Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.19 S
Précédent:
signifiance
Suivant:
signification
Index:
Index
signifiant, insignifiant
Dans les
névroses,
le
symptôme
est le
signifiant
d'un
signifié
refoulé
de la
conscience
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 280]
La
parole
introduit
un
effet
de
signifiant.
[
Lac66a
, p. 296]
Il y a
dualisme
du
signifiant
et du
signifié
en tant qu'il se répercute
virtuellement
de
façon
indéfinie
dans
l'usage
du
signifiant.
*
La
relation
entre
signifiant
et
signifié
est
toute
entière
incluse
dans
l'ordre
du
langage
lui-même qui en
conditionne
intégralement
les deux
termes.
Le
signifiant
est
constitué
par un
ensemble
d'éléments
matériels
liés
par une
structure.
Mot
et
parole
dans le
langage
sont les
deux
termes
de
substitution
combinatoire
du
signifiant
et de
transsubjectivité
fondamentale
du
signifié.
Le
signifiant
est le
matériel
audible.
*
Dans
l'ordre
symbolique,
les
vides
sont aussi
signifiants
que les
pleins.
[
Lac66a
, p. 392]
*
Les
signifiants
sont
toujours
à plusieurs
significations.
Le
symptôme
est
structuré
en
termes
de
signifié
et de
signifiant.
Le
signifiant
est un
matériel
du
langage.
Il y a
trois
objets
dans la
parole,
signifiant,
signifié,
et
discours
réel
concret.
Dans la
parole,
le
symbolique
est
représenté
par le
signifiant.
Les
deux
réseaux
du
signifiant
et du
signifié
organisent
des
relations
qui ne se
recouvrent
pas. [
Lac66a
, p. 414]
Le
réseau
du
signifiant
est la
structure
synchronique
du
matériel
du
langage.
[
Lac66a
, p. 414]
Chaque
élément
du
réseau
du
signifiant
prend
son
emploi
exact
d'être
différent
des
autres.
[
Lac66a
, p. 414]
Le
réseau
du
signifié
réagit
historiquement
sur le
réseau
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 414]
La
structure
du
réseau
du
signifiant
commande
les
voies
du
réseau
du
signifié.
[
Lac66a
, p. 414]
Le
symptôme
a
structure
signifiante.
[
Lac66a
, p. 415]
C'est dans la désagrégation de
l'unité
imaginaire
que
constitue
le
moi,
que le
sujet
trouve
le
matériel
signifiant
de ses
symptômes.
[
Lac66a
, p. 427]
La
parole
a
trois
étapes,
le
signifiant,
la
signification,
le
discours.
Dans
l'inconscient,
le
signifiant
joue
un aussi
grand
rôle
que le
signifié.
Le
rôle
fondamental
du
système
du
signifiant
est de
caractériser
le
langage.
Le
rapport
du
signifiant
et du
signifié
n'est pas
biunivoque.
Il y a
duplicité
fondamentale
du
signifiant
et du
signifié.
Le
matériel
lié
au
conflit
ancien
est
conservé
dans
l'inconscient
au titre de
signifiant
en
puissance,
virtuel,
pour être
pris
dans le
signifié
du
conflit
actuel
et lui
servir
de
langage,
c'est à dire de
symptôme.
Un
délire
est
d'abord
à
juger
comme un
champ
de
signification
ayant
organisé
un
certain
signifiant.
Au
moment
où le
signifiant
entraîne
la
signification,
l'ouïr
et le
parler
sont comme
l'endroit
et
l'envers.
*
Il
peut
y
avoir
un
signifiant
inconscient.
Le
signifiant
inconscient
dans la
psychose
est
extérieur
au
sujet.
Une
apparition
primitive
du
signifiant
implique
déjà le
langage.
Dans la
Verwerfung
il s'agit du
rejet
d'une
partie
d'un
signifiant
primordial.
Dans la
Verwerfung
à la
base
de la
paranoïa
il s'agit d'un
processus
primordial
d'exclusion
d'un
premier
corps
de
signifiant.
Le
rapport
entre
la
signification
et le
signifiant
est celui qui est fourni par la
structure
du
discours.
Dans la
névrose,
au
lieu
de se
servir
des
mots,
le
sujet
se
sert
de
tout
et
devient
le
signifiant.
Le
signifiant
est un
signe
qui ne
renvoie
pas à un
objet,
même
à
l'état
de
trace.
Le
signifiant
est
signe
d'une
absence.
Le
signifiant,
en tant qu'il fait
partie
du
langage,
est un
signe
qui
renvoie
à un
autre
signe.
Les
caractéristiques
du
signifiant
marquent
tout
ce qui est de
l'ordre
de
l'inconscient.
La
dynamique
des
phénomènes
du
champ
analytique
est
liée
au
caractère
d'ambiguïté,
de
duplicité
fondamentale
qui
résulte
de la
distinction
du
signifiant
et du
signifié.
Entre
homme
et
femme
une
dissymétrie
essentielle
apparaît
au
niveau
du
signifiant,
au
niveau
du
symbolique.
Le
signifiant
est le
symbolique
en tant qu'il
donne
une
forme
dans laquelle
peut
s'insérer
le
sujet
au
niveau
de
l'être.
La
causalité
n'est pas
autre
chose
que la
chaîne
des
signifiants.
Chaque
névrose
reproduit
un
certain
cycle
dans
l'ordre
du
signifiant.
L'homme
a quelque
chose
qui est
radicalement
inassimilable
au
signifiant.
*
La
naissance
du
signifiant
c'est la
simultanéité.
*
L'existence
du
signifiant
est une
coexistence
synchronique.
La
Bewusstsein
est le
moment
de
relation
causale
où le
signifiant
qui est
constitué
comme
signifiant,
s'ordonne.
La
notion
de
structure
est une
manifestation
du
signifiant.
La
notion
de
structure
et celle de
signifiant
sont
inséparables.
*
Dégager une
loi
naturelle,
c'est dégager une
formule
signifiante.
5
.
466
La
notion
de
signifiant
signifie
qu'il y a quelqu'un qui se
sert
de ce
signifiant
pour
signifier
quelque
chose.
Il est
faux
que
tout
système
de
langage
épuise les
possibilités
du
signifiant.
*
Tout
vrai
signifiant
est, en tant que tel, un
signifiant
qui ne
signifie
rien.
Plus un
signifiant
ne
signifie
rien,
plus
il est
indestructible.
C'est dans la
mesure
où une
notion
peut
être mise en
doute
qu'elle est un
signifiant
véritable.
Le
subjectif
suppose
qu'un
sujet
est
capable
de se
servir
du
signifiant
comme tel.
Le
sujet
se
sert
du
jeu
du
signifiant,
non
pas pour
signifier
quelque
chose,
mais pour
tromper
sur ce qu'il y a à
signifier.
*
Le
signifiant
est autre
chose
que la
signification.
Est
naturel
le
champ
de la
science
où il n'y a
personne
qui se
sert
du
signifiant
pour
signifier.
Le
signifiant
prend
sa
fonction
au
moment
où au
niveau
du
récepteur,
il est
pris
acte
du
message.
Le
signifiant
est un
système
corrélatif
d'éléments
qui
prennent
leur
place
synchroniquement
et
diachroniquement
les uns par
rapport
aux
autres.
Ce qui
distingue
le
signifiant
comme tel est le
fait
qu'on
prend
acte
du
signe
comme tel.
C'est
l'accusé
de
réception
qui est
l'essentiel
de la
communication
en tant qu'elle est
non
pas
significative
mais
signifiante.
Le
ressort
original,
propre,
distinctif,
du
signifiant
est
d'exercer
sa
fonction
propre
qui n'est pas de
faire
émerger
une
signification.
L'ordre
du
signifiant
existe
en tant que tel lorsque le
signe
qui le
constitue
est là pour ne
signifier
rien.
Le
signifiant
commence
et se
distingue
de
l'ordre
de la
signification
lorsque le
signe
qui le
constitue
ne
signifie
rien.
Le
monde
humain
implique
non
seulement
l'existence
des
significations
mais
l'ordre
d'un
signifiant.
Le
complexe
d'Œdipe
correspond
à
l'introduction
du
signifiant.
La
définition
des
subjectivités
est la
possibilité
de manier le
signifiant
à des fins
purement
signifiantes
et
non
pas
significatives.
La
structure
de la
névrose
hystérique
est une
question
centrée autour d'un
signifiant
qui
reste
énigmatique
quant à sa
signification.
La
question
de la
mort
ou celle de la
naissance
n'ont pas de
solution
dans le
signifiant.
Dans la
psychose,
il y a quelque
chose
qui ne
s'était
pas
réalisé
dans le
domaine
du
signifiant.
La
nature
de
l'
Erklären
c'est la
recherche
et le
recours
essentiels
au
signifiant.
La
défense
a un
rapport
essentiel
au
signifiant.
Le
psychotique
réagit à sa
perplexité
de
base
concernant le
signifiant
par une
tentative
de
restitution,
de
compensation.
Dans la
psychose,
l'Autre
est
exclu
en tant que
porteur
de
signifiant.
*
Le
signifiant
a ses
lois
propres
indépendamment
du
signifié.
Chez
l'être
humain
les
significations
les
plus
animales
sont
soumises
aux
lois
du
signifiant.
La
réalité
humaine
est
structurée
comme
signifiante.
Le
signifiant
se
distingue
d'être
distinct
de la
signification.
Le
signifiant
en lui-même n'a pas de
signification
propre.
Il y a des
signifiants
de
base
sans
lesquels
l'ordre
des
significations
humaines
ne
saurait
s'établir.
La
psychose
consiste
en un
manque
quelque part, un
trou
au
niveau
du
signifiant
comme tel.
Dans la
psychose,
lors du
manque
du
signifiant,
le
sujet
doit
être
nécessairement
amené à remettre en
cause
l'ensemble
du
signifiant.
Il est
absolument
essentiel
aux
phénomènes
de
significations
que le
signifiant
ne soit pas
découpable.
L'unité
de
signification
montre
d'une
façon
permanente
le
signifiant
fonctionnant
selon certaines
lois
qui en sont
l'élément
essentiel.
Le
caractère
signifiant
du
symbole
est
situé
au
même
point
de la
genèse
que
l'intervention
de
l'instinct
de
mort.
Dans la
métaphore,
une
signification
est la
donnée
qui
domine,
infléchit,
commande
l'usage
du
signifiant.
L'usage
de la
langue
n'est
susceptible
de
signification
qu'à partir du
moment
où la
signification
arrache
le
signifiant
à ses
connexions
lexicales.
5
.
467
Dans
l'investigation
analytique,
le
signifiant
a le
rôle
essentiel,
médiateur
et
primordial.
Le
signifiant
est
l'élément
guide.
Dans la
psychose,
il y a une
véritable
intrusion
psychologique
du
signifiant
comme tel.
Le
signifiant
et le
signifié
sont
toujours
dans un
rapport
dialectique.
Le
langage
mathématique
est un
langage
de
pur
signifiant.
Dans le
phénomène
délirant
il y a une mise en
valeur
de la
fonction
signifiante
comme telle.
Un
signifiant
est la
source
de
signification
et
non
pas
dépendance
de
signification.
La
réalité
à laquelle nous
avons
affaire est
profondément
soutenue,
tramée
par la
tresse
de
signifiants
qui la
constitue.
La
position
hystérique
est une
question
qui se
rapporte
aux
deux
pôles
signifiants
du
mâle
et de la
femelle.
Le
préalable
de la
psychose
est une
non-intégration
du
sujet
au
registre
du
signifiant.
La
notion
de
Verwerfung
nomme
quelque
chose
de
préalable
qui
manque
dans la
relation
au
signifiant
comme tel.
Le
point
de
capiton
figure
la
fonction
du
signifiant.
Il y a
point
de
capiton
entre
signifiant
et
signifié.
Le
tu
dans sa
forme
verbalisée,
dans sa
forme
signifiante,
ne se
confond
ni ne
recouvre
le
grand
Autre.
Les
personnes
5
.
468
viennent
d'abord
d'une
façon
signifiante,
c'est-à-dire
formelle.
Le
je
n'est
jamais
là où il
apparaît
sous la
forme
d'un
signifiant
particulier.
L'expérience
du
tu
aboutit
à
l'existence
du
tu
comme
signifiant.
Le
signifiant
surmoi
n'est pas autre
chose
que la
fonction
du
tu,
et le
sentiment
de
réalité.
La
décomposition
du
signifiant
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
d'un
point
d'appel
qui est
constitué
par un
manque,
une
disparition,
une
absence
d'un
certain
signifiant,
au
moment
où il est
appelé
comme tel.
Le
signifiant,
dans sa
fonction
proprement
signifiante
présente
une
inertie
propre.
Le
signifiant
groupe les
significations.
C'est le
signifiant
qui
crée
le
champ
des
significations.
La
fonction
être
père
n'est
pensable
dans
l'expérience
humaine
que grâce à la
catégorie
du
signifiant.
Le
tu
c'est un
signifiant.
La
symptomatologie
de la
névrose
est
constituée
par une
sorte
d'implication
signifiante.
La
resubjectivation
du
sujet
consiste
à l'extraire de son
implication
signifiante.
Le
signifiant,
lorsqu'il est pour
l'autre
exclu,
lorsqu'il est
appelé,
produit
à ce
moment
là la
réduction,
mais intensifiée, à la
pure
relation
imaginaire.
Lorsqu'un
signifiant
est
verworfen
il est
inaccessible.
Toute
entrée
dans les
psychoses,
c'est le
moment
où, du
champ
de
l'Autre,
vient
l'appel
d'un
signifiant
essentiel
qui ne
peut
pas
être
reçu.
La
notion
du
père
ne se
suppose
que pourvue de
toute
une
série
de
connotations
signifiantes
qui lui
donnent
son
existence
et sa
consistance.
Dans les
névroses
il y a
relation
du
sujet
à un
lien
signifié
à
l'intérieur
des
structures
signifiantes
existantes.
