Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.3 C
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Chose, Ding
Suivant:
christianisme
Index:
Index
chose
*
Le
langage,
avant
de
signifier
quelque
chose,
signifie
pour quelqu'un. [
Lac66a
, p. 82]
Le
symptôme
exprime
quelque
chose
de
structuré,
d'organisé
comme un
langage.
Le
réel
est quelque
chose
qui
résiste
absolument
à la
symbolisation.
Interpréter
et
comprendre
n'est pas du
tout
la
même
chose,
c'est
exactement
le
contraire.
Négativisme
et
dénégation
ne sont pas du
tout
la
même
chose.
La
fonction
symbolique
est
exactement
la
même
chose
que la
fonction
de la
parole.
Dans la
parole
est mis l'accent sur un
objet,
c'est à dire quelque
chose
qui est
considéré
comme
extérieur
à la
parole.
*
Chaque
fois
qu'un
homme
parle
à un
autre
d'une
façon
authentique
et
pleine,
c'est un
transfert
de
sens
où il se
passe
quelque
chose
qui
change
littéralement
la
nature
des
deux
êtres
en
présence.
*
Il se
passe
quelque
chose
dans la
schizophrénie
qui
perturbe
complètement
les
relations
du
sujet
au
réel.
Dans la
captation
du
sujet
par
l'objet
d'amour,
c'est quelque
chose
qui est
strictement
équivalent
à cet
idéal-du-moi.
Quelque
chose
qui est
au-delà
de
l'idéal-du-moi
le
commande.
L'inconscient
est quelque
chose
de
négatif,
d'idéalement
inaccessible.
L'inconscient
est quelque
chose
qui sera
réalisé
dans le
symbolique,
qui grâce au
progrès
symbolique
dans
l'analyse,
aura été.
Le
retour
du
refoulé
est le
signal
effacé
de quelque
chose
qui ne
prendra
sa
réalisation
symbolique
que dans le
futur.
Le
retour
du
refoulé
ne sera
jamais
qu'une
chose
qui à un
moment
donné
d'accomplissement
aura été.
*
Méconnaissance
n'est pas la
même
chose
qu'ignorance.
Le
mot
ou le
concept
n'est
point
autre
chose
que le
mot
dans sa
matérialité,
pour
l'être
humain.
*
Le
refoulement
et le
retour
du
refoulé,
c'est la
même
chose.
Dans le
sujet
humain,
il y a quelque
chose
qui
parle
et donc il y a quelque
chose
qui
ment.
Le
regard
n'est pas simplement quelque
chose
qui se
situe
au
niveau
du
regard.
*
Dans le
fondement
du
transfert,
il y a la
projection
de quelque
chose
qui n'est pas dans la
réalité.
Le
langage
n'est pas
fait
pour
désigner
les
choses.
L'appareil
psychique
est quelque
chose
qui est
entre
le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité.
Le
langage
est quelque
chose
de
matériel
qui est
l'instrument
de la
parole.
*
L'être
et
l'objet
ce n'est
absolument
pas la
même
chose.
La
résistance
du
sujet
est quelque
chose
qui est
lié
à la
fixation
imaginaire.
La
censure
a
toujours
un
rapport
avec quelque
chose
qui, dans le
discours,
se
rapporte
à la
loi
en tant qu'elle est
incomprise.
Dans le
rêve,
l'objet
est
toujours
plus
ou
moins
structuré
comme quelque
chose
qui est
l'image
du
corps
du
sujet,
le
reflet
du
sujet.
La
relation
symbolique,
le
pouvoir
de
nommer
les
objets,
est quelque
chose
qui
intervient
comme
absolument
essentiel
pour
structurer
la
perception
elle-même.
*
En lui-même le
jeu
du
symbole
organise
ce quelque
chose
qui
s'appelle
un
sujet.
L'obsédé
est quelque
chose
d'un
usage
symbolique
possible.
L'homme
est
tout
entier
quelque
chose
qui se
situe
dans la
succession
des
messages.
Le
réel
c'est quelque
chose
qu'on
retrouve
à la
même
place.
La
division
passe
entre
quelque
chose
qui tend à se
répéter
et quelque
chose
qui y
fait
obstacle.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, de
à
,
quelque
chose
du
discours
passe
et en
même
temps
ne
passe
pas.
Le
rêve
dit
quelque
chose.
Le
signifié,
ce n'est pas les
choses,
les
objets.
Le
sujet
parle
à
l'analyste
de quelque
chose
qui lui a
parlé.
Dans la
psychose,
l'inconscient
c'est quelque
chose
qui
parle
dans le
sujet.
Dans la
psychose,
il y a quelque
chose
qui
parle
dans le
sujet,
au-delà
du
sujet.
