dimension

$0117014_{1954}$
La parole a fonction de reconnaissance; c'est la dimension par où le désir du sujet est authentiquement intégré sur le plan symbolique.
$0118014_{1954}$
Le savant maintient la dimension du sujet.
$0118017_{1954}$
La dimension du sujet ne se confond pas avec l'ego.
$0121002_{1954}$
Le regard est une dimension constitutive d'une relation comme telle qui ne suppose même pas forcément l'apparition des yeux.
$0122012_{1954}$
* L'élément est une dimension essentielle, mais primordiale, de tout ce qui est d'ordre de la parole.
$0124004_{1954}$
Toute parole formulée comme telle introduit une émergence du sens dégageant du réel la dimension de la vérité.
$0211025_{1955}$
Le lieu psychique c'est la dimension symbolique.
$0305010_{1955}$
Dans la parole, le réel est le discours dans sa dimension diachronique.
$0310012_{1956}$
L'ordre symbolique est un milieu distinct du milieu réel et de la dimension imaginaire.
$0315030_{1956}$
Ce n'est pas la dimension instinctuelle qui est opérante à franchir dans l'œdipe.
$0405026_{1956}$
La relation de castration introduit le manque d'objet dans une dialectique qui institue, investit, confère la dimension du pacte d'une loi, d'une interdiction de l'inceste.
$0405027_{1956}$
La perversion a la propriété de réaliser un certain mode d'accès à cet au-delà de l'image de l'autre qui caractérise la dimension humaine.
$0407007_{1957}$
La valeur de dimension imaginaire apparaît prévalente chaque fois qu'il s'agit d'une perversion.
$0408002_{1957}$
La dimension ternaire et non duelle est fondamentale pour donner  son sens inter-subjectif au jeu.
$0408023_{1957}$
* La dimension du don n'existe qu'avec l'introduction de la loi.
$0422007_{1957}$
Toute relation à l'objet implique une tierce dimension.
$0422013_{1957}$
La métaphore met en jeu la dimension de substitution dans la chaîne signifiante.
$0422014_{1957}$
La métonymie met en jeu la dimension connective de la chaîne signifiante.
$0503011_{1957}$
* La dimension métaphorique est celle qui correspond à la condensation.
$0503012_{1957}$
La dimension métonymique est celle qui correspond au déplacement.
$0505012_{1957}$
La surprise est une dimension essentielle de l'essence des formations de l'inconscient.
$0505013_{1957}$
La dimension de la surprise est consubstantielle à ce qu'il en est du désir, pour autant qu'il est passé au niveau de l'inconscient.
$0020020_{1957}$
Le signifiant, de sa nature, anticipe toujours sur le sens, en déployant au devant de lui sa dimension. [Lac66a, p. 502]
$0508023_{1958}$
Le trait d'esprit comme tel, se développe dans la dimension de la métaphore.
$0508030_{1958}$
Dans la psychose, la dimension proprement énigmatique de la signification, est infiniment moins évidente que la certitude qu'elle comporte.
$0518025_{1958}$
La dimension du masque apparaît dans l'objet de la présence.
$0519017_{1958}$
* Une des dimensions fondamentales du signifiant, c'est de pouvoir s'annuler lui-même.
$0520023_{1958}$
La présence et la dimension de l'autre désir se situe au-delà de ce que le sujet demande, au-delà de ce que l'autre demande au sujet.
$0524022_{1958}$
* Hors de l'existence du signifiant, il n'y a aucune ouverture possible de la dimension d'amour comme telle.
$0618002_{1959}$
* Il n'y a pas dans le signifiant lui-même, de garant de la dimension de vérité instaurée par le signifiant.
$0701010_{1959}$
La dimension essentielle du désir est toujours désir au second degré, désir de désir.
$0718006_{1960}$
La pulsion comporte une dimension historique en tant qu'elle se rapporte à quelque chose de mémorable parce que mémorisé.
$0718007_{1960}$
La dimension de l'historisation fondamentale est comme extensive au fonctionnement de la pulsion comme telle.
$0806003_{1960}$
* le discours engendre la dimension de la vérité.
$0030005_{1960}$
Les effets de substitution métaphorique du signifiant apparaissent dans la dimension synchronique du discours. [Lac66a, pp. 799–800]
$0030006_{1960}$
Les effets de combinaison métonymique du signifiant apparaissent dans la dimension diachronique du discours. [Lac66a, pp. 799–800]
$0030031_{1960}$
Par la dimension qu'il constitue, l'Autre permet de distinguer entre tromperie de la parole et feinte. [Lac66a, p. 807]
$0815004_{1961}$
Le désir naturel a cette dimension de ne pouvoir se dire d'aucune façon.
