Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.19 S
Précédent:
sexe
Suivant:
shifter
Index:
Index
sexualité
L'ordre
des
satisfactions
imaginaires
ne
peut
se
trouver
que dans
l'ordre
des
registres
sexuels.
*
Chez
l'homme
les
manifestations
de la
fonction
sexuelle
se
caractérisent
par un
désordre
éminent.
L'humanité
est
l'échec
de la
sexualité.
La
libido
est un
terme
unique
qui
unifie
le
champ
des
différentes
structures
des
phases
de la
sexualité,
orale,
anale,
génitale.
C'est au
niveau
du
désir
sexuel
que
s'introduit
pour la
première
fois
et sous
toutes
ses
formes,
la
loi.
Toute
l'intégration
de la
sexualité
chez le
sujet
humain
est
liée
à la
reconnaissance
symbolique.
Le
sujet
trouve
sa
place
dans un
appareil
symbolique,
préformé
qui
donne
la
loi,
qui
instaure
la
loi
dans la
sexualité.
La
loi
dans la
sexualité
ne
permet
plus au
sujet
de
réaliser
sa
sexualité
que sur le
plan
symbolique.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant que la
fonction
de
l'homme
et de la
femme
est
symbolisée.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant qu'elle est
arrachée
au
domaine
de
l'imaginaire
pour être
située
dans le
domaine
du
symbolique.
La
fille
vit
la
relation
sexuelle
comme
étant
cette
relation
qui
fait
qu'elle-même
apporte
au
partenaire
masculin
son
phallus.
C'est le
père
réel
qui
permet
l'assomption
de la
fonction
sexuelle
virile
par sa
fonction
de
père
castrateur.
La
relation
sexuelle
occupe
le
champ
clos du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
La
sublimation
se
caractérise
par ce
changement
dans les
objets
où la
libido
sexuelle
va
trouver
sa
satisfaction
dans des
objets.
La
libido
sexuelle
c'est ce surplus qui rend
vaine
toute
satisfaction
du
besoin.
*
La
phase
orale
de la
libido
sexuelle
exige
cette
place
creusée
par la
demande.
La
pulsion
sexuelle
fait
prévalence
de la
fonction
érotique
dans la
constitution
du
sujet.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
*
L'angoisse
est la
vérité
de la
sexualité.
*
Le
phallus,
là où il est
attendu
comme
sexuel,
n'apparaît
jamais
que comme
manque.
Le
moins
du
se
trouve,
sur le
champ
de la
conjonction
sexuelle,
être
le
medium
universel.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
La
jouissance
dans
l'Autre,
axe
de la
sexualité,
est
marquée
de
l'instrument
manquant
que
désigne
.
C'est par la
réalité
sexuelle
que le
signifiant
est
entré
au
monde
de
l'homme.
La
réalité
de
l'inconscient
c'est la
réalité
sexuelle.
Il y a une
affinité
des
énigmes
de la
sexualité
avec le
jeu
du
signifiant,
avec la
combinatoire.
Le
désir
est le
point
nodal
par quoi la
pulsation
de
l'inconscient
est
liée
à la
réalité
sexuelle.
C'est dans le
transfert,
que
s'inscrivent
les
effets
de la
réalité
sexuelle.
Le
désir
est le
lieu
de
jonction
du
champ
de la
demande
dans sa corrélation avec la
réalité
sexuelle.
La
réalité
de
l'inconscient
c'est la
réalité
sexuelle.
*
La
sexualité
c'est la
réalité
de
l'inconscient.
Le
réel
se
distingue
par sa
désexualisation.
Le
transfert
est ce qui
manifeste
la mise en
action
de la
réalité
de
l'inconscient
en tant qu'elle est
sexualité.
Au
regard
de la
finalité
biologique
de la
sexualité,
la
reproduction,
les
pulsions,
dans le
procès
de la
réalité
psychique,
sont
partielles.
La
pulsion
est ce
montage
par quoi la
sexualité
participe
à la
vie
psychique.
*
Le
réel
neutre est le
réel
désexualisé.
Les
pulsions
sont
partielles
au
regard
de la
finalité
biologique
de la
sexualité.
La
lamelle
représente
le
rapport
du
sujet
vivant
à ce qu'il
perd
de
devoir
passer
pour sa
reproduction,
par le
cycle
sexuel.