*
Agir
avec le
refoulé
par le
mécanisme
du
refoulement,
c'est en
savoir
quelque
chose.
*
Le
refoulement
et le
retour
du
refoulé
sont une
seule
et
même
chose.
La
Unterdrückung
est
l'indication
que quelque
chose
est
intérieurement
réprimé.
Au
niveau
du
il y a quelque
chose
qui est au
niveau
de
l'imaginaire,
c'est le
moi
et le
corps
morcelé.
*
Le
refoulement
et le
retour
du
refoulé,
sont une
seule
et
même
chose.
Dans
l'Autre,
5
.
79
il y a, quelque part, quelque
chose
qui ne
trompe
pas.
L'
acting-out
est quelque
chose
de
tout
à fait
équivalent
à un
phénomène
hallucinatoire
de
type
délirant.
Dans le
phénomène
psychotique,
quelque
chose
qui a
disparu,
qui a été
rejeté
de
l'intérieur,
reparaît
à
l'extérieur.
*
La
dialectique
de la
névrose
est
toute
entière
liée
à ceci que le
refoulement
et le
retour
du
refoulé
sont une
seule
et
même
chose.
Dans la
psychose,
quelque
chose
de
tout
à fait
primordial
dans
l'être
du
sujet
n'entre
pas dans la
symbolisation,
est
rejeté.
Quand quelque
chose
apparaît
qui n'a pas été
symbolisé
primitivement
le
sujet
se
trouve
absolument
démuni
quand à
faire
réussir
la
Verneinung
.
Le
sens
renvoie
toujours
à quelque
chose
qui est
avant
5
.
80
ou qui
revient
sur lui-même.
5
.
81
Il y a dans
l'analyse
autre
chose
qu'une
poussée
à
rendre
consciente..
La
causalité
n'est pas
autre
chose
que la
chaîne
des
signifiants.
L'homme
a quelque
chose
qui est
radicalement
inassimilable
au
signifiant.
La
Bewusstsein
est
seconde
et
ordonnée
comme quelque
chose
en
relation
de
causalité.
*
La
structure
est une
chose
qui se
présente
d'abord
comme un groupe
d'éléments
formant
un
ensemble
covariant.
La
notion
de
structure
se
pose
toujours
par
rapport
à une
référence
de ce qui est
cohérent
à quelque
chose
d'autre
qui lui est
complémentaire.
La
notion
de
signifiant
signifie
qu'il y a quelqu'un qui se
sert
de ce
signifiant
pour
signifier
quelque
chose.
Le
subjectif
est quelque
chose
qui se
situe
dans le
réel.
Le
sujet
se
sert
du
jeu
du
signifiant,
non
pas pour
signifier
quelque
chose,
mais pour
tromper
sur ce qu'il y a à
signifier.
*
Le
signifiant
est autre
chose
que la
signification.
Les
symptômes,
c'est
toujours
une
implication
de
l'organisme
humain
dans quelque
chose
qui est
structuré
comme un
langage.
Dans la
psychose,
il y a quelque
chose
qui ne
s'était
pas
réalisé
dans le
domaine
du
signifiant.
Dans la
psychose,
il y a eu quelque
chose
qui n'a pas
fonctionné,
qui ne s'est pas
complété
dans
l'œdipe.
Dans la
psychose,
quelque
chose
s'est
produit
qui est un
manque
dans la
fonction
formatrice
du
père.
Dans la
métonymie
il y a
substitution
d'un
nom
par quelque
chose
qui en est le
contenant
ou la
partie
ou qui est en
connexion
avec.
*
La
métaphore
est quelque
chose
qui est à un
autre
degré
que la
métonymie.
La
notion
de
Verwerfung
nomme
quelque
chose
de
préalable
qui
manque
dans la
relation
au
signifiant
comme tel.
La
peur
est quelque
chose
de
particulièrement
ambivalent.
Le
signifiant
surmoi
n'est pas autre
chose
que la
fonction
du
tu,
et le
sentiment
de
réalité.
La
décomposition
du
signifiant
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
d'un
point
d'appel
qui est
constitué
par un
manque,
une
disparition,
une
absence
d'un
certain
signifiant,
au
moment
où il est
appelé
comme tel.
Le
tu
est quelque
chose
par quoi
l'autre
est
fixé
en un
point
de la
signification.
Le
réel
a quelque
chose
qui est à la
limite
de
l'expérience
analytique.
La
frustration
est le
domaine
de quelque
chose
qui est
désiré
et qui n'est pas
tenu.
*
L'absence
de quelque
chose
dans le
réel
est une
Chose
purement
symbolique.
*
La
libido
est ce quelque
chose
qui va
lier
entre
eux le
comportement
des
êtres.
Ce qui est
signifiant
de quelque
chose
peut
devenir
signifiant
d'autre
chose.
