Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
Parent:
5.13 M
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Moebius, Mœbius
Suivant:
moi-idéal, Ich-Ideal
Index:
Index
moi, non-moi
Le
moi
se
conçoit
comme un
système
central
d'identifications
idéales.
[
Lac66a
, p. 178]
Le
moi
a une
structure
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 178]
Le
moi
a une
valeur
libidinale.
[
Lac66a
, p. 178]
*
Rien
ne
sépare
le
moi
de ses
formes
idéales,
Ich-Ideal
.
[
Lac66a
, p. 179]
Au
départ
du
développement
psychique
sont
liés:
le
moi
primordial
comme
essentiellement
aliéné
et le
sacrifice
primitif
comme
essentiellement
suicidaire.
[
Lac66a
, p. 187]
Le
moi
primordial
comme
essentiellement
aliéné
et le
sacrifice
primitif
comme
essentiellement
suicidaire
constituent
la
structure
fondamentale
de la
folie.
[
Lac66a
, p. 187]
Le
moi
ne se
confond
pas avec
l'être
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 178]
Il y a
discordance
primordiale
entre
le
moi
et
l'être.
[
Lac66a
, p. 187]
Toute
résolution
de la
discordance
entre
le
moi
et
l'être
mène à
l'agression
suicidaire
narcissique.
[
Lac66a
, p. 187]
*
Le
moi
de
l'homme
n'est pas
réductible
à son
identité
vécue.
[
Lac66a
, p. 114]
Le
moi
représente
le
centre
de
toutes
les
résistances
à la
cure
des
symptômes.
[
Lac66a
, p. 118]
Le
je
primordial
situe
l'instance
du
moi
dans une
ligne
de
fiction,
à
jamais
irréductible
pour le
seul
individu.
[
Lac66a
, p. 94]
L'idéal-du-moi
est un
organisme
de
défense
perpétué
par le
moi
pour prolonger la
satisfaction
du
sujet.
*
Le
moi
est
structuré
exactement
comme un
symptôme.
Le
moi
est le
symptôme
humain
par excellence.
Le
moi
c'est la
maladie
mentale
de
l'homme.
Rien
ne
différencie
le
moi
d'un
symptôme.
Le
moi
est
référentiel
à
l'autre.
Le
moi
se
constitue
par
rapport
à
l'autre.
Le
moi
est
corrélatif
à
l'autre.
Le
moi
de
l'analyse
se
présente
comme
maître
d'erreurs,
siège
des
illusions,
lieu
d'une
passion
qui lui est
propre
et va
essentiellement
à la
méconnaissance.
L'identification
est proprement
moïque.
Quand
l'identification
moïque
sera
faite,
toute
nouvelle
ré-identification
du
sujet
fera
surgir
l'anxiété.
C'est par
rapport
au
premier
moi
imaginaire
que va se
situer
le
premier
jeu
de
l'inclusion
ou de
l'exclusion
de
tout
ce dont il s'agit dans le
sujet
avant
la
naissance
du
moi.
Le
moi
est une
image.
Les
rapports
entre
l'analysé
et
l'analyste
se
situent
sur le
plan
du
moi
et du
non-moi,
c'est à dire sur le
plan
de
l'économie
narcissique
du
sujet.
L'idéalisation
du
moi
est dans le
plan
de
l'imaginaire.
C'est son
propre
moi
qu'on
aime
dans
l'amour,
réalisé
à ce
moment
au
niveau
imaginaire.
Le
milieu
vital
de
l'homme
est le
milieu
symbolique
du
rapport
du
moi
à
l'autre.
La
constitution
de
l'
Ideal-Ich
est la
forme
essentiellement
imaginaire,
spéculaire,
de la
genèse,
de
l'origine
fondamentalement
imaginaire
du
moi.
Il y a un
rapport
étroit
entre
la
formation
de
l'objet
et celle du
moi.
La
formation
de
l'objet
et celle du
moi
sont
d'apparition
vraiment
contemporaine.
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
Le
moi
ne
sait
rien
des
désirs
du
sujet.
Le
super-ego
se
situe
entre
le
moi
et le
ça.
Le
moi
est
fait
de la
succession
des
identifications.
Ce qui est
essentiellement
de
l'ordre
du
moi
est aussi de
l'ordre
de la
conscience.
Le
je
est
distinct
du
moi.