L'entrée
dans la
psychose
est
marquée
par une
rencontre
du
sujet,
dans des
conditions
électives,
avec le
signifiant
comme tel.
Dans la
psychose,
il s'agit de
l'abord
par le
sujet
d'un
signifiant
comme tel.
Dans la
psychose,
il y a
rencontre
avec le
signifiant
qui ne
peut
pas être
assimilé.
Le
signifiant
est
l'articulation
du
symbolisme.
Le
est déjà
organisé
comme est
organisé
le
signifiant.
Le
est déjà
articulé
comme est
articulé
le
signifiant.
le
signifiant
et le
signifié
sont les
deux
niveaux
de la
parole.
Le
cours
du
signifiant
est le
discours
concret.
Les
glissements
perpétuels
du
signifié
sous le
signifiant
sont
possibles.
Les
glissements
perpétuels
du
signifiant
sur le
signifié
sont
possibles.
Ce qui est
signifiant
de quelque
chose
peut
devenir
signifiant
d'autre
chose.
La
mort
est le
support,
la
base
par laquelle le
signifiant
existe.
Le
signifiant
a ses
lois
propres.
Le
c'est le
signifiant
qui est déjà là dans le
réel
du
signifiant
incompris.
Il y a du
signifiant
déjà
installé,
déjà
structuré.
L'automatisme
de
répétition
prend
son
principe
dans
l'insistance
de la
chaîne
signifiante,
la
Wiederholungzwang
.
[
Lac66a
, p. 11]
C'est la
loi
propre
de la
chaîne
signifiante
qui régit la
forclusion,
Verwerfung
,
la
dénégation
Verneinung
,
le
refoulement,
Verdrängung
.
[
Lac66a
, p. 11]
Le
signifiant
matérialise
l'instance
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 24]
Le
signifiant
a une
matérialité
qui ne
supporte
pas la
partition;
il est atomique. [
Lac66a
, p. 24]
*
Le
signifiant
est
unité
d'être
unique.
[
Lac66a
, p. 24]
Le
signifiant
n'est
symbole
que d'une
absence.
[
Lac66a
, p. 24]
Le
signifiant
peut
changer
de
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
signifiant
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
*
Le
signifiant
n'est pas
fonctionnel.
[
Lac66a
, p. 26]
Le
signifiant
est
préséant
par
rapport
au
signifié.
[
Lac66a
, p. 29]
La
lettre,
missive est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 29]
Le
signifiant
ne se
maintient
que dans un
déplacement
circulaire.
[
Lac66a
, p. 29]
Le
signifiant
a un
fonctionnement
alternant,
qui
exige
qu'il quitte sa
place,
pour y
faire
retour
circulairement.
[
Lac66a
, p. 29]
*
Le
déplacement
du
signifiant
détermine
les
sujets
dans leurs
actes.
[
Lac66a
, p. 30]
L'homme
est
habité
par le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 35]
Le
signifiant
est prééminent sur le
sujet.
[
Lac66a
, p. 39]
Le
phallus
imaginaire
joue
un
rôle
signifiant
majeur
dans
l'ordre
symbolique.
*
Le
signifiant
existe.
Pour
l'enfant
en
fin
de
phase
préœdipienne,
il s'agit qu'il
assume
le
phallus
en tant que
signifiant
de
façon
qu'il le
fasse
instrument
de
l'ordre
symbolique
des
échanges.
Le
surmoi
et les
symptômes
sont des
signifiants
qui
marquent,
chez
l'homme,
sa
relation
au
signifiant.
5
.
469
Le
père
symbolique
est une
sorte
de
donnée
5
.
470
irréductible
du
monde
du
signifiant.
Le
signifiant
est
introduit
dans le
réel
à partir du
moment
où
on
parle.
La
loi
sort
avec le
signifiant
indépendamment
de
toute
expérience.
Le
phallus
a une
valeur
symbolique
dans le
système
signifiant.
Le
jeu
élémentaire,
fondamental
du
signifiant,
c'est la
permutation.
Le
signifiant
se
distingue
du
signifié.
*
Le
signifiant
symptomatique
est
essentiellement
constitué
de telle
sorte
qu'il est de
nature
à
recouvrir
au
cours
du
développement
et de
l'évolution,
les
signifiés
les
plus
multiples.
Un
signifiant
typique
est un
signifiant
propre
à
tout
faire.
Nul
élément
signifiant
ne
peut
être
considéré
comme ayant une
portée
univoque,
comme
étant
d'aucune
façon
équivalent
comme tel à
aucun
de ces
objets.
Les
éléments
signifiants
doivent
être
définis
pour leur
articulation
avec les
autres
éléments
signifiants.
Aucun
élément
signifiant
ne
peut
être
considéré
comme
indépendant
des
autres.
Les
signifiants,
par leur
valeur
combinatoire,
viennent
restructurer
le
réel.
*
Le
signifiant
est un
pont
dans un
domaine
de
significations.
La
constellation
signifiante
opère
par
système
de
transformation.
Le
signifiant
est par certains cotés
insignifiant.
Le
signifiant
n'est pas là, dans la
relation
au
signifiant,
pour
représenter
la
signification.
Le
signifiant
est là pour
compléter
les
béances
d'une
signification
qui ne
signifie
rien.
La
métaphore
met en
jeu
la
dimension
de
substitution
dans la
chaîne
signifiante.
La
métonymie
met en
jeu
la
dimension
connective
de la
chaîne
signifiante.
La
psychose
est
fondée
sur une
carence
signifiante
primordiale.
La
Verwerfung
est
carence
du
signifiant.
Le
sens
ne
surgit
que de la
substitution
d'un
signifiant
à un
signifiant
de la
chaîne
symbolique.
*
Il est
impossible
de
représenter
dans le
même
plan
le
signifiant,
le
signifié
et le
sujet.
Dans le
point
de
capiton
présenté
figure
5.1.1
les
deux
lignes
sont du
domaine
des
signifiants.
Dans le
point
de
capiton
présenté
graphe
5.1.1
, le
vecteur
est la
chaîne
signifiante.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.2
,
désigne
le faisceau des
emplois
du
signifiant.
Le soc du
signifiant
qui creuse dans le
réel,
c'est le
signifié.
Métaphore
et
métonymie
sont des
fonctions
essentielles du
signifiant.
Le
signifiant
exerce des
fonctions
créatrices
sur le
signifié.
La
voie
signifiante
c'est la
voie
de
l'équivoque,
de
l'homonymie.
La
voie
signifiante
c'est la
voie
du
non-sens
maximum.
Le
rapport
est un
rapport
de
signifiant
à
signifiant.
Le
rapport
va
engendrer
le
rapport
,
rapport
d'un
signifiant
à un
signifié.
La
substitution
est une
possibilité
d'articulation
du
signifiant.
La
formule
de la
métonymie
avec la
diachronie,
il y a
combinaison
du
lien
du
signifiant.
Toutes
les
significations
humaines
ont été à quelque
moment
métaphoriquement
engendrée
par des
conjonctions
signifiantes.
Le
refoulé
est un
déchet
signifiant.
Un
mot
étranger
est
plus
facilement
fragmentable
et
usable
dans ses
éléments
et ses
décompositions
signifiantes.
La
métaphore
s'exerce par un
mécanisme
de
substitution
d'un
signifiant
à un
signifiant
.
*
Le
trait
d'esprit
exerce au
niveau
du
je
du
signifiant.
Le
jeu
métaphorique
n'est
possible
que s'il y a quelque
chose
à
substituer
dans la
base
signifiante.
La
chaîne
signifiante
est au
principe
de la
combinaison
en tant que
lieu
de la
métonymie.
Les
besoins
sont
soumis
aux
lois
du
signifiant.
La
métaphore
est la
fonction
que
prend
un
signifiant
en tant qu'il est
substitué
à un
autre,
latent,
dans la
chaîne,
en
simultanéité
positionnelle.
Dans la
métaphore
un
signifiant
est
substitué
à un
autre
dans une
chaîne
signifiante,
.
Dans la
métonymie,
un
signifiant
est dans la
continuité
5
.
471
de la
chaîne
signifiante,
.
Le
sens
est
l'effet
essentiel
inhérent à la
nature
de la
chaîne
signifiante.
Par
rapport
au
mécanisme
de la
création
du
sens,
les
lois
du
signifiant
sont
premières.
Le
signifiant,
au
début,
est
fait
pour
exprimer
une
demande.
La
demande
c'est ce quelque
chose
d'un
besoin
qui
passe
au
moyen
du
signifiant
qui est
adressé
à
l'autre.
La
structuration
de la
demande
est
tout
à
fait
à la
base,
au
fondement
de
l'exercice
premier
du
signifiant
dans
l'expression
du
désir.
Ce qui est
signifié
est quelque
chose
d’au-delà du
besoin
brut, de remodelé par
l'usage
du
signifiant.
Le
plaisir
de
l'exercice
du
signifiant
est le
plaisir
de la
chaîne
signifiante.
L'Autre
est le
lieu
du
code,
le
lieu
des
emplois
du
signifiant.
Il y a un
reste
dès
qu'entre
en
jeu
le
signifiant.
Dans
l'humain
un
sujet
pense
selon les
lois
qui sont les
mêmes
que les
lois
de
l'organisation
de la
chaîne
signifiante.
Le
signifiant
en
action
se
nomme
l'inconscient.
Le
trait
d'esprit
est du
registre
du
signifiant.
Ce qui est en
jeu
dans le
trait
d'esprit,
ce sont ses
images
en tant qu'elles sont devenues des
éléments
signifiants.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
Les
deux
registres
du
signifiant
et du
signifié
désignent
des
enchaînements
pris
dans leur globalité. [
Lac66a
, p. 444]
L'algorithme
de la discipline
linguistique
est
et se
lit,
signifiant
sur
signifié.
[
Lac66a
, p. 497]
Le
signifiant
et le
signifié
sont
d'ordres
distincts.
[
Lac66a
, p. 497]
Le
signifiant
et le
signifié
sont
séparés
par une
barrière
résistante
à la
signification.
[
Lac66a
, p. 497]
Le
signifiant
n'a pas
fonction
de
représenter
le
signifié.
[
Lac66a
, p. 498]
Le
signifiant
existe
en
dehors
de
toute
signification.
[
Lac66a
, p. 498]
L'algorithme
n'est lui-même que
pure
fonction
de
signifiant.
[
Lac66a
, p. 501]
La
structure
du
signifiant
est qu'il est
articulé.
[
Lac66a
, p. 501]
Les
unités
signifiantes,
ce sont les
phonèmes.
[
Lac66a
, p. 501]
La
lettre
est la
structure
essentiellement
localisée
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 501]
Le
signifiant
se
compose
selon les
lois
d'un
ordre
fermé.
[
Lac66a
, pp. 501–502]
La
chaîne
signifiante
est le
substrat
topologique
des
lois
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 502]
Le
signifiant,
de sa
nature,
anticipe
toujours
sur le
sens,
en déployant au devant de lui sa
dimension.
[
Lac66a
, p. 502]
C'est dans la
chaîne
du
signifiant
que le
sens
insiste.
[
Lac66a
, p. 502]
Aucun
des
éléments
de la
chaîne
signifiante
ne
consiste
dans la
signification
dont cet
élément
5
.
472
est
capable
au
moment
même.
[
Lac66a
, p. 502]
La
notion
d'un
glissement
incessant
du
signifié
sous le
signifiant
s'impose.
[
Lac66a
, p. 502]
La
métonymie
est la
fonction
proprement
signifiante
dans le
langage.
[
Lac66a
, p. 505]
La
métaphore
jaillit
entre
deux
signifiants,
dont l'un s'est
substitué
à
l'autre,
en
prenant
sa
place
dans la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 507]
Dans la
métaphore,
le
signifiant
occulté
reste
présent
de sa
connexion
métonymique
au
reste
de la
chaîne.
[
Lac66a
, p. 507]
*
Les
images
du
rêve
ne sont à retenir que pour leur
valeur
de
signifiant.
[
Lac66a
, p. 510]
La
valeur
de
signifiant
de
l'image
n'a
rien
à
faire
avec sa
signification.
[
Lac66a
, p. 510]
La
Verdichtung
,
ou
condensation,
c'est la
structure
de surimposition des
signifiants
où la
métaphore
prend
son
champ.
[
Lac66a
, p. 511]
Le
travail
du
rêve
suit
les
lois
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 512]
L'incidence
du
signifiant
sur le
signifié
se note : [
Lac66a
, p. 515]
La
structure
métonymique,
c'est la
connexion
du
signifiant
au
signifiant,
qui
permet
l'élision
par quoi le
signifiant
installe
le
manque
de
l'être,
dans la
relation
d'objet.
[
Lac66a
, p. 515]
Le
signe
de la
métonymie
marque
l'irréductibilité
où se
constitue,
dans les
rapports
du
signifiant
au
signifié,
la
résistance
de la
signification.
[
Lac66a
, p. 515]
La
structure
métaphorique
indique
que c'est dans la
substitution
du
signifiant
au
signifiant
que se
produit
un
effet
de
signification.
[
Lac66a
, p. 515]
désigne
le
terme
productif
de
l'effet
signifiant,
ou
signifiance
[
Lac66a
, p. 515]
Le
symptôme
est la
métaphore
où la chair, ou bien la
fonction,
sont prises comme
élément
signifiant.
[
Lac66a
, p. 518]
Le
lieu
de la
convention
signifiante
est un
tiers
lieu.
[
Lac66a
, p. 525]
La
chaîne
signifiante
est
faite
d'anneaux
dont le
collier
se scelle dans
l'anneau
d'un
autre
collier
fait
d'anneaux.
[
Lac66a
, p. 502]
Il y a une
loi
qui
s'articule
au
niveau
du
signifiant.
Le
texte
de la
loi
se
suffit
d'être
au
niveau
du
signifiant.
Le
père
symbolique
subsiste
au
niveau
du
signifiant.
Le
signifiant
du
nom-du-père
donne
son
support
à la
loi,
qui
promulgue
la
loi.
La
Verdrängung
évoque
le
signifiant
refoulé
dans
l'Autre.
