
perdu
primordialement.
Le
graphe
du
désir
est présenté
figure
5.2.1
.
Il y a
béance
entre
la
structuration
du
désir
et la
structuration
des
besoins.
La
structure
des
désirs
est
déterminée
par autre
chose
que les
besoins.
La
structuration
de la
demande
est
tout
à
fait
à la
base,
au
fondement
de
l'exercice
premier
du
signifiant
dans
l'expression
du
désir.
Dans la
création
du
signifié,
il y a
création
d'un
désir
qui n'est pas
simple
traduction
du
besoin,
qui est
autre
que le
besoin.
Le
désir
est ce quelque
chose
qui est
défini
par un
décalage
essentiel
par
rapport
à
tout
ce qui est de
l'ordre
de la
direction
imaginaire
du
besoin.
La
dimension
de la
surprise
est
consubstantielle
à ce qu'il en est du
désir,
pour autant qu'il est
passé
au
niveau
de
l'inconscient.
Le
désir
emporte avec lui une
condition
d'émergence
qui lui est
propre
en tant que
désir.
Le
soi
ne se
saisit
qu'au-delà
de
toute
élaboration
du
désir
dans le
réseau
du
langage.
le
soi
est par
nature
au-delà
de la
prise
du
désir
dans le
langage.
Le
chemin
du
désir
passe
nécessairement
pas
l'autre.
La
structure
métonymique
se
sert
de la
valeur
de
renvoi
de la
signification,
pour
l'investir
du
désir
visant
le
manque
qu'il
supporte.
[
Lac66a
, p. 515]
*
Le
désir
est une
métonymie.
[
Lac66a
, p. 528]
Le
signifié
est
fait
de la
transformation,
de la réfraction de son
désir
par le
passage
par le
signifiant.
Le
désir
s'exprime
et
passe
par le
signifiant
au
niveau
du
croisement
du
désir
avec la
ligne
signifiante,
là où il
rencontre
l'Autre.
Le
désir
arrive
comme
signifié
autre
que ce qu'il
était
au
départ.
L'invocation
appelle
à
entrer
dans la
voie
du
désir
d'une
façon
inconditionnelle.
L'invocation
est cette
voix
qui
s'articule
conformément au
désir.
Le
désir
de
l'enfant
s'affirme
en ceci qu'il est
désir
du
désir
de la
mère.
Le
père
considéré
en tant qu'il
prive
la
mère
de
l'objet
phallique
de son
désir,
joue
un
rôle
tout
à
fait
essentiel
dans
toutes
les
névroses.
*
C'est
différent
de
désirer
quelque
chose
ou de
désirer
le
désir
du
sujet.
Il y aurait
tendance
à la
satisfaction
hallucinatoire
du
désir,
en
réponse
à l'incitation
pulsionnelle.
Dès
l'origine
le
besoin
est
motivé
sur le
plan
du
désir.
Le
principe
du
plaisir
est
satisfaction
fondamentalement
irréelle
du
désir.
Ce qui
fait
l'objet
du
désir
de la
mère
c'est le
monde
du
signifié.
La
fonction
du
phallus
est ce qui
signifie
son
désir
pour la
mère
5
.
114
.
Le
désir
est
aliéné
dans le
signifiant.
Le
désir
est
installé
essentiellement
dans un
rapport
à la
chaîne
signifiante.
*
Le
terme
enfant
désiré
est celui qui
répond
à la
constitution
de la
mère
en tant que
siège
du
désir.
*
C'est dans le
rapport
à sa
propre
image
que le
sujet
retrouve
la
duplicité
du
désir
maternel
à lui comme
enfant
désiré,
qui n'est que
symbolique.
Toutes
les
passions
sont
aliénation
au
désir
dans un
objet.
Le
rêve
exprime
un
désir
inconscient.
Le
désir
infantile
essentiel
est le
désir
du
désir
de
l'autre,
ou le
désir
d'être
désiré.
Il y a la
dépendance
primordiale
du
sujet
par
rapport
au
désir
de
l'autre.
Le
désir
du
sujet
est en tant que tel modelé par les
conditions
de la
demande.
Le
désir
du
sujet
est
soumis
au
désir
de
l'autre.
Le
désir
de
l'autre
c'est le
désir
de la
mère.
L'extérieur,
pour le
sujet
est
donné
d'abord
comme le
lieu
où se
situe
le
désir
de
l'autre.
La
dialectique
primordiale
du
désir
est dans un
rapport
tiers
qui
fait
intervenir
au-delà
de la
mère
un
personnage
tiers
qui est le
père.
Le
désir
doit
être
signifié,
pour autant qu'il
passe
nécessairement
par une
demande,
signifie
sur le
plan
symbolique.
Il y a
l'exigence
d'un
symbole
de
marge
qui
sépare
toujours
le
désir,
désir
toujours
marqué
de
l'altération
par
l'entrée
dans le
signifiant.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
*
La
fille,
comme le
garçon
d'abord
désire
la
mère.
Le
phallus
est le
signifiant
de la
distance
de la
demande
du
sujet
à son
désir.
Le
désir
de la
femme
est précisément
signifié
par ce qui lui
manque,
et par le
phallus.
Le
désir
passe
par le
système
signifiant
pour se
faire
reconnaître.
Après le
refoulement
du
désir
de
l'œdipe,
le
sujet
sort
pourvu d'un
idéal-du-moi.
La
castration
est
liée
à un
désir.
*
Il y a un
rapport
étroit,
intime
entre
le
désir
et la
marque.
L'être
vivant
marqué
a un
désir
qui n'est pas
sans
un
certain
rapport
intime
avec cette
marque.
Dans la
formule
5.17.1
et
5.17.2
le
petit
c'est le
désir,
dans la
formule
5.17.1
et
5.17.3
, le
c'est le
sujet,
c'est le
petit
autre,
c'est
l'autre
en tant qu'il est notre
semblable.
Le
rapport
de
l'homme
au
désir
n'est pas un
rapport
pur
et
simple
de
désir.
Le
rapport
de
l'homme
au
désir
n'est pas en
soi
un
rapport
à
l'objet.
L'homme
est un
animal
désirant.
Le
pervers
jouit
de son
désir.
L'
aphanisis
est la
disparition
du
désir.
Toute
identification
qui est
identification
aux insignes de
l'autre
dépend
de la
demande
et des
rapports
de
l'autre
au
désir.
Dans le
rêve
c'est
toujours
essentiellement
un
désir.
Dans le
rêve
il y a
accomplissement
de
désir.
Le
désir
humain
n'est pas
impliqué
d'une
façon
directe
dans un
rapport
pur
et
simple
avec
l'objet
qu'il
satisfait.
Le
désir
humain
est
lié
à une
position
que
prend
le
sujet
en
présence
de cet
objet.
Le
désir
échappe à la
synthèse
du
moi.
Le
désir
se
présente
dans
l'expérience
analytique
dans le
symptôme.
Le
symptôme
est quelque
chose
qui va dans le
sens
de la
reconnaissance
du
désir.
Le
désir
de
reconnaissance
c'est autre
chose
que le
désir.
Le
désir
de la
mère
est une
désignation
symbolique.
La
femme
est l'héritière de la
fonction
de la
mère,
se trouvant
dépossédée,
frustrée
de
l'élément
du
désir.
Ce n'est pas parce que quelque
chose
n'est pas
articulable,
à
savoir
le
désir,
qu'il ne soit pas
articulé.
Le
désir
est
articulé
pour autant qu'il est
lié
à la
présence
du
signifiant
dans
l'homme.
Le
désir
est
essentiellement
désir
masqué.
Le
désir
masqué
s'articule
nécessairement
dans la
demande.
Le
surmoi
se
formule
dans la
ligne
de
transformation
du
désir,
dans
l'articulation
signifiante,
l'interdiction.
C'est en tant que le
désir
est
toujours
lié
à un
certain
masque
que se
produit
l'idéal-du-moi.
Il y a une
Spaltung
essentielle
entre
ce qui est
désir
et ce qui est
masque.
Le
désir
est
inséparable
du
masque.
Dans le
symptôme,
le
désir
est
identique
à la
manifestation
somatique.
Le
désir
est
déterminé
par un
acte
de
signification.
Il y a
excentricité
du
désir
par
rapport
à
toute
satisfaction.
Le
désir
a une grande
affinité
avec la
douleur.
L'aire du
désir
connote
son
excentricité
par
rapport
à la
satisfaction.
La
Spaltung
est
responsable
de la
béance
entre
le
désir
et la
demande,
de la divergence qui
s'établit
entre
le
désir
et la
demande.
La
désidération
marque
la
barre
du
signifiant.
Le
phallus
est ce qui
représente
le
désir
dans sa
forme
la
plus
manifeste.
Le
phallus
est le
signe
même
de ce qui est
désiré.
Le
désir
est
obligé
au truchement de la
parole.
*
Le
désir
du
sujet
est
aliéné
dans la
demande.
Le
désir
du
sujet
est
profondément
transformé
par le
fait
de
devoir
passer
par la
demande.
L'enfant
dans son
impuissance,
dépend
entièrement
de la
parole
de
l'Autre
qui
modifie,
restructure,
aliène
profondément
la
nature
de son
désir.
Il y a un remaniement
profond
des
premiers
désirs
par la
demande,
notamment dans cette
dialectique
de
l'objet
oral
et
anal
particulièrement.
*
Installé dans la
dialectique
première,
prégénitale
de la
demande,
le
sujet
a affaire à
l'autre
désir.
Le
désir
est
désir
de
l'Autre.