*
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
*
Le
moi
qui est une
fonction
imaginaire,
n'intervient,
dans la
vie
psychique
que comme
symbole.
Les
résistances
ont
toujours
leur
siège
dans le
moi.
L'inconscient
c'est ce
sujet
inconnu
du
moi,
méconnu
par le
moi.
Le
moi
n'est qu'une des
apparences,
une des
formes
incomplètes,
une
forme
erronée
du
je.
Le
moi
est un
objet
qui
remplit
une
fonction
imaginaire.
À partir du
moment
où le
monde
symbolique
est
fondé,
le
moi
peut
servir
de
symbole.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
sujet
de
l'inconscient
et
l'organisation
du
moi.
La
résistance
est
essentiellement
un
phénomène
du
moi.
[
Lac66a
, p. 374]
Le
moi
n'a
rien
à
faire
avec
l'unité
supposée
de la
réalité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 374]
Le
moi
est
impossible
à
distinguer
des
captations
imaginaires
qui le
constituent
par un
autre
et pour un
autre.
[
Lac66a
, p. 374]
Le
moi
est à
comprendre
dans le
mouvement
d'aliénation
progressive
où se
constitue
la
conscience
de
soi.
[
Lac66a
, p. 374]
C'est la
dialectique
du
moi
et de
l'autre
qui
fait
l'impasse
du
névrosé.
[
Lac66a
, p. 377]
Pour qu'il y
ait
relation
d'objet,
il faut déjà qu'il y
ait
une
relation
du
moi
à
l'autre.
La
relation
du
moi
à
l'autre
est la
condition
primordiale
de
toute
espèce
d'objectivation
du
monde
extérieur.
Il y a
toujours,
dans la
névrose
les
mécanismes
de
défense
qui sont
liés
à la
relation
narcissique
du
moi
à
l'autre.
Les
mécanismes
de
défense
sont
toujours
plus
ou
moins
liés
à la
relation
narcissique
du
moi,
car elle est
strictement
structurée
sur le
rapport
à
l'autre,
l'identification
possible
avec
l'autre.
Dans
toute
relation
narcissique
le
moi
est
l'autre
et
l'autre
est
moi.
L'inhibition
provient
du
moi.
Le
moi
a une
fonction
imaginaire.
*
La
résistance
est
liée
au
registre
du
moi.
*
Le
moi
est
fait
de la
série
des
identifications
qui, au
cours
de la
vie
du
sujet
ont
représentées.
Le
principe
du
plaisir
est ce qui
règle
la
mesure
du
moi,
et
instaure
cette
conscience
dans ses
relations
avec
l'extérieur.
Le
moi
est un
mirage,
une
somme
d'identifications.
Le
moi
est
intégré
dans la
fonction
fantasmante
.
Le
moi
est un
autre
qui est son
image.
Le
moi
est un
autre
avec lequel il est en
rapport
spéculaire.
L'autre
est le
moi.
*
Le
moi
est une
construction
imaginaire.
Le
moi
de
l'analyste
se
doit
d'être
absent.
La
paranoïa
est
toujours
en
relation
avec une
aliénation
imaginaire
du
moi.
*
Ce qui est du
moi
est
toujours
perçu
essentiellement
et
toujours
approprié par
l'intermédiaire
d'un
autre
spéculaire.
Le
moi
a un
caractère
fondamentalement
aliéné
et
spéculaire.
Le
moi
est
toujours
présentification
d'une
fonction
imaginaire
comme telle.
*
La
nature
même
du
moi,
son
rapport
fondamental
au
monde,
est de
trouver
toujours
en
face
de lui son
reflet.
La
rencontre
du
moi
avec son
reflet
le
dépossède
de
tout
ce qu'il
peut
atteindre
en tant qu'il est
moi.
L'aliénation
fondamentale
du
moi,
c'est le
moi
en tant qu'il
porte
en lui-même sa
dépossession.
La
mort
est ce qui
dépossède
le
moi.
Il y a une
fonction
inconsciente
du
moi.
Le
moi
s'étend sur le
conscient
et
l'inconscient.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est le
moi.
L'autre
est
essentiellement
couplé avec le
moi.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
et le
,
le
moi
et
l'autre
sont les substrats
imaginaires.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
c'est à dire le
moi
est
séparé
du
sujet
par le
.
