Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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dimension
La
parole
a
fonction
de
reconnaissance;
c'est la
dimension
par où le
désir
du
sujet
est
authentiquement
intégré
sur le
plan
symbolique.
Le
savant
maintient
la
dimension
du
sujet.
La
dimension
du
sujet
ne se
confond
pas avec
l'ego.
Le
regard
est une
dimension
constitutive
d'une
relation
comme telle qui ne
suppose
même
pas forcément
l'apparition
des
yeux.
*
L'élément
est une
dimension
essentielle,
mais
primordiale,
de
tout
ce qui est
d'ordre
de la
parole.
Toute
parole
formulée
comme telle
introduit
une
émergence
du
sens
dégageant du
réel
la
dimension
de la
vérité.
Le
lieu
psychique
c'est la
dimension
symbolique.
Dans la
parole,
le
réel
est le
discours
dans sa
dimension
diachronique.
L'ordre
symbolique
est un
milieu
distinct
du
milieu
réel
et de la
dimension
imaginaire.
Ce n'est pas la
dimension
instinctuelle
qui est
opérante
à
franchir
dans
l'œdipe.
La
relation
de
castration
introduit
le
manque
d'objet
dans une
dialectique
qui
institue,
investit,
confère la
dimension
du
pacte
d'une
loi,
d'une
interdiction
de
l'inceste.
La
perversion
a la
propriété
de
réaliser
un
certain
mode
d'accès
à cet
au-delà
de
l'image
de
l'autre
qui
caractérise
la
dimension
humaine.
La
valeur
de
dimension
imaginaire
apparaît
prévalente
chaque
fois
qu'il s'agit d'une
perversion.
La
dimension
ternaire
et
non
duelle
est
fondamentale
pour
donner
son
sens
inter-subjectif
au
jeu.
*
La
dimension
du
don
n'existe
qu'avec
l'introduction
de la
loi.
Toute
relation
à
l'objet
implique
une
tierce
dimension.
La
métaphore
met en
jeu
la
dimension
de
substitution
dans la
chaîne
signifiante.
La
métonymie
met en
jeu
la
dimension
connective
de la
chaîne
signifiante.
*
La
dimension
métaphorique
est celle qui
correspond
à la
condensation.
La
dimension
métonymique
est celle qui
correspond
au
déplacement.
La
surprise
est une
dimension
essentielle
de
l'essence
des
formations
de
l'inconscient.
La
dimension
de la
surprise
est
consubstantielle
à ce qu'il en est du
désir,
pour autant qu'il est
passé
au
niveau
de
l'inconscient.
Le
signifiant,
de sa
nature,
anticipe
toujours
sur le
sens,
en déployant au devant de lui sa
dimension.
[
Lac66a
, p. 502]
Le
trait
d'esprit
comme tel, se
développe
dans la
dimension
de la
métaphore.
Dans la
psychose,
la
dimension
proprement
énigmatique
de la
signification,
est infiniment
moins
évidente que la
certitude
qu'elle
comporte.
La
dimension
du
masque
apparaît
dans
l'objet
de la
présence.
*
Une des
dimensions
fondamentales
du
signifiant,
c'est de
pouvoir
s'annuler
lui-même.
La
présence
et la
dimension
de
l'autre
désir
se
situe
au-delà
de ce que le
sujet
demande,
au-delà
de ce que
l'autre
demande
au
sujet.
*
Hors de
l'existence
du
signifiant,
il n'y a
aucune
ouverture
possible
de la
dimension
d'amour
comme telle.
*
Il n'y a pas dans le
signifiant
lui-même, de
garant
de la
dimension
de
vérité
instaurée par le
signifiant.
La
dimension
essentielle
du
désir
est
toujours
désir
au
second
degré,
désir
de
désir.
La
pulsion
comporte
une
dimension
historique
en tant qu'elle se
rapporte
à quelque
chose
de
mémorable
parce que
mémorisé.
La
dimension
de
l'historisation
fondamentale
est comme extensive au
fonctionnement
de la
pulsion
comme telle.
*
le
discours
engendre
la
dimension
de la
vérité.
Les
effets
de
substitution
métaphorique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
synchronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
Les
effets
de
combinaison
métonymique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
diachronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
Par la
dimension
qu'il
constitue,
l'Autre
permet
de
distinguer
entre
tromperie
de la
parole
et
feinte.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
désir
naturel
a cette
dimension
de ne
pouvoir
se
dire
d'aucune
façon.
