appréhension

$0117008_{1954}$

Avant l'apparition extériorisée du langage, l'enfant a déjà une première appréhension du symbolisme du langage, de sa fonction de pacte et de loi.

$0208007_{1955}$

Il n'y a aucune espèce  d'autre moyen  d'appréhender le réel que par l'intermédiaire du symbolique.

$0312032_{1956}$

Dans le circuit de l'appréhension psychique, il y a la perception qui implique la conscience.

$0403040_{1956}$

Pour appréhender la privation il faut d'abord que le sujet symbolise le réel.

$0405009_{1956}$

L'Autre est au-delà même de l'autre appréhendé imaginairement.

$0413005_{1957}$

La castration prend comme base cette appréhension dans le réel de l'absence de pénis chez la femme.

$0413014_{1957}$

L'interposition des fantasmes et la nécessité de la relation symbolique rendent très difficile à l'enfant l'appréhension du père réel.

$0514008_{1958}$

Dans le masochisme le sujet appréhende la douleur d'exister.

$0816010_{1961}$

Il s'agit de considérer le phallus comme signifiant comme centre de toute appréhension cohérente de ce dont il s'agit dans le complexe de castration.

$1106003_{1964}$

La schize fait appréhender le réel originellement comme malvenu.

$1116059_{1964}$

Le désir de l'Autre est appréhendé par le sujet, dans ce qui ne colle pas, dans les manques du discours de l'Autre.

$0031011_{1964}$

Le sujet s'appréhende là où ça parle de lui. [Lac66a, p. 835]

$1409005_{1967}$

La mère désigne dans le langage analytique la première appréhension de la castration.

$3604002_{1975}$

L'analyse n'appréhende du corps que ce qu'il y a de plus imaginaire.