Il se
reconnaît
un
désir
au-delà
de la
demande,
un
désir
en tant que
non
adultéré par la
demande.
Le
désir
se
situe
au-delà
du
premier
autre
auquel il
adressait
sa
demande.
C'est à travers
l'œdipe
que le
désir
génital
est
assumé.
C'est à travers
l'œdipe
que le
désir
génital
vient
prendre
sa
place
dans
l'économie.
Le
désir
du
sujet
dépend
entièrement
de la
demande
de
l'autre.
La
présence
et la
dimension
de
l'autre
désir
se
situe
au-delà
de ce que le
sujet
demande,
au-delà
de ce que
l'autre
demande
au
sujet.
Le
désir
du
sujet
est
d'abord
repéré
dans
l'existence
comme telle du
désir
de
l'autre,
en tant que
distinct
de la
demande.
L'hystérique
est
suspendue
à ce
clivage
nécessaire
entre
la
demande
et le
désir.
Le
sujet
hystérique
se
constitue
presque
tout
entier
à partir du
désir
de
l'autre.
Il y a
Spaltung
entre
demande
et
désir.
Le
phallus
est ce
signifiant
qui
marque
ce que
l'autre
désire.
C'est pour autant que
l'autre
va
reconnaître
son
désir
barré,
son
désir
insatisfait
à lui, que se
fait
sa
rencontre
avec son
désir
le
plus
authentique,
le
désir
génital.
Le
désir
génital
est
marqué
de
castration.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir.
Le
phallus
n'est pas
l'objet
du
désir,
mais le
signifiant
du
désir.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
et comme tel il
s'articule
comme
désir
de
l'autre.
Le
désir
est dans une
dialectique
d'un
au-delà
de la
demande.
*
La
façon
dont
doit
se
présenter
le
désir
chez le
sujet,
dépend
de ce qui est
déterminé
par la
dialectique
de la
demande.
Ce qui s'est
perdu
dans la
demande,
c'est précisément le
caractère
de
condition
absolue
qui est dans le
désir.
Le
tableau
1
donne
les traductions allemandes des
termes
demande,
désir,
besoin,
désir
du
rêve.
*
C'est en cette
place
où le
sujet
a
cherché
à
articuler
son
désir
qu'il
rencontrera
le
désir
de
l'autre
comme tel.
*
Le
désir
dans sa
fonction
inconsciente,
est le
désir
de
l'autre.
*
L'hystérique
prend
son
point
d'appui
dans un
désir
qui est le
désir
de
l'autre.
La
recherche,
la
visée
du
désir,
de
l'au-delà
de la
demande
est
constitutive
de
l'obsessionnel.
L'hystérique
va
chercher
son
désir
dans le
désir
qu'elle attribue à
l'autre
comme tel.
L'obsessionnel
fait
passer
son
désir
avant
tout.
L'obsessionnel
va
chercher
le
désir
dans un
au-delà
du
vivant,
dans sa
constitution
de
désir.
Le
désir
porte
en
soi-même
une
contradiction
interne
qui en
fait
l'impasse
du
désir
de
l'obsessionnel.
Le
mouvement
fondamental
de
l'obsessionnel
est
dirigé
vers le
désir
comme tel.
Le
désir
conditionne
la
destruction
de
l'autre,
où le
désir
lui-même
vient
à
disparaître.
Dans le
grand
Autre
de
l'obsessionnel
quand il s'agit de son
désir,
il n'y en a pas.
L'obsessionnel
a à se
constituer
quelque part en
face
de son
désir
évanescent.
Le
désir
de
l'obsessionnel
est
évanescent
en
raison
d'une
difficulté
fondamentale
de son
rapport
avec
l'Autre.
Le
grand
Autre
est le
lieu
où le
signifiant
ordonne
le
désir.
Le
désir
est
au-delà
de la
demande.
Le
désir
a à s'organiser, a
prendre
sa
place,
entre
l'appel
de la
satisfaction
et la
demande
d'amour.
Le
désir
est
toujours
double,
il est à la
fois
au-delà
et
en-deça
de la
demande,
selon que la
demande
est
structurée
en
terme
de
signifiant
ou en
terme
de
besoin.
L'obsessionnel,
de
même
que
l'hystérique
a
besoin
d'un
désir
insatisfait,
d'un
désir
au-delà
d'une
demande.
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en en
faisant
un
désir
interdit.
L'obsessionnel
résout
la
question
de
l'évanescence
de son
désir
en la
faisant
supporter
par
l'interdiction
de
l'Autre.
Un
désir
interdit
ne
veut
pas
dire
pour autant un
désir
étouffé.
L'interdiction
est là pour
soutenir
le
désir.
Le
désir
se
produit
dans la
béance
que la
parole
ouvre
dans la
demande.
Toute
tentative
de
réduire
le
désir
à quelque
chose
dont
on
demande
la
satisfaction,
se heurte à une
contradiction
interne.
L'
acting-out
se
produit
sur le
champ
de
réalisation
dans
l'analyse
du
désir
inconscient.
Le
désir
s'oppose
à la
confusion
entre
la
ligne
de
transfert
et la
ligne
de
suggestion,
présenté dans le
graphe
5.24.1
.
Une
névrose
est construite pour
maintenir
quelque
chose
d'articulé,
le
désir.
Il n'y a pas
d'humain
inséré
dans la
condition
humaine
qui échappe au paradoxe du
désir.
Pour
l'hystérique,
la
troisième
identification,
se
marque
dans son
problème
de
fixer
son
désir.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
Le
désir
est
au-delà
de
toute
satisfaction
du
besoin.
Le
désir
se
produit
dans la
marge
qui
existe
entre
de la
satisfaction
du
besoin
et de la
demande
d'amour.
Le
désir
de
l'homme
est pour lui à
rechercher
au
lieu
de
l'Autre.
Le
désir
est un
désir
structuré
dans le
lieu
de
l'Autre.
*
Il s'agit pour
l'hystérique,
de
faire
tenir,
de
faire
subsister
l'objet
du
désir,
en tant que
distinct
et
indépendant
de
l'objet
de
tout
besoin.
*
L'obsessionnel
ne se
maintient
dans un
rapport
possible
avec son
désir
qu'à
distance.
*
Ce qui
doit
être
maintenu
pour
l'obsessionnel,
c'est la
distance
à son
désir.
*
L'obsessionnel
s'emploie
à
détruire
le
désir
de
l'Autre.
Une
formule
de la
métaphore
où le
est
nommé
phallus,
et où
apparaissent
le
nom-du-père
sur le
désir
de la
mère
et le
désir
de la
mère
sur sa
symbolisation.
Le
de la
métaphore
symbolise
le
désir
de la
mère
en tant que
phallus.
Dans la
psychose,
le
désir
de la
mère
n'est pas
symbolisé.
La
métaphore
essentielle
donne
au
désir
de
l'Autre
le
signifiant
essentiel
qu'est le
phallus.
Dans le
graphe
5.22.1
, les
quatre
points
donnent
la
définition
du
désir.
L'obsessionnel
annule
le
désir
de
l'Autre.
La
Verneinung
est la
dénégation
du
désir
de
l'Autre.
Une
demande
sentie comme
interdite
tue
le
désir.
L'énergie
du
désir
se
nomme
libido.
Le
jeu
des
symptômes
est
érotisé,
il est
pris
dans le
mécanisme
du
désir.
Le
désir
c'est
d'abord
le
désir
de
l'Autre.
Dans le
graphe
6.1.2
en
le
désir
se
manifeste
dans la
béance,
dans
l'intervalle
qui
sépare
l'articulation
langagière
de la
parole.
L'angoisse
ne se
produit
pas au
niveau
du
désir.
Le
désir
est
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
*
Le
désir
est la
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
Dans le
rêve
le
désir
est
maintien
du
sommeil
et
désir
de
mort.
Le
désir
au
niveau
du
processus
primaire
trouve
sa
satisfaction
dans quelque
chose
qui est un
signifiant.
La
vérité
du
désir
est à elle
seule
une offense à l'autorité de la
loi.
Le
désir
du
rêve
chez
l'adulte
est un
désir
qui est la
marque
d'un
refoulement.
Les
rapports
du
sujet
à
l'objet
sont des
rapports
de
désir.
Le
rêve
marque
et
porte
le
désir.
Le
complexe
de
castration
renvoie
à ceci que le
sujet
craint
d'être
privé
de son
propre
désir.
Les
rapports
de
l'homme
et de la
femme
à leur
désir
sont foncièrement
différents
en
raison
de leur
asymétrie
par
rapport
au
signifiant
phallus.
L'idéal-du-moi
est l'héritier d'un
rapport
premier
du
sujet,
non
pas avec son
désir
mais avec le
désir
de sa
mère.
Dans
l'idéal-du-moi
l'idéal
prend
la
place
de ce qui, chez le
sujet,
a été éprouvé comme
l'effet
d'un
enfant
désiré.
est le
barré
du
désir.
[
Lac66a
, p. 554]
Dans la
perversion
l'enfant
s'identifie
à
l'objet
imaginaire
du
désir
que la
mère
le
désire,
en tant que la
mère
elle-même le
symbolise
dans le
phallus.
[
Lac66a
, p. 554]
Le
désir
de
l'enfant
trouve
à
s'identifier
au
manque-à-être
de la
mère.
[
Lac66a
, p. 565]
Le
rêve
est
métaphore
du
désir.
[
Lac66a
, p. 622]
La
métaphore
est un
certain
passage
du
sujet
au
sens
du
désir.
