Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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mythe
Le
progrès
de
l'imaginaire
au
symbolique
est une
organisation
de
l'imaginaire
au
mythe.
*
Un
mythe
est
toujours
une
tentative
d'articulation
de
solution
d'un
problème.
*
Tout
mythe
se
rapporte
à
l'inexplicable
du
réel.
La
pulsion
ne se
confond
pas avec le
soi
mythique.
Le
mythe
d'Œdipe
c'est qu'à
l'origine
le
désir
du
père
et la
loi
sont une
seule
et
même
chose.
L'irréel
se
définit
de
s'articuler
au
réel
d'une
façon
qui
nécessite
l'usage
du
mythique.
*
L'oblativité
c'est un
mythe
de
névrosé.
Dans le
symbolique
il y a le
mythe
œdipien.
[
Lac68e
, p. 27]
*
La
mathématique
représente
le
savoir
du
maître
en tant que
constitué
sur
d'autres
lois
que le
savoir
mythique.
La
science
est ce
savoir
du
maître
entièrement
autonome
du
savoir
mythique.
Le
mythe
central
du
discours
psychanalytique,
c'est le
mythe
d'Œdipe.
Un
mythe,
c'est un
contenu
manifeste.
*
Au
phallus
se résume le
point
de
mythe
où le
sexuel
se
fait
passion
du
signifiant.
[
Lac70d
, p. 64]
*
Il n'y a pas de
connaissance
qui ne soit
d'illusion
ou de
mythe.
[
Lac70d
, p. 84]
L'œdipe
c'est un
mythe
écrit.
L'obsessionnel
est dans la
dette
de ne pas
exister
au
regard
du
père
mythique.
La
libido
est une
substance,
un
mythe
fluidique. [
Lac74b
, p. 20]
Les
vérités
ne
peuvent
se
dire
toutes,
car beaucoup ont une
existence
mythique.
Le
réel
peut
être
mythique.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08