Dans la
Verwerfung
un
signifiant
ou une
lettre
manque.
*
L'espace
du
signifiant,
l'espace
de
l'inconscient
est un
espace
typographique.
Il y a quelque
chose
qui
manque
dans la
chaîne
des
signifiants.
Dans la
psychose
le
sujet
doit
suppléer
au
manque
du
signifiant
du
nom-du-père.
Le
signifié
est
fait
de la
transformation,
de la réfraction de son
désir
par le
passage
par le
signifiant.
Le
désir
s'exprime
et
passe
par le
signifiant
au
niveau
du
croisement
du
désir
avec la
ligne
signifiante,
là où il
rencontre
l'Autre.
L'Autre
comme
trésor
du
signifiant
est le
siège
du
code.
Le
propre
du
signifiant
est
d'être
discontinu.
Tu
est le
signifiant
de
l'appel
à
l'autre.
L'Autre
est le
lieu
de
repos
5
.
473
, le
trésor
du
signifiant.
*
Un
nom
n'est
jamais
qu'un
signifiant
comme les
autres.
Dans le
schéma
5.8.1
qui est une version simplifiée du
schéma
L,
est le
lieu
du
signifiant.
Dans le
schéma
5.8.1
,
,
sont les
trois
termes
subjectifs du
complexe
d'Œdipe
en tant que
signifiant.
Le
se
représente
dans quelque
chose
qui
s'oppose,
dans le
ternaire
aux
signifiants
de
l'œdipe
dans quelque
chose
qui
doit
être
ternaire.
Une
métaphore
c'est un
signifiant
qui
vient
à la
place
d'un
autre
signifiant.
Le
père,
en tant que
signifiant
substitué
à un
autre
signifiant,
est
l'unique
ressort
en tant qu'il
intervient
dans le
complexe
d'Œdipe.
La
fonction
du
père
dans le
complexe
d'Œdipe
est
d'être
un
signifiant
substitué
au
signifiant
premier
introduit
dans la
symbolisation,
le
signifiant
maternel.
*
C'est en tant que le
père
se
substitue
à la
mère
comme
signifiant
que va se
produire
ce
résultat
ordinaire de la
métaphore.
*
La
position
du
signifiant
du
père
est
fondatrice
de la
position
du
phallus
dans le
plan
imaginaire.
Il n'y a pas de
sujet
s'il n'y a pas de
signifiant
qui le
fonde.
Le
signifiant
est un
objet
métonymique
qui va
circuler
partout
dans le
signifié.
Le
rapport
de
l'homme
à
toute
signification,
du
fait
de
l'existence
du
signifiant
est un
objet
métonymique.
Le
refoulement
ne
peut
se
concevoir
qu'en tant que
lié
à une
chaîne
signifiante
articulée.
À
l'intérieur
du
système
signifiant,
le
nom-du-père
a la
fonction
de
l'ensemble
du
système
signifiant.
Le
nom-du-père
est ce qui
autorise
le
système
signifiant
à
exister,
qui en
fait
la
loi.
Le
signifiant
du
signifié
est en général le
phallus.
Le
phallus
est un
signifiant
dernier
dans le
rapport
du
signifiant
au
signifié.
L'au-delà
du
principe
du
plaisir
est le
rapport
fondamental
du
sujet
à la
chaîne
signifiante.
*
À partir du
moment
où le
signifiant
est
introduit,
sa
valeur
est
fondamentalement
double.
Le
désir
est
aliéné
dans le
signifiant.
Le
désir
est
installé
essentiellement
dans un
rapport
à la
chaîne
signifiante.
*
Le
fantasme
inconscient
est
dominé,
structuré
par les
conditions
du
signifiant.
L'idéal-du-moi
est
marqué
du
signe
du
signifiant.
Le
signifié
implique
dans le
sujet
l'action
structurante
de
signifiant
constitué
par
rapport
au
besoin.
Il y a
l'exigence
d'un
symbole
de
marge
qui
sépare
toujours
le
désir,
désir
toujours
marqué
de
l'altération
par
l'entrée
dans le
signifiant.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
C'est grâce à la
mutilation
fondamentale
que le
phallus
devient
le
signifiant
du
pouvoir.
C'est au titre d'un
élément
signifiant
privilégié,
qu'intervient
la
relation
dans
l'œdipe
de la
petite
fille
au
phallus.
Le
phallus
est le
signifiant
du
manque.
Le
phallus
est le
signifiant
de la
distance
de la
demande
du
sujet
à son
désir.
Le
phallus
est
pris
dans une
fonction
subjective
qui
doit
remplir
le
rôle
de
signifiant.
Le
phallus
est un
signifiant
carrefour
vers lequel converge ce qui se
passe
dans la
prise
du
sujet
humain
dans le
système
signifiant
Le
désir
passe
par le
système
signifiant
pour se
faire
reconnaître.
Toute
identification
idéale
du
moi
est une mise en
rapport
du
sujet
à certains
signifiants
dans
l'Autre.
*
La
phobie,
c'est un
symptôme
où
vient
au
premier
plan
et d'une
façon
isolée et promue comme telle, le
signifiant.
Le
totem
est le
signifiant
grâce auquel
tout
s'ordonne,
et
principalement
le
sujet.
Dans la
formule
5.17.3
le delta
est ce par quoi le
sujet
humain
est mis dans un
certain
rapport
au
signifiant.
Le
grand
est le
signifiant.
Le
phallus
est le
signifiant
qui
introduit
quelque
chose
de
nouveau
dans
l'Autre.
Le
signifiant
phallus
est
irréductible
dans le
complexe
de
castration.
Le
phallus
joue
un
rôle
de
signifiant.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Il n'y aurait pas
d'entrée
de
l'homme
dans la
culture
si ce
rapport
au
signifiant
n'y
était
à
l'origine.
Le
signifiant
paternel
est le
signifiant
qui, dans le
lieu
de
l'Autre,
autorise
le
jeu
des
signifiants.
Le
désir
est
articulé
pour autant qu'il est
lié
à la
présence
du
signifiant
dans
l'homme.
Le
lien
avec le
signifiant
n'est
jamais
pleinement
articulable.
Le
surmoi
se
formule
dans la
ligne
de
transformation
du
désir,
dans
l'articulation
signifiante,
l'interdiction.
Le
grand
Autre
est le
lieu
d'un
système
unitaire
et
signifiant.
Le
signifiant
peut
être
substitué
à lui-même.
Le
signifiant
est de
nature
essentiellement
substitutive.
Une
trace
ce n'est pas un
signifiant.
*
Le
signifiant,
comme tel, c'est quelque
chose
qui
peut
être
effacé,
qui ne laisse plus que sa
place.
*
Une des
dimensions
fondamentales
du
signifiant,
c'est de
pouvoir
s'annuler
lui-même.
*
Toute
espèce
de
signifiant
est, de sa
nature,
quelque
chose
qui
peut
être
barré.
Il y a à
l'intérieur
du
signifiant
quelque
chose
qui
toujours
est en
mesure
de le
destituer
de sa
fonction.
La
désidération
marque
la
barre
du
signifiant.
C'est en tant que le
signifiant
se
présente
comme
annulé,
comme
marqué
de la
barre,
qu'il est un
produit
de la
fonction
symbolique.
C'est
uniquement
à partir du
moment
où il
peut
être
barré,
que quelque
signifiant
acquiert
son
statut
propre.
Tout
signifiant
est
révocable.
Le
signifiant
est
essentiellement
creux.
Un
rêve
se
développe
sur
deux
étages; l'étage proprement
signifiant
qui est la
parole,
et l'étage
imaginaire
où
s'incarne
l'objet
métonymique.
Le
phallus
est ce
signifiant
qui
marque
ce que
l'autre
désire.
La
fonction
du
phallus
est
marquée
par le
signifiant.
C'est dans la
mesure
où
l'autre
est
marqué
par le
signifiant,
que le
sujet
doit
reconnaître
que lui aussi est
marqué
par les
signifiant.
Il y a
toujours
quelque
chose
qui
reste
au-delà
de ce qui
peut
se
satisfaire
par
l'intermédiaire
de ce
signifiant,
par la
demande.
Le
signifiant
est la
fonction
du
signifiant
phallus.
Le
sujet
achevé,
c'est le
sujet
en tant que s'est
introduite
la
barre,
en tant que lui-même est quelque part
marqué
de la
relation
du
signifiant.
Le
phallus
n'est ni un
fantasme,
ni une
image,
ni un
objet,
c'est un
signifiant.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir.
Le
phallus
n'est pas
l'objet
du
désir,
mais le
signifiant
du
désir.
Pour ce qui est du
signifiant
phallus,
le
sujet
peut
l'avoir
ou
l'être.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
et comme tel il
s'articule
comme
désir
de
l'autre.
Le
phallus
est ce
signifiant
particulier
qui est spécialisé à
désigner
comme tel
l'ensemble
des
effets
du
signifiant
sur le
signifié.
Le
signifiant
est lui
structuré
par la
Spaltung.
Le
grand
Autre
est le
lieu
où le
signifiant
ordonne
le
désir.
Le
phallus
est le
signifiant
par excellence du
rapport
de
l'homme
au
signifié.
Le
désir
est
toujours
double,
il est à la
fois
au-delà
et
en-deça
de la
demande,
selon que la
demande
est
structurée
en
terme
de
signifiant
ou en
terme
de
besoin.
Le
fantasme
est
l'imaginaire
qui est
pris
dans un
certain
usage
de
signifiant.
Le
fantasme
est
essentiellement
un
imaginaire
pris
dans une certaine
fonction
signifiante.
L'obsessionnel,
dans son
exploit
vise
l'Autre,
là où les
choses
s'articulent
en
termes
de
signifiant.
Il n'y a pas
d'autre
régression
dans
l'analyse
que les
signifiants
régressifs
liés
à
l'identification
seconde.
Le
transfert
ouvre
la
possibilité
d'une
articulation
signifiante
autre
et
différente
de celle qui enferme le
sujet
dans la
demande.
*
Hors de
l'existence
du
signifiant,
il n'y a
aucune
ouverture
possible
de la
dimension
d'amour
comme telle.
Le
phallus
est le
signifiant
de ce qui est frappé par
l'action
du
signifiant.
La
refente
du
sujet
résulte
de
l'action
du
signifiant.
L'articulation
signifiante,
par sa
seule
présence,
fait
apparaître
du
symbolique
dans le
réel.
*
Ne
saurait
être
refoulé
que ce qui se
révèle
balisé à la
structure
de la
parole,
c'est-à-dire à une
articulation
signifiante.
L'Autre
est le
lieu
où se
situe
la
possibilité
d'articuler
le
besoin
dans le
signifiant.
Le
père
mort
est
porteur
d'un
signifiant
qui
autorise
et
fonde
tout
le
système
de
signifiant.
Le
manque
symbolisé
est
l'effet
du
signifiant
sur le
sujet,
le
signifié.
Le
signifié
vient
du
langage
et du
signifiant
comme tel.
La
parole
est
symbolisation
du
signifiant
sur le
sujet.
Les
significations
sont
toujours
produites
selon les
lois
de la
chaîne
signifiante.
La
métaphore
essentielle
donne
au
désir
de
l'Autre
le
signifiant
essentiel
qu'est le
phallus.
Le
phallus
est
signifiant
d'une
image.
Le
phallus
est
signifiant
de
l'incidence
du
signifiant
sur le
vivant.
La
subjectivité
étant
prise
dans le
langage,
il y a
émission,
non
pas d'un
signe
mais d'un
signifiant.
Le
signifiant
prend
sa
valeur
du
rapport
à un
autre
signifiant,
dans une certaine
synchronie.
La
relation
entre
la
pulsion
et la
chaîne
signifiante
est présentée
figure
6.1.1
C'est
toujours
par un
jeu
rétroactif
de la
suite
des
signifiants
que la
signification
s'affirme
et se précise.
Entre
signifiant
et
signifié
il y a la
barre.
Dans le
graphe
6.1.2
le
signifiant
donné
par
l'Autre
est
produit
sur la
chaîne.
Le
phallus
et le
signifiant
manquant.
Le
graphe
6.2.1
montre
les
rapports
du
sujet
parlant
avec le
signifiant.
À l'étage inférieur du
graphe
6.2.1
le
sujet
reçoit,
subit
la
structure
prévalente
du
signifiant.
Le
besoin
doit
passer
par les
défilés
du
signifiant.
Dans la
communication
ce qui est
communiqué,
c'est le
signe
de ce qu'est la
place
où un
autre
signifiant
n'est pas.
Dans le
graphe
6.2.1
est le
discours
signifiant
de la
demande.
Ce qui
caractérise
la
demande
c'est que le
rapport
du
sujet
à un
autre
sujet
se
fait
par
l'intermédiaire
du
système
des
signifiants.
La
métaphore
a un
effet
de
substitution
dans la
chaîne
signifiante.
Le
Vorstellungsrepräsentanz
est
strictement
équivalent
au
terme
de
signifiant.
Le
désir
au
niveau
du
processus
primaire
trouve
sa
satisfaction
dans quelque
chose
qui est un
signifiant.
Dans
l'hallucination
il s'agit de
signifiants.
La
soustraction
présente
dans le
refoulement
est le
signe
de la
présence
de
signifiants.
Le
signifiant
comporte
le
procès
de
l'énoncé
et le
procès
de
l'acte
de
l'énonciation.
Le
signifiant
commence
non
pas à la
trace,
mais à ceci
qu'on
efface
la
trace.
Quelque
chose
qui se
pose
comme
pouvant
être
effacé
inaugure le
signifiant.
Le
signifiant
spécifique
est quelque
chose
qui se
présente
comme
pouvant
être
effacé,
et qui dans cette
opération
de
l'effacement
comme tel
subsiste.
Les
rapports
de
l'homme
et de la
femme
à leur
désir
sont foncièrement
différents
en
raison
de leur
asymétrie
par
rapport
au
signifiant
phallus.
La
chaîne
des
signifiants
subsiste
dans une
altérité
radicale
par
rapport
au
sujet.