La
privation
n'est pas du
tout
quelque
chose
qui est dans le
sujet.
La
privation
c'est quelque
chose
qui est dans le
réel.
Le
couplage
présence
absence
est quelque
chose
qui
caractérise,
qui
connote
la
première
constitution
de
l'agent
de la
frustration.
Quand la
femme
trouve
dans
l'enfant
une
satisfaction,
c'est qu'elle
trouve
en lui ce quelque
chose
qui la
calme,
ce
pénis,
ce
besoin
de
phallus.
*
L'enfant
attend
quelque
chose
de la
mère.
L'enfant
se sent
dépossédé
de lui-même en
s'apercevant
que ce n'est pas lui qui est
aimé
mais quelque
chose
d'autre
qui est une
image.
*
L'idée
de
privation
n'est
concevable
que pour un
être
qui
articule
quelque
chose
sur le
plan
symbolique.
La
frustration
est quelque
chose
dont un
humain
est
privé
par un
autre.
La
demande
a en elle-même quelque
chose
qui
fait
qu'elle ne
peut
jamais
comme telle, être
exaucée.
*
La
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale
sont
deux
choses
différentes.
La
frustration
de
l'amour
et la
frustration
de la
jouissance
sont
deux
choses
différentes.
Ce qui
succède
à la
frustration
de
l'objet
de
jouissance
chez
l'enfant,
c'est quelque
chose
qui se
maintient
dans le
sujet
à
l'état
de
relation
imaginaire.
Le
transfert
se
passe
essentiellement
quand quelque
chose
prend
son
sens
du
fait
que
l'analyste
devient
le
lieu
du
transfert.
Il y a dans le
don
d'amour
quelque
chose
de
donné
pour
rien,
et qui ne
peut
être que
rien.
Pour que le
sujet
féminin
entre
dans la
dialectique
de
l'ordre
symbolique,
il faut qu'il y
entre
par quelque
chose
qui est le
don
du
phallus.
La
métonymie
fait
entendre
quelque
chose
en
parlant
de quelque
chose
de
tout
à
fait
autre.
Dans le
fétichisme,
le
sujet
s'identifie
à cet
objet
auquel il
manque
quelque
chose.
*
Ce que
l'autre
donne
à
voir
en se
montrant,
c'est aussi autre
chose
que ce qu'il
montre.
Dans certains
cas
le
sujet
masculin
se
donne
à la
femme
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
manque.
La
frustration
est le
refus
de
don
en tant qu'il est lui-même
symbole
de quelque
chose
qui
s'appelle
l'amour.
*
C'est
seulement
en tant que quelque
chose
donne
à la
mère
le
phallus
qu'elle
peut
être
satisfaite.
La
castration
est quelque
chose
qui est
toujours
liée
à
l'incidence,
à
l'intervention
du
père
réel.
*
L'enfant
se
présente
à la
mère
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
offre
le
phallus
en lui-même.
L'angoisse
est quelque
chose
sans
objet.
La
peur
concerne
toujours
quelque
chose
d'articulable,
de
nommable,
de
réel.
*
La
phobie
c'est quelque
chose
qui est
construit
en
avant
du
point
d'angoisse.
La
complexité
des
relations
de
l'homme
à la
femme
vient
de la
résistance
des
sujets
masculins
à admettre que les
sujets
féminins
sont
dépourvus
de quelque
chose
et sont pourvus de quelque
chose
d'autre.
À la
privation,
le
père
doit
apporter
quelque
chose.
Un
objet
c'est quelque
chose
qui se
conquiert.
Une
personne
c'est ce quelque
chose
qui
peut
dire
je.
Dans la
métaphore,
ce qui est
substitué
est quelque
chose
de
nouveau.
L'homme
n'est pas simplement un
mâle
ou une
femelle,
mais il se
situe
par
rapport
à quelque
chose
de
symbolisé
qui
s'appelle
mâle
et
femelle.
Le
désir
est
toujours
d'autre
chose.
Le
jeu
métaphorique
n'est
possible
que s'il y a quelque
chose
à
substituer
dans la
base
signifiante.
La
structure
des
désirs
est
déterminée
par autre
chose
que les
besoins.
La
métonymie
est la
structure
fondamentale
dans laquelle
peut
se
produire
ce quelque
chose
de
nouveau
et de
créatif
qui est la
métaphore.
La
demande
c'est ce quelque
chose
d'un
besoin
qui
passe
au
moyen
du
signifiant
qui est
adressé
à
l'autre.
La
demande
est quelque
chose
qui par
soi-même
est relative à
l'autre.
Ce qui est
signifié
est quelque
chose
d’au-delà du
besoin
brut, de remodelé par
l'usage
du
signifiant.