[
Lac66a
, p. 622]
Le
désir
est à
prendre
à la
lettre.
[
Lac66a
, p. 620]
Au
fondement
du
désir
s'avère
peu
de
sens.
[
Lac66a
, p. 622]
Le
désir
court en
dérivation
de la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 623]
La
métonymie
est cet
effet
rendu
possible
de ce qu'il n'est
nulle
signification
qui ne
renvoie
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 622]
*
Le
désir
ne
fait
qu'assujettir
ce que
l'analyse
subjective.
[
Lac66a
, p. 623]
Le
désir
ne se
saisit
que dans
l'interprétation.
[
Lac66a
, p. 623]
*
L'élaboration
du
rêve
est nourrie par le
désir.
[
Lac66a
, p. 623]
Le
rêve
sert
avant
tout
le
désir
de
dormir.
[
Lac66a
, p. 624]
*
Le
désir
est ce qui se
manifeste
dans
l'intervalle
que creuse la
demande
en-deçà d'elle-même. [
Lac66a
, p. 627]
Le
désir
résulte
pour le
sujet
de la
nécessité
de
faire
passer
son
besoin
par les
défilés
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 628]
L'existence
du
discours
conditionne
le
désir.
[
Lac66a
, p. 628]
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 628]
*
Le
désir
du
rêve
n'est pas
assumé
par le
sujet
qui
dit
je
dans sa
parole.
[
Lac66a
, p. 629]
Le
désir
du
rêve
est
discours
articulé
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 629]
Le
désir
dans le
rêve
est
ex-sistant
,
Entstellung
.
[
Lac66a
, p. 629]
La
signifiance
du
rêve
masque
le
désir.
[
Lac66a
, p. 629]
*
Le
désir
se
produit
dans
l'au-delà
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 629]
*
Le
désir
inconscient
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 632]
Le
désir
transparaît
toujours
dans la
demande,
mais est au-delà . [
Lac66a
, p. 634]
Dans le
fantasme
,
le
est le
en
fading
devant
l'objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 634]
Le
transfert
place
le
sujet
à
l'endroit
de sa
demande
dans une
position
qu'il ne
tient
que de son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
*
La
résistance
du
sujet
quand elle
s'oppose
à la
suggestion,
n'est que
désir
de
maintenir
son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
*
C'est le
désir
qui
maintient
la
direction
de
l'analyse,
hors
des
effets
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 636]
Le
fantasme
est ce par quoi le
sujet
se
soutient
au
niveau
de son
désir
évanouissant.
[
Lac66a
, p. 637]
Le
désir
est
évanouissant
pour autant que la
satisfaction
de la
demande
lui
dérobe
son
objet.
[
Lac66a
, p. 637]
*
Le
désir
est la
métonymie
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, pp. 623,640]
Le
moi
est la
métonymie
du
désir.
[
Lac66a
, p. 640]
Le
désir
du
névrosé
est
d'être
le
phallus.
[
Lac66a
, p. 642]
Le
fading
du
sujet
se
produit
dans la
suspension
du
désir.
[
Lac66a
, p. 656]
Le
désir
règle
la
répétition
signifiante
du
névrosé
comme sa
métonymie.
[
Lac66a
, p. 682]
est
l'objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 682]
Le
désir
mâle
se note
.
[
Lac66a
, p. 683]
Le
désir
de la
femme
se note
.
[
Lac66a
, p. 683]
Le
désir
n'est pas
l'appétit
de la
satisfaction.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
désir
n'est pas la
demande
d'amour.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
désir
est le
phénomène
de la
refente
Spaltung
,
de
l'appétit
de la
satisfaction,
et de la
demande
d'amour.
[
Lac66a
, p. 691]
La
relation
sexuelle
occupe
le
champ
clos du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
phallus
est le
signifiant
de la
marque
où la
part
du
logos
se
conjoint
à
l'avènement
du
désir.
[
Lac66a
, p. 692]
Le
phallus
comme
signifiant
donne
la
raison
du
désir.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est
raison
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
développement
s'ordonne
dans la
dialectique
de la
demande
d'amour
et de
l'épreuve
du
désir.
[
Lac66a
, p. 693]
*
Si le
désir
de la
mère
est le
phallus,
l'enfant
veut
être
le
phallus
pour le
satisfaire.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 694]
La
Verdrängung
est inhérente au
désir.
[
Lac66a
, p. 694]
*
Ce qui
ressurgit
dans
l'inconscient
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre,
soit le
phallus
désiré
par la
mère.
[
Lac66a
, p. 733]
La plupart des
perversions
mâles
ont pour
motif
imaginaire
le
désir
de
préserver
un
phallus,
qui est celui qui a
intéressé
le
sujet
dans la
mère.
[
Lac66a
, p. 734]
L'idéal-du-moi
se
forme
par l'adoption
inconsciente
de
l'image
de
l'Autre
en tant qu'il a la
jouissance
de ce
désir
[
Lac66a
, p. 752]
L'idéal-du-moi
se
forme
avec le
refoulement
d'un
désir
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 752]
Le
désir
se
situe
au
point
où se nouent
ensemble
réel,
imaginaire
et
symbolique.
Le
rapport
du
désir
au
fantasme,
dans le
graphe
6.6.1
,
s'exprime
dans le
champ
intermédiaire
entre
les
deux
lignes
structurales
de
toute
énonciation
signifiante.
Dans le
graphe
6.6.1
, le
désir
se
situe
entre
énoncé
et
énonciation,
soit
entre
les
vecteurs
et
.
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Ce qui est de
l'ordre
du
désir
s'inscrit
dans le
registre
de la
demande.
L'homme
dans
l'amour
est
aliéné
au
phallus
objet
de son
désir.
Le
désir
est quelque
chose
par quoi le
sujet
se
situe,
du
fait
de
l'existence
du
discours,
par
rapport
à la
demande.
Le
désir
va se
produire
entre
le
langage
purement
et simplement
quésitif
et le
langage
votif.
Le
désir
se
fixe
quelque part dans le
discours
de
l'Autre.
Le
désir
du
sujet
est quelque part
intermédiaire
entre
une
pure
et
simple
signification,
et quelque
chose
de
fermé,
d'énigmatique,
,
de
l'ordre
du
signifiant.
Le
partenaire
féminin,
en tant
qu'Autre
est ce qui
domine
toute
l'économie
de son
désir.
Le
désir
est
caractérisé
par son
caractère
non-motivé.
Le
sujet
barré
en
face
de
l'objet
est le
sujet
du
désir.
Le
par
rapport
à
est la
formule
du
désir.
Le
sujet
dans
l'image
de
l'autre
trouve
à se
substituer
un
rapport
du
sujet
au
désir,
.
Le
désir
est
toujours
dans cet
au-delà
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
Le
graphe
6.15.1
indique
un
circuit
qui
commence
en 1, puis passe au
niveau
du
message
en
en 2, puis va au
niveau
du
code
de
l'inconscient
en 3,
revient
vers le
désir
en 4, puis vers le
fantasme
en 5.
Les
symptômes
psychasthéniques
occupent le
désir
de
l'obsessionnel.
*
Le
problème
de
l'obsessionnel
c'est de se
supporter
sur un
désir
impossible.
Le
désir
a un
support
imaginaire.
Le
fantasme
est le
dernier
terme
d'un
désir.
Le
fantasme
est le
substrat
imaginaire
du
désir.
Le
désir
se
distingue
de la
demande
et du
besoin.
Le
est
l'objet
autour de quoi
tourne
la
dialectique
du
désir.
le
rapport
en
présence
du
est le
support
fantasmatique
du
désir.
*
L'hystérie
se
caractérise
par la
fondation
d'un
désir
en tant
qu'insatisfait.
L'obsession
se
caractérise
par la
fonction
d'un
désir
impossible.
La
Chose
freudienne,
c'est le
désir.
*
L'histoire
du
désir
s'organise
en un
discours
qui se
développe
dans
l'insensé
Le
désir
ne se
compose
pas.
Il y a une
articulation
synchronique
entre
le
désir
et son
objet.
C'est dans un
rapport
tiers
avec le
fantasme
que le
sujet
se
constitue
comme
désir.
Le
sujet
ne
peut
se
situer
dans le
désir
sans
se
châtrer.
est
l'objet
du
désir.
Le
sujet
est au
bord
de cette
nomination
défaillante
qui est ce qui est
visé
au
moment
du
désir.
Le
sujet
n'est pas au
point
où il
désire.
*
Le
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
fantasme
est dans le
sujet
le soutien de son
désir.
Le
désir
du
sujet
a à se
situer
devant le
désir
de
l'Autre.
L'objet
phobique
est là pour
occuper
la
place
entre
le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre.
La
peur
de
l'objet
phobique
est
faite
pour
protéger
le
sujet
de son
désir.
Le
sujet
peut
soutenir
son
désir
devant le
désir
de
l'Autre,
comme
désir
insatisfait
chez
l'hystérique.
La
fonction
de
l'hystérique
est
d'empêcher
le
désir
de
venir
à
terme
pour en rester elle-même l'enjeu.
L'obsessionnel
reste
hors
du
jeu
de son
désir.
L'obsessionnel
réserve
l'engagement
de son
véritable
désir
à une date ultérieure.
Le
désir
est une
demande
soumise
à la
loi.
Dans le
désir
s'exprime
l'être
du
sujet.
Le
désigne
le pas
Un
dans la
structure
fondamentale
du
désir.
Le
désir
ce n'est pas la
demande.
*
L'amour
et le
désir
sont
deux
choses
différentes.