[
Lac66a
, pp. 549–550]
La
fonction
des
signifiants
est
d'induire
dans le
signifié
la
signification,
en lui
imposant
leur
structure.
[
Lac66a
, p. 550]
Dans le
schéma
1.21.1
,
est le
signifiant
de
l'objet
primordial.
[
Lac66a
, p. 553]
L'attribution
de la
procréation
au
père
ne
peut
être
l'effet
que d'un
pur
signifiant,
d'une
reconnaissance
du
nom-du-père.
[
Lac66a
, p. 556]
La
formule
de la
métaphore
ou
substitution
signifiante
est: [
Lac66a
, p. 557]
Dans la
formule
de la
métaphore,
les
sont des
signifiants,
est la
signification
inconnue,
est le
signifié
induit
de la
métaphore,
se
substitue
à
,
est
élidé
pour la
réussite
de la
métaphore.
[
Lac66a
, p. 557]
La
présence
du
signifiant
dans
l'Autre
est une
présence
fermée
au
sujet,
à
l'état
de
refoulé,
verdrängt
. [
Lac66a
, p. 557]
La
Verwerfung
est
forclusion
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 558]
Dans la
psychose,
le
sujet
s'est
reconstruit
autour du
trou
où le
support
de la
chaîne
signifiante
manque
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 564]
La
chaîne
signifiante
a été
inaugurée
par la
symbolisation
primordiale.
[
Lac66a
, p. 575]
La
chaîne
signifiante
se
développe
selon des
liaisons
logiques,
dont la
prise
sur ce qui est à
signifier
s'exerce par les
effets
de
signifiant,
métaphore
et
métonymie.
[
Lac66a
, p. 575]
Dans la
psychose
stabilisée,
signifiant
et
signifié
se
stabilisent
dans la
métaphore
délirante.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
nom-du-père
est le
signifiant
qui dans
l'Autre,
en tant que
lieu
du
signifiant,
est le
signifiant
de
l'Autre
en tant que
lieu
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 583]
Le
phallus
est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 608]
*
La
régression
ne
montre
rien
d'autre
que le
retour
au
présent,
de
signifiants
usités dans des
demandes
pour lesquelles il y a prescription. [
Lac66a
, p. 618]
L'analyste
est celui qui
supporte
la
demande
pour que
reparaissent
les
signifiants
où la
frustration
du
sujet
est retenue. [
Lac66a
, p. 618]
*
Les
besoins
se
subordonnent
aux
mêmes
conditions
conventionnelles
qui sont celles du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 618]
Le
signifiant
possède
deux
registres:
synchronique
et
diachronique.
[
Lac66a
, p. 618]
L'identification
à
l'analyste
est
toujours
une
identification
à des
signifiants.
[
Lac66a
, p. 619]
Dans la
chaîne
signifiante,
la
substitution
d'un
terme
à un
autre
produit
l'effet
de
métaphore.
[
Lac66a
, p. 622]
Dans la
chaîne
signifiante,
la
combinaison
d'un
terme
à un
autre
produit
l'effet
de
métonymie.
[
Lac66a
, p. 622]
Le
désir
court en
dérivation
de la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 623]
Le
sujet
articule
la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 627]
Le
désir
résulte
pour le
sujet
de la
nécessité
de
faire
passer
son
besoin
par les
défilés
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 628]
La
régression
dans
l'analyse
ne
porte
que sur les
signifiants
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 635]
La
régression
n'intéresse
la
pulsion
qu'à travers les
signifiants
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 635]
Le
fantasme
inconscient
se
définit
comme une
image
mise en
fonction
dans la
structure
signifiante.
[
Lac66a
, p. 637]
Le
sujet
avant
sa
naissance
est un
pôle
de
signifiants
plus
ou
moins
liés
en un
discours.
[
Lac66a
, p. 652]
*
Le
sujet
s'éclipse
dans le
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 656]
Le
désir
règle
la
répétition
signifiante
du
névrosé
comme sa
métonymie.
[
Lac66a
, p. 682]
La
fonction
est la
fonction
du
signifiant
perdu.
[
Lac66a
, p. 683]
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
trouve
sa
place
signifiante,
par une
antériorité
logique
à
tout
éveil du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
*
Le
phallus
est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
est le
signifiant
destiné à
désigner,
dans leur
ensemble,
les
effets
de
signifié.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
signifiant
conditionne
les
effets
de
signifié,
par sa
présence
de
signifiant.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
est le
signifiant
de la
marque
où la
part
du
logos
se
conjoint
à
l'avènement
du
désir.
[
Lac66a
, p. 692]
Le
phallus
comme
signifiant
donne
la
raison
du
désir.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
signifiant
phallus
est
voilé.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 694]
Le
rapport
du
désir
au
fantasme,
dans le
graphe
6.6.1
,
s'exprime
dans le
champ
intermédiaire
entre
les
deux
lignes
structurales
de
toute
énonciation
signifiante.
Le
phallus
est à
considérer
comme le
signifiant
du
sujet.
L'Autre
est
marqué
par le
signifiant.
Le
phallus
ne
devient
un
objet
amovible que par son
passage
au
rang
de
signifiant.
Ce qui
s'articule
au
niveau
de
l'énonciation
intéresse
le
signifiant.
Ce qui
s'articule
dans les
signifiants
refoulés
est
toujours
une
demande.
*
Pour que quelque
chose
s'engendre
dans
l'ordre
du
signifié,
il faut qu'il y
ait
substitution
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
est le
signifiant
de
l'Autre
qui est en
moi.
Un
fantasme,
est
entre
le
signifiant
de
l'Autre
et le
signifié
de
l'autre
.
Le
désir
du
sujet
est quelque part
intermédiaire
entre
une
pure
et
simple
signification,
et quelque
chose
de
fermé,
d'énigmatique,
,
de
l'ordre
du
signifiant.
Le
complexe
de
castration
implique
la
perte,
le
sacrifice
d'un
signifiant.
Le
sujet
par
rapport
au
signifiant
phallus,
c'est soit
être
le
phallus,
soit
l'avoir.
Dans le
graphe
6.9.1
En
se
situe
le
point
entrecroisé de
l'intention
de la
demande,
et de la
chaîne
signifiante.
est le
signifiant
de
l'Autre.
cf
6.9.1
La
réponse
c'est le
signifiant
de
l'Autre
.
Au
niveau
de
l'Autre,
un
signifiant
y
fait
défaut.
Il n'y a dans
l'Autre
aucun
signifiant
qui
puisse
répondre
à la
question
de ce que
je
suis.
*
Il n'y a pas dans le
signifiant
lui-même, de
garant
de la
dimension
de
vérité
instaurée par le
signifiant.
signifie
ce dont le
sujet
est
privé
qui est le
signifiant
de son
aliénation,
le
phallus.
*
Au
niveau
de la
castration,
le
sujet
apparaît
dans une
syncope
du
signifiant.
*
Aucun
signifiant
n'existe
qui
garantisse
la
suite
concrète
d'aucune
manifestation
de
signifiants.
*
Aucun
signifiant
possible
ne
garantit
l'authenticité
de la
suite
des
signifiants.
Le
signifiant
est
structuré
par la
coupure.
Ce
qu'articule
le
sujet
au
niveau
de la
chaîne
signifiante
se
situe
au
niveau
de la
boucle
intentionnelle,
. cf:
6.22.1
Le
sens
de
l'inconscient
a
toutes
les
caractéristiques
de la
fonction
de la
chaîne
signifiantes
comme telle.
Le
fait
de
l'inconscient
est que ce qui
s'articule
au
niveau
de la
chaîne
signifiante,
n'est pas
articulable
au
niveau
de
.
*
L'être
humain
a à
s'articuler
dans le
signifiant.
Le
phallus
est un
signifiant.
La
processus
de
sublimation
se
situe
dans la
reconversion
de
l'impasse
du
désir
dans sa
matérialité
signifiante.
Le
sujet
n'accepte le
phallus
que comme
signifiant.
L'objet
du
désir
est le
signifiant
du
désir
du
désir.
*
Le
désir
n'a pas d'autre
objet
que le
signifiant
de sa
reconnaissance.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
du
désir.
*
Le
désir
n'a pas d'autre
objet
que le
signifiant
de sa
reconnaissance.
L'objet
du
désir
est un
signifiant.
L'objet
phallique
est
latent
à
tout
rapport
de
demande
comme
signifiant
du
désir.
Il y a
prévalence
d'un
signifiant
dans la
chaîne
inconsciente
chez le
sujet.
L'articulation
signifiante
donne
la
véritable
structure
de
l'inconscient.
Le
refoulement,
Verdrängung
opère
sur des
signifiants.
*
C'est autour d'une
relation
du
sujet
au
signifiant
que
s'organise
la
position
fondamentale
de la
Verdrängung
.
Das Ding
c'est la
trame
signifiante
pure.
Il y a
synchronie
primitive
du
système
signifiant.
*
Le
rapport
du
réel
au
pensé
n'est pas celui du
signifié
au
signifiant.
[
Lac66a
, p. 705]
La
métaphore
se
définit
par
l'implantation,
dans une
chaîne
signifiante,
d'un
autre
signifiant,
par quoi celui qu'il supplante
tombe
au
rang
de
signifié.
[
Lac66a
, p. 708]
Le
signifiant
de la
métaphore
qui
tombe
au
rang
de
signifié
est un
signifiant
latent.
[
Lac66a
, p. 708]
*
C'est
l'incidence
concrète
du
signifiant
dans la
soumission
du
besoin
à la
demande,
qui en
refoulant
le
désir
en
position
de
méconnu,
donne
à
l'inconscient
son
ordre.
[
Lac66a
, p. 709]
*
Le
phallus
a la
fonction
de
signifiant
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
Dans le
sujet,
sa
relation
au
signifiant
détermine
le
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
La
plus
fondamentale
coupure
du
signifiant
est
l'
Urverdrängung
.
[
Lac66a
, p. 710]
Le
phallus
est le
signifiant
de la
perte
que le
sujet
subit,
par le
morcellement
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 715]
Le
symptôme,
c'est le
retour
par
voie
de
substitution
signifiante
de ce qui est au bout de la
pulsion
comme
étant
son
but.
La
Chose
est ce qui du
réel
primordial
pâtit
du
signifiant.
C'est en
éléments
signifiants,
que
cristallise
le
premier
rapport
qui, chez le
sujet,
se
constitue
dans le
système
psychique,
comme tel,
soumis
à
l'
homéostase
5
.
474
, à la
loi
du
principe
du
plaisir.
Ce qui est
cherché
est
trouvé
dans les
voies
du
signifiant,
donc
au-delà
du
principe
du
plaisir.
*
La
fonction
du
principe
du
plaisir
est de
porter
le
sujet
de
signifiant
en
signifiant,
en mettant autant de
signifiants
qu'il est
nécessaire
à
maintenir
au
plus
bas le
niveau
de
tension
qui
règle
tout
le
fonctionnement
de
l'appareil
psychique.
Il y a
identité
entre
le
façonnement
du
signifiant
et
l'introduction
dans le
réel
d'une
béance,
d'un
trou.
La
Chose
est ce qui, du
réel,
pâtit
du
signifiant.
La
Chose
est ce qui du
réel
pâtit
de ce
rapport
fondamental,
initial
qui
engage
l'homme
dans les
voies
du
signifiant.
Le
nom-du-père
a
fonction
signifiante.
Le
sujet
a à
pâtir
du
signifiant.
Le
sujet
a une
passion
du
signifiant.
*
S'il n'y a plus de
manque,
l'Autre
défaille,
le
signifiant
est celui de la
mort
de
l'Autre.
La
structure
subjective
est
définie
par le
fait
que le
sujet
a à se
situer
dans le
signifiant.
Au
commencement
était
le
signifiant.
*
Sans le
signifiant,
au
commencement,
il est
impossible
d'articuler
la
pulsion
comme
historique.
Le
domaine
du
commencement
absolu
est
désigné
comme celui qui
marque
la
distinction,
l'origination
de la
chaîne
signifiante
comme un
ordre
distinct.
La
pensée,
dans sa
manifestation,
sa
présentification
dans le
monde,
ne
peut
se
trouver
que dans les
intervalles
du
signifiant.
Le
sujet
est à son
origine
et comme tel,
l'élision
d'un
signifiant
qui est sauté dans la
chaîne.
Le
discours
de la
physique
est ce
discours
engendré
par la
toute-puissance
du
signifiant.
Le
désir
est ce
rapport
métonymique
d'un
signifiant
à
l'autre.
Du
fait
qu'elle
s'articule
avec du
signifiant,
la
demande
est à la
fois
en-deça
et
au-delà
d'elle-même.
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
qu'un
signifiant.
L'amour
n'est qu'un
signifiant.
L'amour
comme
signifiant
est une
métaphore.
L'inconscient
est une
chaîne
de
signifiants
qui se
répète
et
insiste
5
.
475
. [
Lac66a
, p. 799]
La
chaîne
de
signifiants
insiste
pour
interférer
dans les
coupures
que lui
offre
le
discours
effectif.
[
Lac66a
, p. 799]
Les
effets
de
substitution
métaphorique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
synchronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
Les
effets
de
combinaison
métonymique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
diachronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
Le
je
comme
signifiant
n'est
rien
que le
shifter
ou
indicatif
qui, dans le
sujet
de
l'énoncé,
désigne
le
sujet
en tant qu'il
parle
actuellement.
[
Lac66a
, p. 800]
Le ne
explétif
est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 800]
La
plus
forte
coupure
dans le
discours
est la
barre
entre
signifiant
et
signifié.
[
Lac66a
, p. 801]
La
coupure
de la
chaîne
signifiante
est la
seule
à
vérifier
la
structure
du
sujet
comme
discontinuité
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 801]
Le
point
de
capiton
est ce par quoi le
signifiant
arrête
le
glissement
autrement
indéfini
de la
signification.
[
Lac66a
, p. 805]
Dans le
graphe
5.1.1
, la
chaîne
signifiante
est
supportée
par le
vecteur
.
5
.