Le
désir
est ce quelque
chose
qui est
défini
par un
décalage
essentiel
par
rapport
à
tout
ce qui est de
l'ordre
de la
direction
imaginaire
du
besoin.
Le
sujet
a quelque
chose
de
réfractaire
à
l'objectivation.
Quelque
chose
lie
la
métaphore
à la
question
de
l'être.
[
Lac66a
, p. 528]
Quelque
chose
lie
la
métonymie
au
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 528]
Il y a quelque
chose
qui
manque
dans la
chaîne
des
signifiants.
Le
se
représente
dans quelque
chose
qui
s'oppose,
dans le
ternaire
aux
signifiants
de
l'œdipe
dans quelque
chose
qui
doit
être
ternaire.
Le
père
prive
quelqu'un de quelque
chose
qui n'a
d'existence
qu'en tant que
symbole.
Ce qui est
essentiel,
c'est le
rapport
dans lequel la
mère
fonde
le
père
comme
médiateur
de quelque
chose
qui est
au-delà
de sa
loi
à elle et de son
caprice,
et qui est
purement
et simplement la
loi
comme telle.
*
C'est
différent
de
désirer
quelque
chose
ou de
désirer
le
désir
du
sujet.
Le
trait
d'esprit
nécessite
que quelque
chose
se
réalise
au
niveau
de
l'autre.
Dans le
délire
il y a quelque
chose
de
régressif.
Il y a
toujours
dans la
perversion
quelque
chose
que le
sujet
ne
veut
pas
reconnaître.
Une
frustration
est quelque
chose
d'imaginaire
portant
sur un
objet
réel.
Une
privation
est quelque
chose
de
réel
qui
porte
sur un
objet
symbolique.
La
castration
est ce qui
symboliquement
ampute
le
sujet
de quelque
chose
d'imaginaire.
Il ne
peut
y
avoir
de
dialectique
de
privation
que quand il s'agit de quelque
chose
que le
sujet
peut
symboliser.
Le
phallus
est le
signifiant
qui
introduit
quelque
chose
de
nouveau
dans
l'Autre.
Le
symptôme,
en tant
qu'inconscient,
est quelque
chose
qui
parle.
Le
symptôme
est quelque
chose
qui va dans le
sens
de la
reconnaissance
du
désir.
Le
désir
de
reconnaissance
c'est autre
chose
que le
désir.
Ce n'est pas parce que quelque
chose
n'est pas
articulable,
à
savoir
le
désir,
qu'il ne soit pas
articulé.
*
Le
signifiant,
comme tel, c'est quelque
chose
qui
peut
être
effacé,
qui ne laisse plus que sa
place.
*
Toute
espèce
de
signifiant
est, de sa
nature,
quelque
chose
qui
peut
être
barré.
Il y a à
l'intérieur
du
signifiant
quelque
chose
qui
toujours
est en
mesure
de le
destituer
de sa
fonction.
Le
phallus
se
trouve
toujours
recouvert par quelque
chose
qui est la
castration.
Il y a
toujours
quelque
chose
qui
reste
au-delà
de ce qui
peut
se
satisfaire
par
l'intermédiaire
de ce
signifiant,
par la
demande.
*
La
demande
demande
toujours
quelque
chose
qui est
plus,
et
au-delà
de la
satisfaction.
Toute
tentative
de
réduire
le
désir
à quelque
chose
dont
on
demande
la
satisfaction,
se heurte à une
contradiction
interne.
Il y a quelque
chose
dans
l'exploit
de
l'obsessionnel
qui
reste
toujours
irrémédiablement
fictif.
L'obsessionnel,
dans son
exploit
vise
l'Autre,
là où les
choses
s'articulent
en
termes
de
signifiant.
La
ligne
du
transfert
du
graphe
5.24.1
est quelque
chose
d'articulé
qui est en
puissance
au-delà
de ce qui
s'articule
sur le
plan
de la
demande.
Une
névrose
est construite pour
maintenir
quelque
chose
d'articulé,
le
désir.
La
résistance
est la
même
chose
que le
transfert.
*
La
violence
est quelque
chose
dans son
essence,
qui se
distingue
de la
parole.
Dans le
tableau
5.9.1
, la
castration
est une
action
symbolique
qui
porte
sur quelque
chose
d'imaginaire.
*
L'obsession
est
toujours
quelque
chose
de
verbalisé.
Le
désir
au
niveau
du
processus
primaire
trouve
sa
satisfaction
dans quelque
chose
qui est un
signifiant.
Dans la
métaphore
quelque
chose
de
nouveau
surgit
qui est un
sens,
un
signifié.
La
pensée
est
avant
tout
quelque
chose
du
non-dit.