$0816009_{1961}$
* Le sujet n'affirme la dimension de la vérité comme originale qu'au moment où il se sert du signifiant pour mentir.
$0915009_{1962}$
* La jouissance se définit par rapport à la Chose par la dimension de l'Autre comme tel, en tant que cette dimension de l'Autre se définit par l'introduction du signifiant.
$1008008_{1963}$
Dans le fétiche, se dévoile la dimension de l'objet comme cause du désir.
$1022005_{1963}$
Dès les données premières du symptôme de l'obsessionnel, la fonction du $a$ se dévoile comme fonctionnant dans la dimension de la cause.
$1022015_{1963}$
* L'effet de la parole, l'effet du signifiant est de faire surgir dans le sujet, la dimension du signifié essentiellement.
$1024018_{1963}$
Chez l'obsessionnel les désirs se manifestent toujours dans la dimension d'une fonction de défense.
$1025016_{1963}$
Le problème du deuil est celui du maintien des liens par où le désir est suspendu, dimension idéalisée de l'amour, $i ( \ensuremath{a}\xspace )$.
$1102011_{1964}$
L'inconscient se situe dans la dimension d'une synchronie.
$1111002_{1964}$
L'analyste est en posture de formuler,tu dis la vérité ”, et son  interprétation n'a de sens que dans cette dimension.
$1111034_{1964}$
Le mensonge comme tel se pose lui-même dans la dimension de la vérité.
$1112003_{1964}$
* L'inconscient, c'est la dimension où le sujet se détermine du fait et dans le développement des effets de la parole.
$0031019_{1964}$
* L'Autre est la dimension exigée de ce que la parole s'affirme en vérité. [Lac66a, p. 839]
$1306006_{1966}$
La dimension du mensonge, contrairement à celle de la feinte, est d'avoir le pouvoir de s'affirmer comme vérité.
$1321005_{1966}$
La dimension du désir surgit avec l'avènement d'un objet qui n'est pas l'objet de la satisfaction d'un besoin mais d'un rapport de la demande du sujet au désir de l'Autre.
$1404003_{1966}$
La dimension du vrai n'implique pas en elle-même le support de la pensée.
$0026003_{1966}$
Le manque à sa place est nécessaire au départ de la dimension de déplacement d'où procède tout le jeu du symbole. [Lac66a, p. 722]
$1412005_{1967}$
La vérité est dimension propre du langage.
$1423013_{1967}$
La perversion tout entière a toujours une dimension démonstrative.
$1424007_{1967}$
La présence de la dimension de la vérité est inévitable dans l'instauration du discours analytique.
$1502005_{1967}$
* La vraie dimension de la connerie est indispensable à saisir comme étant à quoi a affaire l'acte analytique.
$1503006_{1967}$
La dimension du transfert est la première phase de l'acte psychanalytique.
$4300019_{1967}$
* Il n'y a de dimension de la vérité qu'à partir du moment où il y a du signifiant.
$4300025_{1967}$
L'acte est une chose conçue comme ayant essentiellement en elle-même cette dimension de signifiant.
$1620011_{1969}$
* La pudeur est une dimension seulement propre au sujet comme tel.
$1703024_{1970}$
La jouissance s'introduit dans la dimension de l'être du sujet.
$1802039_{1971}$
Jouissance et semblant s'équivalent dans une dimension du discours.
$1806017_{1971}$
La jouissance mortelle rejoint la dimension du sexuel, à porter l'interdit sur le corps dont le corps propre sort, à savoir sur le corps propre de la mère.
$4400016_{1971}$
Il n'y a pas moyen de faire un mensonge sans supposer la dimension de la vérité.
$2003023_{1972}$
La bêtise est une dimension en exercice du signifiant.
$0058011_{1972}$
Le dire n'est pas de la dit-mansion de la vérité. [Lac73a, p. 8]
$0058050_{1972}$
Il y a trois dit-mansions de l'impossible, qui se déploient dans le sexe, le sens et la signification. [Lac73a, p. 44]
$2009023_{1973}$
La dit-mansion est la résidence du dit dont le savoir pose l'Autre comme lieu.
$2011008_{1973}$
La vérité, c'est la dit-mansion.
$2101005_{1973}$
* L'imaginaire c'est une dit-mansion.
$2101010_{1973}$
Les trois dit-mansions s'appellent le symbolique, l'imaginaire et le réel. Figure 21.1.1
$2107006_{1974}$
L'écrit est d'une autre dimension que le dire.
$2111012_{1974}$
L'objet $a$ est lié à la dimension du temps.
$2211016_{1975}$
La dit-mansion c'est la demeure du dit.
$2311006_{1976}$
La dit-mansion c'est la mention du dit et le mensionge.

Jacques B. Siboni 2024-11-08