476
[
Lac66a
, p. 805]
Dans le
graphe
1.30.1
, le
lieu
est le
lieu
du
trésor
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 806]
*
Le
signifiant
ne se
constitue
que d'un
rassemblement
synchronique
et
dénombrable,
où
aucun
ne se
soutient
que du
principe
de son
opposition
à chacun des
autres.
[
Lac66a
, p. 806]
et
participent
de cette
offre
au
signifiant
que
constitue
le
trou
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 806]
Dans le
graphe
1.30.1
, la
soumission
du
sujet
au
signifiant
est ce qui se
produit
dans le
circuit
vers
puis
vers
.
[
Lac66a
, p. 806]
L'Autre
est le site
préalable
du
pur
sujet
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 807]
*
La
parole
ne
commence
qu'avec le
passage
de la
feinte
à
l'ordre
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
signifiant
exige
le
lieu
de
l'Autre
pour que la
parole
qu'il
supporte
puisse
mentir,
c'est-à-dire se poser comme
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
sujet
tient
du
signifiant
une
marque
invisible.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
trait
unaire
vient
combler
la
marque
invisible
que le
sujet
tient
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
graphe
de
l'identification
première,
schéma
1.30.1
,
comprend:
signifiant,
,
,
voix,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 808]
Dans le
graphe
1.30.1
, le
vecteur
signifie
le
procès
imaginaire
qui va de
l'image
spéculaire
à la
constitution
du
moi,
sur le
chemin
de la
subjectivation
par le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 809]
*
Il n'y a de
demande
qui ne
passe
à quelque titre par les
défilés
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 811]
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 813]
Le
sujet
subit
une
Spaltung
ou
refente
de sa
subordination
au
signifiant.
[
Lac66a
, p. 816]
Le
graphe
complet,
1.30.3
, décrit:
jouissance,
,
,
castration,
,
,
signifiant,
,
,
voix,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 817]
Dans le
graphe
1.30.3
,
est le
signifiant
d'un
manque
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 818]
*
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 819]
est le
signifiant
pour quoi
tous
les
autres
signifiants
représentent
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 819]
Faute du
signifiant
,
tous
les
autres
ne
représenteraient
rien.
[
Lac66a
, p. 819]
est inhérent à
l'ensemble
des
signifiants.
[
Lac66a
, p. 819]
est le
phallus
symbolique,
impossible
à
négativer,
signifiant
de la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 823]
Le
désir
est, sous
forme
de
métonymie,
suspendu
à une
chaîne
signifiante.
Le
sujet
se
constitue
par le
splitting
,
par le
dédoublement
foncier de
deux
chaînes
signifiantes.
Le
dédoublement
du
sujet
est
nécessité
par le
rapport
logique,
initial,
inaugural
du
sujet
au
signifiant.
Le
sujet
est le
support
du
signifiant;
en découle
l'existence
d'une
chaîne
signifiante
inconsciente.
Le
désir
se
présente
par
rapport
à la
chaîne
signifiante
inconsciente
comme
constitutive
du
sujet
qui
parle.
La
métonymie
est ce
phénomène
qui se
produit
dans le
support
du
sujet
à la
chaîne
signifiante.
*
Le
sujet
subit
la
marque
de la
chaîne
signifiante.
La
métonymie
n'est
autre
que la
possibilité
du
glissement
indéfini
des
signifiants
sous la
continuité
de la
chaîne
signifiante.
Les
répétitions
liées
à la
constance
de la
chaîne
signifiante
inconsciente
dans le
sujet
sont
strictement
à
distinguer
du
transfert.
La
chaîne
signifiante
impose
sa
marque
à
toutes
les
manifestations
de la
vie
du
sujet
qui
parle.
Le
phallus
rencontré
au
champ
de
l'imaginaire,
est la
racine
du
manque
d'un
signifiant.
Le
registre
de la
dynamique
instinctuelle
est
marqué
des
effets
du
signifiant.
La
dynamique
instinctuelle
est
structurée
par la
marque
du
signifiant.
La
place
du
signifiant
dans
l'Autre
est celle d'un
signifiant
manquant.
est le
signifiant
du
point
où le
signifiant
manque.
*
Le
sujet
n'affirme
la
dimension
de la
vérité
comme
originale
qu'au
moment
où il se
sert
du
signifiant
pour
mentir.
Il s'agit de
considérer
le
phallus
comme
signifiant
comme
centre
de
toute
appréhension
cohérente
de ce dont il s'agit dans le
complexe
de
castration.
est un
symbole
qui
répond
à la
place
où sa
produit
le
manque
de
signifiant.
Le
signifiant
phallus
a une
polarité
symbolique
et une
polarité
imaginaire.
vient
à la
place
du
signifiant
manquant.
Le
du
phallus
est le
manque
de
signifiant.
Le
signifiant
n'est pas simplement
faire
signe
à quelqu'un.
Le
phallus,
à la
place
symbolique
de
l'instrument
du
désir
est porté à la
fonction
de
signifiant.
Dans
l'identification,
il s'agit du
rapport
du
sujet
au
signifiant.
L'identification
est une
identification
de
signifiants.
Tout
signifiant
est
avant
tout
constitué
comme
trait.
*
le
sujet
est
signifiant.
Le
trait
unique,
l'
einziger Zug
,
a pour
fonction
d'indiquer
la
place
où est
suspendue
dans le
signifiant,
où est
accrochée,
la
question
de la
garantie
du
signifiant.
La
chaîne
signifiante
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
*
Ce qui
distingue
le
signifiant,
c'est
seulement
d'être
ce que
tous
les
autres
ne sont pas.
Ce qui, dans le
signifiant,
implique
la
fonction
de
l'unité,
c'est justement de
n'être
que
différence.
*
C'est en tant que
pure
différence
que
l'unité,
dans sa
fonction
signifiante,
se
structure,
se
constitue.
Le
signifiant
n'est pas le
signe.
*
C'est de
l'effet
du
signifiant
que
surgit
comme tel le
sujet.
Le
signifiant
est
fécond
de ne
pouvoir
être
en
aucun
cas
identique
à lui-même.
*
Le
signifiant
ne
peut
se
définir,
sinon que comme
n'étant
pas ce que sont les
autres
signifiants.
La
lettre
est le
support
du
signifiant.
*
Le
signifiant
comme tel
sert
à connoter la
différence
à
l'état
pur.
*
Les
signifiants
ne
manifestent
d'abord
que la
présence
de la
différence
comme telle et
rien
d'autre.
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'automatisme
de
répétition
n'est
rien
d'autre,
en son
essence,
qu'un
signifiant.
La
fonction
du
sujet
est dans
l'entre-deux
des
effets
idéalisant
de la
fonction
signifiante
et de
l'immanence
vitale.
*
Quelque
chose,
à
l'insu
du
sujet,
est
profondément
remanié
par les
effets
de
rétroaction
du
signifiant
impliqué
dans la
parole.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Un
signifiant
c'est une
marque,
une
trace,
une
écriture.
C'est en
raison
de la
fonction
signifiante
du
phallus
comme tel, que le
pénis
tombe
sous le coup de la
menace
de
castration.
*
Ce qui est
recherché
par le
sujet
c'est son
unicité
signifiante.
Le
névrosé
veut
savoir
ce qu'il y a de
réel
dans ce dont il est la
passion,
dans
l'effet
de
signifiant.
Le
signifiant
se
spécifie
de la
duplicité
de la
position
subjective.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
signifie
auprès de
l'autre
signifiant
cette
Chose
privilégiée
qu'est le
sujet
en tant que
rien.
*
L'Autre
est
marqué
du
signifiant.
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où se
déploie
la
chaîne
signifiante.
*
Un
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que la
conséquence
qu'il y a du
signifiant.
*
La
naissance
du
sujet
tient
en ceci qu'il ne
peut
se
penser
que comme
exclu
du
signifiant
qui le
détermine.
Le
sujet
n'est que cette
part
exclue
d'un
champ
entièrement
défini
par le
signifiant.
*
La
fonction
du
signifiant
exclut
que le
signifiant
puisse
se
signifier
lui-même.
C'est parce que
l'objet
devient
reconnaissable
comme
signifiant
d'une
demande
latente
qu'il
prend
valeur
d'un
désir
qui est d'un
autre
registre.
*
Le
phallus,
dans sa
fonction
radicale,
est ce
seul
signifiant
qui
peut
se
signifier
lui-même.
L'incarnation
corporelle
du
signifiant
est
vocale.
Le
signifiant
est
d'essence
discontinu.
La
discontinuité
constitue
le
signifiant.
L'interruption
dans le
successif
fait
partie
de la
structure
du
signifiant.
L'essence
du
signifiant
est la
différence.
*
C'est comme
distinct
de ce qu'il
répète
que le
signifiant
réapparaît.
*
Ce qui se
répète
comme
signifiant
n'est
différent
que de
pouvoir
être
inscrit.
Le
sujet
en tant que
marqué
par le
signifiant
est proprement, dans le
fantasme,
coupure
de
.
Le
sujet
est un
effet
de
signifiant.
*
le
signifiant
détermine
le
sujet.
*
Le
signifiant
est
coupure.
C'est parce que le
réel
présente
des
surfaces
naturelles
que le
signifiant
peut
y
entrer.
Le
signifiant
est la
section
de
coupure.
*
Le
signifiant
se
répète.
*
Pour que la
demande
soit
demande,
à
savoir
qu'elle se
répète
comme
signifiant,
il faut qu'elle soit
déçue.
*
Le
signifiant,
d'essence,
est
différent
de lui-même.
Rien
du
sujet
ne
saurait
s'identifier
au
signifiant
sans
s'en
exclure.
L'Autre
est le
lieu
où
s'ordonne
la
réalité
du
signifiant.
*
Le
signifiant
n'est pas le
signe.
le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'objet
surgit
au
point
de
perte
du
signifiant.
Ce qui est
refoulé,
ce sont les
signifiants
qui amarrent les
affects.
L'Autre
originaire
est le
lieu
du
signifiant.
Le
sujet
est
marqué
du
trait
unaire
du
signifiant
dans le
champ
de
l'Autre.
Le
sujet
se
constitue
de sa
marque
dans le
rapport
au
signifiant.
le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
se
distingue
du
signe.
Dans
l'énigme
le
signifiant
se propose comme opaque.
Le
signifiant
c'est une
trace
effacée.
L'obsessionnel
met le
signifiant
en
doute.
Ce qui nourrit
l'émergence
du
signifiant,
c'est que
l'Autre
réel
ne
sache
pas.
Le
signifiant
révèle
le
sujet
mais en
effaçant
sa
trace.
*
Le
sujet
apparaît
avec la
naissance
du
signifiant,
mais comme
barré
,
comme
non
su
comme tel.
Le
signifiant
engendre
le
monde
du
sujet
qui
parle.
L'angoisse,
c'est cette
coupure
sans
laquelle la
présence
du
signifiant,
son sillon dans le
réel
est
impensable.
*
Les
signifiants
font, du
monde,
un
réseau
de
traces
dans lequel le
passage
d'un
cycle
à l'autre est dès lors
possible.
*
Les
signifiants
c'est la
trace
du
sujet
dans le
cours
du
monde.
*
La
bipolarité
dont
s'instaure
la
loi
morale
n'est
rien
d'autre que cette
refente
du
sujet
qui
s'opère
de
toute
intervention
du
signifiant,
nommément du
sujet
de
l'énonciation
au
sujet
de
l'énoncé.
[
Lac66a
, p. 770]
Le
désir
n'est
nulle
part
indicable
dans un
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
désir
n'est pas
articulable
dans un
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
désir
est
articulé
dans un
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre
comme
marqué
du
signifiant
avec un
reste
petit
.
*
Il y a du
signifiant.
Le
point
d'où
surgit
qu'il y a du
signifiant
qui ne
saurait
être
signifié,
est celui du
manque
de
signifiant.
La
nature
du
signifiant
est de s'efforcer
d'effacer
une
trace,
qui du coup
insiste
comme
signifiant.
*
Est
contre-transfert
tout
ce que, de ce qu'il
reçoit
dans
l'analyse
comme
signifiant,
le
psychanalyste
refoule.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
fait
retour
à
l'état
de
trace.
*
Il n'y a de
sujet
que par le
signifiant.
Le
sujet
a à se
constituer,
sous les
espèces
primaires
du
signifiant,
au
lieu
de
l'Autre
sur le
donné
du
trésor
du
signifiant.
Dans une
phrase,
la
négation
explétive
marque
la
trace
signifiante
du
sujet
de
l'énonciation.
*
symbolise
ce qui, dans la
sphère
du
signifiant,
est
toujours
ce qui se
présente
toujours
comme
perdu.
Le
lieu
de
l'Autre
est
lieu
du
signifiant.
*
Le
rapport
du
sujet
au
signifiant
nécessite
la
structuration
du
désir
dans le
fantasme.
*
La
vérité
entre
dans le
monde
avec le
signifiant
et
avant
tout
contrôle.
*
L'effet
de la
parole,
l'effet
du
signifiant
est de
faire
surgir
dans le
sujet,
la
dimension
du
signifié
essentiellement.
*
L'inconscient
est
essentiellement
effet
du
signifiant.
Le
sujet
se
constitue
d'abord
dans le
signifiant.
La
cause
du
désir
se
situe
au
niveau
de la
chaîne
signifiante
essentiellement
comme
métonymique.
L'acte
est une
action
qui a le
caractère
d'une
manifestation
signifiante
où
s'inscrit
l'écart du
désir.
Dans la
manie,
le
sujet
n'est lesté par
aucun
,
ce qui le livre
sans
aucune
possibilité
de
liberté,
à la
métonymie
infinie
et ludique et
pure
de la
chaîne
signifiante.
Le
sujet
se
définit
comme le
sujet
qui
parle
et qui se
détermine
dans un
effet
du
signifiant.
La
coupure
est
liée
à la
fonction
inaugurale
du
sujet,
dans sa
relation
la
plus
initiale,
constituante
au
signifiant.
Le
Ich
est le
lieu
complet,
total,
du
réseau
de
signifiants.