La
sexualité
se
représente
par une
relation
du
sujet
qui
s'instaure
dans le
champ
du
sujet,
par une
voie
qui est la
voie
du
manque.
La
pulsion
partielle
est le
représentant,
dans le
psychisme,
des
conséquences
de la
sexualité.
Toutes
les
pulsions
sexuelles
s'articulent
au
niveau
des
significations
dans
l'inconscient.
Les
pulsions
sexuelles
font
surgir
la
mort
comme
signifiant,
et rien que comme
signifiant.
La
psychanalyse
ne touche à la
sexualité
que pour autant, que sous la
forme
de la
pulsion,
elle se
manifeste
dans le
défilé
du
signifiant.
*
La
pulsion
en tant qu'elle
représente
la
sexualité
dans
l'inconscient
n'est
jamais
que
pulsion
partielle.
[
Lac66a
, p. 849]
La
sexualité
se répartit d'un
côté
à
l'autre
du
bord,
seuil
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 849]
*
C'est grâce au
nom-du-père,
que
l'homme
ne
reste
pas
attaché
au
service
sexuel
de la
mère.
[
Lac66a
, p. 852]
La
libido
a
rapport
à
l'existence
de la
reproduction
sexuelle
mais n'y est point
identique.
La
nature
de
tout
désir
humain
est
fondamentalement
sexuelle.
*
La
sexualité
entre
en
jeu
d'abord
par le
biais
du
désir
de
savoir.
La
jouissance
est
prise
au
réseau
du
langage
en tant qu'elle est
jouissance
sexuelle.
L'essence
de la
castration
se
manifeste
en ceci que la
différence
sexuelle
ne se
supporte
que de la
Bedeutung
de quelque
chose
qui
manque
sous l'aspect du
phallus.
Le
est le
signe
de
l'échec
de
l'articulation
de la
Bedeutung
sexuelle.
*
Au
niveau
de la
sexualité,
le
désir
se
représente
par la
marque
d'un
manque.
L'acte
sexuel
se
présente
comme un
signifiant
qui
répète
quelque
chose.
L'acte
sexuel
répète
la
scène
œdipienne.
L'acte
sexuel
a
rapport
avec la
fonction
de la
répétition.
L'acte
sexuel
est un
acte
en tant qu'il a un
rapport
avec
l'existence
du
sujet.
désigne
le
rapport
significatif
de la
fonction
phallique
en tant que
manque
essentiel
de la
jonction
du
rapport
sexuel
avec sa
réalisation
subjective.
C'est dans la
mesure
où quelque
objet
peut
venir
prendre
la
place
que
prend
le
dans
l'acte
sexuel
comme tel que la
sublimation
peut
subsister.
*
La
satisfaction
subjective
est à
chercher
dans
l'acte
sexuel
qui est précisément le
point
où elle s'avère la
plus
déchirée.
*
L'acte
psychanalytique
n'est pas un
acte
sexuel.
Le lit a affaire avec
l'acte
sexuel.
*
Dans
l'analyse,
c'est un
champ
désexualisé.
Le
fondement
de la
satisfaction
de
l'acte
sexuel
donne
le
statut
de la
sublimation.
*
Dans
l'acte
sexuel
on
ne
s'aperçoit
pas de ce qui
manque.
*
L'inconscient
ne
parle
pas la
sexualité.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
C'est parce qu'il y a de la
sexualité
qu'il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
articulé
dans le
discours
de
l'inconscient.
Le
savoir
est
nécessaire
à
l'institution
de
l'acte
sexuel.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
L'acte
sexuel
implique
un
élément
tiers
à
tous
les
niveaux.
Il n'y a qu'un
seul
domaine
qui
n'ait
pas de
rapport
avec
l'acte
sexuel,
en tant qu'il
intéresse
la
vérité,
c'est la
mathématique,
au
point
où elle conflue avec la
logique
5
.
462
.
Il n'est pas
certain
que
l'acte
sexuel
existe.
*
La
vérité
sexuelle
est
exigeante.
Le
sexe
repose
sur la
fonction
d'un
signifiant
capable
d'opérer
dans
l'acte
sexuel.
*
La
rencontre
sexuelle
des
corps
ne
passe
pas, dans son
essence,
par le
principe
du
plaisir.