Le
moi
est une des
formes
de la
fonction
imaginaire
du
vivant.
*
Le
moi
n'est pas
identique
au
sujet.
*
Toute
résistance
vient
de
l'organisation
du
moi.
*
C'est
toujours
le
moi
qui
parle.
Tout
ce qui est du
moi
s'inscrit
dans des
tensions
imaginaires.
*
Libido
et
moi
sont du
même
côté.
Le
moi
et
toutes
les
tendances
et
pulsions
s'inscrivent
dans
l'ordre
libidinal.
Le
sujet
psychotique
parle
avec son
moi.
Dans la
psychose,
le
sujet
est
identifié
à son
moi.
*
Le
moi
humain,
comme tel, c'est
l'autre.
L'autre,
c'est
l'autre
qui est
moi.
Au
niveau
du
il y a quelque
chose
qui est au
niveau
de
l'imaginaire,
c'est le
moi
et le
corps
morcelé.
*
Le
moi
se
forme
des
mêmes
moments
qu'un
symptôme.
[
Lac66a
, p. 336]
Le
moi
n'est
toujours
que la
moitié
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 346]
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
[
Lac66a
, p. 409]
Le
moi
est
constitué
en son
noyau
par une
série
d'identifications
aliénantes.
[
Lac66a
, p. 417]
Là où
c'était,
là où
s'était,
c'est
mon
devoir
que
je
vienne à
être.
[
Lac66a
, pp. 417–418]
C'est dans la désagrégation de
l'unité
imaginaire
que
constitue
le
moi,
que le
sujet
trouve
le
matériel
signifiant
de ses
symptômes.
[
Lac66a
, p. 427]
Dans la
situation
analytique
il y a
deux
sujets,
pourvus chacun de
deux
objets,
le
moi
et
l'autre.
[
Lac66a
, p. 429]
Dans la
situation
analytique,
chaque
moi
est
autre
pour
l'autre
participant.
[
Lac66a
, p. 429]
Le
lieu
de
l'Autre
s'étend bien
au-delà
du
discours
qui
prend
du
moi
ses
mots
d'ordre.
[
Lac66a
, p. 431]
La
relation
agressive
est
constituante
de la
formation
du
moi.
Le
moi
est un
autre.
*
Le
moi
s'instaure
dans une
dualité
interne
au
sujet.
*
Le
moi
est cette
sorte
de
maître
que le
sujet
trouve
dans un
autre.
Dans le
sujet
il y a
toujours
un
moi
qui lui est en
partie
étranger.
Le
moi
est
toujours
en
partie
un
maître
implanté
dans le
sujet.
Le
moi
a une
fonction
de
maîtrise.
La
fonction
de
maîtrise
du
moi
est
toujours
à la
fois
à
l'intérieur
et à
l'extérieur.
Le
moi
a à se
défendre
contre des
pulsions.
Le
moi
de
tout
sujet
est
lié
à un
double
discursif,
discordant.
Le
moi
a la
fonction
d'un
discours
de la
réalité.
Le
moi
comporte
toujours
un
corrélatif
qui est un
discours
qui n'a
rien
à
faire
avec la
réalité.
Le
discours
est le
jumeau
qui
double
toujours
le
moi.
*
Le
moi
n'est
jamais
au
moins
que la
moitié
du
sujet.
Le
sujet
se
réfère
à cette
unité
imaginaire
qui est le
moi
en
C'est dans le
moi
que le
sujet
se
connaît
et se
méconnaît.
Le
sujet
parle
de son
moi,
.
Dans
l'ordre
imaginaire
prévaut
la
relation
de
moi
à
moi.
Le
moi
possède
la
fonction
d'illusion,
d'
irréalisation
.
La
fonction
du
moi
est
fondamentalement
narcissisante
.
Le
moi
a le
privilège
de
l'exercice,
de
l'épreuve
de
réalité.
La
fonction
du
moi
atteste
la
réalité
pour le
sujet.
Grâce à la
fonction
du
moi,
le
sujet
valorise,
donne
l'accent à la
réalité.
La
fonction
du
moi
est une
fonction
fondamentalement
illusoire.
Le
moi
dans sa
structuration
imaginaire
est pour le
sujet
comme un de ses
éléments.
Le
sujet
pose
sa
question
névrotique
avec son
moi.