La
remémoration
vient
de la
structure
du
signifiant.
Le
sujet
s'identifie
à ce qui est
originellement
subverti
par le
système
du
signifiant.
L'
automaton
,
c'est le
réseau
de
signifiants.
Pour qu'un
signifiant
passe
dans la
mémoire,
il faut
d'abord
que
ça
soit
effacé
dans la
perception.
*
Le
signifiant
est la
première
marque
du
sujet.
La
pulsation
temporelle,
quant à son
essence,
est
plus
radicale
que
l'insertion
dans le
signifiant
qui la
motive.
L'inconscient
est le
seul
des
effets
qui se
dérobe
de la
parole
sur un
sujet,
au
niveau
où le
sujet
se
constitue
des
effets
du
signifiant.
Le
sujet
se
constitue
des
effets
du
signifiant.
L'inconscient
est
jeu
du
signifiant.
Le
sujet
est
symbolisé
par
,
en tant que
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
Le
sujet
est
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
Le
premier
signifiant
c'est la
coche,
le
trait
unaire.
C'est par la
réalité
sexuelle
que le
signifiant
est
entré
au
monde
de
l'homme.
Il y a une
affinité
des
énigmes
de la
sexualité
avec le
jeu
du
signifiant,
avec la
combinatoire.
La
demande
est
articulé
au
signifiant.
Le
reste
métonymique
est dû au
fait
que la
demande
est
articulée
au
signifiant.
La
double
face
de la
fonction
du
désir
est
résidu
dernier
de
l'effet
du
signifiant
dans le
sujet.
Un
symptôme
n'est pas un
signifiant.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
refoulé
primordial
est un
signifiant.
Le
symptôme
est
constitué
d'un échafaudage de
signifiants.
Le
refoulé
est
réductible
à des
fonctions
de
signifiant.
Le
symptôme
est
réductible
à des
fonctions
de
signifiant.
L'inconscient
se
situe
dans les
béances
que la distribution des
investissements
signifiants
instaure
dans le
sujet.
Le
premier
signifiant
surgit
au
lieu
de
l'Autre.
*
Le
sujet,
in-initio
,
commence
au
lieu
de
l'Autre
en tant que là
surgit
le
premier
signifiant.
Un
signifiant
représente
un
sujet,
mais pas pour un
autre
sujet.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
naît,
en tant qu'au
champ
de
l'Autre,
surgit
le
signifiant.
De
naître
avec le
signifiant,
le
sujet
naît
divisé.
Le
sujet,
c'est ce
surgissement
qui,
juste
avant, comme
sujet,
n'était
rien,
mais qui, à peine
apparu,
se
fige
en
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
où se
situe
la
chaîne
du
signifiant.
La
chaîne
du
signifiant
commande
tout
ce qui va
pouvoir
se
présentifier
du
sujet.
Deux
manques
se
recouvrent,
le
sujet
dépend
du
signifiant
situé
d'abord
au
champ
de
l'Autre
et le
manque
réel,
que
constitue
la
perte
d'une
part
du
vivant
à la
naissance.
La
structure
du
signifiant
implique
la
fonction
de la
coupure.
*
Le
signifiant
se
produisant
au
champ
de
l'Autre,
fait
surgir
le
sujet
de sa
signification.
le
signifiant
ne
fonctionne
comme
signifiant,
qu'à
réduire
le
sujet,
en
instance,
à
n'être
plus qu'un
signifiant.
Le
sujet
de
l'inconscient
est sous le
signifiant
qui
développe
ses
réseaux,
ses
chaînes
et son
histoire.
L'interprétation
ne
désigne
qu'une
seule
suite
de
signifiants.
Le
sujet
peut
occuper
diverses
places
selon que
l'analyste
le met sous l'un ou
l'autre
des
signifiants
de
l'interprétation.
Le
sujet
dépend
du
signifiant.
L'aliénation
consiste
dans ce
vel,
qui condamne le
sujet
à
n'apparaître
que dans une
division
où il
apparaît,
d'un coté comme
sens
produit
par le
signifiant,
de
l'autre
comme
aphanisis
.
L'interprétation
vise
à
réduire
les
signifiants
dans leur
non-sens.
Le
gîte
de la
métonymie
est
situé
dans les
intervalles
coupant
structurellement
les
signifiants.
Le
sujet
se
définit
comme
l'effet
du
signifiant.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre
en tant que le
premier
signifiant,
le
signifiant
unaire,
surgit
au
champ
de
l'Autre,
et qu'il
représente,
comme tel, le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
celui-ci a pour
effet
l'
aphanisis
du
sujet.
Le
premier
signifiant
est le
signifiant
unaire.
Le
sujet
est un
signifiant
binaire.
Le
sujet,
en tant que
signifiant
binaire,
est
cause
de sa
disparition.
La
Vorstellungsrepräsentanz
,
c'est le
signifiant
binaire.
C'est dans
l'intervalle
entre
le
signifiant
unaire
et le
signifiant
binaire,
que
gît
le
désir
offert au
repérage
du
sujet,
dans
l'expérience
du
discours
de
l'Autre.
Le
,
le
signifiant
binaire,
le
Vorstellungsrepräsentanz,
est comme tel
chu
dans le dessous.
*
Ce dont le
sujet
a à se
libérer,
c'est de
l'effet
aphanisique
du
signifiant
binaire.
Le
signifiant
est au
pôle
opposé
de la
signification.
L'articulation
signifiante
est, de par son
essence,
aliénante.
La
division
du
sujet,
où se
situe
l'essence
de
l'aliénation
est
liée
de
façon
essentielle
à la
fonction
du
couple
des
signifiants.
L'effet
d'
aphanisis
qui se
produit
sous l'un du
couple
de
signifiants
est
lié
à la
définition
d'un
ensemble
de
signifiants.
Deux
signifiants
en
couple
sont un
ensemble
d'éléments
tels que, s'il n'en
existe
que
deux,
le
phénomène
d'aliénation
se
produit;
d'où il
résulte
qu'au
niveau
de
l'autre
signifiant
le
sujet
s'évanouit.
La
Vorstellungsrepräsentanz
est le
du
couple
des
signifiants.
La
condensation
signifiante
possède
un
effet
de
métaphore.
Il y a du
signifiant
au
signifié
un
rapport
qui est celui
d'effet
de
sens.
La
barre,
séparant
signifiant
et
signifié,
est à
prendre
au
sens
mathématique
du
trait
de
fraction.
Le
propre
du
signifiant
est de ne pas
pouvoir
se
signifier
lui-même.
L'effet
de
métaphore
est
constitué
par un
signifiant
substitutif
mis à la
place
d'un
autre
signifiant.
Dans la
métaphore
un
signifiant
disparaît,
est
refoulé
pour
apparaître
sous la
barre
principale,
unterdrückt
.
Le
signifiant
a pour
effet
dans le
langage,
le
signifié.
L'interprétation
renverse
le
rapport
qui
fait
que le
signifiant
a pour
effet
dans le
langage,
le
signifié.
Ce qui est
essentiel
dans
l'interprétation,
c'est que le
sujet
voit,
au-delà
de la
signification,
à quel
signifiant,
il est, comme
sujet,
assujetti.
Le
signifiant
est un
non-sens
irréductible,
traumatique.
Le
sujet
ne se
constitue
que de la
chute
nécessaire
du
premier
signifiant.
*
Le
signifiant
primordial
est
pur
non-sens.
Le
signifiant
primordial
abolit
tous
les
sens.
Le
signifiant
primordial
fonde
le
sens
et le
non-sens
radical
du
sujet.
Le
signifiant
primordial
constitue
le
sujet
dans sa
liberté
à l'égard de
tous
les
sens.
Le
signifiant,
dans
l'inconscient
n'est pas
ouvert
à
tous
les
sens.
C'est le
signifiant
de
l'Autre
qui
détermine
la
fonction
du
trait
unaire.
L'idéal-du-moi
est un
signifiant.
Le
sujet
a une
relation
à son
analyste
dont le
centre
est ce
signifiant
privilégié,
l'idéal-du-moi.
Les
pulsions
sexuelles
font
surgir
la
mort
comme
signifiant,
et rien que comme
signifiant.
La
psychanalyse
ne touche à la
sexualité
que pour autant, que sous la
forme
de la
pulsion,
elle se
manifeste
dans le
défilé
du
signifiant.
La
dialectique
du
sujet
se
constitue
dans le
défilé
du
signifiant,
par le
double
temps
de
l'aliénation
et de la
séparation.
L'hypnose
peut
se
définir
par la
confusion,
en un
point,
du
signifiant
idéal
où se
repère
le
sujet
avec
l'objet
.
Le
désir
de
l'analyste
est
d'obtenir
la
différence
absolue
quand,
confronté
au
signifiant
primordial,
le
sujet
vient
pour la
première
fois
en
position
de se
l'assujettir.
*
Le
syntagme,
c'est la
chaîne
signifiante
considérée dans ce qui
regarde
la
jonction
de ses
éléments.
Une
chaîne
signifiante
engendre
toujours
une
signification,
n'importe laquelle.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
comme tel se
distingue
du
signe.
Le
signifiant
ne
signifie
que pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
signifie
jamais
rien
d'autre
que le
sujet.
La
formule
signifiant
sur
signifié,
,
dénote
qu'il y a un
ordre
de
référence
du
signifiant
qui est un
autre
signifiant.
*
Le
rapport
du
signifiant
au
sujet,
en tant qu'il
intéresse
la
fonction
de la
signification,
passe
par un
référent.
Le
signifié
surgit
du
rapport
du
signifiant
au
référent.
La
barre
de la
formule
est cet
autre
effet
du
signifiant
en quoi le
signifiant
ne
fait
que
représenter
le
sujet.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
La
dénomination
est la
première
fonction
du
signifiant.
Le
signifiant
est
essentiellement
structuré
comme une
surface
de
Mœbius.
Le
matériel
signifiant
est un
matériel
d'opposition
phonématique.
La
fonction
du
signifiant
est le
fait
que le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Eu égard au
signifiant,
le
signifié
se
présente
dans le
rapport
de
l'envers
à
l'endroit.
La
cause
dans le
sujet,
c'est le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 835]
Sans le
signifiant,
il n'y aurait
aucun
sujet
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant
[
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet
qui
écoute,
se
réduit
au
signifiant
pour lequel un
signifiant
représente
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
désir
fait
son lit de la
coupure
signifiante
où s'effectue la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet
traduit
une
synchronie
signifiante.
[
Lac66a
, p. 835]
*
Dans un
champ
d'objets,
aucune
relation
n'est
concevable
qui
engendre
l'aliénation
sinon celle du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
Le
registre
du
signifiant
s'institue
de ce qu'un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
Le
signifiant
fige
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 840]
Ce qu'il y avait là
disparaît
de
n'être
plus qu'un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
L'Autre
est pour le
sujet
le
lieu
de sa
cause
signifiante.
[
Lac66a
, p. 841]
Ce qui
opère
dans
l'interprétation,
c'est
l'articulation
des
signifiants
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 842]
Des
signifiants
se sont
trouvés
pris
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 842]
Le
signifiant
comme tel, a, en
barrant
le
sujet
par
première
intention,
fait
entrer
en lui le
sens
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
*
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
Tout
système
du
signifiant
doit
suffire
pour
l'usage
de
tout
ce qui
peut
être
du
dire.
Le
sujet
se
définit
comme ce qui, du
signifiant,
se
représente
à
l'intérieur
du
système
du
signifiant.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
se véhicule de
signifiant
à
signifiant,
représentant
chaque
signifiant
pour celui qui le
suit.
Le
signifiant
ne
peut
s'identifier
à lui-même.
La
position
du
sujet
est comme
apparaissant
et
disparaissant
en une
pulsation
toujours
répétée
comme
effet
toujours
évanouissant
et
renaissant
du
signifiant.
Le
,
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
la
succession
des
signifiants.
*
Le
signifiant,
à la
différence
du
signe,
c'est quelque
chose
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant,
déterminant
le
sujet,
le
barre
entraînant
vacillation
et
division
du
sujet.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
qui
représente
le
sujet
est
émetteur.
Parmi les
signes,
il y en a certains qui sont des
signifiants
en tant qu'ils
représentent
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
d'un
message
engendre
le
sujet.
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
s'institue
d'un
signifiant
rejeté,
verworfen
,
d'un
signifiant
dont
on
ne
veut
rien
savoir.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Il y a du
verworfen
fondateur
du
sujet
par
disparition
du
signifiant.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
agissant
d'abord
comme
séparé
de la
signification.
Un
signifiant
renvoie
toujours
à un
autre
signifiant.
Le
signifiant
détermine
la
division
du
sujet.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
agissant
d'abord
comme
séparé
de sa
signification.
[
Lac66a
, p. 875]
Le
trait
unaire
est ce qui
manque
au
signifiant
pour
être
l'Un
du
sujet.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
s'origine
de
l'effacement
de la
trace.
Le
pénis
est le
signifiant
de la
perte
qui se
produit
au
niveau
de la
jouissance,
de par la
fonction
de la
loi.
La
rétroaction
d'un
signifiant
sur
l'autre
est ce qui est la
condition
fondamentale
de
l'apparition
du
sujet.
Il y a du
sujet
à partir du
moment
où sont maniés des
signifiants.
*
Il n'y a de
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
L'
Urverdrängung
ou
refoulement
originaire,
c'est ce qu'un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
barré
c'est ce qui
représente,
pour un
signifiant,
un
sens.
Un
signifiant
substitué
à un
autre
signifiant
sur la
chaîne
signifiante,
est la
source
et
l'origine
de
toute
signification.
*
Il est de la
nature
de
tout
et
d'aucun
signifiant
de ne
pouvoir
en
aucun
cas
se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
identifie
le
lieu
de
l'Autre
qui est le
lieu
où se
produit
l'énoncé,
le
trésor
du
signifiant.
*
Aucun
signifiant
n'appartient
en
propre
à
aucune
signification.