Le
complexe
de
castration
veut
dire
qu'il n'y a pas
d'objet
phallique
et qu'il y a un
acte
sexuel.
La
vérité
de
l'acte
sexuel
fait
question
dans
l'expérience
psychanalytique.
Il y a
fondement
qu'il n'y a pas
d'acte
sexuel
et qu'il n'y a que
l'acte
sexuel.
Il y a une
difficulté
inhérente à
l'acte
sexuel.
*
La
perversion
ne
prend
sa
valeur
qu'à
s'articuler
à
l'acte
sexuel.
Le
masochiste
se
situe
et ne
peut
se
situer
que par
rapport
à une
représentation
de
l'acte
sexuel.
Il y a
inégalité
du
sujet
à
toute
subjectivation
possible
de sa
réalité
sexuelle.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
[
Lac84b
, pp. 15–16]
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel.
La
pulsion
se
satisfait
hors
de son
but
sexuel.
La
pulsion
est
inhibée
quant au
but,
qu'elle
élide
ce qu'il en est du
but
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
des
pulsions
est
liée
à la
sexualité.
*
Il n'y a
rien
de
structurable
qui soit proprement
l'acte
sexuel.
*
Il n'y a pas de
sujet
de la
jouissance
sexuelle.
Le
phallus
est ce qui est, de la
jouissance
sexuelle,
radicalement
forclos.
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
au
sens
où cet
acte
serait celui d'un
juste
rapport.
*
Il n'y a que
l'acte
sexuel
au
sens
où il n'y a que
l'acte,
pour
faire
rapport.
*
S'il y a bien
acte,
il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Dans
l'espèce
humaine,
le
rapport
sexuel
constitue
un
malentendu.
Le
signifiant
n'est pas
fait
pour le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Au
phallus
se résume le
point
de
mythe
où le
sexuel
se
fait
passion
du
signifiant.
[
Lac70d
, p. 64]
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
formulable
dans la
structure.
[
Lac70d
, p. 65]
Le
comportement
sexuel
humain
consiste
dans un
certain
maintien
du
semblant
animal.
Le
réel
s'incarne
de la
jouissance
sexuelle
comme
impossible.
La
jouissance
sexuelle
ne
s'articule
que du
phallus,
en tant qu'il est son
signifiant.
Le
phallus
est la
jouissance
sexuelle
en tant qu'elle est
coordonnée,
qu'elle est
solidaire
d'un
semblant.
Le
phallus
est le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
en tant qu'elle est
détachée.
Le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
c'est le
phallus,
c'est le
nom-du-père.
*
La
femme
est en
position,
au regard de la
jouissance
sexuelle,
de ponctuer
l'équivalence
de la
jouissance
et du
semblant.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
l'être
parlant.
Le
rapport
sexuel,
comme
tout
autre
rapport,
ne
subsiste
que de
l'écrit.
La
fonction
du
phallus
rend intenable la
bipolarité
sexuelle.
La
fonction
du
phallus
volatilise ce qu'il en est de ce qui
peut
s'écrire
du
rapport
sexuel.
Le
phallus
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
Le
langage
a son
champ
réservé dans la
béance
du
rapport
sexuel.
Le
phallus
laisse
ouverte
la
béance
du
rapport
sexuel.
La
loi
sexuelle
se
substitue
au
rapport
sexuel.
La
liberté
est
identique
à la
non-existence
du
rapport
sexuel.
Le
rapport
de
l'homme
et de la
femme
est
radicalement
faussé,
de par la
loi
sexuelle.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
rapport
sexuel,
c'est la
parole
elle-même.
*
La
jouissance
sexuelle
se
trouve
ne pas
pouvoir
être
écrite.
La
symbolisation
de la
jouissance
sexuelle
emprunte
tout
son
symbolisme
à la
jouissance,
en tant qu'elle est
interdite
par le
principe
du
plaisir.
La
jouissance
sexuelle
n'a
trouvé
pour se
structurer
que la
référence
à
l'interdit,
en tant que
nommé,
de la
jouissance
mortelle.
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
La
lettre
sert
quelque
chose
qui est de
l'ordre
du
sexe,
non
pas un
rapport
sexuel,
mais un
rapport
sexué.
La
relation
sexuelle
n'est pas
inscriptible.
Le
langage
ne rend pas
compte
du
rapport
sexuel.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
être
écrit.
