Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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racine, radical
Il y a une
différence
radicale
entre
le
sujet
de
l'inconscient
et
l'organisation
du
moi.
La
Bejahung
est le
procès
primaire
où le
jugement
attributif
prend
racine.
[
Lac66a
, p. 387]
*
Le
langage
est aussi bien
fait
pour nous
fonder
dans
l'autre
que pour nous
empêcher
radicalement
de le
comprendre.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
conscient
5
.
397
et le
préconscient.
5
.
398
L'homme
a quelque
chose
qui est
radicalement
inassimilable
au
signifiant.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
don
comme
signe
d'amour
et
l'objet
qui
vient
pour la
satisfaction
des
besoins
de
l'enfant.
L'Autre
radical
est la
place,
le
lieu
de
l'inconscient.
La
sublimation
déplace
le
dernier
et
radical
rapport
à une
altérité
essentielle
pour la
faire
habiter
par une
relation
de
mirage.
*
Une
conduite
hallucinatoire
se
distingue
de la
façon
la
plus
radicale
d'une
conduite
d'autoguidage de
l'investissement
régressif.
La
négation,
dans sa
racine
linguistique,
est quelque
chose
qui émigre de
l'énonciation
vers
l'énoncé.
La
chaîne
des
signifiants
subsiste
dans une
altérité
radicale
par
rapport
au
sujet.
[
Lac66a
, pp. 549–550]
L'inconscient
a la
structure
radicale
du
langage.
[
Lac66a
, p. 594]
Quand le
sujet
fait
de la
culpabilité,
c'est
toujours
, à
l'origine,
à la
racine,
pour autant qu'il a
cédé
sur son
désir.
Le
ressort
de la
naissance
de
l'amour
c'est que le
désir
dans sa
racine,
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
phallus
rencontré
au
champ
de
l'imaginaire,
est la
racine
du
manque
d'un
signifiant.
*
L'angoisse
est le
mode
radical
sous lequel est
maintenu
le
rapport
au
désir.
Dans la
détresse,
l'angoisse
est le
dernier
mode,
le
mode
radical,
sous lequel
continue
de se
soutenir,
même
si c'est d'une
façon
insoutenable, le
rapport
au
désir.
Le
fait
de la
répétition
est
enraciné
sur
l'unaire
originel.
Le
leurre
tient
à la
duplicité
radicale
de la
position
du
sujet.
*
Le
phallus,
dans sa
fonction
radicale,
est ce
seul
signifiant
qui
peut
se
signifier
lui-même.
La
répétition
n'est
rien
d'autre
que la
forme
la
plus
radicale
de
l'expérience
de la
demande.
Le
manque
est
radical
à la
constitution
même
de la
subjectivité.
*
L'angoisse
est la
défense
majeure
la
plus
radicale.
La
fonction
du
manque
est
radicale
dans
l'angoisse.
La
racine
de la
connaissance,
c'est
l'engagement
de son
corps,
par le
sujet.
Il y a
rapport
réciproque
du
désir
à
l'angoisse
sous une
forme
radicalement
masquée.
La
pulsation
temporelle,
quant à son
essence,
est
plus
radicale
que
l'insertion
dans le
signifiant
qui la
motive.
L'objet
est ce qui
cause
radicalement
la
fermeture
que
comporte
le
transfert.
Le
cri
est le
nœud
radical
où se
conjoignent
la
demande
et la
pulsion
.
Le
signifiant
primordial
fonde
le
sens
et le
non-sens
radical
du
sujet.
L'objet
est ce
résidu
essentiel
par quoi
s'incarne
le
caractère
radicalement
divisé
du
du
sujet
au-delà
de la
demande
et
au-delà
du
transfert.
Le
sujet
de la
phrase
est
d'abord
racine
de
l'événement
où il se
dit.
Au
psychanalyste
est confié
l'opération
de la
conversion
éthique
radicale
qui
introduit
le
sujet
à
l'ordre
du
désir.
Le
sexe
dans son
essence
de
différence
radicale
se
refuse
au
savoir.
L'analyse
est le
lieu
où se
vérifie,
d'une
façon
radicale,
que le
désir
est le
désir
de
l'Autre.
*
Féminin
est
radicalement
trompeur,
sous
toutes
les
formes
où il se
présente.
La
répétition
instaure
dans son
fondement
le plus
radical
la
division
du
sujet.
La
précédence
logique
est cette
nécessité
qui
distingue
radicalement
le
statut
de la
signification
et son
origine
dans le
signifiant.
L'entrée
de
l'homme
dans
l'ordre
symbolique
ne
peut
se
faire
que par le
défilé
radical
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 53]
Il y a
radicale
inadéquation de la
pensée
à la
réalité
du
sexe.
L'angoisse
de
l'Autre
est la
vraie
racine
de la
position
du
sujet
comme
position
masochique.
Il y a
hétérogénéité
radicale
entre
la
jouissance
mâle
et la
jouissance
femelle.
Il y a une
distinction
radicale
entre
l'acte
pervers
et
l'acte
névrotique.
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
Il est de la
nature
du
discours,
non
seulement
d'être
équivoque,
mais
d'être
essentiellement
fait
du
glissement
radical
de la
signification.
Le
principe
de la
structure
perverse
est de
parer
à la
béance
radicale
dans
l'ordre
du
signifiant
en pourvoyant de quelque
chose
qui
comble,
qui remplace le
manque
phallique.
Le
phallus
est ce qui est, de la
jouissance
sexuelle,
radicalement
forclos.
Le
rapport
de
l'homme
et de la
femme
est
radicalement
faussé,
de par la
loi
sexuelle.
C'est en tant que sa
jouissance
est
radicalement
Autre
que
femme
a
plus
rapport
à
Dieu.
Tout
ce qu'il est
permis
d'aborder de
réalité
reste
enraciné
dans le
fantasme.
D'avoir
un
corps
à adorer, c'est la
racine
de
l'imaginaire.
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2024-11-08