Quelque
chose
qui se
pose
comme
pouvant
être
effacé
inaugure le
signifiant.
Le
signifiant
spécifique
est quelque
chose
qui se
présente
comme
pouvant
être
effacé,
et qui dans cette
opération
de
l'effacement
comme tel
subsiste.
Le ne
explétif
de la
discordance
est quelque
chose
qui se
situe
entre
le
procès
de
l'énonciation
et le
procès
de
l'énoncé.
La
négation,
dans sa
racine
linguistique,
est quelque
chose
qui émigre de
l'énonciation
vers
l'énoncé.
L'image
de
l'autre
est la
même
chose
que le
moi.
La
demande
porte
sur autre
chose
que sur les
satisfactions
qu'elle
appelle.
[
Lac66a
, pp. 690–691]
Une
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à quelque
chose
de
réel.
La
demande
n'est
jamais
demande
de quelque
chose.
Le
désir
est quelque
chose
par quoi le
sujet
se
situe,
du
fait
de
l'existence
du
discours,
par
rapport
à la
demande.
Dans le
graphe
6.8.1
la
restitution
du
sens
du
fantasme,
,
c'est-à-dire quelque
chose
d'imaginaire
vient
entre
les
lignes
de
l'énoncé
de
l'intention
du
sujet
et celle,
fragmentée
de
l'énonciation
par la
langue.
La
colère
n'est pas autre
chose
que
l'irruption
du
réel
qui
arrive
dans un belle
trame
symbolique.
*
Pour que quelque
chose
s'engendre
dans
l'ordre
du
signifié,
il faut qu'il y
ait
substitution
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
Le
désir
du
sujet
est quelque part
intermédiaire
entre
une
pure
et
simple
signification,
et quelque
chose
de
fermé,
d'énigmatique,
,
de
l'ordre
du
signifiant.
Dans le
lieu
de la
parole,
,
il
manque
quelque
chose.
Dans le
discours
de
l'Autre,
quelque
chose
fait
défaut
au
sujet.
est
marqué
de quelque
chose
qui le
divise
primordialement
de lui-même en tant que
sujet
de la
parole,
.
L'être
c'est quelque
chose
qui se
pose
comme un
réel
articulé
dans le
symbolique.
*
L'amour
et le
désir
sont
deux
choses
différentes.
L'interdiction
de
l'inceste
n'est autre
chose
que la
condition
pour que
subsiste
la
parole.
*
Le
représenté
et la
représentation
sont
deux
choses
différentes.
*
Le
signe
c'est ce qui est à la
place
de quelque
chose
pour quelqu'un.
Chez
l'individu,
quelque
chose
ne
peut
pas
être
sublimé
faute
de quoi des
dommages,
des
perturbations
graves
s'ensuivent.
*
Autre
chose
est
essentiellement
la
Chose.
La
Chose,
en tant qu'elle est
voilée,
dans la
retrouvaille
de
l'objet,
est comme tel
représenté
par
Autre
chose.
La
Chose
ne
peut
qu'être
représentée
par autre
chose.
Parler
de la
Chose
c'est
parler
de quelque
chose.
Ce que
demande
l'homme,
c'est
d'être
privé
de quelque
chose
de
réel.
La
demande
dernière
d'être
privé
de quelque
chose
de
réel
est la
signification
du
don
d'amour.
La
pulsion
comporte
une
dimension
historique
en tant qu'elle se
rapporte
à quelque
chose
de
mémorable
parce que
mémorisé.
*
L'analyste
doit
payer
quelque
chose
pour
tenir
sa
fonction.
La
demande
demande
toujours
autre
chose.
Dans
toute
satisfaction
du
besoin,
la
demande
exige
autre
chose.
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable
dans la
perspective
analytique,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
*
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
L'aimé,
dans le
couple,
est le
seul
à
avoir
quelque
chose.
Le
désir
est
désir
d'autre
chose.
*
Un
signe
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Quelque
chose
est
plus
précieux que le
désir
lui-même, d'en garder le
symbole
qui est le
phallus.
Le
signe
est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
L'analyste
intervient
par quelque
chose
qui est de
l'ordre
de son
être.
*
Le
signal
d'angoisse
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
du
moi.
Cela
arrive
que le
réveil
se
produise
quand
vient
dans le
rêve
quelque
chose
qui est la
satisfaction
de la
demande.
Un
signe
c'est de
représenter
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Quelque
chose,
à
l'insu
du
sujet,
est
profondément
remanié
par les
effets
de
rétroaction
du
signifiant
impliqué
dans la
parole.
*
Le
signe
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
La
disjonction
du
et du
c'est que le
sujet
vient
à se loger comme tel, et que
l'identification
a à se
faire
avec ce quelque
chose
qui est
l'objet
du
désir.