Le
rapport
sexuel
ne va pas
sans
un
tiers
terme,
qui est le
phallus.
*
La
femme
ne
peut
remplir
sa
place
dans le
rapport
sexuel.
Ce n'est qu'à partir
d'être
une
femme
que la
femme
peut
s'instituer
dans ce qui est
inscriptible
de ne pas
l'être,
restant
béant
de ce qu'il en est du
rapport
sexuel.
Les
hystériques
sont celles qui, sur ce qu'il en est du
rapport
sexuel,
disent
la
vérité.
Le
coinçage
du
rapport
sexuel
se note :
Le
langage
ne
connote
que
l'impossibilité
de
symboliser
le
rapport
sexuel
chez les
êtres
qui
habitent
le
langage.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
castration
c'est ce qui
permet
le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
*
Il n'est pas
possible
d'écrire
le
rapport
sexuel.
Le
rapport
sexuel
n'est pas, en ce
sens
qu'on
ne
peut
l'écrire.
Le
rapport
sexuel
détermine
tout
ce qui
s'élabore
d'un
discours
dont la
nature
est
d'être
un
discours
rompu.
*
Le
rapport
sexuel,
il n'y en a pas.
Les
rencontres
sexuelles
c'est
toujours
raté.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
sexuelle
fait
barrage
au
rapport.
*
La
jouissance
sexuelle
ouvre
pour
l'être
parlant
la porte à la
jouissance.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
sexualité
est au
centre
en ceci qu'elle est un
manque.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
pour les
êtres
qui
parlent.
Le
noyau
de la
psychanalyse
qui
s'appelle
jouissance
sexuelle,
est opaque.
*
Le
discours
de la
connaissance
est une
métaphore
sexuelle.
Puisqu'il n'y a pas de
rapport
sexuel,
il n'y a pas
non
plus de
connaissance.
La
fonction
phallique
est ce qui
obture
le
rapport
sexuel.
*
La
jouissance
sexuelle
est le
pivot
de
toute
jouissance.
définit
la
nécessité
qui rend
possible
l'existence
de
l'homme
comme
valeur
sexuelle.
Le pas
impossible
de la
valeur
sexuelle
de la
femme
la
situe
dans le
domaine
du
contingent.
On
ne
jouit
que de
l'Autre,
mais pas
sexuellement.
Le
rapport
sexuel
ne
s'écrit
pas.
Il y a
impossibilité
d'écrire
ce qu'il en est du
rapport
sexuel.
*
La
jouissance
constitutive
de
l'être
parlant
se démarque de la
jouissance
sexuelle.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
sexuelle
est
dominée
par
l'impossibilité
d'établir
dans
l'énonçable,
l'Un
de la
relation,
le
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il est
impossible
de poser le
rapport
sexuel.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
*
La
jouissance
en tant que
sexuelle
est
phallique.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
conjonction
des
termes
homme
et
femme
ne
peut
produire
rapport
sexuel.
[
Lac73b
, p. 3]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 11]
Être
ou
avoir
le
phallus
est la
fonction
qui
supplée
au
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 14]
a pour
sens
que
tout
sujet,
en tant que tel,
s'inscrit
dans la
fonction
phallique
pour
parer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 15]
C'est
réel
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 30]
Le
rapport
sexuel
est
absent
de
toute
mathématisation.
[
Lac73a
, p. 35]
C'est
réel
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 47]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac75f
, p. 7]
Le
pôle
du
semblant
est
corrélatif
du
pôle
de la
jouissance
en tant
qu'obstacle
au
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
affirme
qu'il est
vrai
que ce qui se
rapporte
au
registre
de
l'acte
sexuel
relève de la
fonction
phallique.
*
C'est en tant que la
fonction
phallique
ne
fonctionne
pas qu'il y a une chance de
rapport
sexuel.
L'Autre
est
absent
à partir du
moment
où il s'agit du
rapport
sexuel.
*
Il n'a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
c'est que des
deux,
chacun
reste
Un.
Le
mode
de la
pensée,
pour autant qu'il est
subverti
par le
manque
du
rapport
sexuel,
pense
et ne
pense
qu'au
moyen
de
l'Un.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
s'écrire.
Il est à
jamais
impossible
d'écrire
comme tel le
rapport
sexuel.
L'amour
supplée
au
rapport
sexuel.