Dans la
psychose,
une certaine
problématique
s'insère
entre
l'image
du
moi
et une
image
du
grand
Autre
qu'est
l'image
paternelle.
Dans le
sentiment
d'étrangeté,
c'est le
moi
qui ne se
retrouve
plus.
Dans le
sentiment
d'étrangeté,
le
moi
entre
dans le
tu.
Dans le
sentiment
d'étrangeté,
le
moi
se
croit
à
l'état
de
double.
L'autre
est un
objet
typique
du
moi.
La
dialectique
du
narcissisme
est
essentiellement
le
rapport
moi
petit
autre.
La
relation
imaginaire
s'inscrit
dans un
rapport
de
spécularité,
de
réciprocité
entre
le
moi
et
l'autre.
La
relation
narcissique
est
fondatrice
du
moi.
La
relation
narcissique
est la
matrice
de la
constitution
imaginaire
qui
s'appelle
le
moi.
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
L'objet
choisi
est une
sorte
d'autre
moi
dans le
sujet.
*
C'est à partir de
l'idéal-du-moi
que le
moi
se
détache.
Le
schéma
de la
figure
4.10.1
décrit les
relations
entre
l'idéal-du-moi,
le
moi,
l'objet
et
l'objet
extérieur.
C'est sur la
toute-puissance
de la
mère
que le
moi
de
l'enfant
repose.
La
perspective
moïque
est de
méconnaissance.
Le
moi
est
fonction
de la
relation
symbolique.
La
dialectique
de
méconnaissance,
de
dénégation
et
d'aliénation
narcissique
est le
fait
du
moi
.
[
Lac66a
, p. 454]
Le
rapport
du
moi
à
l'image
spéculative
5
.
306
est la
fonction
unifiante
de
l'image
totale
du
corps.
C'est au
père
que se
rapporte
la
formation
idéale
du
moi.
Le
moi
est
fait
d'une
série
d'identifications
à un
objet
qui est
au-delà
de
l'objet
immédiat, lequel est le
père
en tant qu'il est
au-delà
de la
mère.
Toute
identification
idéale
du
moi
est une mise en
rapport
du
sujet
à certains
signifiants
dans
l'Autre.
Le
premier
ordre
d'identifications
est
l'identification
narcissique
qui est le
petit
,
le
moi.
Le
désir
échappe à la
synthèse
du
moi.
Dans le
graphe
6.1.2
c'est un
élément
imaginaire
qui va du
moi
à
l'autre
.
L'image
de
l'autre
est la
même
chose
que le
moi.
désigne
le
moi
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
Le
moi
est ce qui se
reflète
de la
forme
du
sujet
dans ses
objets.
[
Lac66a
, p. 549]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
représente
le
moi.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
,
soit en
,
se
situent
les
figures
où le
moi
s'identifie.
[
Lac66a
, p. 553]
Le
et le
moi,
son ombre, sont
deux
autres.
[
Lac66a
, p. 630]
Le
moi
est la
métonymie
du
désir.
[
Lac66a
, p. 640]
Le
moi
est une
fonction
de
méconnaissance.
[
Lac66a
, p. 668]
Le
préconscient
est une
partie
du
moi.
[
Lac66a
, p. 668]
Le
sujet
se
constitue
comme
signifié
d'une
relation
du
moi
à
l'autre,
puis à
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 751]
est le
signifiant
de
l'Autre
qui est en
moi.
*
Le
moi
se
constitue
dans un
certain
rapport
imaginaire
à
l'autre.
Il y a un
rapport
narcissique
entre
le
moi
et
l'image
de
l'autre
.
*
L'image
de
l'autre
spéculaire,
joue
par
rapport
au
moi.
Il y a
substitution
imaginaire
quand il y a
substitution
du
moi
au
sujet
barré
concernant le
désir.
La
substitution
du
moi
au
sujet
introduit
la
demande
dans la
question
du
désir.
Le
das Ding
est
étranger
à
moi
et au
cœur
du
moi.
*
Le
moi
se
défend
en se
mutilant.
C'est du
semblable,
en tant que
semblable
que
naissent
les
méconnaissances
qui me
définissent
comme
moi.
Le
moi
est une
fonction
de
maîtrise.
[
Lac66a
, p. 809]
La
duplicité
du
moi
se
supporte
du
trait
unaire
de
l'idéal-du-moi.