Il y a
substitution
imaginaire
quand il y a
substitution
du
moi
au
sujet
barré
concernant le
désir.
La
substitution
du
moi
au
sujet
introduit
la
demande
dans la
question
du
désir.
La
métonymie
régressive
du
névrosé
a pour
conséquence
qu'il ne
peut
demander
que des
substituts
en croyant
demander
ce qu'il
désire.
Le
désir
exige
le
fantasme.
Le
fantasme
soutient
le
sujet
comme
désirant.
La
structure
du
désir
dans la
névrose
est d'une autre
nature
que la
structure
du
désir
dans la
perversion.
La
processus
de
sublimation
se
situe
dans la
reconversion
de
l'impasse
du
désir
dans sa
matérialité
signifiante.
Dans le
névrosé,
le
désir
est à
l'horizon
de ses
demandes.
Pour le
pervers
le
désir
est au
cœur
de
toutes
ses
demandes.
le
phallus
est le
désir
du
désir
de
l'Autre.
L'objet
du
désir
est le
signifiant
du
désir
du
désir.
*
Le
désir
n'a pas d'autre
objet
que le
signifiant
de sa
reconnaissance.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
du
désir.
*
Le
désir
n'a pas d'autre
objet
que le
signifiant
de sa
reconnaissance.
*
Le
,
l'objet
du
désir,
dans sa
nature
est un
résidu,
est un
reste.
*
L'objet
du
désir
est l'inexorable comme tel.
L'objet
du
désir
est un
signifiant.
Le
désir
est
désir
du
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'Autre
est
articulé,
et
structuré
dans le
rapport
du
sujet
à la
parole.
Le
désir
du
sujet
en tant que
désir
du
désir
ouvre
sur la
coupure,
sur
l'être
pur.
L'objet
phallique
est
latent
à
tout
rapport
de
demande
comme
signifiant
du
désir.
La
fonction,
l'instance
de la
censure,
se dégage de
l'énergie
du
désir.
La
dimension
essentielle
du
désir
est
toujours
désir
au
second
degré,
désir
de
désir.
L'interdiction
de
l'inceste
désigne
à la
fois
le
principe
de la
loi
fondamentale,
primordiale,
et en
même
temps
le
désir
le
plus
fondamental.
Le
désir
pour la
mère
ne
saurait
être
satisfait.
L'éthique
psychanalytique
suspend
l'analyste
dans un
rapport
dialectique
du
désir
à la
loi.
*
C'est
l'incidence
concrète
du
signifiant
dans la
soumission
du
besoin
à la
demande,
qui en
refoulant
le
désir
en
position
de
méconnu,
donne
à
l'inconscient
son
ordre.
[
Lac66a
, p. 709]
est la
symbolisation
du
fantasme
qui est la
forme
sous laquelle
s'appuie
le
désir
du
sujet.
*
le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Il y a un
nœud
étroit
du
désir
et de la
loi.
C'est par
rapport
à la
Spaltung
que
doit
être
articulé,
situé,
vu
dans sa
fonction
le
désir
comme tel.
Le
beau
ne
leurre
pas,
contrairement
à la
fonction
du
bien
dans sa
fonction
singulière
par
rapport
au
désir.
La
topologie
du
plaisir
se
définit
comme la
loi
de ce qui se déroule
en-deça
de
l'appareil
du
désir.
Le
désir
est ce
rapport
métonymique
d'un
signifiant
à
l'autre.
Le
désir
se
forme
comme ce qui
supporte
cette
métonymie,
à
savoir
ce que
veut
dire
la
demande
au-delà
de ce qu'elle
formule.
*
La
forme
du
corps
se
présente
comme
l'enveloppe
de
tous
les
fantasmes
du
désir
humain.
Ce que
l'analyste
a à
donner
c'est ce qu'il a, soit
rien
d'autre
que son
désir
averti.
L'analyste
ne
peut
pas
désirer
l'impossible.
*
Il est
impossible
au
psychanalyste,
si son
désir
est averti, qu'il
consente
à
s'arrêter
au
leurre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable
dans la
perspective
analytique,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
Quand le
sujet
fait
de la
culpabilité,
c'est
toujours
, à
l'origine,
à la
racine,
pour autant qu'il a
cédé
sur son
désir.
Céder
sur son
désir
s'accompagne
toujours
dans la
destinée
du
sujet
de quelque trahison.
*
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
Catharsis
a le
sens
de
purification
du
désir.
L'amant
est
sujet
du
désir.
Le
désir
est
désir
d'autre
chose.
L'amour
signifie
la
conjonction
du
désir
avec son
objet
en tant qu'inadéquat.
L'être
de
l'autre,
dans le
désir,
n'est
point
un
sujet.
L'aimant
c'est celui qui
désire.
*
Il est
toujours
inexplicable
que quoi que ce soit
réponde
au
désir.
Ce que le
sujet
trouve
dans
l'analyse,
c'est ce dont il
manque,
à
savoir
son
désir.
La
réalisation
du
désir
n'est pas
possession
d'un
objet.
L'éclosion de
l'amour
de
transfert
est à la fois
chronologique
et
topologique
avec une
inversion
de la
position
de la
recherche
d'un
bien
à la
réalisation
du
désir.
Le
désir
est
articulé
et n'est pas
articulable.
[
Lac66a
, p. 804]
Le
désir
de
l'homme
trouve
forme
comme
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 813]
*
Le
désir
s'ébauche dans la
marge
où la
demande
se
déchire
du
besoin.
[
Lac66a
, p. 814]
Le
désir
se
présente
comme
autonome
par
rapport
à la
médiation
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 814]
La
loi
s'origine
du
désir.
[
Lac66a
, p. 814]
Le
représentant
de la
représentation
cause
le
désir.
[
Lac66a
, p. 814]
Dans le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre,
il s'agit de
détermination
subjective.
[
Lac66a
, p. 814]
Dans la
dialectique
du
désir,
le
phallus
donne
corps
à la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 822]
L'organe
érectile
vient
à
symboliser
la
place
de la
jouissance
en tant que
partie
manquante
à
l'image
désirée.
[
Lac66a
, p. 822]
L'obsessionnel
nie
le
désir
de
l'Autre
en
formant
son
fantasme
à accentuer
l'impossible
de
l'évanouissement
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 824]
Le
désir
ne se
maintient
chez
l'hystérique
que de
l'insatisfaction
qu'on
y
apporte,
en s'y
dérobant
comme
objet.
[
Lac66a
, p. 824]
La
vraie
fonction
du
père
est
d'unir
un
désir
à la
loi.
[
Lac66a
, p. 824]
C'est
l'absence
de
pénis
de la
femme
qui la
fait
phallus,
objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 825]
*
La
castration
veut
dire
qu'il faut que la
jouissance
soit
refusée,
pour qu'elle
puisse
être
atteinte
sur l'échelle
renversée
de la
loi
du
désir.
[
Lac66a
, p. 827]
*
Le
désir
n'est pas une
fonction
vitale.
Le
désir
est, sous
forme
de
métonymie,
suspendu
à une
chaîne
signifiante.
L'analyste
doit
offrir
la
place
vacante
au
désir
du
patient
pour qu'il se
réalise
comme
désir
de
l'Autre.
La
fonction
du
manque
est très
patente
dans la
fonction
désirante
de
l'amour.
*
L'amour
s'articule
dans le
désir.
L'amour
ne
peut
être
articulé
qu'autour du
manque
du
fait
qu'il y a
désir.
La
dialectique
rencontre
la
fonction
métonymique
dans le
désir.
La
subjectivité
se
construit
dans le
pluralisme
des
niveaux
d'identification
que sont
l'idéal-du-moi,
le
moi-idéal,
le
moi
désirant.
Le
désir
se
présente
par
rapport
à la
chaîne
signifiante
inconsciente
comme
constitutive
du
sujet
qui
parle.
C'est dans la
mesure
où le
sujet
s'identifie
au
fantasme
fondamental,
que le
désir
comme tel
prend
consistance.
*
Ce dont il s'agit dans le
désir
c'est d'un
objet
et
non
d'un
sujet.
Le
ressort
de la
naissance
de
l'amour
c'est que le
désir
dans sa
racine,
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
se
définit
comme le
désir
de
l'Autre.
La
vacillation
du
sujet
est comme
constituant
le
fantasme
fondamental
instaurant
le
lieu
où le
sujet
peut
se
fixer
comme
désir.
Quand le
sujet
qui
parle
se
situe
dans un
en-deça
il est dans le
désir.
Le
désir
naturel
a cette
dimension
de ne
pouvoir
se
dire
d'aucune
façon.
L'objet
phallus,
objet
disjoint
du
désir,
n'est pas la
simple
spécification, l'homologue du
imaginaire.
Désir
et
demande
sont
marqués
d'un
trait
de
division,
d'éclatement, de
splitting
.
L'
aphanisis
est la
disparition
du
désir
dans le
complexe
de
castration.
*
Quelque
chose
est
plus
précieux que le
désir
lui-même, d'en garder le
symbole
qui est le
phallus.
c'est la
présence
réelle
du
désir.
L'
aphanisis
c'est la
disparition
du
désir.
Le
phallus
comme
signe
du
désir
se
manifeste
comme
objet
du
désir.
Le génitif présent dans le
désir
de
l'Autre
est à la
fois
subjectif
et
objectif.
*
Le
désir
est
manque.
La
castration
est
identique
à ce
phénomène
qui
fait
que
l'objet
de son
manque
est
identique
à
l'instrument
même
du
désir,
le
phallus.