*
Le
sujet
n'affirme
la
dimension
de la
vérité
comme
originale
qu'au
moment
où il se
sert
du
signifiant
pour
mentir.
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
Dans le
fétiche,
se
dévoile
la
dimension
de
l'objet
comme
cause
du
désir.
Dès les
données
premières
du
symptôme
de
l'obsessionnel,
la
fonction
du
se
dévoile
comme
fonctionnant
dans la
dimension
de la
cause.
*
L'effet
de la
parole,
l'effet
du
signifiant
est de
faire
surgir
dans le
sujet,
la
dimension
du
signifié
essentiellement.
Chez
l'obsessionnel
les
désirs
se
manifestent
toujours
dans la
dimension
d'une
fonction
de
défense.
Le
problème
du
deuil
est celui du
maintien
des
liens
par où le
désir
est
suspendu,
dimension
idéalisée
de
l'amour,
.
L'inconscient
se
situe
dans la
dimension
d'une
synchronie.
L'analyste
est en posture de
formuler,
“
tu
dis
la
vérité
”, et son
interprétation
n'a de
sens
que dans cette
dimension.
Le
mensonge
comme tel se
pose
lui-même dans la
dimension
de la
vérité.
*
L'inconscient,
c'est la
dimension
où le
sujet
se
détermine
du
fait
et dans le
développement
des
effets
de la
parole.
*
L'Autre
est la
dimension
exigée
de ce que la
parole
s'affirme
en
vérité.
[
Lac66a
, p. 839]
La
dimension
du
mensonge,
contrairement
à celle de la
feinte,
est
d'avoir
le
pouvoir
de
s'affirmer
comme
vérité.
La
dimension
du
désir
surgit
avec
l'avènement
d'un
objet
qui n'est pas
l'objet
de la
satisfaction
d'un
besoin
mais d'un
rapport
de la
demande
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
La
dimension
du
vrai
n'implique
pas en elle-même le
support
de la
pensée.
Le
manque
à sa
place
est
nécessaire
au
départ
de la
dimension
de
déplacement
d'où
procède
tout
le
jeu
du
symbole.
[
Lac66a
, p. 722]
La
vérité
est
dimension
propre
du
langage.
La
perversion
tout
entière
a
toujours
une
dimension
démonstrative.
La
présence
de la
dimension
de la
vérité
est
inévitable
dans
l'instauration
du
discours
analytique.
*
La
vraie
dimension
de la
connerie
est indispensable à
saisir
comme
étant
à quoi a affaire
l'acte
analytique.
La
dimension
du
transfert
est la
première
phase
de
l'acte
psychanalytique.
*
Il n'y a de
dimension
de la
vérité
qu'à partir du
moment
où il y a du
signifiant.
L'acte
est une
chose
conçue
comme ayant
essentiellement
en elle-même cette
dimension
de
signifiant.
*
La
pudeur
est une
dimension
seulement
propre
au
sujet
comme tel.
La
jouissance
s'introduit
dans la
dimension
de
l'être
du
sujet.
Jouissance
et
semblant
s'équivalent
dans une
dimension
du
discours.
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
Il n'y a pas
moyen
de
faire
un
mensonge
sans
supposer
la
dimension
de la
vérité.
La
bêtise
est une
dimension
en
exercice
du
signifiant.
Le
dire
n'est pas de la
dit-mansion
de la
vérité.
[
Lac73a
, p. 8]
Il y a
trois
dit-mansions
de
l'impossible,
qui se
déploient
dans le
sexe,
le
sens
et la
signification.
[
Lac73a
, p. 44]
La
dit-mansion
est la
résidence
du
dit
dont le
savoir
pose
l'Autre
comme
lieu.
La
vérité,
c'est la
dit-mansion
.
*
L'imaginaire
c'est une
dit-mansion.
Les
trois
dit-mansions
s'appellent
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Figure
21.1.1
L'écrit
est d'une
autre
dimension
que le
dire.
L'objet
est
lié
à la
dimension
du
temps.
La
dit-mansion
c'est la
demeure
du
dit.
La
dit-mansion
c'est la mention du
dit
et le
mensionge
.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08