*
L'hystérique
se
pose
comme
signe
de quelque
chose
à quoi
l'Autre
pourrait
croire.
Le
trou
central
du
tore
n'est pas un
véritable
intérieur,
il suggère quelque
chose
de
l'ordre
du
passage
de
l'intérieur
à
l'extérieur.
Le
signe
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
On
demande
à la
mère
la
seule
chose
qu'elle
n'ait
pas, le
phallus.
Le
signe
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
L'existence
de
l'angoisse
est
liée
à ceci que
toute
demande
a
toujours
quelque
chose
de
leurrant
par
rapport
à ce qui
préserve
la
place
du
désir.
Le
mythe
d'Œdipe
c'est qu'à
l'origine
le
désir
du
père
et la
loi
sont une
seule
et
même
chose.
Le
désir
et la
loi
c'est la
même
chose
car ils ont leur
objet
commun.
*
L'
acting-out
c'est quelque
chose
dans la
conduite
du
sujet,
essentiellement
qui se
montre.
L'angoisse
est ce quelque
chose
qui ne
trompe
pas.
Dès que quelque
chose
du
réel
vient
au
savoir,
un
morceau
de
corps
est
perdu.
*
La
privation
est quelque
chose
de
réel.
*
La
privation
c'est quelque
chose
de
réel.
L'angoisse
est
angoisse
devant quelque
chose.
*
La
norme
du
désir
et la
loi
sont une
seule
et
même
chose.
*
L'espace
c'est quelque
chose
qui a un
certain
rapport,
non
pas avec
l'esprit,
mais avec
l'œil.
Ce qui est
ontique
c'est la
fente
par où quelque
chose
est amené au jour, puis
évanouissant.
Une
chose
c'est ce qui dure,
identique,
un
certain
temps.
La
répétition
est quelque
chose
qui est
toujours
voilé
dans
l'analyse.
5
.
82
Ce qui se
répète
est
toujours
quelque
chose
en
rapport
à la
tuché
et qui se
produit
comme au
hasard.
Dans le
rêve
il s'agit
d'autre
chose
que d'un
fantasme
comblant un vœu.
Dans le
rapport
aux
choses,
le
regard
est quelque
chose
qui
glisse
pour y
être
toujours
à quelque
degré,
élidé.
L'objet
a quelque
chose
dont le
sujet,
pour se
constituer,
s'est
séparé
comme
organe.
L'écran
rétablit les
choses
dans leur
statut
de
réel.
Quelque
chose
du
sujet
est aimanté à un
degré
profond
de
dissociation,
de
schize.
La
répétition
est
répétition
par
rapport
à quelque
chose
de
toujours
manqué.
Un
symptôme
est un
signe
pour
représenter
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
L'envie
est autre
chose
que la
pulsion
scopique.
Le
dégoût
est autre
chose
que la
pulsion
orale.
Le
signe
est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
Ne pas
vouloir
désirer
et
désirer,
c'est la
même
chose.
Le
transfert
n'est pas l'ombre de quelque
chose
qui eut été auparavant
vécu.
*
Le
signe,
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Le
signe
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
Une école c'est quelque
chose
où
doit
se former un style de
vie.
La
loi
est
supportée
par quelque
chose
qui
s'appelle
le
nom-du-père.
*
Le
signifiant,
à la
différence
du
signe,
c'est quelque
chose
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signe
est
représentant
de quelque
chose
pour quelqu'un.
La
fonction
de la
nomination
introduit
dans le
réel
quelque
chose
qui
dénomme.
Le
signe
est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
La
fonction
de
l'aliénation,
c'est un
choix
qui n'en est pas un, en ce
sens
qu'on
y
perd
toujours
quelque
chose.
*
Au-delà
de
tout
ce qui
s'articule,
quelque
chose
parle.
Répéter
ce n'est pas
retrouver
la
même
chose.
Je
ne
suis
pas est
révélation
de quelque
chose
qui est la
vérité
de la
structure.
L'essence
de la
castration
se
manifeste
en ceci que la
différence
sexuelle
ne se
supporte
que de la
Bedeutung
de quelque
chose
qui
manque
sous l'aspect du
phallus.
*
Il y a quelque
chose
de
perdu
par le
fait
de la
répétition.
L'
acting-out
se
situe
à cette
place
élidée
où quelque
chose
se
manifeste
du
champ
de
l'Autre
éliminé,
mais sous une
forme
de
manifestation
véridique.
L'acte
sexuel
se
présente
comme un
signifiant
qui
répète
quelque
chose.
La
fonction
analytique
est rapprochée de quelque
chose
qui est du
registre
de
l'acte.
Le
corps
est
fait
pour
inscrire
quelque
chose
qui
s'appelle
la
marque.
