Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.1 A
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appel
L'être
humain
est
né
dans un
certain
état
d'impuissance,
et très précocement les
mots
lui ont servi
d'appel,
notamment les
cris
dont
dépendait
sa
nourriture.
La
ligne
d'arête à la
jonction
du
symbolique
et de
l'imaginaire
s'appelle
l'amour.
La
ligne
d'arête à la
jonction
de
l'imaginaire
et du
réel
s'appelle
la
haine.
La
ligne
d'arête à la
jonction
du
réel
et du
symbolique
s'appelle
l'ignorance.
*
En lui-même le
jeu
du
symbole
organise
ce quelque
chose
qui
s'appelle
un
sujet.
Dans la
psychose,
c'est le
fantastique
qui va être
appelé
à
remplir
la
béance.
La
condensation
s'appelle
métaphore.
Le
déplacement
s'appelle
métonymie.
La
décomposition
du
signifiant
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
d'un
point
d'appel
qui est
constitué
par un
manque,
une
disparition,
une
absence
d'un
certain
signifiant,
au
moment
où il est
appelé
comme tel.
Le
signifiant,
lorsqu'il est pour
l'autre
exclu,
lorsqu'il est
appelé,
produit
à ce
moment
là la
réduction,
mais intensifiée, à la
pure
relation
imaginaire.
Le
tu
est
appelé
du
champ
de
l'Autre.
Toute
entrée
dans les
psychoses,
c'est le
moment
où, du
champ
de
l'Autre,
vient
l'appel
d'un
signifiant
essentiel
qui ne
peut
pas
être
reçu.
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
La
relation
narcissique
est la
matrice
de la
constitution
imaginaire
qui
s'appelle
le
moi.
La
frustration
est le
refus
de
don
en tant qu'il est lui-même
symbole
de quelque
chose
qui
s'appelle
l'amour.
Le
don
se
donne
ou
non
à
l'appel
comme
signe
de
l'amour
annulé.
L'homme
n'est pas simplement un
mâle
ou une
femelle,
mais il se
situe
par
rapport
à quelque
chose
de
symbolisé
qui
s'appelle
mâle
et
femelle.
Il y a
toujours
au
début
du
trait
d'esprit
un
appel
à
l'autre
comme
lieu
de la
vérification.
Tu
est le
signifiant
de
l'appel
à
l'autre.
L'invocation
appelle
à
entrer
dans la
voie
du
désir
d'une
façon
inconditionnelle.
L'invocation
fait
appel
à la
voix.
La
demande
est
liée
d'abord
et
avant
tout
à ce qui est dans les prémisses du
langage,
dans
l'existence
d'un
appel
qui est
principe
de la
présence,
et
terme
qui
permet
de la repousser.
La
perception
des
rapports
du
père
et de la
mère
s'appelle
la
métaphore
paternelle.
Le
désir
a à s'organiser, a
prendre
sa
place,
entre
l'appel
de la
satisfaction
et la
demande
d'amour.
Le
représentant
de la
représentation
du
mouvement
pulsionnel
s'appelle
Triebregung
.
*
Pour que la
psychose
se
déclenche,
il faut que le
nom-du-père,
verworfen
,
forclos,
c'est-à-dire
jamais
venu
à la
place
de
l'Autre,
y soit
appelé
en
opposition
symbolique
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
nom-du-père
est
appelé
par le
sujet,
par
Un-père
réel
qui se
situe
en
position
tierce
dans une
relation
imaginaire
–
. [
Lac66a
, p. 577]
La
demande
porte
sur autre
chose
que sur les
satisfactions
qu'elle
appelle.
[
Lac66a
, pp. 690–691]
L'objet
de la
castration
s'appelle
le
phallus.
L'Autre
est
interpellé
dans la
demande
d'amour.
*
Une
structure
est
constituante
de la
praxis
qu'on
appelle
la
psychanalyse.
[
Lac66a
, p. 793]
C'est à la
place
de
l'idéal-du-moi
que
l'analyste
sera
appelé
à
fonctionner.
*
L'
acting-out
appelle
l'interprétation.
Le
symptôme,
dans son
essence
n'est pas
appel
à
l'Autre.
*
Initialement
c'est le
sujet
qui est
appelé.
La
vérité
ne se
fonde
que de ce que la
parole,
même
mensongère,
y
fait
appel
et la
suscite.
La
pulsion
se
manifeste
essentiellement
du coté de ce
vivant
appelé
à la
subjectivité.
L'analyste
est
appelé,
par le
sujet,
à incarner le
.
L'opération,
où se
ferme
la
causation
du
sujet,
s'appelle
la
séparation
ou
Ichspaltung
,
ou
refente
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 842]
La
loi
est
supportée
par quelque
chose
qui
s'appelle
le
nom-du-père.
Le
psychanalyste
est
appelé,
en la
situation
analytique,
comme
étant
le
sujet
supposé
savoir.
*
C'est, en tant que
sujet
divisé,
que
l'analyste
est
appelé
à
répondre
à la
demande.
Le
retour
inscrit
dans la
structure
s'appelle
la
répétition.
L'être
de
l'homme
en tant que
verworfen
,
reparaît
dans le
réel,
cela
s'appelle
le
d'(être)itus
.
Pour
l'homme
le
manque
phallique
s'appelle
la
castration.
Pour la
femme
le
manque
phallique
s'appelle
Penis-neid
.
Le
corps
est
fait
pour
inscrire
quelque
chose
qui
s'appelle
la
marque.
*
Nulle
part
dans
l'Autre
ne
peut
être
assurée,
d'aucune
façon
la
consistance
de ce qui
s'appelle
vérité.
Dans les
mathématiques,
on
appelle
métalangage
le
discours
dont un
langage
veut
s'exclure.
[
Lac84b
, p. 19]
Le
chemin
vers la
mort
s'appelle
la
jouissance.
La
faille
qui
s'appelle
le
sujet,
c'est
l'ouverture
à
situer
entre
et
.
*
ça
veut
dire
la
fonction
qui
s'appelle
la
castration.
*
La
parole
définit
la
place
de ce
qu'on
appelle
la
vérité.
Le
noyau
de la
psychanalyse
qui
s'appelle
jouissance
sexuelle,
est opaque.
*
Il y a un
certain
effet
de
discours
et qui
s'appelle
l'écriture.
C'est parce qu'il y a
l'inconscient,
à savoir
lalangue
,
que le
signifiant
peut
être
appelé
à
faire
signe.
Les
trois
dit-mansions
s'appellent
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Figure
21.1.1
*
La
psychose
est une
sorte
de faillite, en ce qui
concerne
l'accomplissement
de ce qui est
appelé
amour.
s'appelle
sujet.
La
métaphore
en
usage
pour ce
qu'on
appelle
l'accès
au
réel,
c'est le
modèle.
*
L'imaginairement
symbolique
s'appelle
la
vérité.
Ce que la
psychanalyse
appelle
plaisir,
c'est
subir
le
moins
possible.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08