[
Lac66a
, p. 809]
Dans le
graphe
1.30.1
, le
vecteur
signifie
le
procès
imaginaire
qui va de
l'image
spéculaire
à la
constitution
du
moi,
sur le
chemin
de la
subjectivation
par le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 809]
Dans le
graphe
1.30.1
,
représente
le
moi.
[
Lac66a
, p. 809]
Le
moi
ne
s'achève
qu'à
être
articulé
comme
métonymie
de la
signification
du
je
du
discours.
[
Lac66a
, p. 809]
Le
moi
ne
s'achève
pas comme
je
du
discours.
[
Lac66a
, p. 809]
Le
névrosé
a
subi
au
départ
la
castration
imaginaire
qui
soutient
son
moi
fort. [
Lac66a
, p. 826]
La
subjectivité
se
construit
dans le
pluralisme
des
niveaux
d'identification
que sont
l'idéal-du-moi,
le
moi-idéal,
le
moi
désirant.
*
Le
signal
d'angoisse
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
du
moi.
c'est le
moi
en tant
qu'image
de
l'autre,
en tant que foncièrement
fonction
de
méconnaissance.
L'angoisse
se
produit
topiquement
à la
place
définie
par
,
à la
place
du
moi.
*
Le
moi
est
avant
tout
une entité
corporelle.
Le
moi
est une entité
correspondant
à la
projection
d'une
surface.
Le
moi
est une des
métonymies.
est le
produit
de
mon
désir
par le
désir
de
l'Autre,
ça
ne
peut
donner
qu'un
manque
.
L'autre
imaginaire,
dans la
méconnaissance
moïque
c'est
.
Le
moi
est une
surface
et une
projection
d'une
surface.
*
L'angoisse
est
signal
dans le
moi.
Le
moi
est une
projection
de
surface.
L'angoisse
est un
phénomène
de
bord
dans le
moi,
quand le
moi
est
constitué.
L'expérience
du
miroir
est paradigmatique de la
constitution
du
moi
idéal
dans
l'expérience
de
l'Autre.
L'angoisse
est
reprise
par le
moi
pour
répondre
aux
menaces
de
l'
id
,
du
ça,
de
l'
.
*
La
forme
,
mon
image,
ma
présence
dans
l'Autre
est
sans
reste.
C'est à partir de
l'
Unlust
que va se
constituer
le
non-moi.
La
seule
fonction
homogène de la
conscience
est dans la
capture
du
moi,
par son
reflet
spéculaire.
[
Lac66a
, p. 832]
Le
moi
se
forme
des
histoires
successives
des
mois idéaux.
Le
stade
du
miroir
a le
caractère
noyau,
par
rapport
à
l'instance
du
moi,
de
l'image
spéculaire.
*
C'est en tant que
je
suis
que
mon
désir
est le
désir
de
l'Autre.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
Le
moi
a
fonction
de
méconnaissance.
*
Le
moi
est
l'appareil
de la
perception
conscience.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
moi
est
méconnaissance
fondamentale.
*
Moi,
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
Dans
l'amour
courtois,
se
repère
de
l'idéal-du-moi,
objet
,
image
du
le
fondement
du
moi,
et
sujet
barré.
Le
moi
est
doublement
illusoire.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
moi
du
sujet
s'aliène
de
façon
imaginaire.
Le
moi
est une
série
enveloppante
d'identifications
imaginaires.
[
Lac66c
, p. 8]
*
Il ne m'est pas
donné,
ni
donnable,
d'autre
jouissance
que celle de
mon
corps.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
moi-idéal
est
noyau
du
moi.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
5
.
307
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
Moi
la
vérité
je
parle.
Grand
est le
moi,
l'image
de
.
La
vérité,
moi,
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
symptôme
névrotique
s'articule
entre
le
champ
du
moi
tel qu'il
s'ordonne
spéculairement
et celui du
désir
en tant qu'il
s'articule
par
rapport
au
champ
dominé
par
l'objet
.
*
Là où
c'était
le
plus-de-jouir,
le
jouir
de
l'Autre,
c'est là que
moi,
en tant que
je
profère
l'acte
psychanalytique,
je
dois
venir.
*
Moi
la
vérité,
je
parle.
*
Moi
la
vérité
je
parle.
Le
moi
c'est la
conscience.
[
Lac78
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Jacques B. Siboni
2024-11-08