Le
signifiant
se
définit
de sa
fonction
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Aucun
signifiant
réduit
à sa
forme
minimale de
lettre,
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
n'est point
fondé
à se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même, est un
énoncé
axiomatique.
*
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même,
reste
partie
de
l'univers
du
discours.
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même
peut
s'écrire
; le
symbole
figure
un ou
exclusif.
Que le
rapport
du
signifiant
à
soi-même
n'engendre
aucune
signification
peut se
noter
.
*
En
aucun
cas
le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
La
précédence
logique
est cette
nécessité
qui
distingue
radicalement
le
statut
de la
signification
et son
origine
dans le
signifiant.
*
Aucun
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Le
rapport
du
signifiant
à la
vérité
peut
court-circuiter
toute
pensée
qui le
supporte.
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même, sauf à ce que ça ne soit pas lui qu'il
signifie,
c'est-à-dire qu'il use de la
métaphore.
La
métaphore
substitue
un
signifiant
autre
qui
fait
ressortir la
vérité.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Nul
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
La
position
métaphorique
d'un
signifiant
est de
substitution
par
rapport
à un
autre
signifiant.
Dans la
métaphore
deux
signifiants
sont en
cause
qui font
surgir
un
signifié
.
Dans le
refoulement
premier,
originel,
il s'agit d'un
effet
de
substitution
signifiante.
La
substitution
signifiante
à
l'origine
est d'une
nature
logique.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
fait
qu'il n'y
ait
pas
d'univers
du
discours
connote
ce qui
manque
dans la
chaîne
signifiante.
Le
signifiant
manquant
dans la
chaîne
signifiante
c'est
l'
un-en-trop
.
désigne
le
signifiant
de
l'
un-en-trop
.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
est le
signifiant
comme
manquant
à
l'univers
du
discours.
*
La
subjectivité
à
l'origine
n'est
d'aucun
rapport
au
réel,
mais d'une
syntaxe
qu'y
engendre
la
marque
signifiante.
[
Lac66a
, p. 50]
*
Le
symptôme
ne
s'interprète
que dans
l'ordre
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
*
Le
signifiant
n'a de
sens
que de sa
relation
à un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
*
La
vérité,
c'est ce qui
s'instaure
de la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 235]
Nœud
veut
dire
la
division
qu'engendre
le
signifiant
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 724]
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
signifiant,
toujours
autre.
[
Lac66b
, p. 74]
*
Le
signifiant,
c'est la
matière
qui se
transcende
en
langage.
[
Lac66c
, p. 10]
Le
,
de
barré
est le
signifiant
constituant
un des
points
nodaux
du
réseau
autour duquel
s'articule
toute
la
dialectique
du
désir.
La
pensée
n'est pas
l'animé,
elle est
l'effet
du
signifiant,
c'est-à-dire en
dernier
ressort,
de la
trace.
L'aliénation
c'est le
signifiant
de
l'Autre,
en tant qu'il
fait
de
l'Autre
un
champ
marqué
de la
même
finitude
que le
sujet
lui-même
.
Il est
impossible
que le
signifiant
se
signifie
lui-même.
Le
sujet,
dans
l'acte,
est
équivalent
à son
signifiant,
tout
en
restant
divisé.
L'acte
est le
seul
lieu
où le
signifiant
a
l'apparence
de se
signifier
lui-même, c'est-à-dire de
fonctionner
hors
de ses
limites.
*
L'acte
est
signifiant.
L'acte
est un
signifiant
qui se
répète.
L'acte
sexuel
se
présente
comme un
signifiant
qui
répète
quelque
chose.
Le
phallus
comme
signifiant
donne
la
moyenne
et extrême
raison
de la
division
harmonique
du
désir.
La
fonction
de la
castration
signifiante
signe
un
manque
fondamental.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
chaîne
signifiante
et ce qu'elle
supporte
de
vérité.
La
répétition
originelle
se
produit
lorsque
L'Un
surgit
en
rétroactif
comme
signifiant
en
répétition.
*
Le
sujet
ne
vient
au jour que par le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
n'existe
que comme
répétition.
Il n'y a quant au
signifiant,
c'est-à-dire à la
structure,
aucun
autre
support
que le
trou
qu'elle
constitue
par son
bord.
La
fonction
du
sujet
n'est
rien
d'autre
que ce qui est
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sexe
repose
sur la
fonction
d'un
signifiant
capable
d'opérer
dans
l'acte
sexuel.
Le
corps,
lui-même, est
d'origine
ce
lieu
de
l'Autre
en tant que c'est là que
s'inscrit
la
marque
en tant que
signifiant.
L'introduction
du
sujet
comme
effet
de
signifiant
gît
dans la
séparation
du
corps
et de la
jouissance.
Il ne
saurait
y
avoir
d'acte
si ce n'est dans la
référence
signifiante
qui,
seule
peut
la
constituer
comme
acte.
L'énoncé
est
constitué
par la
chaîne
signifiante.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il n'y a pas
d'opération
intéressant
comme telle les
signifiants
qui
n'implique
la
présence
du
sujet.
La
liaison
de
signifiant
à
signifiant
est
subjectivante
par
nature.
La
détermination
du
sujet
se
fonde
sur une
liaison
de
signifiant
à
signifiant.
*
Le
sujet,
comme tel, est déjà
déterminé
et
inscrit
dans le
monde
comme
causé
par un
certain
effet
de
signifiant.
Le
sujet
est
déterminé
par
deux
signifiants.
Le
sujet
est
déterminé
par un
signifiant
le
représentant
pour un
autre
signifiant.
*
La
vérité
c'est, au
lieu
de
l'Autre,
l'inscription
du
signifiant.
Un
sujet
ne
suppose
rien,
il est
supposé
par le
signifiant
qui le
représente
pour un
autre
signifiant.
[
Lac68e
, p. 19]
Le
supposé
par le
sujet
s'écrit avec la
formule:
est le
signifiant
du
transfert;
représente
le
sujet;
les
éléments
entre
parenthèses
représentent
le
savoir,
supposé
présent,
des
signifiants
dans
l'inconscient.
[
Lac68e
, p. 19]
*
Le
corps
fait
le lit de
l'Autre
par
l'opération
du
signifiant.
[
Lac68a
, p. 58]
*
La
combinaison
des
signifiants
constitue
un
ordre,
un
registre.
Les
signifiants
ne sont pas des
signes.
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
est
antérieur
au
sujet.
*
Il y a du
sujet
seulement
et
uniquement
après qu'il y
ait
eu du
signifiant.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
L'Autre
est un
lieu
défini
comme
nécessaire
à la
primarité
de la
chaîne
signifiante.
*
Il n'y a de
dimension
de la
vérité
qu'à partir du
moment
où il y a du
signifiant.
Le
signifiant
est
primordial
au
sujet.
L'acte
est une
chose
conçue
comme ayant
essentiellement
en elle-même cette
dimension
de
signifiant.
L'acte
est
signifiant
et, comme
signifiant,
il
rate.
L'Autre
est le
lieu
du
signifiant.
Le
sujet
est
désigné
comme
effet
du
signifiant.
*
Il n'y a point
d'action
qui ne se
présente
avec une
pointe
signifiante.
L'acte
se
caractérise
par sa
pointe
signifiante.
Un
acte
manqué
est un
acte
uniquement
de ceci qu'il est
signifiant.
*
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
susceptible
de
retour.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il
n'implique
point de
sujet.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il n'est
plus
ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il
s'articule
à un
autre
signifiant
sans
y
représenter
un
sujet.
Le
sujet,
c'est ce qu'un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
est
essentiellement
ce quelque
chose
qui n'est que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
qui est
l'effet
du
signifiant,
ne
s'institue
que comme
divisé
et d'une
façon
irréductible.
Le
sujet
ne
s'institue
que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
C'est autour de la
fonction
de
l'objet
perdu,
que
tourne
la
première
tentative
opératoire
du
signifiant
qui
s'institue
dans la
répétition
fondamentale.
Le
signifiant
originel
est
signifiant
refoulé.
L'acte
est un
fait
de
signifiant.
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
*
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
peut
être
tout
ce qui
représente
le
sujet.
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Un
signifiant
ne
saurait
se
représenter
lui-même.
*
Un
sujet
c'est ce qui
peut
être
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
est
causé
par le
rapport
inter-signifiant.
Le
sujet
est tel qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
La
chaîne
du
signifiant
reste
perméable aux
effets
de la
métaphore
et de la
métonymie.
La
chaîne
du
signifiant
est
constituée
de
phonèmes.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représentant
un
sujet
pour un
autre
signifiant
est ce qui
représente
le
savoir.
Le
signifiant
est le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant
qui
représente
le
sujet
.
*
Le
signifiant
ne
représente
le
sujet
que pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est le
lieu,
le
trésor
des
signifiants.
Grand
est le
signifiant
de
l'ensemble
constitué
par le
rapport
de
à
,
rapport
de
paire
ordonnée.
Le
grand
a en lui cette
faille
du
savoir
qui ne
peut
contenir
que son
propre
signifiant.
*
Tout
élément
signifiant
s'extrait de
toute
totalité
concevable.
La
substance
de la
vérité
c'est ce qui
pâtit
du
signifiant.
Là où le
sujet
ne se
repère
que
d'être
effet
du
signifiant
est un des
champs
du
sujet.
Là où il y a
pathos
du
signifiant
sans
aucun
arrimage
encore
fait
dans le
discours
du
sujet
est un des
champs
du
sujet.
*
Le
grand
ne
contient
que des
,
,
, qui
tous
sont
distincts
de ce que
grand
représente
comme
signifiant.
Le
sujet
est le
sous-ensemble
de
tous
les
signifiants.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'inconscient
est
effet
de
signifiant.
[
Lac84b
, p. 8]
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
signifiant
s'origine
de
l'effacement
de la
trace.
[
Lac84b
, p. 10]
Le
trait
unaire
a une
primarité
signifiante.
[
Lac84b
, p. 20]
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 20]
Ce qui
caractérise,
ce qui
fonde
le
signifiant,
c'est sa
différence
qui
réside
dans les
autres.
*
Rien
d'autre
ne
fonde
la
fonction
du
signifiant
que
d'être
différence
absolue.
*
Ce n'est que ce par quoi les
autres
diffèrent
de lui que le
signifiant
se
soutient.
Les
signifiants,
comme tels, sont et
fonctionnent
dans une
articulation
répétitive.
Il est de la
nature
du
signifiant
en tant qu'épinglage, de
permettre
la
substitution
d'un
signifiant
à un
autre.
L'épinglage du
signifiant,
dans la
fonction
fondamentale
du
déplacement,
consiste
en
glissements
et
non
en
fixation.
Les
deux
mécanismes
fondamentaux
du
signifiant
sont la
condensation
et le
déplacement.
*
L'homme
naît
dans un
bain
de
signifiants.
Le
signifiant
est
représentant
du
sujet
pour un
signifiant
qui est
autre.
est le
lieu
des
signifiants
autres.
L'objet
est
purement
dans le
rapport
instauré de
l'institution
du
sujet
comme
effet
de
signifiant.
Grand
est le
trésor
des
signifiants.
Le
principe
de la
structure
perverse
est de
parer
à la
béance
radicale
dans
l'ordre
du
signifiant
en pourvoyant de quelque
chose
qui
comble,
qui remplace le
manque
phallique.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
rapport
premier
du
signifiant
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant
se note
*
Le
signifiant
ne
peut
en
aucun
cas
être
tenu
pour
pouvoir
se
désigner
lui-même.
*
Le
signifiant
naît
de ses
traces
effacées.
Ce qui
définit
le
sujet
c'est qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
*
Le
phallus
est le
signifiant
manquant.
Le
phallus
est le
signifiant
manquant,
hors
système.
Un
signifiant
ne
peut
renvoyer
à lui-même qu'en tant
qu'autre.
Le
signifiant
phallus
est le
signifiant
de la
jouissance,
signifiant
exclu.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant
,
Dans la
formule
,
désigne
le
signifiant
et
désigne
l'Autre
au titre de
l'ensemble
vide.
Un
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'Un-en-plus,
l'ensemble
vide,
c'est
c'est-à-dire le
signifiant
de
l'Autre
inaugural.
La
structure
perverse
est le moulage
imaginaire
de la
structure
signifiante.
Le
signifiant
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
pervers
est le
signifiant
du
intact,
.
Le
signifiant
fonctionne
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
discours
du
maître
indique
le
signifiant
qui
représente
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant
L'essence
du
maître
s'appuie
sur la
fonction
du
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Dans la
psychanalyse,
c'est de
savoir
et
non
de
connaissance
ni de
représentation
qu'il s'agit, de la
relation
d'un
signifiant
à un
signifiant
.
Le
signifiant
n'est pas
fait
pour le
rapport
sexuel.
Un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant
rien
d'autre qu'un
sujet.
Le
signifiant
s'articule
de
représenter
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
La
répétition
inaugurale
dans la
structure
du
signifiant
est
répétition
visant
à
jouissance.
*
Le
signifiant
s'introduit
comme
appareil
de la
jouissance.
*
Le
signifiant
ne
concerne
pas
l'objet
mais le
sens.
Le
signifiant
maître
induit
et
détermine
la
castration.
Au
départ
il n'y a pas de
signifiant
maître
car
tous
les
signifiants
s'équivalent.
Un
signifiant
passe
en
position
de
signifiant
maître,
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Quelque
chose
du
signifiant
maître
reste
caché.
Le
discours
du
maître
commence
avec la
prédominance
du
sujet
en tant qu'il tend à
être
identique
à son
propre
signifiant.
Un
signifiant
peut
tout
signifier
sauf lui-même.
*
La
mathématique
n'est
constructible
qu'à partir de ceci, que le
signifiant
peut
se
signifier
lui-même.
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
La
castration
est au
principe
du
signifiant
maître.
*
La
castration
c'est
l'opération
réelle
introduite
de par
l'incidence
du
signifiant.
Le
signifiant
maître,
,
idéalement
peut
s'identifier
à la
mort.
*
C'est du
discours
de
l'analyste
que
peut
surgir
un
autre
style de
signifiant
maître.