Le
phallus,
à la
place
symbolique
de
l'instrument
du
désir
est porté à la
fonction
de
signifiant.
La
formule
du
fantasme
peut
se
lire,
barré
désir
de
.
La
notation
du
fantasme
peut
se
lire,
désir
de
,
l'objet
du
désir.
Il y a
place
au
désir,
là où il y a
demande
pour
rien.
La
demande
inconditionnelle
fait
la
place
au
désir.
*
La
métaphore
du
désirant
dans
l'amour
implique
ce à quoi elle est
substituée
comme
métaphore.
*
Ce qui est
désiré,
c'est le
désirant
dans
l'autre.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
*
Il n'y a de
signal
d'angoisse
qu'en tant qu'il se
rapporte
à un
objet
de
désir
en tant qu'il
perturbe
le
moi-idéal
.
*
L'angoisse
est le
mode
radical
sous lequel est
maintenu
le
rapport
au
désir.
Dans la
détresse,
l'angoisse
est le
dernier
mode,
le
mode
radical,
sous lequel
continue
de se
soutenir,
même
si c'est d'une
façon
insoutenable, le
rapport
au
désir.
La
phobie
est
faite
pour
soutenir
le
rapport
du
sujet
au
désir
sous la
forme
de
l'angoisse.
*
Le
désir
vient
à
émerger
pour
combler
le
manque
de
certitude,
le
manque
de
garantie
auxquels le
sujet
se
trouve
confronté.
L'angoisse
est ce
rapport
de soutien au
désir,
là où
l'objet
manque.
*
Le
désir
est un remède à
l'angoisse.
*
Le
désir
a la
même
structure
que le
rêve.
Le
désir
se
distingue
de la
demande
et du
besoin.
Il y a
tout
un
décalage
de
l'objet
du
désir
par
rapport
à
l'objet
réel
qui est foncièrement
déterminé
par le
caractère
négatif
ou
inclus
de
l'apparition
du
phallus.
Le
c'est
l'objet
du
désir.
La
disjonction
du
et du
c'est que le
sujet
vient
à se loger comme tel, et que
l'identification
a à se
faire
avec ce quelque
chose
qui est
l'objet
du
désir.
Dire
l'objet
de son
désir
c'est un
acte
d'imagination.
Le
névrosé
essaie
de
faire
passer
dans la
demande
ce qui est
l'objet
de son
désir.
Le
névrosé
essaie
de
satisfaire,
par la conformation de son
désir,
à la
demande
de
l'autre.
Le
désir
de l'un qui est
demande
de
l'autre,
la
demande
de l'un qui est le
désir
de
l'autre,
est le
nœud
où se
coince
la
dialectique
de la
frustration.
L'objet
du
désir
est
l'effet
de
l'impossibilité
de
l'Autre
de
répondre
à la
demande.
Le
névrosé,
dans une
dépendance
à la
demande
de
l'Autre,
essaie
de
fonder,
d'instituer
son
désir.
Le
désir
se
constitue
d'abord,
de sa
nature,
comme ce qui est
caché
à
l'Autre
par
structure.
C'est
l'impossible
à
l'Autre
qui
devient
le
désir
du
sujet.
*
Le
désir
se
constitue
comme la
partie
de la
demande
qui est
cachée
à
l'Autre.
Le
désir
inconscient
est la
métonymie
de
toutes
les
demandes.
Le
symbole
est
symbole
de la
demande
qui est
désir
métonymique.
,
l'addition
de la
demande
et du
désir,
permet
de
symboliser
la
demande
avec sa
sous-jacence
de
désir.
est
l'objet
du
désir.
Le
phallus
est
l'instrument
du
désir.
*
Le
désir
se
construit
sur le
chemin
d'une
question
qui le
menace.
L'angoisse
passe
par le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
est le
produit
de
mon
désir
par le
désir
de
l'Autre,
ça
ne
peut
donner
qu'un
manque
.
*
Le
désir
existe.
*
L'angoisse
c'est la
sensation
du
désir
de
l'Autre.
Le
phallus
est un
médium
entre
demande
et
désir.
*
Le
phallus
est cet
élément
de
médiation
qui
donne
au
désir
son
support.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
demande
le
désir
et le
phallus
désire.
La
sensation
d'angoisse
est le
désir
de
l'Autre.
L'angoisse
est la
sensation
du
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
inconscient
se
trouve
dans la
répétition
de la
demande.
C'est parce que
l'objet
devient
reconnaissable
comme
signifiant
d'une
demande
latente
qu'il
prend
valeur
d'un
désir
qui est d'un
autre
registre.
Le
phallus
est le
pivot,
le
point
tournant
de la
constitution
de
tout
objet
comme
objet
du
désir.
Bien que le
désir
ne soit pas
articulable,
il est
articulé.
Dans la
formule
du
fantasme
,
le
se
lit
poinçon,
désir
de.
Tout
ce que nous
voulons
posséder
pour le
désir
et
non
pour la
satisfaction
d'un
besoin
nous fuit et se
dérobe.
Tout
désir
porte
avec lui de
l'aveuglement.
est
l'objet
du
désir.
Le
troisième
mode
d'identification
est là où le
sujet
se
constitue
comme
désir.
Le
désir
n'est
concevable
pour
l'homme
qu'à partir de la
fonction
du
grand
Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
Le
psychotique
est
normal
dans sa
psychose
parce que le
psychotique,
dans le
désir,
a affaire à son
corps.
L'objet
du
désir
et un
objet
non-spéculaire.
Le
désir
de
l'Autre
est le
point
nodal,
le
point
phallique.
est ce que
l'Autre
désire
dans le
sujet
défaillant, dans le
fantasme
le
.
c'est le
désir.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
le “de” du
désir
de
l'Autre
est un génitif
objectif.
Le
est le
support
du
désir
dans le
fantasme.
Plus
l'homme
s'approche
de ce qu'il
croit
être
l'objet
de son
désir,
plus
il en est
détourné.
désir
de
est la
formule
du
fantasme.
L'existence
de
l'angoisse
est
liée
à ceci que
toute
demande
a
toujours
quelque
chose
de
leurrant
par
rapport
à ce qui
préserve
la
place
du
désir.
Le
désir
est le
suppôt
de la
refente
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 773]
Le
fantasme
fait
le
plaisir
propre
au
désir.
[
Lac66a
, pp. 773–774]
*
Désir
n'est pas
sujet.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
désir
n'est
nulle
part
indicable
dans un
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
désir
n'est pas
articulable
dans un
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
désir
est
articulé
dans un
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 774]
Dans la
formule
du
fantasme
, le
poinçon
se
lit
désir
de, à
lire
de même de droite à gauche. [
Lac66a
, p. 774]
L'ordre
du
fantasme
sadien
supporte
l'utopie
du
désir.
[
Lac66a
, p. 775]
Le
désir
se
supporte
d'un
fantasme,
dont une
partie
au
moins,
est dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 780]
*
La
loi
et le
désir
refoulé
sont une
seule
et
même
chose. [
Lac66a
, p. 782]
L'origine
du
désir
est
désir
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 784]
La
psychanalyse
reconnaît
dans le
désir
la
vérité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 785]
Le
désir
est
l'envers
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 787]
Le
désir
dans
l'expérience
sadique
part
soumis
au
plaisir.
[
Lac66a
, p. 773]
désir
de
est la
formule
du
fantasme
en tant que
support
du
désir.
L'objet
est la
cause
du
désir.
*
L'objet
est
derrière
le
désir.
Dans le
fétiche,
se
dévoile
la
dimension
de
l'objet
comme
cause
du
désir.
*
Pour le
fétichiste
il faut que le
fétiche
soit là, qu'il est la
condition
dont se
soutient
son
désir.
Le
désir
sadique
s'entend
à
faire
vibrer
l'angoisse
de
l'autre
par
rapport
à son
existence
essentielle
comme
sujet.
Ce qui
caractérise
le
désir
sadique,
c'est qu'il ne
sait
pas qu'il
cherche
à se
faire
apparaître
comme
pur
objet.
Se
reconnaître
comme
objet
de son
désir,
c'est
toujours
masochiste.
*
L'objet
est la
cause
du
désir.
Le
mythe
d'Œdipe
c'est qu'à
l'origine
le
désir
du
père
et la
loi
sont une
seule
et
même
chose.
*
Le
rapport
de la
loi
au
désir
est si
étroit
que
seule
la
fonction
de la
loi
trace
le
chemin
du
désir.
Le
désir
pour la
mère
est
identique
à la
fonction
de la
loi,
elle
l'interdit.
*
Le
désir
du
père
c'est cela qui a
fait
la
loi.
Le
masochiste
entend
faire
apparaître
que le
désir
de
l'Autre
fait
de la
loi.
*
Se
reconnaître
comme
l'objet
de son
désir
c'est
toujours
masochisme.
*
Se
reconnaître
comme
objet
de son
désir
c'est
toujours
masochisme.
Le
désir
et la
loi
c'est la
même
chose
car ils ont leur
objet
commun.
Le
désir
n'est pas
articulable
encore
qu'il soit
articulé.
Dans
l'
acting-out
,
le
désir
pour
s'affirmer
comme
vérité,
s'engage
dans une
voie
de
monstration.
Le
est
cause
du
désir.
Il y a
identité
du
désir
et de la
loi.
Le
désir
c'est la
loi.
Ce qui
normative
le
désir,
c'est la
loi
d'interdiction
de
l'inceste.
Dans la
manifestation
sadienne
le
désir
se
présente
comme
volonté
de
jouissance.
Le
névrosé
met en
valeur
qu'il ne
peut
désirer
que selon la
loi.
