Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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semblant
Le
psychanalyste
a
horreur
de
l'acte
psychanalytique,
parce que c'est
l'acte
qui ne
supporte
pas le
semblant.
[
Lac70b
, p. 29]
*
La
croyance,
c'est
toujours
le
semblant
en
acte.
[
Lac70b
, p. 29]
L'inconscient
ne
fait
pas
semblant.
[
Lac70b
, p. 29]
Le
semblant,
c'est le
signifiant
en lui-même.
Le
discours
est du
semblant.
C'est de ce qu'un
discours
se
centre
de son
effet
comme
impossible,
qu'il aurait quelque chance
d'être
un
discours
qui ne serait pas du
semblant.
Il est
impossible,
sans
la
référence
au
semblant,
de qualifier ce qu'il en est du
discours.
Le
discours
du
maître,
par le
signifiant
en tant que
maître
,
occupe
la
place
du
semblant.
cf:
18.2.1
*
La
vérité
n'est pas le
contraire
du
semblant.
la
démansion
du
semblant
supporte
celle de la
vérité.
*
Le
semblant,
c'est le
contraire
de
l'artefact.
Dans la
nature
le
semblant
foisonne.
Le
discours
scientifique
ne
trouve
le
réel
qu'à ce qu'il dépende de la
fonction
du
semblant.
Ce qui est
réel,
c'est ce qui
fait
trou
dans le
semblant
articulé
qu'est le
discours
scientifique.
cf:
18.2.1
Le
comportement
sexuel
humain
consiste
dans un
certain
maintien
du
semblant
animal.
Le
semblant
humain
est véhiculé dans un
discours.
L'
acting-out
consiste
à
faire
passer
le
semblant
sur la
scène,
c'est la
passion.
Le
phallus
est la
jouissance
sexuelle
en tant qu'elle est
coordonnée,
qu'elle est
solidaire
d'un
semblant.
*
La
femme
est en
position,
au regard de la
jouissance
sexuelle,
de ponctuer
l'équivalence
de la
jouissance
et du
semblant.
La
femme
est le
support
de cette
vérité,
de ce qu'il y a de
semblant
dans le
rapport
de
l'homme
à la
femme.
*
La
jouissance
est
semblant.
La
femme
sait
ce qui, de la
jouissance
et du
semblant,
est
disjonctif.
Jouissance
et
semblant
s'équivalent
dans une
dimension
du
discours.
*
La
femme
a une très grande
liberté
à
l'endroit
du
semblant.
Le
discours
universitaire,
c'est du
savoir
mis en
usage
à partir du
semblant.
Le
signifiant
est le
semblant
par excellence.
La
lettre
qui
fait
rature,
s'y
distingue
d'être
rupture,
donc du
semblant.
*
Rien
n'est
plus
distinct
du
vide
creusé
par
l'écriture
que le
semblant.
*
Il n'est
discours
que de
semblant.
*
Le
semblant
ne
s'énonce
qu'à partir de la
vérité.
La
vérité
ne
peut
dire
que le
semblant
sur la
jouissance.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
*
Parler
veut
dire
la
division
sans
remède de la
jouissance
et du
semblant.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
L'hystérique
s'accorde
de ce qu'elle
feint
d'être
détenteur
du
semblant.
Les
discours
du
maître,
universitaire,
de
l'hystérique,
de
l'analyste
ont la
propriété
de
toujours
avoir
leur
point
d'ordonnance,
d'être
à partir du
semblant.
cf:
18.2.1
5.26.3
*
Le
discours
universitaire
se
constitue
de
faire
du
savoir
un
semblant.
L'analyste
ne
fait
pas
semblant,
il
occupe
la
position
du
semblant.
*
Le
semblant
ne
prend
effet
que
d'être
manifeste.
L'analyste
occupe
la
position
du
semblant
en tant que
.
Le
discours
analytique
se
caractérise
de
situer
l'objet
à la
place
du
semblant.
La
position
du
semblant
n'est
tenable
qu'au
niveau
du
discours
scientifique.
La
place
du
semblant
est
tenue
différemment dans le
discours
universitaire
et
psychanalytique.
*
Le
discours
comme tel, est
toujours
discours
du
semblant.
*
Tout
ce qui est
dit
est
semblant.
L'analyste
se
fait
le
representamen
de
l'objet
à la
place
du
semblant.
C'est de la
place
du
semblant,
qu'un
dire
prend
son
sens.
[
Lac73a
, p. 7]
L'objet
est
d'aversion
au
regard
du
semblant.
[
Lac73a
, p. 31]
Le
pôle
du
semblant
est
corrélatif
du
pôle
de la
jouissance
en tant
qu'obstacle
au
rapport
sexuel.
L'homme
comme la
femme
font
semblant
chacun dans son
rôle.
Le
discours
universitaire
se
définit
de ce que le
savoir
est mis en
position
de
semblant.
Le
discours
analytique
fait
surgir
que le
sens
est de
semblant.
La
jouissance
ne
s'évoque,
ne
s'élabore
qu'à partir d'un
semblant.
L'amour
s'adresse
au
semblant
d'être.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Le
réel
est un
ouvert
entre
le
semblant
qui
résulte
du
réel
et la
réalité
telle qu'elle se
supporte
dans le
concret
de la
vie
humaine.
cf:
20.9.1
*Le
est un
semblant
d'être.
*
L'analyste
est
incarné
par un
semblant
de
.
C'est en tant que
l'analyste
est un
semblant
de
déchet
,
qu'il
intervient
au
niveau
du
sujet
;
c'est à
dire
qu'il est
conditionné
par ce qu'il
énonce
et par ce qu'il ne
dit
pas.
La
place
du
semblant,
de
l'objet
n'est pas celle de la
vérité.
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2024-11-08