Le
langage
est ce qui
fonctionne
pour
suppléer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
*
La
lettre
d'amour
ce n'est pas le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
ne convient pas au
rapport
sexuel.
Du
fait
que la
jouissance
parle,
le
rapport
sexuel
n'est pas.
Y-a-d-l-Un
est le
premier
pas dans la démarche qui
consiste
à
suppléer
à
l'impossible
du
rapport
sexuel.
L'amour
courtois
c'est cette
façon
raffinée de
suppléer
à
l'absence
de
rapport
sexuel,
en feignant que c'est nous qui y mettions
obstacle.
Pour
l'homme
il n'y a pas le
rapport
sexuel.
Le
rapport
sexuel
n'est
d'aucune
façon
inscriptible.
,
le
sujet
barré
n'a
jamais
affaire, en tant que
partenaire
sexuel,
qui est
l'Autre,
qu'à
l'objet
.
cf:
20.8.1
Le
rapport
sexuel
ne
peut
se
dire
d'aucune
façon.
*
Le
rapport
sexuel
s'abîme
dans le
non-sens.
Le
rapport
sexuel
ne
cesse
pas de ne pas
s'écrire.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
d'être
déposée,
fonde
la
vérité
avec le
pacte
qui
supplée
à
l'inexistence
du
rapport
sexuel.
Il y a
l'impossible
d'inscrire
la
relation
sexuelle
entre
deux
corps
de
sexes
différents.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
Il n'y a pas, dans le
dire,
d'existence
du
rapport
sexuel.
Le
sens
sexuel
ne se
définit
que ne pas
pouvoir
s'écrire.
La
jouissance
fait
obstacle
à ce que le
rapport
sexuel
ne
puisse
d'aucune
façon
s'inscrire.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Ce qui
fait
obstacle
au
rapport
sexuel
établi, c'est que dans le
chiffrage
est la
jouissance.
[
Lac75d
, p. 14]
L'amour
est porté à
l'existence
par
l'impossible
du
lien
sexuel
avec
l'objet.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
dire
vrai
c'est la rainure par où
passe
ce qui
supplée
à
l'absence,
à
l'impossibilité
d'écrire
le
rapport
sexuel.
Il y a
impossibilité
d'écrire
le
rapport
sexuel.
*
Le
réel
c'est ce qui se
détermine
de ce que ne
puisse
pas
d'aucune
façon
s'y
écrire
le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a de
mort
que là où il y a
reproduction
de
type
sexuel.
Le
trou
dans le
réel
c'est là où il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
phallique
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
Le
sens
supplée
au
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
qui
puisse
se mettre en
écriture.
[
Lac82d
]
La
sexualité
fait
trou
dans le
réel.
[
Lac74a
, p. 10]
*
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Pour ce qui est du
rapport
sexuel,
il est
strictement
impossible
d'écrire
.
*
Il n'y a pas
d'élaboration
logicisable
et du
même
coup
mathématisable
du
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
départ
de
tout
nœud
social
se
constitue
du
non-rapport
sexuel
comme
trou.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
l'humain.
Le
ratage
peut
être
défini
comme ce qui est
sexuel
dans
tout
acte
humain.
*
L'acte
manqué
par excellence est précisément
l'acte
sexuel.
Le
sexuel
ne
fonde
en
rien
quelque
rapport
que ce soit.
*
Il n'y a de
responsabilité
que
sexuelle.
*
Toute
sexualité
humaine
est
perverse.
Le
langage
supplée
à
l'absence
de
rapport
sexuel.
L'humain
est une
espèce
pour laquelle il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Pour
l'espèce
humaine,
la
sexualité
est
obsédante.
Pour
l'espèce
humaine,
la
sexualité
est
anormale,
car il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
névrose
est
liée
au
fait
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
À
cause
de
l'existence
du
signifiant,
chez
l'homme
l'ensemble
de ce qui
pourrait
être
un
rapport
sexuel
est un
ensemble
vide.
[
Lac78
]
L'ensemble
vide
est ce qui convient au
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Toute
pulsion
est
sexuelle.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
les trumains.
[
Lac78
]
Le
fondement
de la
psychanalyse
c'est qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
L'analyse
ne se
supporte
que du
fait
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
parce qu'il y a un
imaginaire,
un
symbolique
et un
réel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac82b
, p. 83]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08