L'angoisse
c'est quand le
désir
de
l'Autre
ne me
reconnaît
pas.
*
Le
désir
ne
concerne
pas
l'objet
aimé.
Le
est le
sujet
du
désir.
L'angoisse
est le
rapport
avec
l'objet
cause
du
désir.
L'angoisse
tient
une
position
médiane
entre
jouissance
et
désir.
L'angoisse
se
situe
dans la
béance
du
désir
à la
jouissance.
*
L'objet
choit
du
sujet,
essentiellement
dans sa
relation
au
désir.
Le
du
fantasme
est
support
du
désir.
*
L'angoisse
fait
le
médium
du
désir
à la
jouissance.
*
Seul
l'amour
permet
à la
jouissance
de condescendre au
désir.
Désirer
l'Autre
,
ce n'est
jamais
que
désirer
.
*
L'amour
est la
sublimation
du
désir.
Seul
l'amour-sublimation
permet
à la
jouissance
de condescendre au
désir.
Il n'y a de
désir
réalisable
qu'impliquant
la
castration.
Chez la
femme,
il n'y a
rien
à
désirer
sur le
chemin
de la
jouissance.
L'angoisse
se
produit
dans la
faille
entre
jouissance
et
désir.
Le
lien
de la
femme
au
nœud
du
désir
est beaucoup
plus
lâche.
Le
manque
de
l'objet
cause
du
désir
est
relié
chez
l'homme
au
.
Pour la
femme,
le
désir
de
l'Autre
est le
moyen
pour que sa
jouissance
ait
un
objet
convenable.
*
Laisser
voir
son
désir
pour
l'homme,
c'est
essentiellement
laisser
voir
ce qu'il n'y a pas.
*
La
norme
du
désir
et la
loi
sont une
seule
et
même
chose.
Pour la
femme,
c'est
initialement
ce qu'elle n'a pas comme tel, qui
constitue
au
départ
l'objet
de son
désir.
Pour
l'homme
au
départ,
c'est ce qu'il n'est pas qui
constitue
l'objet
de son
désir.
Le
sujet
n'a qu'un
désir,
celui de
retourner
à la
castration
première.
La
circoncision
a le
rapport
le
plus
évident avec la
normativation
de
l'objet
du
désir.
La
femme
n'a
aucun
risque à
rechercher
ce qu'il en est du
désir
de
l'homme.
Le
n'est
supporté,
constitué
que par
l'intermédiaire
du
désir
de
l'Autre.
Nous ne sommes
objets
de
désir
que comme
corps.
*
Le
rapport
du
sujet
au
signifiant
nécessite
la
structuration
du
désir
dans le
fantasme.
*
Le
désir
est
illusion.
Le
désir
est
illusion
en tant qu'il n'a de
support,
de débouché, de
visée
sur
rien.
L'objet
est un
objet
pour le
désir.
*
Il y a, au
stade
oral,
un
certain
rapport
de la
demande
au
désir
voilé
de la
mère.
*
Il y a, au
stade
anal,
l'entrée
en
jeu,
pour le
désir,
de la
demande
de la
mère.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
*
Le
désir
est
illusion.
*
Le
désir
n'est
qu'illusion.
Le
désir
se
lie
à la
fonction
de la
coupure.
Le
désir
se met dans un
certain
rapport
avec la
fonction
du
reste.
Le
reste
soutient,
anime
le
désir.
Le
lieu
du
manque,
dans son
rapport
au
désir,
est
structuré
par le
fantasme,
par la
vacillation
du
sujet
dans son
rapport
à
l'objet
partiel.
L'angoisse
se
crée
dans la
non-coïncidence
du
manque
avec la
fonction
du
désir
en
acte.
Dans le
complexe
de
castration
il y a un
véritable
renversement
du
point
de
désir
et du
lieu
de
l'angoisse.
Le
désir
est
illusoire
parce qu'il
s'adresse
toujours
ailleurs,
à un
reste
constitué
par la
relation
du
sujet
à
l'Autre
qui
vient
s'y
substituer.
L'objet
est
non
seulement
séparé
mais
éludé,
toujours
ailleurs
que là où le
désir
le
supporte.
L'objet
est en
relation
profonde
avec le
désir.
*
La
fonction
du
désir,
le
fantasme,
est
toujours
marqué
d'une
parenté
avec les
modèles
visuels.
Il y a
rapport
réciproque
du
désir
à
l'angoisse
sous une
forme
radicalement
masquée.
La
structure
de la
pulsion
est
supportée
par la
formule
rapport
de
désir
à la
demande,
.
*
C'est parce que le
phallus
ne
réalise
pas, si ce n'est dans son
évanescence,
la
rencontre
des
désirs,
qu'il
devient
le
lieu
commun
de
l'angoisse.
Le
,
pour les
deux
sexes,
c'est ce que
je
désire
et que
je
ne puis
avoir
qu'en tant que
.
L'œil
institue
le
rapport
fondamental
désirable
en ceci qu'il tend
toujours
à
faire
méconnaître,
dans le
rapport
à
l'autre,
que sous ce
désirable
il y a un
désirant.
Le
sacrifice
est destiné à la
capture
de
l'Autre
comme tel dans le
réseau
du
désir.
L'angoisse
gît
dans le
rapport
fondamental
où le
sujet
est dans le
désir
de
l'Autre.
Dans
toute
avancée,
comme tel,
l'angoisse
apparaît
en
fonction
de son
rapport
au
désir
de
l'Autre.
n'est pas
l'objet
du
désir,
il en est la
cause.
est
cause
du
désir.
est la
cause
du
désir.
Le
désir
est
l'effet
primordial
de la
cause
.
Au
niveau
scopique,
celui du
fantasme,
se
manifeste
la
puissance
dans
l'Autre,
le
mirage
du
désir
humain.
Pour
l'obsessionnel,
le
désir
dans
l'Autre
est
essentiellement
refoulé.
Pour
couvrir
le
désir
de
l'Autre,
l'obsessionnel
a
recours
à sa
demande.
*
L'évitement
de
l'obsessionnel
c'est la
couverture
du
désir
dans
l'Autre
par la
demande
dans
l'Autre.
L'analyse
a pour
but
la
découverte
d'un
désir.
Le
défaut
de
phallus
est
constituant
de la
disjonction
qui
joint
le
désir
à la
jouissance.
L'excrément
n'est pas
l'effet
du
désir
anal,
il en est la
cause.
Par
rapport
au
désir,
l'objet
se
présente
toujours
là où
s'élabore,
dans le
sujet,
la
fonction
de la
cause
même.
Dans les
rapports
du
désir
et de
l'angoisse,
l'émoi
c'est le
.
L'objet
cessible
est
non
pas
fin,
but
du
désir,
mais sa
cause.
La
cause
du
désir
se
situe
au
niveau
de la
chaîne
signifiante
essentiellement
comme
métonymique.
L'inhibition
est
l'introduction
dans une
fonction
d'un
autre
désir
que celui que la
fonction
satisfait
naturellement.
L'
Urverdrängung
est
l'occultation
structurale
du
désir
derrière
l'inhibition.
L'acte
est une
action
qui a le
caractère
d'une
manifestation
signifiante
où
s'inscrit
l'écart du
désir.
Un
acte
est une
action
en tant que s'y
manifeste
le
désir
même
qui aurait été
fait
pour
l'inhiber.
Chez
l'obsessionnel
les
désirs
se
manifestent
toujours
dans la
dimension
d'une
fonction
de
défense.
L'angoisse
sépare
le
désir
de la
jouissance.
Au
niveau
du
désir
génital,
le
symbolise
le
résidu
subjectif
au
niveau
de la
copulation.
Le
désir
de
l'obsessionnel
se
situe
en
suppléance
de ce qui est
impossible
à
suppléer
ailleurs,
c'est-à-dire en son
lieu.
*
L'obsessionnel
soutient
son
désir
comme
impossible.
L'obsessionnel
soutient
son
désir
au
niveau
des
impossibilités
du
désir.
L'angoisse
se
manifeste
d'une
façon
complexe
au
désir
de
l'Autre.
La
fonction
angoissante
du
désir
de
l'Autre
est
liée
au
fait
que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour ce
désir.
L'angoisse
est
liée
à ceci que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
est
déterminé
par le
premier
objet
caractéristiquement
cessible.
Il y a
impossibilité
pour le
sujet,
au
niveau
du
désir
de
trouver
en lui-même,
sujet,
sa
cause.
Le
,
marqué
comme
cause
du
désir,
se
définit
comme un
reste
irréductible
à la
symbolisation
au
lieu
de
l'Autre.
L'objet
est le
désirant
d'un
manque
qui n'est pas un
manque
du
sujet,
mais d'un
défaut
fait
à la
jouissance
qui se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
Le
désir
doit
franchir
le
fantasme
même
qui le
soutient
et le
construit.
Le
problème
du
deuil
est celui du
maintien
des
liens
par où le
désir
est
suspendu,
dimension
idéalisée
de
l'amour,
.
*
Dans
l'angoisse,
le
sujet
est
affecté
par le
désir
de
l'Autre.
L'orgasme
est en lui-même
angoisse,
pour autant que le
désir
est
séparé
de la
jouissance.
*
Le
sujet
est
captif
de la
fonction
du
désir.
L'
agalma
est cet
objet
dont le
sujet
croit
que son
désir
le
vise
et où il
porte
à son extrême la
méconnaissance
de cet
objet
comme
cause
du
désir.
Le
désir
rencontre
quelque part sa
limite.