C'est de
l'entrée
en
jeu
du
signifiant
que
peut
se
marquer
la
jouissance.
*
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
linguistique
s'institue
d'une
coupure
qui est la
barre
posée
entre
le
signifiant
et le
signifié.
[
Lac70d
, p. 55]
Prendre le
signe
pour
objet
fait
obstacle
à sa
saisie
comme
signifiant.
[
Lac70d
, p. 56]
Le
corps
est ce qui
peut
porter
la
marque
propre
à le
ranger
dans une
suite
de
signifiants.
[
Lac70d
, p. 61]
L'Un-en-moins,
c'est le
signifiant
même.
[
Lac70d
, p. 61]
*
Au
phallus
se résume le
point
de
mythe
où le
sexuel
se
fait
passion
du
signifiant.
[
Lac70d
, p. 64]
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac70d
, p. 65]
Le
signifiant
ne
représente
pas un
signifié.
[
Lac70d
, p. 65]
Le
signifiant
ne
représente
pas pour un
autre
sujet.
[
Lac70d
, p. 65]
La
métaphore,
c'est la
substitution
d'un
signifiant
à un
autre.
[
Lac70d
, p. 67]
La
métonymie,
c'est la
sélection
d'un
signifiant
dans sa
suite.
[
Lac70d
, p. 67]
La
métaphore
obtient un
effet
de
sens
d'un
signifiant.
[
Lac70d
, p. 68]
L'inconscient,
c'est cette
matérialisation
intransitive
du
signifiant
au
signifié.
[
Lac70d
, p. 69]
Dans la
castration,
le
signifiant
femme
s'inscrit
comme
privation.
[
Lac70d
, p. 90]
Dans
l'envie
du
pénis,
le
signifiant
homme
est
ressenti
comme
frustration.
[
Lac70d
, p. 90]
Dans le
schéma
18.2.1
sur les
quatre
discours,
les
termes
présents sont:
, le
signifiant
maître,
, le
savoir,
, le
plus-de-jouir,
, le sujet.[
Lac70d
, p. 99]
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
où le
sujet
n'est pas.
Le
semblant,
c'est le
signifiant
en lui-même.
Les
signifiants
sont répartis dans le
monde,
dans la
nature.
Une
accumulation
de
signifiants
précède
la
naissance
d'un
langage.
Le
sujet
n'apparaît
qu'une
fois
instaurée quelque part une
liaison
de
signifiants.
Le
discours
de
l'inconscient
c'est
l'émergence
d'une certaine
fonction
du
signifiant.
Le
discours
du
maître
existe
quand le
signifiant
maître
est en
place
d'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
du
maître,
par le
signifiant
en tant que
maître
,
occupe
la
place
du
semblant.
cf:
18.2.1
La
jouissance
sexuelle
ne
s'articule
que du
phallus,
en tant qu'il est son
signifiant.
Le
signifiant
à quoi se
réfère
le
discours,
évoque
un
référent.
c'est le
signifiant
phallus.
La
femme
c'est la
lettre
en tant qu'elle est le
signifiant
qu'il n'y a pas
d'Autre.
Rien
ne
permet
de
confondre
la
lettre
avec le
signifiant.
Le
signifiant
est le
semblant
par excellence.
Le
signifiant,
c'est dans le
symbolique.
Le
signifiant
maître
n'est pas inhérent en
soi
au
langage.
Aucun
discours
n'élimine la
fonction
du
signifiant
maître.
Le
signifiant
maître
du
discours
analytique
c'est le
nom-du-père.
*
Tout
organe
n'est
instrument
que par le truchement de ceci dont
tout
instrument
se
fonde,
c'est que c'est un
signifiant.
Le
signifiant
c'est la
jouissance,
et le
phallus
c'est le
signifié.
La
lettre
vient
pour
marquer
la
place
d'un
signifiant.
Ce que
produit
la
relation
du
signifiant
à la
jouissance
c'est
,
où
ne
désigne
qu'un
signifiant.
Le
phallus
désigne
un
signifié
d'un
signifiant
parfaitement
évanouissant.
*
Un
signe
n'a
rien
à
faire
avec un
signifiant.
Il n'y a pas de
maître,
il y a le
signifiant
maître
que le
maître
suit
comme il
peut.
Le
signifié,
c'est
toujours
autre
chose
que ce que le
signifiant
a l'air
d'indiquer.
est le
signifiant
de la
non-existence
du
grand
Autre.
Le
Un
est
essentiellement
le
signifiant
de
l'inexistence.
Dans le
discours
du
maître,
le
signifiant
maître
n'existe
que grâce au
savoir
de
l'esclave
.
Le
signifiant
se
trouve
au
niveau
de la
production
dans le
discours
analytique.
Un
est un
signifiant.
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
noté
objet
.
Un
signifiant
n'a
aucune
signification.
*
L'Un
ne
tient
que de
l'essence
du
signifiant.
est le
signifiant
maître.
cf:
18.2.1
Le
signifiant
a
d'abord
effet
de
signifié.
Entre
signifiant
et
signifié
il y a quelque
chose
de
barré
à
franchir.
Le
signifiant
ne
peut
se
limiter
d'aucune
façon
à son
support
phonématique.
*
Le
signifiant,
c'est
bête.
La
fonction
du
signifiant,
c'est de
fonder
le
symbolique.
La
bêtise
est une
dimension
en
exercice
du
signifiant.
Un
corps
ne se
jouit
que de le
corporiser
de
façon
signifiante.
*
Le
signifiant
se
situe
au
niveau
de la
substance
jouissante.
*
Le
signifiant,
c'est la
cause
de la
jouissance.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
fait
halte à la
jouissance.
*
Du
discours
psychanalytique,
un
organe
se
fait
le
signifiant.
[
Lac73a
, p. 12]
*
Le
signifiant
Un
n'est pas un
signifiant
entre
autres.
[
Lac75f
, p. 8]
Le
psychanalyste
donne
corps
au
signifiant
qui
représente
le
signifiant
maître.
est le
signifiant
maître.
Le
signifié
d'un
signifiant
c'est là où
s'accroche
quelque
chose
qui
peut
ressembler
à un
sens.
Le
signifié
d'un
signifiant
vient
toujours
de la
place
où le
même
signifiant
occupe
un
autre
discours.
C'est dans la
mesure
où le
signifiant
ne nous
arrête
pas que nous
comprenons.
La
psychanalyse,
c'est le
repérage
de ce qui se
comprend
d'obscurci, de ce qui s'obscurcit en
compréhension
du
fait
d'un
signifiant
qui a
marqué
un
point
du
corps.
*
C'est dans la
mesure
où elle converge vers un
signifiant,
qui en
émerge,
que la
névrose
va
s'ordonner
selon le
discours
dont les
effets
ont
produit
le
sujet.
Yadlun
c'est le
signifiant,
le
signifiant
maître.
Avant
qu'un
signifiant
soit mis à sa
place,
il y a
toujours
des
effets
de circulation.
est le
sujet
pour autant qu'il n'est
rien
d'autre
que
l'effet
du
signifiant.
Le
sujet
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
est le
signifiant
en tant que
barré.
L'écrit
n'est
nullement
du
même
registre
que le
signifiant.
Le
signifiant
se
réfère
à un
discours.
Le
signifiant
n'a à
faire
qu'avec la
lecture
de ce
qu'on
entend
de
signifié.
*
Le
signifié,
c'est
l'effet
du
signifiant.
*
Ce
qu'on
entend,
c'est le
signifiant.
*
Y'a du
signifiant.
*
Il y a du
signifiant
qui s'injecte dans le
signifié.
Ce dont il s'agit dans le
discours
analytique,
c'est
toujours,
à ce qui
s'énonce
de
signifiant,
de
donner
une
autre
lecture
que ce qu'il
signifie.
L'homme
n'est
rien
qu'un
signifiant.
Une
femme
n'est
rien
qu'un
signifiant.
Aucun
signifiant
ne se
produit
comme éternel.
Le
signifiant
a des
effets.
*
Il y a du
signifiant.
C'est de
l'effet
du
signifiant
qu'il s'agit dans le
discours
hystérique.
Le
langage
se
distingue
de ceci que, dans son
effet
de
signifié,
il n'est
jamais
que à coté du
signifiant.
Le
signifiant
se
caractérise,
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet,
ce n'est
rien
d'autre
que ce qui
glisse
dans une
chaîne
de
signifiants.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que
l'effet
intermédiaire
entre
ce qui
caractérise
un
signifiant
et un
autre
signifiant.
c'est un
signifiant.
symbolise
le
signifiant.
*
est le
signifiant
dont le
propre
est qu'il est le
seul
qui ne
peut
rien
signifier.
,
c'est le
signifiant
pur.
supporte
le
comme
signifiant.
est ce
signifiant
dont il n'y a pas de
signifié.
cf:
20.8.1
est le
signifiant
qui
symbolise
l'échec
du
sens.
est ce
lieu
de
l'Autre,
là où
s'inscrit
tout
ce qui
peut
s'articuler
du
signifiant.
La
femme
a
rapport
au
signifiant
de
l'Autre.
,
le
phallus
est le
signifiant
qui n'a pas de
signifié.
cf:
20.8.1
*
Dans
l'Autre,
ça
sait
parce que
ça
se
supporte
des
signifiants
dont se
constitue
le
sujet.
L'animal
parlant,
d'habiter
le
signifiant,
il
résulte
qu'il en est
sujet.
C'est du
savoir
en
place
de
vérité
que l'interpelle le
qui
doit
aboutir
à la
production
du
,
du
signifiant.
cf:
Il y a du
savoir
qui se
sait
pas, et qui
supporte
du
signifiant
comme tel.
L'Autre
est le
lieu
où le
signifiant
se
pose.
L'individu
qui est
affecté
de
l'inconscient,
c'est le
même
qui
fait
le
sujet
d'un
signifiant.
Le
signifiant
n'est
rien
d'autre
qu'une
différence
avec un
autre
signifiant.
C'est parce qu'il y a
l'inconscient,
à savoir
lalangue
,
que le
signifiant
peut
être
appelé
à
faire
signe.
Le
signifiant
fait
le
support
formel
d'un
sujet
en tant que
signifiant.
Le
sujet
n'est
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
*
Le
savoir
de
l'Un
vient
du
signifiant
Un,
.
Le
est le
signifiant
maître,
et
le
savoir
dans la
formule
:
Le
qui est le
signifiant
comme
maître
est ce qui assure
l'unité
de l'essaim.
Le
signifiant
Un
est
l'ordre
signifiant,
en tant qu'il
s'instaure
de
l'enveloppement,
par où
toute
la
chaîne
subsiste.
*
Le
signifiant
c'est un
signe
qui ne
s'adresse
qu'à un
autre
signe.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
fait
un
signe
à un
signe.
Le
langage
est un
effet
de ce qu'il y a du
signifiant
Un.
La
passion
du
Christ
c'est la
passion
du
signifiant.
*
La batterie
signifiante
de
lalangue
ne fournit que le
chiffre
du
sens.
[
Lac74b
, p. 21]
Tout
signifiant,
du
phonème
à la
phrase,
peut
servir
de
message
chiffré.
[
Lac74b
, p. 22]
Le
symptôme
consiste
en un
nœud
de
signifiants.
[
Lac74b
, p. 22]
Les
chaînes
signifiantes
ne sont pas de
sens,
mais de
jouis-sens.
[
Lac74b
, p. 22]
*
Le
signifiant
existe.
*
Il y a du
signifiant.
Le
signifiant
est le
substitut
à la
jouissance
phallique.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est
dépourvu
de
sens.
L'Un
du
signifiant
n'opère
qu'à
pouvoir
être
employé
à
désigner
n'importe quel
signifié.
Le
discours
du
maître
fait
signifiant
Un
du
phallus.
*
Le
signifiant
fait
trou.
Le
signifié
n'est qu'un
signe
d'arbitrage
entre
deux
signifiants.
*
Le
sujet
c'est ce qu'un
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
c'est la
lettre.
L'idée
de
signifiant
se
supporte,
dans la
langue,
essentiellement
de la
syntaxe.
La
fonction
du
signifiant
crée
tout
signifié.
Le
signifiant
c'est ce qui se module dans la
voix.
Le
signifiant
n'a
rien
à
faire
avec
l'écriture.
Il y a,
derrière
tout
lapsus,
une
finalité
signifiante.
Le
sujet
réside
dans cette
division
même
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
On
sait
des
choses
qui relèvent du
signifiant.
*
Un
sujet
est un
signifiant
en tant qu'il est
représenté
auprès d'un
autre
signifiant.
*
On
pense
contre un
signifiant.
*
On
s'appuie
contre un
signifiant
pour
penser.
L'inconscient
est, dans
l'Autre,
porteur
des
signifiants.
L'une-bévue
c'est le
signifiant.
Il n'y a
rien
de
plus
unique
qu'un
signifiant.
L'homme
parl-être
veut
dire
qu'il
parle
signifiant
avec quoi la
notion
d'être
se
confond.
*
Il y a une
dissymétrie
du
signifiant
et du
signifié.
Le
symbolique,
supporté
par le
signifiant,
ne
dit
que des
mensonges
quand il
parle.
Le
signifiant
est le
signifiant
que
L'Autre
n'existe
pas.
Un
signifiant
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
signifiant
a des
effets
de
sens.
*
La
duplicité
de
sens
est
commune
à
tout
signifiant.
Un
signifiant
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sens
c'est ce qui
résonne
5
.
477
à l'aide du
signifiant.
Les
signifiants
sont
toujours
reçus.
À
cause
de
l'existence
du
signifiant,
chez
l'homme
l'ensemble
de ce qui
pourrait
être
un
rapport
sexuel
est un
ensemble
vide.
[
Lac78
]
Le
fait
qu'il y
ait
un
symbolique
implique
qu'un
signifiant
nouveau
émerge,
.
[
Lac78
]
Dans le
passage
du
signifiant
au
signifié
tel qu'il est
entendu,
il y a quelque
chose
qui se
perd.
[
Lac78
]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08