Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.4 D
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détour
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détermination, déterminant
Le
sujet
est jusqu'à un
certain
point
déjà
déterminé.
Les
conditions
qui
déterminent
l'invasion
névrotique
et
l'invasion
psychotique
sont
strictement
opposées.
L'ordre
symbolique
subsiste
comme tel,
hors
du
sujet,
distinct
de son
existence
et le
déterminant.
*
Le
déplacement
du
signifiant
détermine
les
sujets
dans leurs
actes.
[
Lac66a
, p. 30]
La
fonction
imaginaire
se
subordonne
à la
détermination
symbolique.
[
Lac66a
, p. 464]
La
détermination
symbolique
est
d'abord
un
fait
de
syntaxe.
[
Lac66a
, p. 468]
La
fonction
symbolique
est
seule
capable
de
rendre
compte
de la
détermination
dans le
sens
qu'est la
réalité
fondamentale
de
l'expérience
freudienne.
La
structure
des
désirs
est
déterminée
par autre
chose
que les
besoins.
Le
mécanisme
à
double
détente
de la
métaphore
est celui-là
même
où se
détermine
le
symptôme
au
sens
analytique.
[
Lac66a
, p. 518]
Le
désir
est
déterminé
par un
acte
de
signification.
*
La
façon
dont
doit
se
présenter
le
désir
chez le
sujet,
dépend
de ce qui est
déterminé
par la
dialectique
de la
demande.
*
Le
symptôme
est
toujours
surdéterminé.
L'angoisse
est le
point
clé de la
détermination
des
symptômes.
*
Aucune
formation
imaginaire
n'est
spécifique,
aucune
n'est
déterminante
ni dans la
structure,
ni dans la
dynamique
d'un
processus.
[
Lac66a
, p. 546]
*
Les
symptômes
sont
surdéterminés.
[
Lac66a
, p. 636]
Dans le
sujet,
sa
relation
au
signifiant
détermine
le
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
Dans
l'inconscient
est le
discours
de
l'Autre,
il s'agit
d'à propos de
, par
détermination
objective.
[
Lac66a
, p. 814]
Dans le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre,
il s'agit de
détermination
subjective.
[
Lac66a
, p. 814]
Le
contre-transfert
ce sont les
sentiments
éprouvés par
l'analyste
dans
l'analyse,
déterminés
à chaque
instant
par ses
relations
à
l'analysé.
Il y a
tout
un
décalage
de
l'objet
du
désir
par
rapport
à
l'objet
réel
qui est foncièrement
déterminé
par le
caractère
négatif
ou
inclus
de
l'apparition
du
phallus.
*
La
naissance
du
sujet
tient
en ceci qu'il ne
peut
se
penser
que comme
exclu
du
signifiant
qui le
détermine.
*
le
signifiant
détermine
le
sujet.
La
loi
morale
détermine
le
refoulement.
L'angoisse
détermine
l'émoi.
Le
désir
est
déterminé
par le
premier
objet
caractéristiquement
cessible.
Le
sujet
se
définit
comme le
sujet
qui
parle
et qui se
détermine
dans un
effet
du
signifiant.
La
schize
du
sujet
est
déterminée
comme
dépendance
de la
schize
du
sujet
par
rapport
à un
objet
privilégié
surgi
d'une
séparation
primitive,
de quelque
automutilation.
Le
concept
de
transfert
est
déterminé
par la
fonction
qu'il a dans une
praxis.
Les
effets
de la
parole
déterminent
le
statut
du
sujet
comme
sujet.
*
L'inconscient,
c'est la
dimension
où le
sujet
se
détermine
du
fait
et dans le
développement
des
effets
de la
parole.
Le
sujet
est
déterminé
par le
langage
et la
parole.
L'interprétation
vise
à aider à
retrouver
les
déterminants
de
toute
la
conduite
du
sujet.
Les
significations
dialectisées
dans le
rapport
du
désir
de
l'Autre
donnent
au
rapport
du
sujet
à
l'inconscient
une
valeur
déterminée.
C'est le
signifiant
de
l'Autre
qui
détermine
la
fonction
du
trait
unaire.
*
La
science
élide,
élude,
sectionne,
un
champ
déterminé
dans la
dialectique
du
sujet.
Le
signifiant,
déterminant
le
sujet,
le
barre
entraînant
vacillation
et
division
du
sujet.
*
C'est
l'écrit
qui
détermine
le
champ
du
langage.
Le
signifiant
détermine
la
division
du
sujet.
Le
est
cause
du
désir
et
valeur
qui le
détermine.
Le
de la
métaphore
se
trouve
représenter
le
sujet
de
l'inconscient
dont il s'agit de
déterminer
l'effet
comme
effet
de
signification,
le
symptôme.
L'essence
du
langage
détermine
une
coupure
sous
forme
de
seuil.
Ou
je
ne
suis
pas, ou
je
ne
pense
pas
détermine
un
choix
forcé.
La
détermination
du
sujet
se
fonde
sur une
liaison
de
signifiant
à
signifiant.
*
Le
sujet,
comme tel, est déjà
déterminé
et
inscrit
dans le
monde
comme
causé
par un
certain
effet
de
signifiant.
Le
sujet
est
déterminé
par
deux
signifiants.
Le
sujet
est
déterminé
par un
signifiant
le
représentant
pour un
autre
signifiant.
C'est dans la
pratique
d'abord
que le
psychanalyste
a à
s'égaler
à la
structure
qui le
détermine.
[
Lac68d
, p. 40]
L'objet
a la
fonction
clé dans la
détermination
du
désir.
*
Ce n'est qu'au
niveau
de
l'Autre
que, ce qui
détermine
le
sujet
s'articule
en
savoir.
La
structure
c'est
réel
par ce que ça se
détermine
par convergence vers une
impossibilité.
Le
signifiant
maître
induit
et
détermine
la
castration.
*
C'est du
discours
que
dépend
toute
détermination
du
sujet,
donc de
pensée.
Le
langage
ne rend
possible
qu'un
nombre
déterminé
de
discours.
Le
rapport
sexuel
détermine
tout
ce qui
s'élabore
d'un
discours
dont la
nature
est
d'être
un
discours
rompu.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
L'objet
c'est ce par quoi
l'être
parlant,
quand il est
pris
dans des
discours,
se
détermine.
L'objet
est
déterminé
comme
sujet,
car
divisé
comme
sujet,
il est la proie du
désir.
Un
discours,
c'est ce qui
détermine
une
forme
de
lien
social.
Le
sujet
est
déterminé
dans son
inconscient,
par le
désir
de
l'Autre.
Le
discours
analytique,
c'est le
lien
social
déterminé
par la
pratique
d'un
analyse.
[
Lac74b
, p. 27]
*
Le
réel
c'est ce qui se
détermine
de ce que ne
puisse
pas
d'aucune
façon
s'y
écrire
le
rapport
sexuel.
Entre
l'Un
et le
il n'y a
strictement
aucun
rapport
rationnellement
déterminable.
*
L'inconscient
est ce qui de
parler
détermine
le
sujet
en tant
qu'être.
Le
sujet
se
conditionne
de ce qui, dans le
nœud
détermine
des
points
triples
du
fait
du
serrage
du
nœud.
Le
nœud
est
supposé
être
le
réel
dans le
fait
de ce qu'il
détermine
comme
ex-sistence.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08