Le
désir
se
soutient
dans le
rapport
à sa
limite,
et
franchit
le
seuil
imposé
par le
principe
du
plaisir.
Le
désir
est
indestructible
car il
soutient
une
image
du
passé.
Le
désir
échappe au
temps.
*
Le
nom-du-père
soutient
la
structure
du
désir
avec celle de la
loi.
*
Le
désir
de
l'hystérique,
c'est de
soutenir
le
désir
du
père.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
5
.
115
Le
sujet
néantisant
s'oppose
au
sujet,
se
soutenant
dans une
fonction
de
désir.
Le
sujet
est
néantisé
sous une
forme
qui est
l'incarnation
dans
l'image
du
de la
castration
et rend
nécessaire
l'organisation
des
désirs
à travers le cadre des
pulsions
fondamentales.
le
sujet
du
désir
est
l'essence
de
l'homme.
Dans le
rapport
de
désir,
la
réalité
n'apparaît
que
marginale.
cf.
11.9.1
Le
regard
opère
dans une descente de
désir
à
l'Autre,
au bout duquel est le
donné
à
voir.
*
Tout
désir
humain
est
centré
sur la
castration.
*
Le
désir
de
l'homme
est
désir
de
l'Autre.
L'objet
symbolise
le
manque
central
du
désir,
.
Toute
énonciation
parle
du
désir.
Le
désir
est le
point
nodal
par quoi la
pulsation
de
l'inconscient
est
liée
à la
réalité
sexuelle.
*
Le
désir
se
situe
dans la
dépendance
de la
demande.
Le
reste
métonymique
s'est le
désir.
La
double
face
de la
fonction
du
désir
est
résidu
dernier
de
l'effet
du
signifiant
dans le
sujet.
L'essentiel
du
processus
primaire
s'institue
de la
fonction
du
désir.
C'est du
point
où le
sujet
désire,
que la
connotation
de
réalité
est
donnée
dans
l'hallucination.
Le
désir
est le
lieu
de
jonction
du
champ
de la
demande
dans sa corrélation avec la
réalité
sexuelle.
Le
désir,
c'est le
désir
de
l'analyste.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
sein
est un
objet
cause
du
désir.
L'interprétation
pointe
le
désir.
L'interprétation
est
identique
au
désir.
Le
désir,
c'est
l'interprétation
elle-même.
C'est dans le
gîte
de la
métonymie,
que
glisse
le
désir.
Le
désir
de
l'Autre
est
appréhendé
par le
sujet,
dans ce qui ne
colle
pas, dans les
manques
du
discours
de
l'Autre.
La
dialectique
des
objets
du
désir
fait
le
joint
du
désir
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
Le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre,
c'est le
même.
La
dialectique
des
objets
du
désir
passe
par ceci, qu'il n'y est pas
répondu
directement.
La
signification
est le
représenté
du
désir.
C'est dans
l'intervalle
entre
le
signifiant
unaire
et le
signifiant
binaire,
que
gît
le
désir
offert au
repérage
du
sujet,
dans
l'expérience
du
discours
de
l'Autre.
C'est en tant que le
désir
de
l'Autre
est
au-delà
ou en-deçà de ce qu'il
dit,
de ce qu'il
fait
surgir
comme
sens,
c'est en tant que son
désir
est
inconnu,
c'est en ce
point
de
manque,
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
Le
transfert
est un
phénomène
nodal
de
l'être
humain
lié
au
désir.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Ce n'est qu'au
niveau
du
désir
de
l'Autre,
que
l'homme
peut
reconnaître
son
désir.
*
L'objet
du
désir,
c'est la
cause
du
désir.
L'objet,
cause
du
désir,
c'est
l'objet
de la
pulsion.
Le
désir
fait
le
tour
de
l'objet
de la
pulsion
en tant qu'il est
agi
dans la
pulsion.
Ne pas
vouloir
désirer
et
désirer,
c'est la
même
chose.
La
dialectique
du
désir
du
sujet
se
constitue
du
désir
de
l'Autre.
Les
significations
dialectisées
dans le
rapport
du
désir
de
l'Autre
donnent
au
rapport
du
sujet
à
l'inconscient
une
valeur
déterminée.
*
Le
sujet
est
supposé
savoir
de
seulement
être
sujet
du
désir.
Le
sujet,
en tant
qu'assujetti
au
désir
de
l'analyste,
désire
le
tromper
de cet
assujettissement.
Le
moi-idéal
est le
point
où le
sujet
désire
se complaire en lui-même.
L'analyse
s'engage
dans le
manque
central,
où le
sujet
s'expérimente
comme
désir.
Le
désir
de
l'analyste
est ce qui ramène la
demande
à la
pulsion.
Le
désir
de
l'analyste
tend dans le
sens
exactement
contraire
à
l'identification.
*
Le
désir
de
l'analyste
n'est pas un
désir
pur.
Le
désir
de
l'analyste
est
d'obtenir
la
différence
absolue
quand,
confronté
au
signifiant
primordial,
le
sujet
vient
pour la
première
fois
en
position
de se
l'assujettir.
Le
désir
fait
son lit de la
coupure
signifiante
où s'effectue la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 835]
La
métonymie
est le véhicule du
désir.
[
Lac66a
, p. 843]
*
C'est
entre
le
sein
et la
mère
que
passe
le
plan
de
séparation
qui
fait
du
sein
l'objet
perdu
en
cause
dans le
désir.
[
Lac66a
, p. 848]
*
La
loi
est au
service
du
désir
qu'elle
institue
par
l'interdiction
de
l'inceste.
[
Lac66a
, p. 852]
*
L'inconscient
montre
que le
désir
est
accroché
à
l'interdit.
[
Lac66a
, p. 852]
C'est
l'assomption
de la
castration
qui
crée
le
manque
dont
s'institue
le
désir.
[
Lac66a
, p. 852]
*
Le
désir
est
désir
de
désir.
[
Lac66a
, p. 852]
Le
désir
est
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 852]
*
La
pulsion
divise
le
sujet
et le
désir.
[
Lac66a
, p. 853]
Le
désir
ne se
soutient
que du
rapport
qu'il
méconnaît,
de la
division
du
sujet
à un
objet
qui le
cause.
[
Lac66a
, p. 853]
*
C'est le
désir
de
l'analyste
qui, au
dernier
terme,
opère
dans la
psychanalyse.
[
Lac66a
, p. 854]
L'axe
de
l'analyse,
c'est le
désir
de
l'analyste
comme tel.
L'esclave
a un
désir.
Le
désir
introduit
les
catégories
d'indétermination,
de
tromperie,
de
certitude
et
d'impossible.
L'objet
est
cause
du
désir.
La
barrière
de
l'inceste
protège et
nourrit
le
désir.
5
.
116
*
le
désir
est la
coupure
par quoi se
révèle
une
surface
comme
acosmique
.
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
L'Autre
n'est pas
désiré.
*
L'Autre
est
désirant.
Le
désir
de
l'Autre
est au
cœur
de
l'objet
.
Il y a
opposition
entre
demande
et
désir.
La
troisième
identification
est
identification
directe
du
désir
au
désir
par
communication
directe
du
désir
de
l'Autre.
Toute
la
pulsation
du
désir
va contre
l'homéostasie
de la moindre
tension.
*
Le
désir,
c'est
toujours
le
désir
de
l'Autre.
*
C'est du
réel
du
désir
et de son
statut
qu'il s'agit dans
l'opération
analytique.
Au
psychanalyste
est confié
l'opération
de la
conversion
éthique
radicale
qui
introduit
le
sujet
à
l'ordre
du
désir.
L'analyse
est le
lieu
où se
vérifie,
d'une
façon
radicale,
que le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
La
nature
de
tout
désir
humain
est
fondamentalement
sexuelle.
*
C'est en tant que
je
suis
que
mon
désir
est le
désir
de
l'Autre.
Dans la
névrose,
c'est par
rapport
à la
demande
de
l'Autre
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
*
Le
désir
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
Ce que
l'Autre
demande,
n'est pas ce qu'il
désire.
*
Un
désir
suppose
toujours
au
moins
deux
demandes
et une
demande
suppose
toujours
au
moins
deux
désirs.
*
Le
désir
c'est son
interprétation.
Le
est
cause
du
désir
et
valeur
qui le
détermine.
*
La
sexualité
entre
en
jeu
d'abord
par le
biais
du
désir
de
savoir.
*
Le
désir,
c'est
d'abord
le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
est à
mesurer
en
fonction
d'une
demande
de
l'Autre.
L'ambivalence
exprime
la
duplicité
du
désir
par
rapport
à la
demande.
Le
fantasme
n'est pas
illusoire,
mais c'est par sa
fonction
illusoire
qu'il
soutient
le
désir.
*
il ne
saurait
y
avoir
d'
aphanisis
du
désir.
*
L'homme
persévère dans
l'être
comme
désir.
La
dimension
du
désir
surgit
avec
l'avènement
d'un
objet
qui n'est pas
l'objet
de la
satisfaction
d'un
besoin
mais d'un
rapport
de la
demande
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
Pour le
névrosé,
sa
demande
vise
le
désir
de
l'Autre
et son
désir
vise
la
demande
de
l'Autre.
Pour ce qui est de la
voix,
l'objet
est
directement
impliqué
et immédiatement au
niveau
du
désir.
*
La
voix
n'est pas
seulement
l'objet
causal
mais
l'instrument
où se
manifeste
le
désir
de
l'Autre.
*
Dans la
jouissance
féminine
peut
entrer
comme
objet
le
désir
de
l'homme,
comme tel.