*
Ce n'est pas la
même
chose
que de
copuler
et de se
branler.
La
jouissance
est ce quelque
chose
qui a un
certain
rapport
au
sujet.
*
La
jouissance
est ce quelque
chose
dans quoi
marque
ses
traits
et ses
limites
le
principe
du
plaisir.
La
fonction
de la
négation
en tant qu'elle
exclut
le
tiers,
veut
dire
que quelque
chose
ne
peut
être
affirmé
et
nié
en
même
temps
sous le
même
point
de
vue.
En tant que
discours
non
soumis
au
principe
de
contradiction,
il y a
vérité
d'un
discours
qui
peut
dire
oui
et
non
en
même
temps
de la
même
chose.
*
Il y a quelque
chose
de
déplacé
qui rend
l'objet
de la
demande
impropre
à
satisfaire
le
désir.
Dans la
psychanalyse
il y a quelque
part,
quelque
chose
qui
joue
fonction
de
sujet
supposé
savoir.
La
constitution
de
l'amnésie
et le
retour
du
refoulé
sont
exactement
la
même
chose.
*
Un
langage
n'a pas de
rapport
direct
aux
choses.
Un
signe
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
L'acte
est une
chose
conçue
comme ayant
essentiellement
en elle-même cette
dimension
de
signifiant.
Au
terme
de
l'analyse,
l'analyste
a à
supporter
de
n'être
plus
rien
que le
reste
de la
chose
qu'est
l'objet
.
*
L'acte
dit
quelque
chose.
*
Le
seul
fait
que quelque
chose
se soit
passé
subsiste
dans
l'inconscient.
Le
sujet
est
essentiellement
ce quelque
chose
qui n'est que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
*
En
tout
acte,
il y a quelque
chose
qui, comme
sujet,
lui échappe.
Le
sujet
grammatical
n'est que la
place
où quelque
chose
vient
à se
représenter.
*
L'objet
a ce quelque
chose
qui
peut
fonctionner
comme
équivalent
de la
jouissance.
Le
principe
de la
structure
perverse
est de
parer
à la
béance
radicale
dans
l'ordre
du
signifiant
en pourvoyant de quelque
chose
qui
comble,
qui remplace le
manque
phallique.
*
Pour que quelque
chose
manque
il faut qu'il y
ait
du
compté.
L'image
du
corps
se
pose
comme
liée
à ce quelque
chose
d'essentiel
dans
l'économie
libidinale
considéré
comme
étant
la
maîtrise
motrice
du
corps.
Le
signe
c'est ce qui
représente
quelque
chose
pour quelqu'un.
*
Par un
lien
à quelque
chose
qui n'est
rien
d'autre
que ce qui
permet
l'émergence
du
savoir,
la
jouissance
est
exclue.
C'est dans la
répétition
que se
produit
quelque
chose
qui est
défaut,
échec.
Là où il y a
perte
de
jouissance,
quelque
chose
qu'introduit
la
répétition
surgit,
la
fonction
de
l'objet
perdu,
le
.
Le
manque
d'oubli
c'est la
même
chose
que le
manque-à-être,
car
être
ce n'est
rien
d'autre
que
d'oublier.
Quelque
chose
du
signifiant
maître
reste
caché.
Quelque
chose
de la
jouissance
doit
être
rendu au
maître,
c'est le
plus-de-jouir.
C'est de quelque
chose
de bien
réel
qu'il est
toujours
question
dans la
frustration.
*
Pour quelque
chose
de
réel,
rien
ne
saurait
manquer.
Dans la
privation
quelque
chose
de
symbolique
manque.
*
Le
signe
suppose
le quelqu'un à qui il
fait
signe
de quelque
chose.
[
Lac70d
, p. 56]
Le
signe
représente
quelque
chose
pour quelqu'un. [
Lac70d
, p. 65]
La
seule
position
d'une
Verneinung
implique
l'existence
de quelque
chose
qui est
nié.
Le
nom,
ce n'est pas quelque
chose
qui se plaque sur le
réel.
L'écrit
et
l'écriture
sont une
seule
et
même
chose.
L'écriture
c'est quelque
chose
qui se répercute sur la
parole.
La
lettre
sert
quelque
chose
qui est de
l'ordre
du
sexe,
non
pas un
rapport
sexuel,
mais un
rapport
sexué.
*
Le
vide
c'est la
seule
façon
d'attraper
quelque
chose
avec le
langage.
Dans la
psychanalyse,
le
symptôme
a affaire à quelque
chose
qui est la
traduction
en
paroles
de sa
valeur
de
vérité.
Le
signifié,
c'est
toujours
autre
chose
que ce que le
signifiant
a l'air
d'indiquer.
Le
langage
fait
sens
car il n'est
jamais
le décalque des
choses.