*
Le
fantasme
et le
désir
sont précisément des
barrières
à la
jouissance.
C'est un
objet
chu
du
corps
qui
organise
la
demande
et le
désir.
L'angoisse
surgit
de ceci que la
question
sur la
jouissance
ne lui
vient
que du
désir
de
l'Autre.
Il y a
non-séparation
primitive
de la
réalité
et du
désir.
*
Le
désir
est
l'essence
de la
réalité.
C'est
essentiellement
dans la
représentation
d'un
manque
que
s'institue
la
structure
fondamentale
de
l'étoffe
du
désir.
Le
désir
possède
une
persistance
indestructible.
[
Lac66a
, p. 52]
*
Il n'y a pas de
sujet
de
désir.
[
Lac66c
, p. 9]
Le
,
de
barré
est le
signifiant
constituant
un des
points
nodaux
du
réseau
autour duquel
s'articule
toute
la
dialectique
du
désir.
est
l'objet
cause
du
désir.
*
Au
niveau
de la
sexualité,
le
désir
se
représente
par la
marque
d'un
manque.
*
Le
désir
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
du
névrosé
tourne
autour de la
demande
de
l'Autre.
Le
phallus
comme
signifiant
donne
la
moyenne
et extrême
raison
de la
division
harmonique
du
désir.
Ce que
donne
la
femme
sous la
forme
de ce qu'elle n'a pas est aussi la
cause
de son
désir.
Ce que
donne
la
femme
de ne pas
l'avoir
devient
la
cause
de son
désir.
L'acte
névrotique
n'a pas
d'autre
fin
que de
soutenir
l'effet
du
désir.
Le
désir
est
manque.
*
Il n'y a pas
d'objet
dont le
désir
se
satisfasse.
L'érection
ça n'a
rien
à
faire
avec le
désir.
Le
désir
féminin
et le
désir
masculin
sont dans une certaine
relation
à un
manque
symbolisé
qui est le
manque
phallique.
*
Le
désir
n'a
rien
à
faire
avec la
demande.
Le
désir
c'est ce qui se
produit
dans
l'acte
de la
demande.
C'est de la
demande
que
surgit
le
désir.
Le
désir
n'est qu'un
sous-produit
de la
demande.
*
Il y a quelque
chose
de
déplacé
qui rend
l'objet
de la
demande
impropre
à
satisfaire
le
désir.
Le
désir
ne
peut
être
satisfait,
contrairement
à la
demande.
*
Le
désir
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
c'est son
interprétation.
La
position
de
l'analyste
se
tient
dans le
vide,
le
trou,
la
place
du
désir.
*
Le
désir
du
psychanalyste,
c'est son
énonciation.
[
Lac68e
, p. 23]
*
Le
désir
de
l'homme
est
excentrique.
[
Lac68b
, p. 43]
Le
désir
se
forme
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac68b
, p. 43]
*
Le
désir
n'est
présent
que sous la
demande.
[
Lac68a
, p. 56]
L'objet
est
l'objet,
cause
du
désir.
[
Lac70b
, p. 11]
Le
désir
du
psychanalyste
est ce
lieu
dont
on
est
hors
sans
y
penser.
[
Lac70b
, p. 14]
Le
désir
du
sujet
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac70b
, p. 14]
Le
désir
du
psychanalyste
n'a
rien
à
faire
avec le
désir
d'être
psychanalyste.
[
Lac70b
, p. 19]
*
Le
désir
de
l'analyste
occupe
l'objet
. [
Lac70b
, p. 24]
Le
langage
fabrique
le
désir.
L'objet
a pour
propriété
d'être
ce qui
fait
le
désir.
Le
désir
est ce qui est
supporté
par la
formule
du
fantasme.
Le
désir
est
fonction
du
sujet.
L'objet
perdu
initial
est
l'objet
cause
du
désir.
L'objet
a la
fonction
clé dans la
détermination
du
désir.
*
C'est de son
désir
à
l'Autre,
que
je
suis.
*
Le
désir
ne
peut
se
dire.
Le
désir
n'est que la
désignation
du
dire.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
L'objet
est la
cause
du
désir
du
psychanalysant.
[
Lac84b
, p. 18]
Le
désir
se
joue
dans le
champ
de
l'Autre
tel qu'il
s'articule
comme
lieu
de la
parole.
Il y a
homologie
entre
les
failles
de la
logique
et de la
structure
du
désir.
Le
symptôme
névrotique
s'articule
entre
le
champ
du
moi
tel qu'il
s'ordonne
spéculairement
et celui du
désir
en tant qu'il
s'articule
par
rapport
au
champ
dominé
par
l'objet
.
L'objet
,
en tant que
cause
du
désir,
se
produit
dans le
savoir.
La
vérité
de
l'interprétation
analytique
est du
côté
du
désir,
c'est-à-dire de la
division
du
sujet.
*
Le
savoir
sert
la
femme,
parce qu'il la
fait
cause
du
désir.
Le
désir
de
savoir
n'a
aucun
rapport
avec le
savoir.
*
Il semble que ce soit le
discours
philosophique
qui
ait
animé
le
maître
du
désir
de
savoir.
*
Le
désir
du
maître
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
De
l'autre
coté du
désir
est le site de
l'Autre,
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
fantasme
domine
toute
la
réalité
du
désir,
c'est-à-dire la
loi.
L'objet
cause
du
désir
ne se
manifeste
que comme
manque-à-être.
Ce n'est qu'à ce que
se
substitue
à la
femme
que
l'homme
la
désire.
Gouverner,
éduquer,
analyser,
désirer
sont des
opérations
impossibles.
Gouverner,
éduquer,
analyser,
désirer
font
partie
du
discours
de
l'hystérique.
Dans le
discours
de
l'analyste,
marque
l'impossibilité
pour le
sujet
de sa
position
de
représenter
l'agent,
la
cause
du
désir.
*
Le
désir
d'être
le
maître
contredit
le
fait
même
du
psychanalyste.
[
Lac70d
, p. 71]
*
La
cause
du
désir
se
distingue
de son
objet.
[
Lac70d
, p. 71]
Le
pénis
se
règle
sur la
loi,
c'est-à-dire sur le
désir,
le
plus-de-jouir,
la
cause
du
désir,
le
fantasme.
Le
désir
de
l'homme
est
lié
à sa
cause,
le
plus-de-jouir.
Le
plus-de-jouir
prend
sa
source
dans le
champ
d'où
tout
part,
l'effet
du
langage
dans le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
s'écrit
.
Le
désir
de la
femme
s'écrit
.
La
demande
ne
peut
situer
ce qu'il en est de
l'objet
du
désir.
Ce que
je
t'offre
n'est pas ce que
tu
désires.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Ce qui est
reste
dans le
désir
est sa
cause.
L'impuissance
de
l'amour
tient
à
l'ignorance
d'être
le
désir
d'être
Un.
L'interprétation
porte
sur la
cause
du
désir.
[
Lac73a
, p. 30]
La
cause
du
désir,
c'est
l'objet
.
[
Lac73a
, p. 30]
L'univers
n'est que dans la
cause
du
désir.
[
Lac73a
, p. 30]
L'objet
est
déterminé
comme
sujet,
car
divisé
comme
sujet,
il est la proie du
désir.
Le
désir
et la
libido
c'est la
même
chose.
Le
signe
d'amour
est quelque
chose
qui est
susceptible
de
provoquer
le
désir.
L'objet
,
c'est la
cause
du
désir.
La
vérité
présume le
désir,
inscrit
d'une
contingence
corporelle.
Le
phallus
est le point-clé, le
point
extrême de ce qui
s'énonce
comme
cause
du
désir.
*
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
Dans le
désir
de
toute
demande,
il n'y a que la
requête
de ce quelque
chose
qui, au
regard
de la
jouissance,
serait
satisfaisant.
Je
vient
se
substituer
à
l'Autre
sous la
forme
de la
cause
du
désir.
Pour
tout
être
parlant,
la
cause
du
désir
est
strictement
équivalente
à sa
division
du
sujet.
L'objet
est la
cause
par quoi le
sujet
s'identifie
à son
désir.
Le
désir
est
strictement,
durant
toute
la
vie,
toujours
le
même.
Derrière
la
vérité
il y a
toujours
un
désir.
Le
désir
est
indestructible
et invariant.
*
La
structure
est ponctuée pas le
désir
de
l'Autre.
Le
sujet
est
déterminé
dans son
inconscient,
par le
désir
de
l'Autre.
L'amour
chrétien
n'a pas éteint le
désir.
Il y a
trois
sortes
d'identifications,
au
trait
unaire
einziger Zug
,
à
l'amour
pour le
père,
et
l'identification
hystérique
au
désir
du
désir.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
Ce qui nous
possède
comme
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
*
Le
est ce qui
cause
le
désir.
Le
n'est pas
l'objet
du
désir.
le
n'est pas le
complément
direct
ni
indirect
de
l'objet
du
désir.
La
paranoïa
c'est une congélation du
désir.
La
demande
et le
désir
sont
noués.
le
est la
cause
du
désir.
*
Le
désir
a un
sens.
*
Ce qui
définit
la
demande,
c'est
qu'on
ne
demande
jamais
que par ce
qu'on
désire.
[
Lac78
]
On
ne
sait
pas ce
qu'on
désire.
[
Lac78
]
C'est au titre
d'homme
qu'un
homme
désire,
c'est-à-dire se
supporter
de
bander.
[
Lac78
]
Suivant:
désordre
Remonter:
5.4 D
Précédent:
désignation
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08