*
C'est quelque
chose
de
différent,
d'écrire
ou
d'articuler
avec la
voix.
Un
est quelque
chose
qui
s'énonce
dans le
registre
de la
logique
du
nombre.
L'Un,
ça
ne se
pense
pas, mais
ça
dit
quelque
chose.
Il y a de la
béance
de
l'Un
à quelque
chose
qui
tient
à
l'être,
et
derrière
l'être
à la
jouissance.
La
lettre
d'amour
et la déclaration
d'amour
ce n'est pas la
même
chose
que la
parole
d'amour.
Entre
signifiant
et
signifié
il y a quelque
chose
de
barré
à
franchir.
*
Il y a quelque
chose
de
distinct
entre
parler
et
dire.
*
On
ne
dénote
pas des
choses,
on
dénote
des
faits.
Le
signifié
d'un
signifiant
c'est là où
s'accroche
quelque
chose
qui
peut
ressembler
à un
sens.
Le
désir
et la
libido
c'est la
même
chose.
Le
signe
d'amour
est quelque
chose
qui est
susceptible
de
provoquer
le
désir.
La
castration
est quelque
chose
qui
dit
non
à la
fonction
phallique.
Dans le
désir
de
toute
demande,
il n'y a que la
requête
de ce quelque
chose
qui, au
regard
de la
jouissance,
serait
satisfaisant.
Le
langage
c'est
l'effort
fait
pour
rendre
compte
de quelque
chose
qui n'a
rien
à
faire
avec la
communication,
lalangue
.
L'amour
est la
métaphore
de quelque
chose
qui se
réfère
d'abord
à
l'événement.
Les
lettres
sont des
choses
qui par elles-mêmes ne veulent
rien
dire.
Le
dire
vrai
c'est autre
chose.
*
L'inconscient
c'est quelque
chose
dans le
réel.
*
Le
sens
c'est ce par quoi
répond
quelque
chose
qui est
autre
que le
symbolique.
*
Quelque
chose
commence
à
trois
qui
inclut
tous
les
nombres
aussi loin qu'ils soient
dénombrables.
L'angoisse
c'est quelque
chose
qui
part
du
réel.
*
Au
regard
du
réel,
c'est d'autre
chose
que de
sens
qu'il s'agit dans la
jouissance.
*
Pour que quelque
chose
existe
il faut qu'il y
ait
quelque part un
trou.
Il y a dans le
réel
quelque
chose
qui
fait
trou.
*
Le
propre
du
sens
c'est
qu'on
y
nomme
quelque
chose.
Le
langage
est
lié
à quelque
chose
qui, dans le
réel,
fait
trou.
La
psychose
paranoïaque
et la
personnalité
c'est la
même
chose.
Le
symptôme
dit
quelque
chose.
Une
chaîne
n'est pas la
même
chose
qu'un
nœud.
*
La
réminiscence
consiste
à
imaginer
à propos de quelque
chose
qui
fait
fonction
d'idée
et qui n'en est pas une.
L'inconscient
n'a
rien
à
faire
avec le
fait
qu'on
ignore des
choses.
*
On
sait
des
choses
qui relèvent du
signifiant.
La
psychologie
n'est pas autre
chose
que cette
image
qu'on
a de notre
propre
corps.
*
Si
l'ego
est
dit
narcissique,
c'est bien parce qu'il y a quelque
chose
à un
certain
niveau
qui
supporte
le
corps
comme
image.
La
résistance
c'est quelque
chose
qui
prend
son
point
de
départ
chez
l'analyste
lui-même.
Savoir
y
faire
n'est pas la
même
chose
que le
savoir
absolu.
*
C'est à partir de quelque
chose
qui
s'énonce
comme
positif
qu'on
écrit
la
négation.
*
L'écriture,
ça ne
donne
quelque
chose
qu'en
mathématiques.
*
Dire
a quelque
chose
à
faire
avec le
temps.
[
Lac78
]
*
L'adéquation du
symbolique
ne
fait
les
choses
que
fantasmatiquement.
[
Lac78
]
L'analyste
opère
par quelque
chose
qui ne se
fonde
pas sur la
contradiction.
[
Lac78
]
Aimer,
c'est aspirer à quelque
chose
qui est son
objet.
[
Lac78
]
*
Dire
est autre
chose
que
parler.
[
Lac78
]
*
Ni dans ce que
dit
l'analysant,
ni dans ce que
dit
l'analyste,
il y a autre
chose
qu'écriture.
[
Lac78
]
Dans le
passage
du
signifiant
au
signifié
tel qu'il est
entendu,
il y a quelque
chose
qui se
perd.
[
Lac78
]
Suivant:
christianisme
Remonter:
5.3 C
Précédent:
Chose, Ding
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08